3 thoughts on “Sasha Andreas a enquêté sur la pauvreté dans la communauté juive”
E. De La Croix signale dans ses carnets de voyage au Maroc que les drogman (interprètes et aussi chargés de relations quotidiennes avec les ambassades ) sont tous juifs (voir video 3 min).
et dans d’autres pays en Europe. Des cas plus complexes restent inexpliqués. Par exemple comment Gersonide (qui, en tant qu’astronome, était réputé aussi parmi la communauté chrétienne) avait eu accès à des connaissances scientifiques malgré que les universités étaient interdites au juifs? https://books.openedition.org/pup/6798?lang=fr
Effectivement il existe des israélites pauvres, voire très pauvres, partout dans le monde, y compris en France et à Paris, et j’en connais personnellement.
J’ai toujours soutenu l’idée que si les Juifs étaient aussi “riches” que la rumeur le prétend, que si les Juifs étaient une population composée uniquement de banquiers et de riches rentiers (ce qui est faux), alors il n’y aurait jamais eu de pogroms, ni de “nuit de cristal”, ni de rafles, ni de camps d’exterminations.
Car avec une population supposée millionnaire, cela se serait passé très différemment.
Preuve qu’au cours des siècles, les Juifs ont très majoritairement été tout en bas des classes moyennes : Car les pogroms, la “nuit de cristal”, les camps d’exterminations et les rafles sont organisés pour s’en prendre frontalement à des gens pauvres et – par définition – sans défense.
D’ailleurs les Gipsys, Roms et Bohémiens – populations pauvres, rurales et nomades – étaient aussi dans le viseur des Nazis, aux mêmes endroits et au même moment.
Maintenant… … s’il y en a qui s’imaginent vraiment qu’en démontrant que les Juifs ne sont finalement pas riches alors on aurait évité l’assassinat crapuleux d’Ilan Halimi et que cela mettra fin une bonne fois pour à l’antisémitisme, là ils se fourrent le doigt dans l’œil, et bien profond :
Les antisémites resteront antisémites parce que les antisémites n’ont pas besoin de motiver leur antisémitisme. Leur motifs antijuifs, quels qu’ils soient, ne sont que des prétextes. Une haine reste une haine.
Et cette haine immonde reste la même haine quoi qu’il arrive.
Au cours des siècles, cette haine est là, elle change de costume, c’est tout.
En Europe centrale, quand le mythe du “juif riche” ne fonctionnait pas (vu que les Juifs étaient de petits fermiers et marchands ruraux), alors les antisémites ont créé leur monstrueuse Fake News: Les juifs cuiraient du pain avec du sang de bébé chrétien (même en 2019, il y en a qui y croient encore).
Et quand ce Fake du “sang de bébé chrétien” s’est périmé tout seul, alors ils s’est trouvé d’autre crapules tout aussi antisémites qui ont pondu l’autre Fake à propos d’un peuple soi-disant “palestinien”, d’un “génocide”, de “Cisjordanie”, de “terre volées”, et foultitudes d’autres mensonges qui ne sont conçus QUE pour servir de support à leur antisémitisme.
Chez un antisémite, il n’y a jamais rien eu de rationnel.
Comme le commentateur précédent je pense que la part du rationnel est très réduite dans le psychisme d’un antisémite. C’est surtout la loyauté vis à vis de lui-même qui lui manque : le courage de reconnaitre simplement qu’il est JALOUX de l’aptitude à la réussite qu’elle soit matérielle, financière, littéraire ou scientifique de l’individu dont il SAIT qu’il est juif. Ce qui a conduit nombre d’israelites français par exemple à changer de patronyme, (soit le transformer soit carrément prendre pour nom de famille celui d’une ville ) pour éliminer ce risque d’identification à un peuple honni.
L’origine de cette malédiction a clairement été explicitée par l’historien ISAAC : “l’enseignement du mépris” qu’il a imputé à la condamnation par l’Eglise des métiers que, précisément les Juifs étaient OBLIGES d’exercer, les autres leur étant interdits!
Pour échapper à la haine antisémite le remède serait donc pour un individu de ne pas être identifié comme Juif.
Maintenant, pour la collectivité, le remède , en coordination totale avec l’exposé qui nous est présenté, serait bien sûr l’éducation du public, l’information par le moyen du théâtre par exemple depuis des saynètes à faire interpreter par des écoliers dans les établissements scolaires jusqu’à des productions complètes destinées aux spectateurs adultes, faisant éclater la vérité historique sur la pratique des “vils métiers” qui les a marqués à jamais dans l’imagerie populaire.
Illusion? Utopie? Je pense au contraire qu’un peu de courage et d’imagination doit permettre de relever ce défi . Avis aux gens du spectacle motivés !
