
En 1975, après le Watergate, la confiance du public dans les médias était de 80%. Aujourd’hui, par leur seule activité quotidienne – et cela a commencé bien avant l’arrivée d’Internet – les médias sont tombés à un niveau embarrassant. Les journalistes en ont fait l’institution que les gens considèrent comme la moins crédible de toutes. Pire que les politiciens !
Si vous lisez ces lignes, c’est probablement que vous suivez Dreuz.info, et que vous n’avez probablement plus une grande confiance ou plus confiance du tout dans les médias. Vous avez cherché des moyens alternatifs de vous informer, et vous avez découvert Dreuz et d’autres sites internet d’information. Vous nous avez testés, et après un certain temps, lorsque vous avez constaté que nos informations ne sont pas des Fake News, que nous ne diffusons pas de propagande et que nos analystes expriment leur opinion avec honnêteté sur la base des faits, vous nous êtes restés fidèles.
Vous ne partagez pas toutes nos opinions – et pourquoi les partageriez-vous ? Est-il humainement raisonnable, ou bénéfique, ou même possible d’imaginer être d’accord sur tout. Ça n’a pas de sens, et cela ne sert à rien de bon.
Pour les raisons évoquées ci-dessus, vous allez peut-être penser que cet article enfonce des portes ouvertes.
Ne le croyez pas.
Il existe une règle d’or en communication. Pour faire passer un message, il faut constamment enfoncer le même clou. Avec le temps, il finit par être intégré dans les repères de pensée des gens puis dans l’inconscient collectif. Et il n’existe pas d’œuvre plus noble que d’aider les gens à s’éloigner des médias.
Mais tout n’est pas gagné.
L’habitude nous réconcilie avec tout – (E. Burke)
Sur la route de l’indépendance du journal télévisé du soir, ou de l’information en continu, il reste sur une étape à franchir : la résistance aux habitudes. Mais la digue est en train de céder.
Avant de rappeler que les journalistes n’ont personne d’autre à blâmer qu’eux-mêmes de ce qui leur arrive, car c’est eux et personne d’autre qui ont détruit le formidable capital dont ils disposaient : la crédibilité, je veux expliquer ici pourquoi les gens parviennent encore à la fois à croire et ne pas croire ce qu’ils entendent.
“Tout ne peut pas être faux”, ou l’envie de faire confiance
La nature humaine est pleine de contradictions. Si quelqu’un vous ment une fois, vous aurez du mal à le croire la fois suivante. S’il vous ment régulièrement, vous ne le croirez plus du tout – et pourtant, vous continuerez à croire certaines choses qu’il vous dira, si elles correspondent à ce que vous pensez déjà – même si c’est erroné – si ça ne choque pas l’idée préconçue que vous vous êtes faites, ou si avez tout simplement envie de croire ce qu’on vous dit sur un sujet que vous ne connaissez pas bien et sur lequel vous ne sentez pas le besoin de vous méfier. Tel est le cerveau humain et tel, il fonctionne avec les médias.
De plus, il est plus confortable de faire confiance, relâcher sa garde et se détendre, que de se méfier, et être constamment sur le qui-vive, sur la défensive. Pour cela, nous avons envie de nous dire “tout ne peut pas être faux”, parce que cela élargit notre zone de confort, notre envie de pouvoir faire confiance.
Notre esprit logique n’aime pas se l’avouer, c’est un défi apparent à notre intelligence, à notre esprit cartésien, mais nous sommes ainsi faits de contradictions, d’idées conflictuelles avec lesquelles nous cohabitons très bien.
Le réflexe naturel est donc pour beaucoup d’allumer la télévision pour regarder les informations – en sachant qu’ils vont être désinformés – mais “tout ne peut pas être faux”. Sur les nombreux sujets abordés, les gens en connaissent peu, et ils ont besoin de croire pour savoir.
L’occultation, pire que les Fake News
Les Fake News que diffusent les médias à longueur de journée sont dépassées par un danger plus pernicieux pour la démocratie : l’occultation.
L’occultation d’un fait a ceci de grave que si les médias ne vous avaient pas caché l’information, vous auriez porté un jugement différent. Si les journalistes ne vous disent pas que le Hamas tire des roquettes sur la population israélienne, et ne vous parlent que des tirs israéliens, vous ne pouvez pas le deviner, et vous pensez qu’Israël est l’agresseur. Si les médias vous cachent que les agressions homophobes sont majoritairement commises par des mahométans décrits comme “français”, vous allez naturellement penser, c’est ce que veulent les journalistes, que les Français sont homophobes.
Comment pouvez-vous savoir que le président Trump est le président le plus pro-Noir depuis longtemps – plus qu’Obama en fait – si aucun média ne vous dit jamais ce qu’il a fait en ce sens, si jamais aucun commentateur politique noir n’est invité à témoigner, et si, au contraire, les journalistes le traitent de raciste du matin au soir.
Comment savez-vous si vous ne savez pas ?
