Publié par Albert Soued le 31 mars 2019

La persistance des manifestations et défilés hebdomadaires des « Gilets Jaunes » malgré les reculades successives du gouvernement français ne peuvent s’expliquer que par l’existence d’un motif profond caché et non avoué.

Cela fait plusieurs décennies que nous attirons l’attention de nos lecteurs sur les menaces et dangers de la foi wahabite et de généreux investissements offerts d’abord par l’Arabie saoudite, puis par le Qatar pour créer et gérer des mosquées et des écoles musulmanes, pour s’emparer des médias et enfin des élites occidentales.

Parallèlement, les populations d’Afrique et d’Asie ne trouvant pas d’emploi sur place ou souffrant de nombreuses discriminations du fait de leur foi ou de leur ethnie ont commencé à envahir l’Europe, parfois avec le consentement des dirigeants occidentaux. Mais ces populations pour la plupart musulmanes n’ont pas cherché à s’intégrer localement et ont formé des noyaux importants communautaires ayant une culture et une identité fortement exogènes, s’opposant aux autochtones, les « pauvres blancs »

Cette situation n’a fait qu’empirer au point d’arriver à un gouffre entre le peuple et les élites « qatarisées ». Les « pauvres blancs sont descendus dans la rue pour de légitimes revendications économiques qui ont été en grande partie satisfaites. Mais les revendications se sont poursuivies tout azimut. Que cache cette insistance difficilement explicable ?

La population autochtone et les « pauvres blancs » sentent de plus en plus la menace de disparition de leur identité, de leur culture, de leur civilisation, mais ne peuvent exprimer ouvertement leur désarroi, de peur d’être taxés par les medias d’« islamophobie », antidote inventé pour les dissuader de revendiquer contre l’Islam.

Aux Etats-Unis, l’Islam est important par ses institutions financières et ses Ong de propagande plutôt que par la population immigrée. L’Islam a donc chevauché le parti démocrate qui avait sombré dans le gauchisme européen, grâce aux 8 années de gestion Obama. Et les « pauvres blancs » se sont alors tournés vers le parti républicain, puis ont élu un homme d’affaires, Donald Trump, au grand dam de l’« establishment qatarisé » de Washington, envahi par les Frères musulmans.

En Grande Bretagne, l’impasse du Brexit est le résultat de la peur de la population des « pauvres blancs » de perdre son identité et sa culture en restant en Europe, alors que les élites qatarisées cherchent à l’y maintenir.

En Allemagne, l’ouverture inconsidérée à l’émigration d’un million de musulmans a entraîné l’émergence d’une nouvelle droite au parfum nazi et antisémite, cherchant à faire équipe, comme d’habitude, avec les islamistes immigrés. Cette situation commence à inquiéter bon nombre d’Allemands « pauvres blancs ».

On peut continuer avec le Canada du jeune Justin Trudeau, l’Australie et la Nouvelle Zélande qui a connu un attentat anti-mosquée prémonitoire….

Tant que les dirigeants occidentaux continueront à ménager l’ennemi identitaire en leur sein, tant qu’ils pratiqueront une ouverture démesurée sans discernement, le malaise populaire des « pauvres blancs » aura un bon motif pour continuer à déstabiliser la société.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Soued

Notes

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