E. De La Croix signale dans ses carnets de voyage au Maroc que les drogman (interprètes et aussi chargés de relations quotidiennes avec les ambassades ) sont tous juifs (voir video 3 min).
http://www.akadem.org/sommaire/themes/culture/peinture/eugene-delacroix/sur-les-traces-d-un-judaisme-inconnu-06-06-2007-6963_426.php
A signaler aussi l’exercice de la médecine dans le ghetto de Venise dès le Moyen-Age.
http://www.terrepromise.fr/2015/06/25/les-juifs-de-venise-le-premier-ghetto/
et dans d’autres pays en Europe. Des cas plus complexes restent inexpliqués. Par exemple comment Gersonide (qui, en tant qu’astronome, était réputé aussi parmi la communauté chrétienne) avait eu accès à des connaissances scientifiques malgré que les universités étaient interdites au juifs?
https://books.openedition.org/pup/6798?lang=fr
Effectivement il existe des israélites pauvres, voire très pauvres, partout dans le monde, y compris en France et à Paris, et j’en connais personnellement.
J’ai toujours soutenu l’idée que si les Juifs étaient aussi “riches” que la rumeur le prétend, que si les Juifs étaient une population composée uniquement de banquiers et de riches rentiers (ce qui est faux), alors il n’y aurait jamais eu de pogroms, ni de “nuit de cristal”, ni de rafles, ni de camps d’exterminations.
Car avec une population supposée millionnaire, cela se serait passé très différemment.
Preuve qu’au cours des siècles, les Juifs ont très majoritairement été tout en bas des classes moyennes : Car les pogroms, la “nuit de cristal”, les camps d’exterminations et les rafles sont organisés pour s’en prendre frontalement à des gens pauvres et – par définition – sans défense.
D’ailleurs les Gipsys, Roms et Bohémiens – populations pauvres, rurales et nomades – étaient aussi dans le viseur des Nazis, aux mêmes endroits et au même moment.
Maintenant… … s’il y en a qui s’imaginent vraiment qu’en démontrant que les Juifs ne sont finalement pas riches alors on aurait évité l’assassinat crapuleux d’Ilan Halimi et que cela mettra fin une bonne fois pour à l’antisémitisme, là ils se fourrent le doigt dans l’œil, et bien profond :
Les antisémites resteront antisémites parce que les antisémites n’ont pas besoin de motiver leur antisémitisme. Leur motifs antijuifs, quels qu’ils soient, ne sont que des prétextes. Une haine reste une haine.
Et cette haine immonde reste la même haine quoi qu’il arrive.
Au cours des siècles, cette haine est là, elle change de costume, c’est tout.
En Europe centrale, quand le mythe du “juif riche” ne fonctionnait pas (vu que les Juifs étaient de petits fermiers et marchands ruraux), alors les antisémites ont créé leur monstrueuse Fake News: Les juifs cuiraient du pain avec du sang de bébé chrétien (même en 2019, il y en a qui y croient encore).
Et quand ce Fake du “sang de bébé chrétien” s’est périmé tout seul, alors ils s’est trouvé d’autre crapules tout aussi antisémites qui ont pondu l’autre Fake à propos d’un peuple soi-disant “palestinien”, d’un “génocide”, de “Cisjordanie”, de “terre volées”, et foultitudes d’autres mensonges qui ne sont conçus QUE pour servir de support à leur antisémitisme.
Chez un antisémite, il n’y a jamais rien eu de rationnel.
Comme le commentateur précédent je pense que la part du rationnel est très réduite dans le psychisme d’un antisémite. C’est surtout la loyauté vis à vis de lui-même qui lui manque : le courage de reconnaitre simplement qu’il est JALOUX de l’aptitude à la réussite qu’elle soit matérielle, financière, littéraire ou scientifique de l’individu dont il SAIT qu’il est juif. Ce qui a conduit nombre d’israelites français par exemple à changer de patronyme, (soit le transformer soit carrément prendre pour nom de famille celui d’une ville ) pour éliminer ce risque d’identification à un peuple honni.
L’origine de cette malédiction a clairement été explicitée par l’historien ISAAC : “l’enseignement du mépris” qu’il a imputé à la condamnation par l’Eglise des métiers que, précisément les Juifs étaient OBLIGES d’exercer, les autres leur étant interdits!
Pour échapper à la haine antisémite le remède serait donc pour un individu de ne pas être identifié comme Juif.
Maintenant, pour la collectivité, le remède , en coordination totale avec l’exposé qui nous est présenté, serait bien sûr l’éducation du public, l’information par le moyen du théâtre par exemple depuis des saynètes à faire interpreter par des écoliers dans les établissements scolaires jusqu’à des productions complètes destinées aux spectateurs adultes, faisant éclater la vérité historique sur la pratique des “vils métiers” qui les a marqués à jamais dans l’imagerie populaire.
Illusion? Utopie? Je pense au contraire qu’un peu de courage et d’imagination doit permettre de relever ce défi . Avis aux gens du spectacle motivés !