
Nos articles sur l’utilisation des armes chimiques par Assad, nos critiques contre la ligne politique du Rassemblement national, et sur la Russie, voilà le tiercé gagnant de ce qui irrite le plus les lecteurs de Dreuz. Et pourtant, les faits doivent être rapportés.
La Russie est un pays relativement pauvre, dont le PIB égale seulement celui du Texas. C’est un pays mal connu et mal compris : tantôt adulé de manière irrationnelle, tantôt considéré comme le pire ennemi du monde libre. Je reproduis ci-dessous des extraits des déclarations du général Keane lors de l’émission Life Liberty & Levin du conservateur et avocat constitutionnel Mark Levin, ancien membre de l’Administration Reagan, écrivain, commentateur politique, et ancien chef de cabinet du ministre de la Justice Edwin Meese.
Jack Keane est un général quatre étoiles à la retraite, ancien vice-chef d’état-major de l’armée américaine, analyste en Défense, et président du conseil de l’Institute for the Study of War.

Mark Levin : La Russie n’a pas un nombre énorme d’habitants, relativement à sa surface, et pourtant, sous Poutine, ils sont vraiment concentrés sur la R & D et leur appareil militaire.
Général Keane : C’est important de parler de certains des défis que la Russie a, parce qu’ils sont importants.
• Ils ont la plus grande masse terrestre de tous les pays du monde, sur laquelle vivent 150 millions de personnes, ce qui est moins de la moitié de la population de la population des États-Unis.
• Par rapport aux autres États industrialisés, ils sont numéro un pour le SIDA, numéro un pour les maladies respiratoires et cardiovasculaires. Ils ont un problème extrêmement important d’alcoolisme, et ils ont cela depuis des générations.
Leur économie est dans le pétrin, le rouble est en eaux troubles, l’inflation monte en flèche dans une spirale hors de contrôle. Et c’est un pays qui offre une marchandise unique : du pétrole et du gaz, et dont le prix varie en fonction de ce que sont les prix sur le marché.
Un pays traumatisé par la chute de l’URSS
Cela dit, je pense qu’en raison du fait que Poutine et les dirigeants qui l’entouraient ont souffert de l’effondrement de l’Union soviétique, et parce qu’ils étaient beaucoup plus jeunes, ils sont frustrés par leurs élites et leurs anciens dirigeants, qu’ils tiennent pour responsables.
En raison de cela, ils sont très motivés, galvanisés même, à l’idée de ramener la Russie sur le devant de la scène mondiale, et de redonner à la Nation un sentiment de grandeur.
Et si jamais l’un d’entre vous passe du temps en Russie à côtoyer le peuple russe, vous verrez que c’est un peuple qui a du cœur, qui est bon, et qu’ils sont coriaces.
22 millions de Russes ont été tués durant la Seconde Guerre mondiale. Ils se sont tenus debout face au nazisme, face à l’agression. Les Allemands sont arrivés à 45 km de Moscou, et ils ont fait rebrousser chemin à cette armée qu’ils ont vaincue. Ce qu’ils ont fait est tout à fait remarquable. C’est un peuple fier. Et Poutin le sait. Il sait que cette population est prête à souffrir.
La crainte d’une invasion occidentale
C’est ce que Poutine utilise dans sa stratégie, c’est ce qu’il fait. Il crée le mythe que les États-Unis sont vraiment l’agresseur dans le monde, que nous avons causé tous les problèmes au Moyen-Orient en Afghanistan, que nous sommes le problème stratégique, et ce qu’il faut faire, c’est contenir les États-Unis et l’OTAN, qui est aussi une menace.
Poutine pense “l’Allemagne était une menace pour nous dans le passé ; ce sera peut-être une menace pour nous à l’avenir”.
Alors que nous ne pensons pas que l’Allemagne va attaquer à tout moment, les Russes ont cette idée inscrite dans leur psyché.
Un Français était là au 19e siècle et a mis le feu à Moscou. Un Allemand était là au 20e siècle et était très près de faire à peu près la même chose.
Une fixation sur l’OTAN
Poutine fait une fixation sur l’OTAN. Il veut une zone tampon sur la frontière occidentale comme celle qu’ils avaient après la Seconde Guerre mondiale jusqu’en 1991 en Europe de l’Est.
