
Avez-vous remarqué que les journalistes, qui soutiennent sans réserve la cause féminine et revendiquent une égalité de traitement totale, infantilisent totalement les femmes djihadistes : “elles ne sont pas responsables”, “elles ont suivi leur compagnon”, “elles ont été abusées”.
Et bien non : elles sont responsables comme les hommes, elles sont coupables comme les hommes, ce sont des terroristes à part entière.
Source : Francetvinfo
Un couple de Libercourt en appelle à Emmanuel Macron pour faire rapatrier en France ses trois petits-enfants, qui se trouvent dans un camp en Syrie, dans des “conditions déplorables“. Leur mère, une ancienne étudiante lilloise, est morte sur zone en fin d’année 2018. Le père est en prison.
Depuis leur ville de Libercourt (Pas-de-Calais), Lydie et Patrice Maninchedda remuent ciel et terre pour faire rapatrier en France, au plus vite, leurs trois petits-fils qui se trouvent depuis des semaines dans un camp du nord-est de la Syrie, sans parents.
Ils sont âgés de 1, 3 et 5 ans. “Le plus jeune d’un an a des traces d’éclats d’obus sur le visage, le second ne marche pas parce qu’il a eu une fracture de la jambe étant bébé, et qui a dû être mal soignée… Et il y a des problèmes de diarrhée“, explique la grand-mère, professeure de logistique.
Les Maninchedda en appellent au président de la République Emmanuel Macron et au ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, qui n’ont toujours pas répondu à leurs courriers.
“Imaginez la souffrance de ces enfants qui sont abandonnés, qui n’ont plus leur maman, poursuit Mme Maninchedda. Ils sont Français, leur mère est Française, pourquoi on ne les ramène pas rapidement avant qu’il ne soit trop tard ? Les conditions sanitaires sont déplorables, on ne peut pas laisser vivre des enfants sous une tente, sans nourriture, sans soins, sans médicaments. Il y a des épidémies, des enfants qui y sont morts, dans ces camps“.

Un bébé pleure dans le camp de Al-Hol, nord-est de la Syrie, le 6 février 2019. / © FADEL SENNA / AFP
La maman décédée, le père aux mains des Kurdes
La mère de ces trois orphelins en bas âge était Julie Maninchedda, qui selon les témoignages de “personnes de confiance” se trouvant sur place, est morte en fin d’année 2018 dans l’est de la Syrie, à l’âge de 26 ans.
Lydie Maninchedda a appris il y a trois semaines que sa fille avait “été retrouvée morte à côté de son nouveau-né décédé et enroulé dans un tapis, et de son nouveau mari, mort également“. “Les circonstances sont à déterminer parce que d’après la personne qui les a découverts, les corps n’étaient pas abîmés“. Aucune autorité officielle n’est en mesure, à ce jour, de certifier à sa famille le décès de la jeune Nordiste.
Le père des enfants et premier mari de Julie, lui, est un Allemand qui était membre de la police de Daech, et qui s’est rendu aux forces kurdes après la chute de Baghouz fin janvier. Il est emprisonné.
Ses deux autres femmes, qui se trouvent désormais elles aussi à Al-Hol avec l’aîné de la fratrie, avaient confié les deux plus jeunes à une Syrienne qui les a maltraités avant leur arrivée au camp. “Faibles, petits et malades, ils étaient un handicap pour leur fuite“, rapporte leur grand-mère.

Camp syrien de Al-Hol, le 6 février 2019. / © FADEL SENNA / AFP
Ils sont désormais “maternés” par une Sud-Africaine et une Allemande. “Ces femmes sont très bienveillantes avec eux, se rassure Lydie Maninchedda, mais ce sont des enfants qui ont souffert, et qui souffrent encore”. Et personne ne sait de quoi l’avenir de ces trois bambins est fait, à court ni moyen-terme.
Une étudiante brillante
Julie Maninchedda, ancienne étudiante en prépa littéraire au réputé lycée Faidherbe à Lille, rencontre le père de ses trois enfants en 2013 en Allemagne à Leibzig, où elle est partie poursuivre une licence. Son compagnon, Martin Lemke, est un jeune Allemand converti à l’Islam.
