
Ce que l’on appelle « Islam de France » n’est rien d’autre que le fruit d’un fantasme d’Etat. L’Etat français est confronté à de très graves problèmes générés par les dernières vagues migratoires issues de pays musulmans.
Les dirigeants n’ont aucune solution pour résoudre cette grave crise. Sans doute la plus grave, qui menace de tout détruire. Alors, nos dirigeants font un étrange rêve.
La volonté de l’exécutif de créer de toutes pièces une nouvelle branche de cette religion, qu’il qualifie d’Islam de France, est d’autant plus surprenante qu’elle émane d’un État qui normalement s’interdit de s’immiscer dans les croyances religieuses des citoyens, qui est leur affaire privée.
Le pouvoir, par une série de mesures bienveillantes, favorise l’expansion de la religion musulmane. Il encourage à la construction des mosquées et autres lieux culturels. Il favorise sa pratique dans les écoles.
Il l’aide à se structurer ; favorise son organisation.
Il encourage la pratique religieuse, protège son déploiement dans l’espace public et sur les lieux de travail.
Il autorise le port de signes ostentatoires dans l’espace public.
Les grandes fêtes musulmanes sont saluées comme de véritables fêtes nationales.
Il combat l’hérésie qu’il qualifie de « radicalisme ».
Tous les discours officiels font l’apologie de cette religion, la qualifiant de religion d’amour et de paix, quelle que soit l’ampleur des crimes commis en son nom.
Les livres scolaires sont rédigés dans un sens apologétique.
L’Etat ordonne à ses tribunaux de réprimer sévèrement toute manifestation hostile à l’Islam, y compris la critique historique.
Journalistes, historiens, philosophes… tous ceux qui mettent en cause l’Islam sont sanctionnés.
Avec une constance étonnante, la politique conduite par les dirigeants de droite comme de gauche, est comparable en de nombreux points à celle suivie par l’Empereur Constantin après sa conversion au christianisme : permettre à la nouvelle religion de s’imposer progressivement et si possible, sans heurts.
Tout comme Constantin, les dirigeants français travaillent à installer l’Islam au cœur de la société et de l’Etat, même si la conséquence immédiate de cette politique se solde par la mise en cause de l’unité territoriale du pays et par une montée de la violence antisémite et antichrétienne.
La dégradation de nombreux services publics, au premier rang desquels, l’Education nationale, n’est plus à démontrer.
Des études sérieuses font état d’un véritable processus d’épuration ethnique dans les quartiers islamisés : plus de synagogues, plus d’Eglises ; impossible de porter une kippa, une mini jupe dans certaines rues sans mettre sa vie en danger…
L’Etat minimise, ferme les yeux sur ces graves violations de la légalité républicaine.
La comparaison avec Constantin s’arrête là. Ce grand Empereur avait choisi de mettre un terme à la persécution des chrétiens, de rétablir la paix et la prospérité. La nouvelle religion faisait souffler sur l’Empire un vent nouveau, celui de l’unité et d’une très haute spiritualité.
Incontestablement, le christianisme antique, non encore corrompu par le pouvoir, représentait un immense progrès, tant au point de vue moral que politique.
A l’inverse, la pré-conversion à l’Islam des élites françaises n’apporte que la division, la violence, la corruption, le déclin. La France ressemble de plus en plus à ses dernières colonies du Maghreb.
Dernier avatar de cette étrange dérive politico-religieuse du pouvoir, la gestion désastreuse de la crise dite des Gilets jaunes.
Le parti-pris pro-Islam est flagrant.
Face aux émeutes des banlieues (2005-2007 et suivantes) le pouvoir préconisait la retenue, même lorsque les forces de l’ordre subissaient des tirs à balles réelles.
Face à la révolte des Gilets jaunes initialement soutenue par une majorité écrasante de Français, le pouvoir a opté pour le mépris et la violence.
Cette France qui exprime sa souffrance et son désespoir, est clairement désignée par le pouvoir comme l’ennemi de l’Etat, ainsi que l’atteste la mobilisation des forces armées à compter du samedi 23 mars 2019.Comme disait le général de Gaulle, l’armée n’est pas là pour donner le biberon. L’arme que porte chaque soldat est une arme de guerre destinée à tuer.
Que feront les militaires s’ils sont agressés ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
Merci pour cet article lucide et inspirant. Il n’y a plus qu’à attendre que l’armée de Macron tire sur la foule.
Quelle Armée?
Celle de la colonisation?
Trop tard, le pire arrive.
Au début des années 1930, à Genève, des manifestants grévistes avaient provoqué délibérément un peloton de l’armée. Lejeune lieutenant a commandé “en joue, feu!”.