Et tout cela fait largement partie de l’OTAN aujourd’hui.
Donc Poutine veut affaiblir l’Alliance transatlantique qui nous a si bien servis pendant toutes ces années.
Les défis d’un OTAN insuffisant
Il y a de vrais défis à relever avec l’OTAN.
Un grand nombre de gouvernements [européens] sont des social-démocraties, et certains des chefs d’Etat sont des incapables. Il ne se lèveront pas, même pour protègent leur propre peuple, et encore moins l’Alliance.
Certains n’ont aucune colonne vertébrale, contrairement à leurs prédécesseurs.
Comme l’a fait remarquer Henry Kissinger, dès l’instant où les Européens ont adopté les lignes de la démocratie sociale, ils auront du mal non seulement à se battre pour quelqu’un d’autre, mais même pour eux-mêmes, et je pense que cette déclaration prophétique qu’il a faite il y a 30 ans s’est avérée assez vraie.
Ceci étant dit, l’alliance de l’OTAN est très importante pour nous.
Ramollir la volonté américaine
La Russie voudra affaiblir l’OTAN un jour ou l’autre, elle voudra la briser, et ils veulent ramollir la volonté des Etats-Unis d’être le leader global dans le monde aujourd’hui.
Levin : Et pourtant, ils sont là, en Syrie, je pense qu’ils sont là au pôle Nord, et ils développent des armes hypersoniques pour systèmes d’armes comme les chinois.
Un soutien à Israël complexe

Le Premier ministre Benjamin Netanyahou était à Moscou la semaine dernière. Le ministre Zeev Elkin, proche de Netanyahou a laissé filtrer quelques indiscrétions de leur rencontre. Notre confrère CoolamNews a traduit la réponse de Poutine rapportée par Elkin.
Netanyahou : Nous n’oublierons jamais le rôle joué par la Russie et l’Armée rouge dans la défaite des nazis.
Il y a quelques jours, nous avons décidé d’achever le financement du Musée du Combattant Juif de la Seconde Guerre mondiale. Environ 500 000 Juifs combattirent dans l’Armée rouge. Bientôt, nous dédierons un mémorial à Jérusalem à ceux qui sont tombés pendant le siège de Leningrad.
Monsieur le Président, j’aimerais vous inviter à être notre invité d’honneur ; personne n’est plus méritant.
Monsieur le Président, j’ai compté onze réunions entre nous depuis septembre 2015. Le lien direct entre nous est un élément essentiel pour prévenir les risques et les frictions entre nos armées, et il contribue à la sécurité et à la stabilité dans la région.
La plus grande menace pour la stabilité et la sécurité dans la région vient de l’Iran et de ses mandataires [NDLR le Hezbollah]. Nous sommes déterminés à poursuivre notre action vigoureuse contre les tentatives de l’Iran, qui appelle à notre destruction, y compris ses tentatives d’enracinement militaire en Syrie.
Je voudrais en discuter avec vous, mais j’aimerais aussi parler de nos excellentes relations bilatérales, qui sont dues au fait que plus d’un million de russophones ont [immigré] et contribué à Israël, qu’ils font partie de notre pays, et qu’ils ont intégré [une partie de] la culture russe à la culture israélienne.
De plus, le tourisme [russe] est à son apogée :
• 400 000 Russes visitent Israël chaque année,
• et environ 200 000 Israéliens visitent Moscou chaque année. J’ai l’honneur de contribuer un peu à cette statistique [rires].
Et, en effet, dans tous ces domaines, je voudrais vous remercier pour votre amitié et pour la manière directe, ouverte et authentique dont nous entretenons les liens entre la Russie et Israël. Merci Monsieur le Président.”
La réponse de Poutine
Nous allons nous asseoir et parler de sécurité. Vous m’avez toujours entendu dire que la sécurité d’Israël est incontournable à mes yeux. Je le répète aujourd’hui devant vous.
Pour nous, le souvenir des victimes de la Seconde Guerre mondiale est extrêmement important.
Il est très important que nous continuions à coopérer. C’est dans notre ADN.