Julie, elle, avait embrassé la religion musulmane dans le Nord, à la mosquée de Villeneuve d’Ascq. Au bout de quelques mois de relation avec Lemke, l’ancienne passionnée de violon et de tennis “s’est mariée cultuellement, est rapidement tombée enceinte, et était habillée d’un nikab avec des gants pour sortir” se souvient sa mère. Lydie et Patrice Maninchedda étaient “sidérés” par le changement radical de leur fille unique.Leur première visite à Leibzig est tendue, à cause de l’omniprésence et de l’attitude de Martin Lemke, “très susceptible, très impulsif“. “Julie était à côté, effacée. Elle était dans sa bulle, sous emprise, manipulée. Elle n’avait plus de sens critique. Il était tout le temps à côté et Julie n’avait plus le droit de sortir, d’étudier“.

Julie Maninchedda (à gauche), durant sa vie étudiante dans le Nord. / © DR
Le premier enfant de Julie Maninchedda et de Martin Lemke est né en janvier 2014, dix mois avant leur départ en Syrie. “On l’a vu deux fois, ils s’étaient rapprochés d’Hanovre (Allemagne). On les a vus la dernière fois en août 2014“, explique Lydie Maninchedda, qui n’imaginait pas encore que sa fille puisse rejoindre la zone contrôlée par Daech : “A cette époque, on ne parlait pas encore de départs de femmes… C’était surtout les hommes. Ils ont dit vouloir rejoindre un pays musulman, parlant d’Egypte, de Dubaï, mais en fait ils préparaient déjà leur départ en Syrie. J’ai déjà eu un pressentiment à ce moment-là, j’ai pris peur et on a fait un signalement aux autorités“.

Lydie Maninchedda, sa fille Julie et son premier bébé, en 2014 en Allemagne. / © DR
Battue, “revolver sur la tempe”
En novembre 2014, la petite famille quitte l’Allemagne pour rejoindre l’Etat Islamique en Syrie. Dans le même temps, Lydie et Patrice Maninchedda donnent aux services de renseignements toutes les informations dont ils disposent sur leur fille et son mari. “Rapidement, on a appris qu’il était dans une mouvance salafiste radicale. Quand il a rencontré ma fille, il était en fait déjà surveillé depuis 2 ans par les services allemands“.Depuis Libercourt, les Maninchedda parviennent à entretenir un contact avec Julie “en parlant des choses du quotidien, de la famille. Mais pas des choses taboues“, à savoir toutes les horreurs qui étaient perpétrées par les jihadistes en zone irako-syrienne.
Là-bas, la jeune Française élève son garçon, puis donne naissance à un deuxième en février 2016, au moment de la chute de Raqqa, avant de tomber enceinte du troisième, dont elle a accouché en février 2018. “A la troisième naissance, elle a quitté Lemke parce qu’il la battait, et c’était déjà le cas en Allemagne. Il lui a déjà mis un revolver sur la tempe“, rapporte sa mère.
Selon cette dernière, le quotidien de Julie en Syrie se limitait aux tâches domestiques et à l’éducation des enfants. “Elle en a eu 4 en 5 ans, elle était cantonnée à rester à la maison et à s’occuper d’eux, elle allait voir des -sœurs-, ou allait à la mosquée“, appuie-t-elle.
La jeune Française a tenté de se sauverAlors qu’elle était enceinte de son troisième enfant, Julie Manincheddaa tenté de fuir son mari, qui l’a rattrapée. “Il l’a mise dans une maison pour femmes, où elle a accouché, seule. Puis quand ils ont divorcé officiellement, il lui a pris les deux aînés, qu’il lui amenait régulièrement, comme une sorte de garde alternée. Puis quand elle s’est remariée, il ne les a plus amenés“, explique la grand-mère des petits.
Par la suite, la Nordiste s’unit de nouveau avec un Marocain, Nabil, “quelqu’un de gentil“, selon Lydie Maninchedda. Cette dernière explique que sa fille n’avait d’autre choix que de se remarier à un homme, “le seul moyen de se protéger là-bas“.
Nabil, dont Julie tombera enceinte rapidement, sera le dernier à donner de leurs nouvelles par message, le 24 octobre 2018. “Il voulait la faire partir de là avec leur petit“, rapporte Mme Maninchedda. Ils seraient morts tous les trois très peu de temps après, ensemble, juste après la naissance du bébé, le quatrième de la Française.
Dans le même temps ou presque, ses trois autres enfants arrivaient au camp de réfugiés de Al-Hol.
Faire rentrer les enfants, et “réhabiliter sa mémoire”
“Nous avons un chagrin immense d’avoir perdu notre fille unique. Si nous ne récupérons pas nos petits-enfants, notre vie future va être très compliquée“.