Comme pouvez-vous élire un président si les médias n’enquêtent pas sur son passé et ce qu’il a fait, s’ils cachent ses déclarations qui dérangent, et ne vous disent pas vraiment qui il est ? Vous allez voter à la tête du client, si les informations importantes vous sont cachées ? Hélas, la réponse est oui.
Internet et les réseaux sociaux
Sur les réseaux sociaux, on trouve le pire et le meilleur, contrairement aux médias, où l’on ne trouve que le pire. Les Fake news y pullulent, oui. Mais avec une nuance très importante qui n’est jamais évoquée : la forte diversité d’opinion et l’égal poids de l’opinion de chacun – personne ne domine l’information ou la monopolise.
- Une Fake news à la télé, personne ne la contredit. Le mal est fait. Et personne ne vous a alerté.
- Sur Instagram, Facebook ou Twitter, une Fake news ne reste pas plus de 30 secondes sans être attaquée, dénoncée, et démolie preuves à l’appui. A vous ensuite de faire votre propre analyse, et de penser par vous-même : aucun journaliste ne vous vrille des mots clefs dans la tête.
- Sur les réseaux sociaux, vous découvrez instantanément toutes les informations qui sont cachées par les médias. Et lorsqu’une information est fausse ou déformée… ah je plains son auteur !
Et bien grand leur fait, 28% des gens s’informent désormais sur internet, et 12% sur les réseaux sociaux, soit autant qu’à la télévision (40%), qui perd toute son avance et sa première place – et consacre la disparition du monopole que possédaient les médias traditionnels.

Et 6% lisent encore les journaux et les magazines ! C’est la fin.
Conclusion
Les médias penchent à gauche. Lorsque ce qu’ils publient tombe dans l’oreille d’une personne de gauche, elle est satisfaite, et elle a tendance à les croire. C’est logique, oui ?
Oui ?
Et bien non.
Même à gauche, la confiance s’est effritée ! Seulement 26% des personnes qui se définissent comme Démocrates ont confiance dans les médias (1).
Le voilà, le signe du glissement vers l’abîme que je vous prédis. Et à droite, mais c’est logique puisque les journalistes sont biaisés vers la gauche, il n’y a plus que 5% qui ont encore confiance ! Et ils ont bien raison ! Ne croyez pas un mot de ce qu’ils disent – et j’insiste : rien. Pas un mot.
Encore une fois, les journalistes et les rédactions ne peuvent s’en prendre qu’à eux-mêmes : personne ne les a aidés à s’auto-détruire, ils l’ont fait tout seuls comme des grands. Internet se contente de les achever parce qu’ils nous ont préparé le travail.
Et les Américains ont plus confiance dans le président Trump – qui est attaqué en permanence par les médias et les Démocrates – que dans les médias : sa côte de popularité est en ce moment à 49% (52% il y a 10 jours), et 93% des Républicains approuvent son travail.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
une chance que Fox News , Jihad Watch , Dreuz , Europe Israel existe car TOUT les autres médias perdu toute forme d’éthique bref ils ont tous perdu mon respect ceci inclut bien sûr les médias radio …. au 98.5 FM de montreal il y a le chroniqueur Rafael Jacob qui est le seul qui diffuse l’info correctement a la radio … le seul au Québec
Dans quel but venez-vous d’ajouter un bouton ‘like’ sous chaque commentaire et quand sera-t-il en service ? Pourquoi n’y a-t-il pas de bouton ‘desagree’ ?
Je n’ai rien ajouté du tout ! Il y a un ingénieur réseau, des webmasters, je ne suis qu’un pauvre messager ! Ne tirez pas sur le messager !
Allez vous plaindre à l’équipe WordPress, qui a ajouté cette fonctionnalité dans sa dernière mise à jour (il suffit de cliquer sur le “J’aime” pour voir qu’il amène directement sur WordPress.com)
Bonjour JPG , je vous trouve extrêmement sévère avec ces pauvres gens de la presse .
Je pense toujours que si j’étais à leur place avec des dettes , des enfants à nourrir , la crainte du chomage , je me déculotterais moi-aussi devant tous les responsables d’émission , je sucerais également toutes les opportunités avec une extreme chaleur apathique pour m’attirer la sympathie du public lecteur ou téléspectateur . Souvenons-nous de la question d’intronisation à l’émission d’Ardisson : « Est-ce que sucer c’est tromper ? »
Deux choses mènent le monde de l’info , le fric et le cul !
@ L’Enjoué :
Réponse à Ardisson : “Non si c’est avec un aspirateur”.
Sinon : Matthieu 5-28 : “Et moi je vous le dis : Quiconque regarde une femme avec convoitise a déjà commis l’adultère avec elle dans son cœur“.
Quand au reste, la déontologie journalistique devrait prévaloir de très loin sur la prostitution des média…
Vous avez raison, j’ai honte de moi.
” Il vaut mieux mourrir pour une cause que vivre sans raison”
General Paton
@Taquin : il était tapé ce Paton ! Il avait tout faux !
Il vaut mieux vivre pour une cause que mourir sans raison.