Dois-je vous rappeler que la Russie a soutenu dès le début la création d’Israël. Nous restons fidèles aujourd’hui à ce que nous étions jadis.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Rien de tout ceci n’est nouveau. Poutine est une menace pour l’Occident car la capacité de nuisance de la Russie reste très forte, à défaut de pouvoir dominer. Les Russes sont très ancrés dans cette mentalité du 19ème siècle: le plus grand pays du monde se doit de diriger le monde. Il n’en est rien, heureusement. La Russie est et reste un pays arriéré au nationalisme exacerbé dû à un complexe d’infériorité inégalé face à l’Occident. Ce sentiment est teinté d’une fierté de soi irréaliste (les Russes ont tout inventé, sauf qu’il n’y a rien ou presque derrière cette affirmation), de paranoïa et d’impuissance honteuse. Et effectivement, tout le monde se fout royalement de ce que pensent les Russes, ce qui a le don de les irriter fortement. Le citoyen russe qui visite Paris n’inspire d’ailleurs aucun respect particulier (par contre, on respecte son pognon) et surtout plus aucune crainte, ce qui les met en colère (une fois alcoolisés) et explique en grand partie leur comportement sans-gêne, sinon agressif. Il y a beaucoup de choses à dire. Il est clair que rien ne retient les Russes au pays, malgré les soi-disant opportunités d’affaires et les ressources naturelles dont le pays regorge. La Russie est toujours coincée entre la Chine et l’Occident et il y fait encore très froid l’hiver, ce qui l’immobilise au moins 6 mois par an. Pas facile dans ces conditions.
“il n’y a rien ou presque derriere cette affirmation” : euh… Mendeleev,Pavlov,Tsiolkovsky,etc. De la bouche même d’un Directeur de Projet au CERN,les chercheurs qui l’impressionnent le plus sont les Russes.Attention à ne pas se tromper,ils sont bons les bougres,même si ils sont mauvais industriels jusqu’à présent… sauf dans l’armement.
D’ailleurs,auraient-ils tant de contempteurs s’ils étaient insignifiants ?
Mendeleev a tout appris en Occident, notamment en Allemagne et en France. Ils ont tous été inspirés par l’Occident et ce avec plusieurs décennies ou siècles de retard. Dans votre liste, vous avez oublié “les plus glands”: Trofim Lyssenko (le génie de la génétique) et Raspoutine (l’inventeur du thé à la fente), mais OK “science is never settled”…A côté de cela, prenez les scientifiques français, anglais, allemands, belges, écossais, néerlandais, polonais, suédois ou italiens. Y a pas photo, si ? Pour ce qui est de la science nucléaire, merci l’Allemagne nazie. Alors pour ce qui du Directeur du CNRS, une petite mise à jour s’impose.
Les russes investissent énormément dans les sciences fondamentales et la recherche militaire, siphonnant les moyens pour les autres domaines. C’est en fait le problème de la logique socialisante, héritage de la logique soviétique : on va surinvestir dans un domaine qui sert de vitrine au régime alors que tout le reste est mort. Tout comme Moscou a un métro qui fait baver des quartiers remarquables, mais l’immobilier russe est en état de décrépitude avancée.
Il suffit de voir comment sont considérés les touristes russes dans les lieux touristiques.
Dans les pays arabes, ils vendent leurs babioles à divers prix selon le fait que vous êtes Français, Allemand ou Russe. Les Français ont des prix plus avantageux que les autres. Les Russes ne comptent pas trop le pognon qu’ils dépensent.
Par contre, ils sont pas trop aimés, parce qu’ils foutent le bordel, boivent comme des empaffés.
Il ne faut pas trop compter sur leur parole, on a qu’a voir comment ils ont signé
un traité avec les allemands sur le dos de la pauvre Pologne. Il ne faut JAMAIS tourner le dos face aux russes ce serait FATAL. La seule raison que j’ai d’espérer est de voir leurs soldats enivrés et vendant leurs armes pour de l’alcool.