C’est désormais ce combat que mènent Patrice et Lydie Maninchedda, qui multiplient les apparitions médiatiques, pour essayer de se faire entendre. “Il est impératif qu’ils soient rapatriés pour être soignés et reprendre une vie normale, scande Lydie. L’appel que je fais au Président et que je réitère, c’est qu’il fasse preuve d’humanité ! C’est tout ce qu’il me reste de ma fille, qui est morte, et qui regrettait d’être partie là-bas“.
“Ma fille a été embrigadée, manipulée, piégée comme beaucoup d’autres, et elle n’a pas mérité ça. J’ai besoin de réhabiliter sa mémoire et de parler aux enfants de leur mère, telle qu’elle était“.
Un espoir est né au sein de la famille nordiste lorsqu’il y a quelques semaines, est apparu le débat sur le retour éventuel en France de 130 personnes, jihadistes, épouses et enfants. “J’ai l’impression qu’on fait un peu marche arrière“, déplore Lydie Maninchedda, qui comprend aisément que la question est très sensible au sujet des adultes concernés.
Aucune question, selon elle, n’est à se poser pour des orphelins en bas âge. “Ils n’ont rien demandé, ils sont innocents ! Je veux qu’ils soient rapatriés pour qu’ils puissent être pris en charge d’abord par les services sociaux parce que c’est la procédure, et qu’ils soient évalués. Ensuite, ils rentrent chez nous, chez leur mère, qu’on puisse les aimer, qu’on les éduque comme des citoyens français et qu’on leur permettre de trouver leur place en France, et d’assurer leur avenir“.
“Nous avons une grande maison, nous en avons les moyens. C’est une question de survie“.
Syrie : que fait la France avec ses enfants bloqués sur zone ?
L’avocate Marie Dosé, qui défend des familles de jihadistes français en Syrie, a accusé mardi 26 février Paris de laisser “crever des enfants en zone de guerre“, au mépris de toutes les règles de protection de l’enfance. “Ces gosses de moins de cinq ans sont en train de crever en zone de guerre. Que fait la France pour ces enfants, qui sont ses enfants, depuis 18 mois ? C’est un désastre humanitaire“, a déclaré à l’AFP l’avocate.
“Je défends les familles de plusieurs enfants, dont celles de deux orphelines. On est sans nouvelle de l’une, l’autre a quitté Baghouz – le dernier réduit de l’organisation Etat islamique en Syrie – et elle est dans une tente, même pas dans le camp d’Al-Hol (où des dizaines de milliers de déplacés cohabitent avec des familles de jihadistes arrêtées, NDLR) où il n’y a plus de place“, a-t-elle expliqué.
Alors que le président irakien Barham Saleh a annoncé lundi que des Français arrêtés en Syrie et soupçonnés d’être des combattants de l’EI seraient jugés en Irak, Me Dosé a estimé qu’avant le sort des adultes, celui des enfants était une “priorité absolue“. “Ma priorité, ce sont les enfants français, orphelins, dont les autorités françaises n’ont que faire, qui sont des victimes de guerre dans des conditions souvent terrifiantes. Des enfants à qui on a promis un rapatriement et qu’on abandonne“, a-t-elle martelé.
Leurs grands-parents ont plusieurs fois exhorté le président Emmanuel Macron à avoir “l’humanité” de les rapatrier d’urgence.
Longtemps réticente, la France s’était dite à l’automne ouverte au rapatriement des enfants, qui sont au moins une centaine dans les camps en Syrie, mais sans donner de calendrier.
Au total, plus de 2.500 enfants de 30 nationalités ont été capturés avec leurs familles au fil de la déroute de l’EI et placés dans trois camps du nord-est de la Syrie, selon l’ONG Save the Children.
L’AFP a rencontré certains d’entre eux devenus orphelins, qui ont subi des bombardements, sont passés de mains en mains après la mort de leur mère et en gardent de lourdes séquelles.
Mardi, Emmanuel Macron a affirmé qu’il n’existait pas actuellement de programme de retour des jihadistes français détenus en Syrie ou en Irak, qui seront “d’abord judiciarisés” dans ces pays. Il n’a pas évoqué le sort des enfants.
Le problème est que ces malheureux orphelins sont probablement déjà très gravement atteints et sans doute irrécupérables.
C’est une illusion naïve que de croire qu’il s’agit d’innocents bambins qu’il suffit de choyer et d’éduquer dans la guimauve et “l’amour” pour en faire des individus normaux.
Hélas, ces croyances naïves sont contredites par toutes les études portant sur les enfants soumis à des traumatismes violents, à un lavage de cerveau et à un endoctrinement massif dès le plus jeune âge
Aujourd’hui, l’imagerie cérébrale montre que cela provoque des dégâts irréversibles au cerveau – d’autant plus irréversibles que cela s’est produit au début de la vie, avant même d’avoir pu se construire un cerveau “normal”. Les islamistes fous de Daech savaient bien ce qu’ils faisaient: fabriquer des déséquilibrés en forme de bombes à retardement.