Excellente analyse! Merveilleux!
Il faut ajouter à l’usage croissant des réseaux d’information ou de réinformation, “le geste” de s’informer, d’aller au-devant de l’information, de rechercher la vérité, d’être en quête (enquête?) d’un reflet respectueux de la réalité… très différent de s’écraser devant la télé et de se laisser gaver d’insanités puérils.
Article à conserver précieusement.
Jean-Patrick,
Bien sûr je suis d’accord avec ce que vous dites de la confiance à (ne pas) accorder aux médias ; et ne suis pas étonné que la confiance du grand public à leur égard soit à ce point dégradée.
Cela dit, les journalistes ne sont-ils pas avant tout des salariés ? Même si personnellement beaucoup penchent à gauche, ne sont-ils pas tenus par la ligne éditoriale du média qui les emploie ?
En d’autres termes, le fait que les médias, donc les journalistes qui y officient, sont à ce point peu (ou non) crédibles n’est-il pas avant tout lié à ladite ligne éditoriale imposée par les patrons des médias ? Le nerf de la guerre, là comme ailleurs, n’est-il pas l’argent qui finance les médias, et les opinions de ceux qui tiennent les cordons de la bourse ? – avant donc les opinions personnelles des journalistes ? N’est-ce pas surtout cela qu’il faudrait dénoncer ?
Deuxième point : quand on parle d’internet, on parle quoi, précisément ? Internet n’est qu’un vecteur, pas un média en soi.
Si je m’informe sur le site internet du Point ou du Monde, est-ce que je m’informe sur internet ? ou dans un média mainstream (‘print magazines/papers’) qui diffuse aussi sa propagande par internet ?
J’ai commencé ma carrière de journaliste il y a 55 ans (!). J’avais alors beaucoup d’amis journalistes, car je travaillais souvent en freelance pour divers journaux.
Ces amis avaient en commun quelque chose devenu denrée rare aujourdh’ui dans le monde de l’information: la passion de la vérité. Être journaliste, c’était une vocation, pas une fonction, accessoirement un métier qu’on apprenait sur le tas. Je me souviens de Zitrone: lui, il avait l’amour du français; L’écouter était exquis, même s’il parlait de foot. Au Monde, au Figaro, à France Soir (j’en oublie) il y avait pléthore de journalistes qui étudiaient les sujets en profondeur avant d’oser faire éditer leur article: ils savaient qu’ils avaient un rôle majeur à jouer pour informer les gens dans la vérité.
Tout à commencé à se gâter quand être journaliste, c’est devenu un passe-droit avec des tapis rouges, qu’on a commencé à surpayer les journalistes politiques pour qu’ils parlent dans le sens qui vous arrangeait, parce que des consortiums commerciaux ont commencé à racheter à grand renfort d’argent tous les journaux et medias qui comptaient.
Hachette, groupe Hersant, Berlusconi, Bouygues… regroupement des journaux et médias, on se les achète et on les revend comme des marchandises, et leurs journalistes avec. Ensuite, capitaux arabes, notamment Qatar. La presse devient résolument antisémite. La désinformation circule en continu
C’en est fini de l’indépendance de l’information, avec la fin de l’indépendance de la presse. C’est la course aux places les plus convoitées, sous réserve de ne jamais égratigner le Pouvoir.
L’AFP ? Sous Giscard, les directeurs ont voltigé. Il n’était pas suffisamment politiquement correct. Comme l’Etat subventionne, l’Etat est le patron… Sarko s’en même aussi. Après, c’est le flou. On ne sait plus qui finance. L’État ? Bien sûr, mais d’autres financements ? Si vous arrivez à comprendre, moi je me suis perdu dans les méandres: https://fr.wikipedia.org/wiki/Agence_France-Presse
La TV se développe. Désormais, il vaut mieux être présentateur de TV: Pujadas ? 18.000 euros /mois, sans compter des avantages annexes. Que ne ferait-on pas pour qu’il glisse un gentil mot sur vous dans son journal ?
Et puis, puisque toute la presse est désormais liée au pouvoir, il ne fait pas bon ne pas dire ce que le Pouvoir dit. On se souvient de PPDA licencié en quelques heures parce qu’il avait dit quelque chose que Sarkozy avait jugé insultant à son égard. Oui, PPDA l’avait traité de “”petit garçon””. Bon, le problème, c’est que c’était la vérité. Aujourd’hui on traite Macron à tour de bras de gamin prétentieux, dans les rues, ou sur Dreuz. Mais Dreuz ne dépend pas du Pouvoir. Ouf !
Bref, le journalisme a été corrompu par le fric, comme dab ! De mon temps, on raclait les fonds de tiroirs pour la plupart d’entre nous et nous savions que ce n’était pas notre métier qui nous rendrait riche.
Mais on l’aimait, ce métier !
Merci, Madame, d’avoir pris le temps de nous exposer en détail votre parcours très instructif.
