
Alain Minc est verrouillé à double tour. Sur lui tout seul, les conspirationnistes auraient de quoi écrire des milliers de pages. Tout ce qu’il cache, il le fait dire aux autres, aux puissants de ce monde sous influence.
Source : Valeursactuelles
Intellectuel touche-à-tout, homme d’affaires et de médias, essayiste, textoteur du soir d’Emmanuel Macron, Alain Minc fait commerce de ses conseils depuis quarante ans. Un homme d’influence, avec des hauts et “débats”.
Pourquoi vous me regardez comme cela ? Il s’interrompt en plein vol. Au milieu d’une phrase qu’il ne terminera pas. Alain Minc n’aime pas qu’on l’ausculte. Un regard trop insistant, comme si l’on cherchait à lire dans les tréfonds de son âme et voilà que notre homme se braque et se rétracte comme une bernique dans sa coquille. Il s’enfonce dans son fauteuil. S’agrippe aux accoudoirs. Croise les bras, l’air soudainement chagrin, puis se martyrise les phalanges. « Je ne suis pas un gibier de psychanalyste », prévient-il.
Tous ceux qui ont cherché à le faire parler de lui se sont heurtés à cette même impossibilité. Lui si affable, si bavard, capable de deviser aussi savamment d’économie, de finance, de politique, de littérature ou de philosophie, habile à rendre accessible les sciences les plus indigestes, prompt à brosser le portrait des puissants qu’il côtoie et conseille, se raidit instantanément lorsqu’il s’agit de livrer la moindre parcelle de lui-même.
« Je ne m’intéresse pas », dit-il encore, comme pour s’excuser de nous faire perdre notre temps. Alain Minc préfère ériger une barrière « aussi épaisse qu’un mur de centrale nucléaire », selon ses mots, plutôt que de prendre le risque de se mettre à nu une fraction de seconde. « Pudique à l’extrême, il ne fend pas facilement l’armure » , admet Franz-Olivier Giesbert, l’ancien directeur du Point, qui le pratique depuis des années.
Nous voilà prévenus.
Pour percer le coffre-fort Minc, il faut l’attaquer au burin et s’armer de patience. Depuis quarante ans qu’il gravite dans les allées du pouvoir, Alain Minc s’emploie à conserver le plus grand mystère sur lui-même autant qu’il s’applique à faire la publicité de ses idées. Il goûte avec délectation l’analyse prospective. Beaucoup moins l’introspection, un exercice contre nature. Le mieux est encore de s’en remettre au jugement de ses amis. Sa « garde prétorienne », comme il dit drôlement. Pas sûr qu’ils nous soient de quelque secours, mais puisque Alain Minc nous suggère ce détour, on s’exécute au pas de course.
Philippe Labro compte parmi eux.
Chaque dimanche, le romancier retrouve dans un café de la rue Cler Alain Minc, il apprécie jusqu’à plus soif « la curiosité sans borne et le savoir encyclopédique de cet intellectuel tout- terrain ». Entre eux, c’est un dialogue ininterrompu qui dure depuis près de vingt ans, au point que l’essayiste délègue volontiers au journaliste de C8 le soin de « réfléchir sur son compte ».
« Vous défroquez », le tance Michel Pébereau
« Il serait vain de vouloir l’enfermer dans une définition », avertit Philippe Labro, qui préfère insister sur son « goût irrépressible pour l’indépendance et la liberté ». Un début de piste que nous tâchons de vérifier auprès de l’intéressé. « Ce n’est pas faux », élude-t-il. Élève brillant, habitué aux prix d’excellence, Alain Minc suit d’abord la voie royale que le système français prévoit pour ses meilleurs éléments. Il fait ses classes prépas à Louis-le-Grand, intègre les Mines, sort diplômé de Sciences Po, avant de pulvériser le record de points à l’entrée de l’Ena. Il en sort major pour la voie d’administration économique, intègre l’inspection générale des Finances, et le rapport sur l’informatisation de la société qu’il publie avec Simon Nora lui vaut en 1978 un premier best- seller et un début de réputation.
Mais plutôt que de faire carrière dans la haute fonction publique, Alain Minc bifurque pour le privé et rejoint Saint-Gobain, après être tombé sous le charme de Roger Fauroux, son premier patron, un inspecteur des Finances, comme lui. « Vous défroquez », le tance Michel Pébereau, alors directeur de cabinet du ministre de l’Économie. Quand il évoque l’anecdote, Alain Minc en frémit encore d’aise. C’est le début d’une trajectoire protéiforme. L’école de la liberté….
alain minc patron a tout raté, ce qui lui permet aujourd’hui, selon le principe de Peter de grimper au sommet de l’échelle
Tout est dit !!!.
Et ils sont LEGIONS !!! les nuls qui ont gouverné ce pays englué jusqu’au coup dans la RÉBELLION !!!.
Mais l’Islam qui est un malheur en soi va les mettre au pas ( un malheur n’arrive jamais seul) et les Français vont trouver encore plus rebelles qu’eux et alors étant à plat ventre et humiliés. ..peut-être qu’ils reviendront à leur premier et unique appel: Servir Christ dans toute sa gloire et faire de la France un royaume de bénédictions pour l’humanité au lieu d’être la risée du Monde avec les nuls puissance 10 !!! qui gouvernent ce pays.