Si on les accueille, on va se retrouver avec des petits monstres, comme dans le roman “les coucous de Midwich”(qui a donné le film “le village des damnés”).
A quel titre devrions-nous assumer ce risque et ce coût? Les responsables ce sont les islamistes, et les musulmans en général avec leur doctrine toxique qui ont produit tout cela.
Que de masochisme en France d’infantilisation de débilité…
La pourriture elle n’a pas autant de scrupules de ces pires exactions !
Encore des brebis galeuses qu’on va introduire dans le troupeau des “mougeons”
Que de nounours, de bougies et de fleurs en perspective…
Sans parler du fait que certains petits ont peut-être déjà assassiné des gens…
Donc notre étudiante en licence littéraire s’est laissé abuser par l’islam…
On retiendra donc qu’en France on peut faire une licence de lettres sans avoir de cervelle. Ça en rassurera beaucoup.
On ne peut pas juger l’état de ces enfants sans les avoir examinés.
Autant je suis contre le rapatriement des adultes et adolescents qui peuvent reproduire en France les atrocités qu’ils ont commises au sein de daesh (sans majuscule) autant le rapatriement des enfants (dans ce cas précis le plus grand a 5 ans) qui n’ont pas été encore contaminés est envisageable.
détrompez vous, ils sont déjà “contaminés”. Lors d’un reportage en 2016 (je crois) tardivement sur la 5 on interrogeait 2 petites filles l’ainée 8/9 ans, sa petite soeur 5 ans, recueillies par leur grand mère pendant que leur mère était emprisonnées (quid du père ? il n’en a jamais été question) la plus grande est restée muette tout le temps de l’intervention, la petite, faisait des dessins (hommes en armes, femmes voilées, armes et gouttes de sang) tout en s’agitant. A la question est ce que tu allais à l’école là bas ? oui, et qu’est qu’on t’apprenait : que les kouffars ils sont méchants, méchants….
Inconsciemment, tout est inscrit dans leur cerveau et il suffira d’un déclic pour basculer.
Quant à les élever dans une religion autre que musulmane, ils seront considérés apostats et passibles de la peine de mort (c’est le sort réservé à ceux qui quittent la religion de paix, amour et tolérance)
Il faut rapatrier ces enfants et les rendre facilement adoptables par nos putasses islamocompatibles de Saint Germain des Prés … je ne vois que cette solution !
Les parents ont décidé d’elever Leurs enfants en Orient, nous n’avons pas le droit de prendre une décision contre leur gré.
Par contre je pense qu’ils ont plus de chances d’être heureux dans un pays musulman.
“Par la suite, la Nordiste s’unit de nouveau avec un Marocain, Nabil, « quelqu’un de gentil« , selon Lydie Maninchedda.”
C’est-à-dire ? Il était en Syrie pour cueillir des roses ?
Non, quelqu’un qui n’avait encore jamais battu une femme à mort…
Ah la belle rhétorique que de demander de faire preuve d’humanité envers des gens qui n’en ont pas!
Comme c’est facile de retourner les choses!
Et le gentil Nabil retrouvera sa Julie qui pondra de nouveaux montres…
pour le reste je rejoins le commentaire d’ Auguste75.
Flèchebleue,
Il est mort, le gentil Nabil*, avec sa Julie et leur bébé.
Par contre, à supposer que l’Allemand sorte de prison, il voudra sans doute récupérer ses gosses pour en faire des machines à tuer.
Je peux comprendre le chagrin des grands-parents, mais s’ils parviennent à faire revenir les gamins, leur vie pourrait bien devenir un enfer.
*peut-être qu’il adressait des mots réconfortants à ses victimes avant de leur couper la tête.
Est-ce que ces femmes ont fait preuve d’hmanité elles?
Ce sont des terroristes tout comme leur dingue et assassins de maris
Pas de pitié.
ROSA
Cette fille est partie de son plein gré, personne ne l’a forcée. Elle était vêtue d’un sac poubelle, elle est partieparticiper a des actes terroristes, elle n’etait Plus française depuis longtemps. Elle a “épousé “ un “Allemand” qui l’a battait. Je serais curieux de connaître le vrai nom de cet individu.
Il lui a fait 3 petits terroristes vite fait. Qu’ils y restent. Ils ne sont absolument pas français. Ils parlent arabe ou kurde ou je ne sais quoi. Qu’ils restent la ou ils sont. On n’a pas besoin d’eux.