Merci, bien sûr, également à Mr Grumberg,… pour cet article et cette autre perle à ne rater sous aucun prétexte:
https://lesobservateurs.ch/2019/03/03/les-medias-ne-peuvent-pas-sempecher-de-mentir-voici-ce-quils-nont-pas-dit-de-la-rencontre-trump-kim/
La perle en question, c’est un article de Dreuz.info !
Michèle,
Vous parlez le Léon… Aîe !
Souvent je le citais:
– pour son professionnalisme;
– Son excellente élocution
– Son éclectisme
– Sa grande culture
– Son carnet d’adresses
– Son enthousiasme communicatif…
Les nuls d’aujourd’hui ne lui arrivent pas à la cheville avec leurs approximations, les doubles sujets (Castaner, lui, il…) leurs “Heeeuuu…”, “et bien”, voire “heuuu, et bien, heuuu…” et autres bafouillages….
***
Mais je le citais souvent également pour des faits moins glorieux;
Si vous l’avez connu, vous savez également de quoi je parle et vous savez que de nos jours, il serait en tôle pour harcèlement (au minimum…)
Du coup, j’hésite à citer le gros Léon.
@ MAV : merci pour votre témoignage.
Pour ce qui est de l’organigramme des médias français, peut-être connaissez-vous ce récapitulatif : https://www.acrimed.org/IMG/png/ppav13-1.png
À peine 40 personnes et/ou organismes contrôlent les médias français – souvent très liés les uns aux autres, d’ailleurs, et à l’État.
Pour ce qui est de l’AFP, je trouve que cet organisme est le parfait symbole du mélange (bien français) des genres ; en particulier, de l’omniprésence de l’État dans les affaires de sociétés privées, et plus précisément de ce qu’il faut bien appeler le capitalisme d’accointances à la française.
Quand on regarde de près (autant que c’est possible) comment fonctionne l’AFP, on voit qu’elle n’a pas de capital, ce qui est quand même curieux, et rare, dans le monde des médias.
Cependant on voit bien que l’État est omniprésent dans la gestion de l’AFP : ce sont les politiques qui ont fixé son statut, en particulier la composition de son conseil d’administration, où là encore on voit que les représentants de l’État, directs ou indirects, sont omniprésents.
Idem pour le financement de l’AFP, assuré en grande partie par l’État (via notamment la part des abonnements d’organismes publics).
Sans oublier ses présidents, dont les cinq derniers (soit depuis 1999) sont… énarques, ça ne s’invente pas (Fries, Louette, Giuily, Eveno, Hoog).
AFP, aides publiques à la quasi-totalité des médias, concentration très poussée du secteur… il y a clairement une convergence des intérêts, et de l’action de l’État et des propriétaires privés vers une ligne éditoriale de plus en plus consensuelle, homogène ; vers une pravda-isation en douceur du paysage médiatique français. La nomenklatura aux manettes sait ce qu’elle fait : détenir les clefs de l’information, c’est pouvoir faire de “l’influence” en toute liberté, c’est pouvoir “façonner l’opinion” sans entraves. L’argent y joue un rôle, mais surtout comme moyen de faire passer des idées – au hasard, les frontières sont un concept ringard, la famille traditionnelle et plus largement les valeurs judéo-chrétiennes sont dépassées, l’islam est une religion de paix et un enrichissement pour la France, de même que l’immigration massive et le métissage, le réchauffement climatique d’origine humaine est une réalité terrible contre laquelle il faut se mobiliser massivement, Israël opprime les gentils Palestiniens, Donald Trump est un fou dangereux, etc etc etc.
Il n’y a pas si longtemps, il y avait un ministère de l’Information (jusqu’en 74 – gouvernement de droite, et on ose parler de droite “libérale”). Avant d’être rebaptisé, son nom était moins hypocrite : ministère de la Propagande.
Le ministère à disparu, le contrôle existe toujours, mais sous différentes formes : les syndicats communistes d’une part, le chantage permanent des sociétés de livraison, le financement par la publicité des grands corps d’Etat et société proches du pouvoir.
Vous avez raison Jean-Patrick de souligner le rôle des syndicats de type communiste ; il est vrai que toutes les entreprises, en France, sont directement ou indirectement (au travers du code du travail) soumises à la pression des syndicats gauchistes.
Waouh ! je ne savais pas que le 5 derniers patrons étaient sortis de l’ENA. Décidément, ils savent s’emparer de tous les postes de pouvoir, y compris pour orienter la presse ou la museler.
C’est donc bien une bande de crapules ? Du crime en bande organisée ?
À envoyer tous à la campagne cultiver des tomates…
C’est pourtant simple:
Si par malheur vous tombez sur une chaîne distillant les instructions venant des infâmes: Ecoutez, et comprenez exactement l’inverse de ce qu’ils déblatèrent.
Eh bien cher Ami, c’est ce j’ai toujours fait, et ce, depuis mon service militaire. Actuellement, j’ai toujours voté LE PEN père et fille. a ce propos, j’aime à répéter, à la moindre occasion, sur l’élection de malheur présidentiel: les Français ont été tellement terrorisés (grâce au bourrage de crâne médiatique) par les cris d’un petit caniche qu’ils ont été se précipiter dans l’antre d’un pitbull fou et enragé.