Diplomatie oblige, on passera sous silence le soutien de l’URSS à l’Égypte de Nasser/Sadate et aux pays arabes dans leurs guerres contre Israël, de l’avènement de l’OLP… c’est de l’histoire ancienne, disparue des livres d’histoire, bien que plus récente que la IIe Guerre Mondiale. Si cela pouvait sauver la paix dans le monde, ce serait tant mieux!
Mais il y aurait tant à oublier pour que tout aille mieux. Sans oublier ce dont on ne souvient pas.
S’il est vrai que Staline a fermement soutenu la création d’Israël en 1947, il espérait surtout que l’État juif serait l’allié de l’URSS au Moyen-Orient. Mais Moscou et Tel Aviv n’ont pas trouvé de terrain d’entente et l’URSS s’est progressivement montrée hostile. En conséquence, elle s’est transformée en fidèle alliée des “Arabes de Palestine”. La raison majeure de la détérioration des relations bilatérales est à chercher après que Mme Golda Meir, grande sioniste née à Kiev (sa maison est située dans le centre de la vieille ville tout près du restaurant TGI Friday) et première ambassadrice d’Israël en URSS, a soulevé la question de l’émigration des Juifs soviétiques dans son pays, ce qui était évidemment exclu. Si l’URSS a donc effectivement soutenu la création d’Israël, elle a aussi joué un sale jeu avec les Arabes. Ce jeu continue encore aujourd’hui avec des nations musulmanes mortellement hostiles à Israël telles que l’Iran. La capacité de nuisance russe est réelle au Moyen-Orient et ailleurs. Elle prend des formes différentes. Soutien armé là-bas, réchauffement climatique ici. Poutine est un manupilateur. Néanmoins, il est toutefois impossible que la Russie soit pour quelque chose dans l’élection de Donald Trump tout simplement parce que l’élection d’Hillary (jaune) Clinton lui aurait été bien plus profitable.
Vous venez de découvrir le fil à couper le beurre, bravo ! Les Etats-Unis sont le leader du monde libre. Remerciez-les de vous protéger. L’alternative, c’est que le monde soit dominé par la Chine communiste. Vous voulez qu’on parle du communisme ?
il serait temps que les américains se rendent compte que la russie de poutine est dans le même bateau ! des blancs qui plus est nationalistes, de tradition chrétienne etc.
Je crois que tout est résumé dans cet article + les commentaires de P. Boulechitey.
Les Russes ont des bons côtés, c’est évident : leurs écrivains, leur musique, certains de leurs scientifiques… oui, mais. Il y a beaucoup de mais !
S’il y a beaucoup de “mais”, le principal est que l’OTAN n’a plus les mêmes orientations que du temps de l’URSS. Il est exclu que les Russes défilent demain, sans raison, dans une capitale européenne.
Par contre il n’est pas exclu que nous soyons en conflit avec des puissances islamiques. Et dans cette éventualité, l’alliance avec la Turquie est absurde, car les intérêts de la Turquie sont contraires à ceux de l’occident.
Les bombes nucléaires US, stockées en Turquie auraient intérêt à être rapatriées aux USA. La Russie et le monde se porteraient mieux, cette ambiguïté levée. Le dictateur turc est l’un des hommes les plus dangereux du monde.
Bonjour, cher M. Jean-Patrick Grimberg,
Привет, дорогой Йеан-Патрицк Гримберг,
Voici quelques réflexions à titre personnel (qui n’engagent que moi-même à titre individuel, bien entendu).
Fédération de Russie / Российская Федерация:
Personnellement, j’aime bien le Président Владимир Влади мирович Путин (Vladimir Vladimirovitsch Poutine), certes loin d’être parfait, mais il essaye de remonter le niveau de son pays. Contrairement à la France qui est sans cesse dans le reniement et la repentance jusqu’à l’excès, la Russie a réussi à faire la synthèse entre son passé et la période actuelle. Souvenez-vous des années 1990 à Moscou, ce n’était pas gagné d’avance. – Il est le Maître du Kremlin, le Maître de toutes les Russies.
—> Les dissidents étaient autrefois à l’Est, ils vont maintenant passer à l’Ouest.
Lors de mon dernier séjour à Moscou l’année dernière (c’était pour les festivités du 9 mai 2018 sur la Place Rouge), il y avait notamment le Premier Ministre israélien Benjamin Netanyahu comme invité d’honneur – une de mes personnalités préférées. C’était une journée exceptionnelle, avec un temps magnifique.