Coupables ou infantiles sont ces femmes fertiles qui ont préparé un avenir d’horreur et de souffrance à leur pauvre progéniture.
Elles lui ont fait un sort tel que celui des réfugiés du Rwanda, qui eux ne l’avait pas choisi.
Son mari la battait déjà en Allemagne et elle est restée auprès celui comme une décérébrée ?
Abruties par Le Coran écrit pour le bonheur des hommes.
Ramener les enfants ou non ?
Je ne suis pas apte à le décider. En ce moment ils sont aux bons soins d’infirmières équipées. Ces petits sont-ils lourdement handicapés par leur histoire familiale ? Les grand-parents sont-ils réellement préparés ? Quel âge ont-ils ?
Il n’y a pas urgence… Les enfants n’ont-ils pas de famille au Maroc ?
Non, le père était allemand. Le bébé est mort. Faut lire.
Et, pendant qu’on y est, on pourrait leur offrir des jouets;
Exemple: des kalachnikov…
“Rapatrier” sous entend que l’on a une “Patrie” !
Une “Patrie” …. avant tout……. cela se respecte ….. sinon….. on ne la “mérite” PAS !
La”Patrie” est aussi le lieu ou quelqu’un est né !
Leur(s) “patrie” …..est donc, avant tout, ce formidable ” lieu” ou règne cette formidable idéologie mortifère…. vous savez ….. “celle ” qui envoie ses propres enfants à la mort ….(comme sheetan !)
Tout en prenant soin de protéger les “vieux”(ceux qui ont déjà pas mal vécu !) … qui curieusement n’ont apparemment aucune “envie” de rejoindre le formidable “paradis (de la dépravation)” …….pourtant “promis” sur facture ET à grand renfort de publicités ….
Qui doit certainement être une réalité puisqu’à ce jour on enregistre absolument aucune réclamation ! Un véritable “satisfecit” !
J’ai juste ou j’ai raison ?
Si ces djihadistes avaient été déchus de leur nationalité pour haute trahison, leur sort et celui de leur progéniture ne seraient plus un problème. Ils poursuivaient leurs vies sinistres dans leur nouvelle patrie. Point final.
Mais on préfère évacuer la question des responsabilités et s’enliser sur le terrain émotionnel et sentimental: apitoyement sur le sort d’une femme battue, sur le destin d’enfants orphelins en manque de soins, surenchère larmoyante sur le malheur d’une étudiante manipulée, détresse de grands parents.
La seule humanité que j’attends de nos dirigeants doit s’appliquer à nos orphelins, veufs et veuves victimes des attentats islamistes en leur apportant tous les soins nécessaires ; mais aussi en apportant notre aide aux victimes de Daesh, chrétiennes ou yazidis pour la plupart.
Snif ! snif ! Quand on pense à la grande humanité de daesh!!
J’ai remarqué auparavant ce genre de réactions cruelles concernant le sort de tout petits enfants issus de françaises (ayant rejoint Daech). Ces réactions sont plus que choquantes, elles sont carrément inhumaines. C’est à se demander si les judéo-chrétiens sont tout aussi incapables de miséricorde que les hystériques mahométans. Dans ma tendre enfance j’ai passé du temps en orphelinat, plusieurs années chez des “nourrices”, puis aux mains d’un parent violent et tyrannique. Je n’en suis pas pour autant “déglinguée”. A lire certains ici-bas j’aurais dû être considérée irrécupérable, juste bonne pour les ordures. Le cerveau des jeunes enfants est beaucoup plus malléable et capable de surmonter les traumas que ne le sont les adultes. Ces gamins sont suffisamment jeunes pour être réorientées par l’amour de leurs grands-parents, puis réinsérés dans la société francaise. Ils sont génétiquement français/allemands, on peut d’ailleurs observer leurs cheveux clairs, et une réinsertion alors qu’ils sont choyés dans un foyer, aux côtés d’une societe civilisee serait on ne peut plus faisable.