Les propriétaires des médias ne se mêlent pas de la ligne éditoriale. J’en ai parlé avec Xavier Niel, concernant sa participation dans Le Monde, il me l’a confirmé sans hésitation. Les journalistes sont dans la ligne éditoriale de leur rédaction, mais s’ils le sont c’est parce qu’ils ont été sélectionnés selon ce critère, et parce que globalement, les journalistes sont essentiellement à gauche. Donc ils sont totalement responsables de leur débile débâcle.
Un patron qui ne s’intéresse pas à ce que produisent ses salariés ? Curieux concept, ma foi.
Une autre façon de voir est peut-être que les hommes d’affaires qui investissent dans des médias comme le Monde le font justement parce qu’ils en connaissent la ligne éditoriale à gauche toute – et qu’ils l’approuvent donc souhaitent la financer.
Je ne dirai jamais que les journalistes ne sont pas responsables de ce qu’ils écrivent ; ils sont à mes yeux, au minimum, aussi responsables que les prostitué(e)s qui renoncent à tout honneur pour de l’argent. Au maximum, ils sont les complices d’une vaste entreprise de propagande et de manipulation de l’opinion – complices de leur chef de rédaction mais aussi de ceux qui financent ces opérations.
En effet JPG a raison, la déontologie de la presse (je ne connais que la presse écrite où j’écris depuis 40 ans) veut que c’est le directeur de la Rédaction qui donne la ligne éditoriale, pas le directeur général du journal et encore moins le PDG du groupe. Ces deux derniers ne sont pas censés intervenir dans le détail des publications. Si le directeur général le fait, il est considéré par la Rédaction comme un dictateur qui sort de son rôle (cela arrive). Mais il est bien évident qu’on ne va pas recruter des journalistes gauchistes, immigrationistes et islamophiles dans Valeurs Actuelles, des journalistes athées ou cathos de gauche dans Famille Chrétienne, ou cathos de droite et islamophobes dans La Vie, des pro-Manif pour Tous dans L’Express ou l’Obs etc… Et évident aussi, que le directeur de la Rédaction est recruté par le directeur général selon l’orientation du journal.
Alors c’est vrai que la plupart des journalistes sont de gauche, je pense que la faute en revient en partie aux écoles de journalisme qui sont orientées ainsi, et je n’ai pas étudié pourquoi. Quand j’ai débuté il y a 40 ans, aucun journaliste de mon journal ne sortait d’une école de journalisme : je suis diplômée en Histoire de l’art mais je traitais aussi d’autres sujets, les autres étaient diplômés en lettres, histoire ou philosophie. On considérait qu’avec une culture solide, une bonne plume et un bon sens de l’observation, on était capable d’être un bon rédacteur/reporter/critique. Et nous cherchions à être le plus près de la vérité possible, et ne publiions jamais une interview sans la faire relire à l’interviewé, ce qui était souvent l’occasion d’un gros surcroit de travail de dernière minute, quand l’interviewé est tatillon ce qui arrive souvent.
Cela dit pour en revenir au premier sujet, pourquoi y a-t’il tant de journaux de gauche en France (L’Express, Le Parisien, L’Obs, Le Monde, Marianne, La Vie, La Croix, etc), et de fausse droite gauchisante (Le Figaro, Le Point, etc) ? C’est cela sur lequel il faudrait réfléchir.
@ Marie-Gabrielle Leblanc : votre témoignage est intéressant ; et effectivement, on entend de temps à autre (je parle là des non-initiés) que les journalistes sont jaloux de leur indépendance, et n’aiment pas qu’on leur dise comment ils doivent travailler.
Cependant :
1- Je pense que vous serez d’accord avec moi pour constater que la grande majorité des médias, aujourd’hui, ont une orientation semblable sur la plupart voire la totalité des grands sujets de société :
– l’islam (religion de paix)
– l’immigration (chance pour la France)
– le “réchauffement climatique d’origine humaine”
– Israël, constamment diabolisé
– Trump et de façon générale les Républicains américains, traités à peu près comme Israël, y compris dans des médias se disant “de droite” (le Figaro, par exemple)
– l’avortement, considéré comme sujet intouchable
– la peine de mort : idem
– l’homosexualité (si ‘tendance’ – et tous ses dérivés : théorie du genre, etc.)
– je pourrais continuer…
Les journaux comme VA ou Famille Chrétienne sont hyper-minoritaires en termes de lectorat en France, autant que Christine Boutin dans le monde de la politique quand elle y intervenait encore.
