La France est connue pour son vin, ses fromages, ses hauts lieux touristiques, ses serveurs parisiens rarement polis et cette tradition de la gréviculture élevée au rang d’art. Ces dernières décennies, elle a aussi gagné sa renommée dans une nouvelle discipline sociale : le saccage régulier et l’instauration de chaos mal contrôlé au milieu d’autorités régulièrement débordées.
Ces derniers jours, la tendance s’est fort bien illustrée par les exactions commises par des groupes maintenant bien connus des services de police et de renseignement, des autorités politiques et des médias qui tous les désignent fort commodément par des vocables simples à prononcer, aisés à manipuler conceptuellement et bien entendu simpliste : pour notre élite jacassante, pas de doute, « des bandes de casseurs » agissent et sèment le désordre.
Bien évidemment, la réalité est souvent aussi éparpillée que les vitrines et autres abribus régulièrement pris pour cibles de ces « bandes de casseurs » et recouvre en pratique ou bien les inévitables racailles de cités, ou bien les indispensables extrémistes de gauche, ou les irascibles nervis des syndicats. Ces trois groupes ne sont pas interchangeables, ne se valent pas et n’ont pas du tout les mêmes buts.
Pourtant, les médias et les autorités en général se complaisent à les amalgamer, tant dans leur description courante que dans les réponses (ou l’absence de ces dernières) qui leur sont apportées.
Ainsi, il ne fait aucun doute que l’école de Marion Maréchal a été récemment vandalisée par une bande d’extrême droua… gauchepardon. On attendra avec circonspection (et longtemps) la dissolution des associations d’antifas directement impliquées dans l’affaire.
Parallèlement, le public pourra admirer l’effet directement mesurable des petits débordements en marge des manifestations de Gilets Jaunes, qui ont un peu trop laissé la bride sur le cou… de certaines « bandes de casseurs » (là aussi d’extrême-gauche, coïncidence curieuse) : l’actuelle« bunkerisation » complète du Fouquet’s – ou ce qu’il en reste – donne un excellent résumé de la France et de son attrait touristique.
Quelques semaines plus tôt, on avait pu admirer le saccage de l’Arc de Triomphe par au mieux, une bande d’extrémistes de gauche, au pire, ces fameuses racailles banlieusardes de jeunes nerveux très très déçus.
On pourrait revenir en arrière sur tant et tant d’exemples de chaos urbains ou péri-urbains sans avoir besoin de changer quoi que ce soit à la typologie des casseurs qui tombent systématiquement dans l’une des trois catégories précitées : extrémistes de gauche, racailles diversifiées, syndicalistes excités.
Actuellement, la crise des Gilets Jaunes permet de relier les scènes de guérilla urbaine avec une grogne sociale intelligible par le public, mais en pratique, ces groupes et ces actions violentes prédatent largement cette crise et cette explication bancale.
En réalité, la violence de ces populations, à commencer par la violence de l’extrême-gauche, est clairement tolérée. On est même en droit de se dire qu’elle est entretenue à coups de subventions, de redistribution sociale qui enferment toute une catégorie de ces individus violents dans la dépendance la plus sordide à l’État et son système, et dans lequel seule la violence permet d’exprimer ses desiderata, d’autant que c’est la seule forme d’expression qui soit vaguement écoutée.
C’est tellement vrai qu’on retrouve cette tolérance décontractée dans ces mairies « acquises à la cause » (i.e. clairement perdues à l’idée d’une République où règnerait un semblant d’ordre et de respect de la Loi), ou dans certaines universités devenue de véritables bastions du Camp du Bien et des extrémismes les plus délétères (au point d’ailleurs d’en devenir contre-productifs pour leurs idéaux frelatés).
Certes, les bandes de racailles n’ont pas encore toute l’efficacité des groupes d’extrême-gauche, véritables milices organisées pour obtenir le maximum de chaos dans un minimum de temps aux endroits les plus voyants de l’Hexagone. Mais cela reste un détail puisque le résultat est globalement le même, le traitement médiatique aussi, et la tolérance des autorités, la même.
Et à chaque nouvelle occurrence d’une poussée gauchiste, on retrouve les mêmes mécanismes et la même absence de toute poigne du pouvoir politique pour faire revenir le calme et la situation légale qui prévalait.
À ce titre, il n’est absolument pas surprenant de voir des comportements très similaires entre par exemple la faune de Nuit Debout de 2016 et les Gilets Jaunes actuels, ceux du mois de Novembre et Décembre ayant pour ainsi dire complètement lâché le terrain aux milices gauchistes ; l’agression de Finkielkraut dans les deux cas est tout à fait symptomatique de cette extrême-gauche rapidement antisémite. Rappelons (cela les fait couiner) qu’après tout, les Nazis étaient des nationalistes avant tout socialistes et que la violence de l’extrême-gauche n’a rien à envier à celle de l’extrême-droite, même si toute l’intelligentsia de la gauche actuelle tente toutes les entourloupes philosophiques et historiques pour nous le faire oublier.