Enrièrement d’accord avec vous. Ma lecture de l’évangile me porte à haïr et combattre l’Islam ET en même temps (…) à aimer les Musulmans. L’amour du Père s’adresse à tous les humains sans exclusive. Oh, c’est bon,mais arrêtez de hurler en trépigant sur vos chaises… Alors oui, l’Islam c’est le SIDA de l’âme, et même si certains musulmans sont des porteurs sains à charge virale indétectable ( protégés à l’insu de leur plein gré par les effets de la trithérapie Père – Fils – Esprit, dont notre civilisation autrefois chrétienne porte encore les effets pour un peu de temps ? ) je n’aurai jamais de relations spirituelles intimes avec eux. Quant aux adultes qui ont délibérément cherché puis affiché leur infection en partant pour la Syrie, je m’en protège en les laissant en quarantaine là où ils sont. Et ils peuvent très bien en mourir – Inch’ Allah comme ils disent: ils l’ont voulu, eh bien ils l’ont eu. Pour les enfants, les bébés, je vous suggère – oh ! juste un instant – d’aimer ces petits prochains comme vous – mêmes. Si ces enfants étaient VOS petits – enfants, ou si ces enfants c’était VOUS il y a 20… 40.. 60 ans vous feriez quoi ?….
@Annika,
Problème c’est que la France pays civilisé, mais plus pour longtemps avec un Macron entrain d’islamiser la France.
CQFD, laissé les ou ils sont.
Julie Maninchedda, ancienne étudiante en prépa littéraire au réputé lycée Faidherbe à Lille, rencontre le père de ses trois enfants en 2013 en Allemagne à Leibzig, où elle est partie poursuivre une licence. Son compagnon, Martin Lemke, est un jeune Allemand converti à l’Islam.
Julie, elle, avait embrassé la religion musulmane dans le Nord, à la mosquée de Villeneuve d’Ascq. Au bout de quelques mois de relation avec Lemke, l’ancienne passionnée de violon et de tennis « s’est mariée cultuellement, est rapidement tombée enceinte, et était habillée d’un nikab avec des gants pour sortir » se souvient sa mère. Lydie et Patrice Maninchedda étaient « sidérés » par le changement radical de leur fille unique.
desolee mais leur fille’ unique’ dans tous les sens,savait ce qu elle faisait.en 2eme noce ele epouse un marocain.. -gentil-decidement la cause muzz est bien ancree dans son cerveau(qui lui n existe plus)alors les grands parents en pleurs etc..non pas de cette mascarade.ils ont besoin d enfants ??en France a la DASS ils trouveront ce qu il leur faut.Partir en Syrie combattre faire 4 enfants en 5 ans et se dire une etudiante brilliante…ca fait reflechir.Ces enfants deja endoctrines ont de a famille au Maroc.(Nabil -le gentil-a surement de la famille).ils y seront mieux qu en France ou ils n ont rien a faire et ou on n a vraiment pas besoin de terroristes en herbe.
Merci Annika d’avoir témoigné, je vous rejoins totalement.
Reprocher à une femme battue de ne pas avoir fui (dans son cas, elle a essayé), c’est ne rien comprendre à la traumatologie d’une victime (c’est le cas des femmes victimes de violence ou de harcèlement : les défenses immunitaires psychologiques sont détruites, il n’y a plus de réflexe de survie et parfois on en arrive à penser que ce qu’on vit est normal,surtout si on n’a pas d’autre référence).
A leur âge les enfants, surtout malades ou handicapés, ne peuvent pas avoir égorgé quiconque ni même avoir subi un embrigadement poussé (mais pour l’aîné il ne faut plus tarder…). Dans ces cultures qui méprisent toute faiblesse, ils risquent “juste” la mort.
Quant à ces jeunes filles de culture occidentale qui épousent des musulmans et finissent par les suivre, le livre “jamais sans ma fille “explique le scénario. En Occident et en public, le musulman peut se montrer charmant. Pour peu qu’on se mette en ménage vite, car maintenant c’est la mode, on se retrouve piégé, et pire encore si on quitte le pays (la raison donnée a pu être de présenter à de la famille…) Et ensuite on se retrouve dans un milieu uniquement musulman, sans savoir à qui faire confiance pour fuir.
La faute à qui ? Les familles de culture chrétienne qui ne vivent pas dans une banlieue ne connaissent pas la mentalité musulmane. J’ai mesuré moi-même, il y a plus de 10 ans, le fossé qui existe entre ceux qui ont connu les banlieues difficiles…et les autres. J’avais l’impression d’avoir vécu dans un autre monde. Les media ne montrent que l’extrémité de l’iceberg…
Nous avons été élevés dans le respect des différences, sans jamais qu’il soit dit qu’une mentalité peut être dangereuse. Nous sommes matraqués de relativisme, de tous les côtés, y compris religieux. Il est interdit de juger une mentalité ou une culture, même pour protéger des enfants (vécu). Si en plus cette culture est véhiculée par une certaine religion, alors là…
Ce n’est pas le premier témoignage de parents qui “perdent” leur fille mariée à un musulman.