2- Pourquoi des hommes d’affaires, investisseurs… décident-il d’entrer dans le capital de ces médias, donc d’invertir, sachant pertinemment qu’ils tiennent un discours en tous points conforme à l’idéologie “progressiste” et hostile aux valeurs traditionnelles, judéo-chrétiennes pour faire court – les contradicteurs étant vilipendés, calomniés, traités de tous les noms : fachos, réacs, et j’en passe ? Pourquoi ? Sinon parce qu’au fond ils sont d’accord avec cette ligne éditoriale “progressiste” ? On ne me fera pas croire que les investisseurs (y compris bien sûr Xavier Niel) ne sont pas au courant et/ou qu’ils désapprouvent mais financent quand même.
Qu’on le veuille ou non, l’argent intervient dans l’affaire ; car sans argent, pas de salaire pour les journalistes – ou dois-les qualifier de faussaires – qui nous désinforment à longueur de journée.
Je veux bien que les syndicats à-gauche-toute aient un réel pouvoir de nuisance, dans le monde des médias comme ailleurs, mais pas au point de produire l’exact contraire de ce que souhaiterait (supposément) le PDG.
D’accord avec vous globalement. Mais pas d’accord pour Valeurs Actuelles. Je ne connais pas les chiffres de diffusion de VA par par rapport à l’Obs, au Point et à L’Express, mais en tout cas VA est depuis plusieurs années le seul magazine en France qui progresse sans cesse en nombre d’abonnés, alors que tous les autres journaux déclinent et en perdent.
Oui, je sais que VA est un des rares médias à progresser en nombre d’exemplaires vendus.
Cela dit, il part de très bas !
Juste 2 chiffres, pour vous répondre plus précisément :
– L’Obs + Le Point + l’Express, ce sont en 2017 près de 940.000 exemplaires vendus, au total, par mois
– VA : en 2017 : 122.000 exemplaires mensuels
(chiffres facilement vérifiables, cf Wikipédia)
Par ailleurs, je n’aurais pas dû parler de lectorat, mais plus largement d’auditoire.
Car à l’Express, le Point, l’Obs, il faut ajouter tous les autres titres de la presse écrite, y compris quotidienne, et cela en fait, des exemplaires. Sans oublier les grands médias TV et radio, tous peu ou prou dans la même mouvance “progressiste”.
Du coup, VA (auquel on pourrait peut-être accuser Causeur) reste très minoritaire, s’agissant de porter une parole alternative.
C’est probablement sur le net que la Résistance au politiquement correct progressiste touche le plus de gens, avec des médias comme Dreuz. Et quels moyens financiers ? Peanuts, en comparaison des sommes brassées par les médias mainstream.
*ajouter Causeur* pas accuser
“La démocratie n’avance pas avec des gens qui sont d’accord, mais avec le choc des idées. “- je vous cite, Jean-Patrick Grumberg.
Donc dans le cadre démocratique je me permet de constater que le chiffre 52 % pour la cote de popularité “en ce moment” de Trump est parfaitement introuvable – même chez Rasmussen.
Fake news donc ?
A quoi bon ? Les pro-Trump inconditionnels s’en fichent comme d’une guigne, de chiffres pareils , et les gens comme moi, observateurs (pas objectifs, ça n’existe pas, mais le moins partiaux possible) des faits, ne comprennent pas. Un embellissement artificiel rend-il la chose plus “vraie” (dans le sens souhaité) ?
“Friday, March 1, 2019
The Rasmussen Reports daily Presidential Tracking Poll for Friday shows that 49% of Likely U.S. Voters approve of President Trump’s job performance. Forty-nine percent (49%) disapprove.”
http://www.rasmussenreports.com/public_content/politics/trump_administration/prez_track_mar01
49% effectivement, la différence est de taille…
Le chiffre de 52% est dans un tweet du président Trump. Comme je n’ai pas vu les hurlements de CNN disant qu’il ment, je n’ai pas creusé pour vérifier. Je doute, cependant, que Trump s’amuse à fabriquer des bâtons pour se faire battre. Je vais faire une recherche. C’est le chiffre Rasmussen du 19 février. https://www.dailymail.co.uk/news/article-6691891/Trumps-approval-rating-likely-voters-soars-best-23-MONTHS-52-cent.html
Tous des médias cassoulet.Que des fayots.
Il est scandaleux en effet que l’on en vienne au « Meilleur des Mondes » qu’Adous Huxley a écrit en 1931 le roman imaginant une société qui se développe en conditionnant et contrôlant les individus. Un nouvel ouvrage vingt-sept ans plus tard:
« Retour au meilleur des monde » … En voici un extrait empruntés à la traduction de Jules Castier: « En ce qui concerne la propagande, les premiers partisans d’une presse libre ne l’envisageaient que sous deux aspects : vraie ou fausse. Ils ne prévoyaient pas… le développement d’une immense industrie de l’information, ne s’occupant dans l’ensemble ni du vrai, ni du faux… Dans leur propagande, les dictateurs contemporains s’en remettent le plus souvent à la répétition de slogans qu’ils veulent faire accepter pour vrais, suppression de faits qu’ils veulent laisser ignorer… ». (Adous Huxley en 1958).