Alain Minc brille surtout pas sa remarquable médiocrité. Il a quasiment tout raté, fossoyé les entreprises auxquelles il a participé, perturbé gravement les fusions-acquisitions dans lesquelles il a touché des com, bricolé lamentablement des martingales politiques vaseuses, distribué des conseils ineptes et contradictoires aux naïfs, et léché les fesses du monde politique comme un clébard, au point d’en rendre jaloux un spécialiste comme Jack Lang. C’est un atrabilaire, frustré, aigri, inquiet de son importance, méchant comme une teigne, vicieux, et sournois, un éternel second couteau, qu’on reçoit hors de la vue de ceux qui comptent, comme les spadassins qui viennent raconter les derniers crimes, et que l’on écoute d’un derrière distrait.
Pour être tout à fait honnête, cet homme-là a de la répartie, et d’ailleurs, il ne se gêne pas pour utiliser un ton hautain et dédaigneux, lorsqu’il balance ses remarques.
Bien sûr que nous aurions tous souhaité connaitre les événements qu’il aurait prédits, manque de chance, même en fouillant bien, il n’y a pas grand chose à commenter.
Pour résumer ce personnage bien incrusté dans le microcosme français, nous pouvons le résumer à la réflexion suivante :
“C’est mon opinion, et je la partage”…
Faire Sciences-Po et l’ENA, deux garanties de médiocrité.
ou si l’on s’en réfère à Macron, deux garanties de déconnexion, d’autisme hautain.
Alain Minc, Jacques Attali, Bernard-Henri Lévy, David de Rothschild, Jacques Lang, Patrick Cohen, Daniel Cohn-Bendit et quelques autres… sont des personnages nuisibles et non-représentatifs des Juifs auxquels ils provoquent un immense préjudice dans l’image sociale.
Tous les comiques que vous citez sont à mettre dans un grand sac poubelle.
Le monde se porterait mieux sans eux. Surtout si on y ajoute Soros.
Soros est le pire de tous, du temps des Nazis, il travaillait à dépouiller les Juifs de leurs biens.
Son excuse : “si ce n’était pas moi qui le faisait, cela aurait profité à d’autres, alors tant qu’à faire”.
Le pire de tous les Juifs kapos.
Mes amis juifs sont bien mieux que ces gens là, ils ont de l’humour, de la finesse, du cœur, et beaucoup plus d’intelligence.
VRAI !!!
VOTEZ BIBI C’EST LE MEILLEUR !!!
Minc est un juif honteux, mais je regrette la réflexion de M Gotay
Pas de généralisation quelques tarés qui ne représentent qu’eux mêmes tout comme le CRIF
Merci d’en tenir compte
Gottay a raison, son propos n’est regrettable que parce qu’il est regrettable qu’il y ait des Juifs qui puissent faire preuve de tant de bassesse, mais c’est ainsi, c’est la promesse de D.ieu à Abraham : ta descendance sera aussi nombreuse que le sable de la terre et les étoiles du ciel.
Quand ils veulent s’élever, les Juifs peuvent s’élever aussi haut que les étoiles, et inversement quand ils veulent descendre, ils peuvent arriver aussi bas que le sable de la terre.
Trompé par cette réputation que vous aidez à brosser (et à maintenir), je me suis jadis acheté son livre sur Spinoza – quelle amère déception !
Pour moi, la vraie arnaque du siècle, c’est Attali, j’ai lu deux de ses bouquins, en me fiant à sa réputation de penseur brillant, deux super navets (une “étude” sur l’histoire du temps et de sa mesure dont je n’ai plus aucun souvenir, un autre roman de science-fiction punk, sur un messie futur). Deux livres extrêmement médiocres.
On dirait qu’il appartient à une sorte de secte qui recommande de bien lire l’enseignement des prophètes dans la Bible et de se l’approprier.
Ensuite munis d’une connaissance ils se prennent pour Dieu et deviennent de plus en plus laid avec l’orifice affamé, ce qui est l’atout essentiel pour passer à la télévision française.
CERUS : De Benedetti + Minc = 2,2 Milliards de pertes suite a OPA raté su General de Belgique 1990
1994-2008 : President du conseil de Surveillance du ” Monde ”
2001 : Condamné pour plagiat suite a son roman sur Spinoza
2008 : condamnè pour plagiat suite a son livre sur ” Moulin-Bousquet , itinéraires croisés ”
Janvier 2008 : Declaration de A.M ” Le marché financier est tres bien régulé , l’empirisme prévaut ..” Septembre 2008 ? Il a oublié …..
Virulent anticlérical, dèclaration outranciére contre Benoit XVI .
Toujours près a rendre service aux amis qui sont dans le besoin ( Antoine Zacharias de Vinci ) pour donner un coup de pouce aux frais de l’etat .
Partisan de la mondialisation ” heureuse ” , du politiquement correct , de tous les présidents ( sauf Chirac ) , donc du coté du manche mais jamais de la cognée .
Dirigeant de la SANEF ( autoroutes ) il ne devrait pas commettre trop d’erreurs ?
Alain Minc incarne parfaitement le mal français :
il a fait de très bonnes études étant jeune ce qui prouve comme le disait mon grand père que l’on peut être un ” con instruit ” et depuis il s’est reconverti dans le business le plus florissant du monde :
il vend du vent : matière première inépuisable et peut coûteuse
Le grand patron de St-gobain Roger Fauroux lui a offert en 80 ou 81, la Présidence d’Air Industrie une holding au sein du groupe St-gobain. En 83 soit 2 ou 3 ans plus tard la Société était liquidée. C’est une des réussites d’Alain Minc. Ça illustre parfaitement l’exemple de Colluch lorsqu’il parlait de donner le désert aux énarques et qui peut de temps après devaient racheter du sable.