Dans ce cas précis les grand-parents semblent vouloir donner de l’amour à leurs petits-enfants et les élever dans notre culture et tradition. Ces petits, s’ils survivent, ne seraient pas des égorgeurs.
Il y a quelque chose de détraqué dans ce pays : officiels et media hurlent à l’islamophobie pour n’importe quoi, laissent l’impunité à la racaille, laissent en liberté des imams comme Ramadan, disent qu’on ne peut rien faire tant que les radicaux ne sont pas passés à l’acte, et ensuite ne font rien pour éviter de tels drames, et disent ne rien pouvoir faire pour secourir des enfants de moins de 5 ans issus de Français par la mère.
On ne fait pas tant de chichis pour recevoir des migrants bien plus âgés dont ne veut pas vérifier l’age ni la mentalité d’ailleurs. Personne ne sait ce qu’ils ont fait sur place…
Dans le cas d’une famille de souche meurtrie qui souhaite réparer les dégâts et sauver ses petits, je serais d’avis de leur remettre leurs petits-enfants.
Merci Julie. Le sens commun et la miséricorde ne vont ont pas quitté. Vous etes, comme on dit en anglais, a breath of fresh air. Best regards.
Désolé mais ma miséricorde de chrétien ne va pas jusqu’à préparer les armes qui vont me tuer (Dieu sera mon juge).
“Quant à ces jeunes filles de culture occidentale qui épousent des musulmans et finissent par les suivre, le livre « jamais sans ma fille « explique le scénario. En Occident et en public, le musulman peut se montrer charmant. //” – Ce livre que vous citez et le film remontent au début des années 1990. Si une femme se laisse encore aujourd’hui, avec la multitude d’exemples identiques, prendre à ce piège du “charme exotique” ou, plus crûment sous la ceinture, du fantasme de la bonne bi– ar—, c’est une idiote qui ne mérite aucune pitié.
Quant à leur progéniture, “ces gamins sont suffisamment jeunes pour être réorientées par l’amour de leurs grands-parents, puis réinsérés dans la société francaise.” – L’amour de ces grands-parents pour leur fille ne l’a pas empêchée de se convertir à l’islam pour commencer, ni la suite. Non, je ne leur accorde pas le bénéfice du doute.
En ce qui concerne vos considérations génétiques, “Ils sont génétiquement français/allemands, on peut d’ailleurs observer leurs cheveux clairs”, elles sont choquantes et grotesques à plus d’un titre.
@ AD1683 :
Sur la mère des enfants, il n’y a plus rien à dire : elle est morte. Elle a payé au prix fort sa naïveté, sa folie, tout ce qu’on voudra. (je ne dis pas ça pour la plaindre, juste que ce n’est pas le sujet)
Sur la capacité des grands-parents à élever leurs petits-enfants, vous marquez un point.
Mais on peut vous rétorquer que de la même façon que les choses ont évolué depuis 1990 et ce livre dont parle Julie plus haut, il est plus que probable que la mentalité des grands-parents a elle aussi évolué suite à la conversion de leur fille (le moins qu’on puisse dire est qu’ils ne partageaient pas son engagement islamique). Ceci rejoint ce que dit Julie du décalage entre ce que pensent beaucoup de gens ne vivant pas en banlieue à propos des musulmans et de l’islam, et la réalité. Avant d’en avoir pris conscience, on n’en a pas conscience ; après, on en a conscience, par définition.
Enfin, sur l’âge des enfants : un an, trois ans, cinq ans, je partage l’avis de Julie et d’Annika : ils sont très jeunes, trop jeunes pour être considérés comme “irrécupérables”, surtout les deux plus petits.
Personnellement, je ne serais pas opposé à leur retour en France et à ce qu’ils soient confiés à leurs grands-parents. On peut proposer de vérifier au préalable que leurs grands-parents sont aptes à leur donner une bonne éducation, et en particulier fondamentalement opposés aux valeurs de l’islam, ce qu’à mon avis, vu l’article, ils sont sans le moindre doute.
Que peu d’humanité dans tout ses commentaires, vu leurs jeune ages, il serai bien de les rapatrier. Personne ne pense a ses grands parents vivant en France qui se torturent et ne voulant qu’accomplir leurs devoir de sauver leurs petits enfants. Je ne vous confirez pas mes enfants, même pour une heure, vu le peu compassion qui vous habite.
Rapatrier ces petits pour qu’ils soient éduqués « comme leur mère » ?? Qui avait quitté famille et patrie pour rejoindre Daesch et se battre avec eux ?
Quel est l’interet de récupérer de futurs terroristes ?