Nous concevons les actualités être au plus proche de la réalité. Certains journaux exposent leurs exigences du journalisme pour valoriser leur travail, ils revendiquent le sérieux, l’investigation, le recoupement… le professionnalisme. Leur devoir est de reconnaître quand il y a eu erreur ou intoxications. On nomme ces journaux « mainstream » (qui reste conforme aux standards) car ils respectent leur propre charte déontologique. Evidemment, c’est important; les Médias véhiculent une culture, une vision du monde, ils forment nos esprits, valorisent le bien, dénoncent le mal, imposent leurs interprétations en couvrant les événements importants et significatifs.
Par contre, l’utilisation des supports médiatiques en vue de faire propagande, en ne s’occupant nullement du vrai ni du faux, mais en répétant des slogans et en ignorant les faits gênants dans le but d’asséner une opinion… est attribué aux médias mal odorants et dangereux, voir populiste, reflets d’un régime autoritaire!
Mais voilà, Le Créateur lui-même relève des imperfections jusque chez les anges. Les lecteurs de journaux « mainstream » peuvent y déplorer non seulement des approximations, ou même des erreurs bien sûr, mais aussi de bien mal odorants fake-news! Dans les colonnes de journaux tels « Le Monde », qui pourtant est vu comme un ange de lumière jusqu’à mettre en place un « décodeur » pour distinguer les bons médias des médiocres, « Le Monde” donc, le 7 juin 2018 explique le terrorisme incendiaire palestinien par « l’occupation israélienne » de Gaza. Mais Israël a abandonné aux Palestiniens Gaza en 2005! Petite faute d’inattention? Un petit doute m’envahit car à l’occasion, tel le 24 novembre 2017 par exemple, Richard Falk est mis à l’honneur. Pourtant personnage à la marge que le Canada et les États-Unis ont demandé à plusieurs reprises qu’il soit démis de ses fonctions à l’ONU, soulignant le « caractère antisémite » de ses propos. Richard Falk est co-auteur du rapport de l’ESCWA, une agence de l’ONU qui accusait Israël d’avoir instauré un « régime d’apartheid » (Voir un Etat d’apartheid ?).
Le caractère outrancier et mensonger de ce rapport avait provoqué un scandale jusqu’au au sein de l’ONU (qui est loin d’être favorable à Israël). Le secrétaire général de l’organisation internationale, Antonio Guterres, avait exigé et obtenu le retrait du rapport du site web de l’ESCWA. Sa secrétaire exécutive, Rima Khalaf, avait démissionné en signe de protestation, soutenue par les 18 gouvernements arabes qui composent l’ESCWA. Est-ce pour cette raison que « Le Monde » s’est empressé d’offrir une tribune sous forme d’interview à Richard Falk dans laquelle l’ancien rapporteur de l’ONU plaide en faveur du rapport contesté et appelle au boycott d’Israël? Ceci n’est qu’un exemple parmi bien d’autres.
Trois syndicats de journalistes français protestent en juin 2018 contre la venue de Benjamin Netanyahu à Paris. Ces journalistes prétextent que des journalistes palestiniens auraient été visés. Mais surtout ils se font le porte parole de la désinformation selon laquelle « La répression à Gaza contre la population civile (…) a fait plus de 100 morts et quelques 8.000 blessés par des tirs à balles réelles« .
Le journaliste qui a été blessé est également membre du Hamas et il était engagé militairement à la barrière pour la cisailler… Ils jugent « inconcevable » la visite de Benjamin Netanyahu, et appellent le président français à lui « demander des comptes« . « Il faut que cesse la répression contre les civils désarmés, contre nos confrères palestiniens et que tous les journalistes arrêtés et incarcérés soient libérés« , plaident ces organisations…
La Fédération internationale des journalistes se réunit à… Ramallah! « Avec la bénédiction de l’Autorité palestinienne, la FIJ a tenu congrès trois jours durant et participé à une manifestation anti-israélienne.
C’est un événement très discret dont presque aucun média français n’a rendu compte. Et pourtant, il éclaire d’un jour particulièrement intéressant les connexions susceptibles de se nouer entre les médias occidentaux et les officiels palestiniens.
Cet événement, c’est la réunion de la Fédération internationale des journalistes (FIJ) qui s’est tenue du 16 au 18 novembre 2018 à Ramallah, capitale de l’Autorité palestinienne.
Première organisation mondiale de la profession, la FIJ dit représenter en 2018 plus de 600.000 journalistes dans 146 pays du monde »… »
Aujourd’hui le Journal Métro de Montréal (quotidien gratuit appartenant à TC Media) reprend une dépêche de l’AFP dans laquelle on annonce l’élection à la tête du Parti Démocrate Italien d’un ancien communiste, Nicola Zingaretti. Cela n’empêche pas l’AFP (et Wikipedia) de qualifier le PDI de parti de «centre-gauche» tandis que le Parti Lega de Salvini est qualifié d’extrême-droite par AFP et décrit sur Wikipedia: comme étant «souvent décrit comme populiste, d’extrême droite, eurosceptique, voire xénophobe.»)
Belle objectivité!