D’autre part, Vladimir Poutine parle couramment allemand – er spricht fließend deutsch. Lorsqu’il se rend à Berlin à titre privé ou en voyage officiel, il s’exprime directement en allemand avec la chancelière Angela Merkel, et ceci dans un allemand (presque) sans accent. En ce qui concerne Vladimir Poutine, il s’agit d’un allemand de haut niveau (et même d’un très haut niveau).
Il faut dire qu’il a été marié à Ljudmila Alexandrowna Putina de 1983 à 2014, une Russe qui fut elle-même prof‘ d’allemand, née à Калининград / Kaliningrad (c’est-à-dire l’ancienne Königsberg qui fut rattachée en 1945 à l‘URSS). De plus, leurs deux filles (Maria, Ekatarina) ont été formées au Goethe-Institut de Moscou et à la Berliner Humboldt-Universität pour préparer le deutsches Abitur.
Lorsque j’étais étudiant à Berlin de 1983 à 1986, j’avais déjà entendu parler du Camarade Vladimir Poutine dans les journaux est-allemands et russes (Neues Deutschland, Правда). A l’époque, il était encore inconnu du public.
Ich habe früher zwei Jahre in Berlin gelebt, und zwar in den Jahren 1983-1986. Hinzu kommt eine Vielzahl verschiedener Sprachaufenthalte in Lüneburg, Braunschweig und in Berlin (Humboldt-Universität). Damals hatte ich einen Sprachkurs im Goethe-Institut von Berlin-Charlottenburg belegt. Mein Aufenthalt in Berlin hatte mir damals sehr gefallen, so daß ich die schöne Stadt Berlin vor und jetzt nach der Wende 1989 kenne.
J’aime bien regarder les chaînes du réseau RT —> RT français / RT deutsch / RT русский :
– RT France, avec Magali Forestier et la jolie Franco-égyptienne Dora Abdel Razik,
– RT Deutsch, mit Jasmine Kosubek [der fehlende Part] und Maria Janssen,
– RT русский Актуальная картина дня на RT: круглосуточное ежедневное обновление новостей политики, бизнеса, финансов, спорта, науки, культуры.
Selon RT Deutsch, le Président russe prépare l’une de ses deux filles à sa propre succession après 2024, avec une préférence pour la plus jeune Katerina Putina Tikhonova = Катерина Путина Тихонова, née à Dresden en 1986, Allemagne
(ex-DDR), surnommée “Catherinette de Russie”…
Voilà une information intéressante qu’il va falloir suivre de près ces prochaines années. Source / Quelle : RT Deutsch, FSB Moscou, The Independent (London, UK), etc.
Merci de votre attention, salutations distinguées,
Спасибо за ваше внимание, искренне Ваш,
Danke für Ihre Aufmerksamkeit, mit freundlichen Grüßen
François Rosicki (Франсуа Росицкий)
94160 Saint-Mandé (F)
10185 Berlin (D)
125009 Москва (Россия)
Les bombes nucléaires US, stockées en Turquie auraient intérêt à être rapatriées aux USA. La Russie et le monde se porteraient mieux, cette ambiguïté levée. Le dictateur turc est l’un des hommes les plus dangereux du monde.
Je ne suis pas sur qu’il reste de telle bombes en turquie avec tout ce qui s’est passés depuis quelques années, surtout avec son abandon de la laïcité au profit de l’Islam et ce dans tout le pays. HER DOGAN EST UN DICTATEUR si l’on regarde l’histoire de ce pays dans les guerres passées c’est un pays en qui IL NE FAUT PAS AVOIR CONFIANCE , c’est un pays doublement DANGEREUX par le seul fait qu’ils ont eus ACCÈS a tous les SECRETS de L’OTAN LA TURQUIE EST UN CHEVAL DE TROIE AU SEIN DE L’OTAN sans oublier qu’ils essaient constamment d’avoir leurs entrées a tous les niveaux en Europe. Ils ont une armée puissante et ont surement des plans contre l’Europe. ATTENTION sait-on jamais de quoi ils sont capable.