Je suis sidéré par l’absence de la plus petite humanité de certains. On parle ici d’enfants de moins de cinq ans dont les parents sont tous deux européens et morts. Les grands parents, pas plus que les petits ne sont responsables du choix des géniteurs. Il est évident que voici de vraies victimes à protéger. En Belgique, les moins de dix ans d’orgine belge d’un parent rapatriés sans condition mais pas les parents vivants qui doivent d’abord répondre de leur actes sur place.
Correcton: En Belgique, les moins de dix ans d’orgine belge (d’un parent au moins) SONT rapatriés sans condition.
@ Ce cid
Tous les jours des parents prennent leurs responsabilités pour éduquer correctement leurs enfants. Ne croyez-vous pas que les deniers des contribuables devraient être fléchés envers ces familles plutôt qu’en rééducation hypothétique de futures bombes à retardement dont les parents ont failli dans leurs rôles ?
Être généreux sans mesurer les conséquences financières et sécuritaires, c’est se donner bonne conscience avec peu.
On ne gagnera jamais cette guerre contre notre civilisation si on n’est pas fermes et dissuasifs.
Je suis, pour ma part, extrêmement choqué de certains commentaires qui visent a culpabiliser les lecteurs sur les conséquences tragiques d’agissements monstrueux d’extremistes musulmans.
En tant que chretien, j’aurais aimé que les mêmes commentateurs témoignent une réelle compassion pour les yezidis et autres minorités chretiennes spoliees, torturées et affreusement tuées -qu’ils s’agissent de femmes et même d’enfants- par les mêmes musulmans que leurs sympathisants nous présentent en victimes.
Eh oui, je suis un mauvais chretien : je ne tends pas l’autre joue.
Entre l’Allemagne et le Maroc,ces enfants ont largement le choix et leurs grands parents pourront les voir là bas
Désolé, dans tout ce que j’ai lu, deux remarques :
1 – La Belgique n’accueillera pas les femmes et les enfants de djihadistes belges morts en Syrie ; qu’attend Macron pour en faire autant ?
2 – intelligente ? Si vous avez lu le Coran, vous comprenez que cette pseudo-religion n’a que faire de l’intelligence, elle attend une soumission absolue, y compris à ses erreurs les plus absurdes le soleil tourne autour de la terre, a affirmé un imam). Ce n’est pas pour rien que, alors que le célèvbre « Mein Kampf » d’Hitler était interdit de vente et de publication, on le trouvait seulement dans les librairies musulmanes. Mahomet-Hitler, même combat !
“La Belgique n’accueillera pas les femmes et les enfants de djihadistes belges morts en Syrie” – Êtes-vous sûr de cette généralisation, et de sa durée dans le temps? Une cour d’appel belge a statué dans ce sens **pour quelques enfants de quelques djihadistes**, mais ne va-t-il pas y avoir procédure sur procédure pour faire casser ce jugement?…
Cette grand-mère n’a peut-être pas bien fait son travail éducatif, sinon, sa fille n’aurait jamais eu l’idée de se marier avec un mahométan. Répétera t-elle ses erreurs éducatives avec ses petits-enfants ?
Faire revenir ses petits-enfants ? Possible, mais il faudrait des conditions strictes :
1°) Obligation de changer leur prénom pour un prénom français,
2°) Obligation faite aux grands-parents d’élever ces enfants dans une autre religion que la religion musulmane, ou sans religion.
3°) suivi de ces enfants par un psychologue compétent ( si on en trouve … )
Même avec ces précautions indispensables, on ne sait pas vraiment quel pourrait être le résultat de ce “rapatriement” .
Je suis surpris par l’ensemble des commentaires. Devons nous rapatrier ces enfants ou non ? Ce n’est pas NOTRE problème de Français. Leur mère a fait des choix qui prouvent qu’elle ne méritait plus la considération ou l’aide de ses ex compatriotes, leur père est allemand. Si les grands parents veulent les récupérer, qu’ils y aillent, mais seuls sans nous, sans l’aide de l’Etat c’est-à-dire sans nos impots !
Que nos journaleux cessent de nous solliciter pour une petite larme ou un peu plus d’argent à gaspiller.
belouga : Tout a fait d’accord avec vous .
Que l’on arrête de “bassiner” les Français avec le problème des “djihadistes” en Syrie …………
Ce n’est pas notre problème .
Et en plus il faudrait les rapatier aux frais du CON tribuable Français !!!!!!!!!!!!!!!
Ils devaient y penser avant d’aller tuer des innocents en Syrie …………….
ils y sont ils y restent , enfants ou pas