Une trentaine de morts et un monument sur la Plaine dePlanpalais.
Après avoir chanté: “nous irons sécher notre linge sur la ligne Siegfried” nous chanterons: “nous irons repeindre les grottes de Lascaux”.
Si l’Arbopithèque nous en laisse le loisir.
le syndrome de stokholm en marche avant toute
la pêche aux voix oblige
gaulois, n’oubliez pas d’aller voter
Votez, certes, mais par pitié pas pour n’importe qui.
Je ne crois pas qu’on puisse comparer la semi conversion de l’etat français à l’islam à celui de constantin : celui-ci avait fait vœu dee conversion s’il gagnait la guerre contre des barbares et il s’est converti par conviction religieuse. La conversion des hollande et bébé hollande actuellement tient à leur totale incapacité à faire face à une situation de guerre. Ce sont des poupées, des marionnettes qui ne pensent qu’à jouir de la vie, se battre est impensable pour eux!
Non seulement nos politicards font comme ils veulent….le peuple n’existe plus, mais plus grave, ils mettent l’islam en avant et la laïcité se meurt lentement…
Ils doivent rendre des comptes ces collabos de cette félonie insupportable !!!!!!!!!!!!!!
“Que feront les militaires s’ils sont agressés ?”
La même chose que ce qu’ils ont fait depuis les dernières décennies : rien, parce-qu’ils ne peuvent rien faire. Lorsqu’une nation a choisi une berceuse comme “le Déserteur” pour hymne et “faites l’amour, pas la guerre” c’est à dire “laissez-vous faire” comme cri de ralliement, il n’y a plus d’armée qui vaille.
D’ailleurs, dans cette armée française que les gouvernements successifs se sont acharnés à émasculer depuis la Guerre d’Algérie avec l’approbation massive de la population, combien croyez-vous qu’il y ait maintenant de musulmans dans ses rangs? Autant que dans ceux de la police ?
Le Coran, tout comme les haddiths, ont quantité de sourates contraires à notre Constitution et à toutes nos valeurs. Dès le départ, l’islam aurait du être interdit en France (et en Europe), ce n’est pas une religion, c’est une idéologie de conquête de la terre avec mission de soumettre tout le monde à l’Islam et de tuer les récalcitrants.
Il faut arrêter de croire que notre “tolérance humaniste” ressemble à de l’amour. C’est du pur orgueil que de croire que l’on peut se battre contre des sabres avec une plume d’autruche ! Quand on le croit, on devient une autruche, on se met la tête dans le sable. On ne voit même pas venir ceux qui vont vous mettre un coup de pied magistral au derrière, quitte à vous laisser la tête coupée dans votre sable….
Il est temps de bouter hors de France l’islam, puisqu’il ne changera jamais, faute de ne plus être l’islam !
@ Michelle d’Astier de la Vigerie
Je suis athée, mais je propose un résumé, choisir entre “Aimez-vous les uns les autres” et “Tuez les infidèles partout où vous les trouverez”, sans oublier qu’il y a belle lurette qu’on n’oblige plus personne à se convertir au christianisme.
Le gouvernement, Monsieur, ne combat pas
“l’hérésie qu’il qualifie de radicalisme”.
Il fait semblant; et ses moulinets ne trompent
personne. Pas plus que ses “stages de déradica-
lisation” dont chacun sait ce qu’il faut penser.
Veule, trouillard, ce gouvernement a renoncé,
comme les précédents, à se battre. Pire: pour
conjurer la cruauté des ennemis, il fait revenir
des ‘djihadistes français” de Syrie en France,
s’imaginant, dans sa stupide et inutile lâcheté,
que “la paix sociale ” durera.
La “politique des dirigeants de droite comme
de gauche” n’a rien à voir avec celle de l’Empe-
reur Constantin, mais tout à voir avec celle
de pacifistes , de défaitistes et de félons qui
devront être jugés.
Car, dans “le même temps”, ils envoient nos
soldats risquer leur vie en Afrique contre
ces mêmes djihadistes.
Soucieux de tirer le maximum de la France,
ils la prostituent à l’ennemi, jusqu’à ce qu’ils
soient eux-mêmes insupportables à cet
ennemi. Mais ils ne voient pas aussi loin.
Un homme politique qui nous redonne
espoir est Serge Federbusch,qui vient
d’être rejoint dans son projet de regagner
Paris, par le RN, ainsi que je l’ai appris,
hier soir, à un bistro politique.
J’espère que ses idées intelligentes, claires
entraîneront d’autres ralliements.