Cher M. Jean-Patrick Grumberg / Dreuz.info,
Merci pour vos articles, textes, réflexions, prises de position, etc.
D’accord / pas d’accord, je serais tenté de reprendre le slogan de notre chère Elisabeth Lévy de la revue Causeur: “Et surtout si vous n’êtes pas d’accord”.
A mon niveau personnel, je suis d’accord avec Dreuz.info à 70 % – 80 % environ. Rassurez-vous, en ce qui concerne les 20 % ou 30 % restants, ce sont plutôt des nuances personnelles que des désaccords sur le fond.
“Les médias mainstream ont pratiquement perdu la bataille de l’information”, nous dit M. Claude Reichman dernièrement sur son site.
Effectivement, on trouve de tout sur Internet, le meilleur comme le pire. N’oublions pas que Internet est encore un phénomène récent, depuis le tournant des années 1990 / 2000 (comparé au livre millénaire). A mon avis, le système Internet va se stabiliser peu à peu et les petits malins finiront par se faire éjecter vite fait – c’est mon côté optimiste.
Toutefois, j’aime bien aussi lire des bons livres: littérature, revues spécialisées sur l’histoire/géo, le dernier livre de Eric Zemmour, les livres de Ivan Rioufol, les anciens livres du regretté Alain Griotteray, etc. – Là, c’est mon côté “Gaulois réfractaire”.
Etant germaniste de formation, on constate exactement la même chose en Allemagne. La revue Stern a perdu plus de 25 % de ses lecteurs depuis 1989/1990, c’est-à-dire après la réunification. Ils sont tombés dans le politiquement correct d’une manière agressive (et qui frise parfois le ridicule). Et dire que Stern ou le Spiegel furent des revues prestigieuses dans les années 1960 – 1990. Quel gâchis.
Lire l’excellent livre “Deutschland schafft sich ab” du Dr. Thilo Sarrazin.
Il existe aussi des médias dits alternatifs en Allemagne. Exemple: die Junge Freiheit (Berlin), die Deutsche Sprachwelt, RT Deutsch avec Maria Janssen et Jasmine Kosubek [der fehlende Part], etc. – Les journaux / magazines en Allemagne sont pratiquement tous dans le rouge à l’heure actuelle, sauf l’excellent journal hebdomadaire Die Zeit publié à Hambourg qui se maintient à + 1,3 % en 2018, car ils donnent (encore) la parole à diverses opinions. On voit que l’ancien Chancelier Helmut Schmidt a laissé des traces.
Petite parenthèse: L’âge d’or du SPD des années 1960 – 1970 – 1980, avec des figures aussi prestigieuses comme Willy Brandt, Helmut Schmidt, Johannes Rau et même Oskar Lafontaine (aujourd’hui die Linke), est définitivement terminé.
Le SPD actuel ne vaut plus rien. Et Martin Schulz (Papa Schulz) est loin de faire l’unanimité en Allemagne.
Mes chefs d’Etat préférés, à l’heure actuelle:
– Donald J. Trump,
– Benyamin Netanyahou (Bibi),
– Владимир Владимирович Путин (Vladimir Vladimirovitsch Poutine),
– Viktor Mihály Orbán,
– Matteo Salvini, Italia.
Je garde un oeil attentif envers les pays du Visegrád [Visegrádská čtyřka, en tchèque], à savoir:
– la Pologne / Rzeczpospolita Polska
– la République tchèque / Česká republika (ex- ČSSR)
– la Slovaquie / Slovenská republika
– la Hongrie / Magyar Köztársaság
– auquel il faudra bientôt rajouter l’Autriche / die Republik Österreich.
et l’Italie / la Repubblica italiana.
Ce sont mes origines germaniques / russes qui ressortent (keep smiling).
Bien à vous tous + Amitiés à votre collègue Guy Millière.
Merci de votre attention, salutations distinguées,
Спасибо за ваше внимание, искренне Ваш,
Danke für Ihre Aufmerksamkeit, mit freundlichen Grüßen
François Rosicki (Франсуа Росицкий), 55 ans
94160 Saint-Mandé
France
Excellent article sur la psychologie en politique : c’est cela à la base de la pr et de la manipulation des esprits faibles. En effet même dénués de toute crédibilité les merdias s’arrangent encore à pourrir les esprits de ceux qui ne comprennent jamais rien à rien! Faut le faire! Cette fausse idée de la démocratie par exemple qu’ont les Israéliens et bien d’autres que …donner leur territoire aux arabes c’est…démocratique!!! Non seulement les arabes ont bien plus de territoires que les Israéliens mais tout le monde a compris actuellement que les arabes n’en ont rien à cirer des provinces juives tout ce qu’ils veulent c’est mettre un pied dans la porte pour y envoyer un brûlot. Je suis persuadé que même les plus stupides gauchistes ont dû comprendre cela mais…non il restent persuadé que se faire brûler est…démocratique!!! Les merdias leur ont si bien lavé le cerveau qu’il n’en reste que du savon!