Or, que ce soit les Gilets-Jaunes, Nuit Debout, la mise à sac régulière de Nantes (le mobilier urbain nantais y étant notoirement fasciste et d’extrême-droite comme chacun le sait) ou l’invraisemblable épisode de Notre-Dame-Des-Landes, tout démontre à chaque fois les mêmes mécanismes de pleutrerie et d’abandon en rase campagne des pouvoirs publics face à une violence de plus en plus tolérée : on recule, on cède, et quand on cherche à répliquer, c’est assez mollement, après des semaines (Nuit Debout), des mois (les Gilet Jaunes), des années (NDDL) d’atermoiements ridicules.
Et d’atermoiements en renoncements, de compromis en pourrissements, l’État montre, chaque jour qui passe, sa tolérance de plus en plus grande, de plus en plus assumée face à la violence d’extrême-gauche, qui, petit-à-petit, à coups de lieux squattés, de centres villes barricadés, de places et d’universités occupées, transforme tout le pays en une grande ZAD géante.
Forcément, ça va bien se terminer.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © H16. Publié avec l’aimable autorisation de l’auteur (son site)
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le mot allemand nazionalsocialist se traduit en bon français par socialisme national ,
les allemands plaçant le qualificatif en premier rang du mot composé .
Swartzwald signifie donc foret noire , et
Nazionalsocialist signifie socialiste national …
dans une conversation je reprends toujours le mot nazi par socialiste national , ce qui comme vous l’écrivez plus haut … fait couiner les Gens de Gauche ! Et aussi dans une conversation où la traite des noirs arrive sur le tapis , je fais préciser si on parle de la traite atlantique ou de la traite des noirs par les arabes ,
ça fait aussi couiner les Gens de Gauche !
le mot allemand nazionalsocialist se traduit en bon français par socialisme national ,
les allemands plaçant le qualificatif en premier rang du mot composé .
Swartzwald signifie donc foret noire , et
Nazionalsocialist signifie socialiste national …
dans une conversation je reprends toujours le mot nazi par socialiste national , ce qui comme vous l’écrivez plus haut … fait couiner les Gens de Gauche ! Et aussi dans une conversation où la traite des noirs arrive sur le tapis , je fais préciser si on parle de la traite atlantique ou de la traite des noirs par les arabes ,
ça fait aussi couiner les Gens de Gauche !
C’est pourquoi la médiasphère française, apeurée, répète en
boucle que le RN (Rassemblement National – le parti de Marine
Le Pen) serait un parti “d’extrême-droite” dans une
vaine tentative de laver encore davantage les cerveaux.
Donc il n’y a plus de Centre, ni de Droite. Par qui ils ont été zigouillés ? Par eux-même. À force de vouloir ratisser à gauche en promettant des mesures mélenchoniennes et en diabolisant les propositions de Marine le Pen, ils ont perdu leur identité.
Regardons de près. Macron est un (vrai) extrême droitiste dans l’âme et dans sa conduite de copinage avec les riches. Mais il en a gommé tout patriotisme, et choisi de s’emparer des socialistes en leur faisant croire qu’il était des leurs.
De toute façon, tout est si confus que je crois que plus personne ne sait où il est. Forcément, il n’y a plus d’échiquier, toutes les cases sont noires, avec des cavaliers (ceux qui piétinent les autres) , et le brave peuple est l’ensemble des pions.
Et les casseurs, ce sont les fous … furieux, laissés en liberté non conditionnelle car il n’y a plus de tour de garde (la Justice).
Et vraiment plus de roi, ou de reine. On les a zigouillés
Quelle ZAD !
Bonjour Michelle,
Je suis en train de lire le tome 4 de la collection écrite et dirigée par Henri AMOUROUX ” Le peuple réveillé “… Très éclairant, j’en suis à la moitié :-)))
ll y est question de Emmanuel d’Astier de la Vigerie, qui avait pour frères Henri et François…
Vos Grand-père et Grands oncles ?
Très amicalement, BobbyFR94
@ Michelle d’A
Il faut se méfier des définitions médiasphériques de ce qu’est sensée être, selon eux, l’extrême-droitisme :
Par exemple, sur 12 mois, leur grand démocrate nobelisé Obama expulsait bien plus de clandestins que Donald Trump, mais ils ne l’admettront jamais.
quelle belle image!
Et moi qui trouvais qu’il avait dû lire la vie d’un sale con venu de l’Est.
Il ne lui manque plus que la moustache et la casquette étoilée.
Le “mal français” dans toute sa réalité et en toute splendeur est parfaitement diagnostiqué dans cet article.
Il ne doit pas être encore assez profond pour que les patriotes français décident de reprendre — enfin — leur destin en main et remettent le pays sur les rails…