« Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais » (Léon Trotski – « Leur morale et la nôtre »)
Il n’est pas un jour où médias et politiques ne cessent de s’interroger sur la conduite à tenir au regard des criminels français de l’Etat islamique détenus en Syrie. Les uns voudraient qu’ils soient jugés sur place tandis que les autres prêchent pour un retour en France dans le but de les juger, les emprisonner… puis de les relâcher un jour ou l’autre…
Il y a aussi les femmes, sortes de Belphégor remisé au goût islamiste, empêtrées dans leur marmaille bâtarde qui, sans le moindre remords pour leur sinistre participation à ce génocide, tentent d’émouvoir –leur bébé dans les bras- les « bons samaritains », éternels idiots utiles des « droits de l’homme »…
Dans un « manifeste des intellectuels français pour la résistance à l’abandon de l’Algérie française » (soutenu par le Maréchal Alphonse Juin) on pouvait lire dans le Figaro du 7 octobre 1960 : « C’est une des formes les plus lâches de la trahison que d’empoisonner, jour après jour, la conscience de la France ». Rien n’a changé depuis…
Comment gérer cette épineuse question ? Près de 2000 Français radicalisés ont combattu en Syrie et en Irak sous le drapeau de Daech depuis 2014. 450 seraient morts et 300 seraient déjà revenus en France. Et les autres ? Que fait-on d’eux ?… Les emprisonner ? Où les mettrions-nous dès lors que nos prisons sont surpeuplées ?… Les juger sur le lieu de leurs forfaits ? Il faudrait pour cela que Syriens et Irakiens en acceptent l’augure… sachant que s’ils les condamnaient à mort, la France s’opposerait à leur exécution. Sur ce point, le 27 février 2019, sur BFMTV, la Garde des Sceaux Nicole Belloubet, a rappelé la position française : « Il y a une limite. Notre pays n’accepte pas la peine de mort. Si tel est le cas, nous interviendrions pour demander que cette peine ne soit pas exécutée. C’est une condition sine qua non ». Le problème reste donc entier dans la mesure où, ni la Syrie, ni l’Irak, ni les Kurdes ne sont en mesure de gérer indéfiniment ces prisonniers qui, par la force des choses, recouvreront très vite leur liberté…
Alors, si la décision de trancher entre ces options s’avère difficile pour nos gouvernants, il existe une troisième voie qui résoudrait leur problématique : l’exécution, sur place, de ces djihadistes !
Durant quatre années, nos forces spéciales se sont –dans le cadre de la coalition et au péril de leur vie- évertuées à traquer les criminels, les localiser et les éliminer. Ce n’est un secret pour personne. Dès lors, s’il était permis de les tuer durant ce conflit, pourquoi leur accorder la vie aujourd’hui et leur permettre de reprendre, bientôt, leur terrifiant djihad ?
Il y a maintes façons d’exécuter un prisonnier… la plupart du temps dans la discrétion la plus absolue. Les militaires de toute nationalité connaissent parfaitement cette notion. Donnons à nos soldats la possibilité d’éradiquer définitivement ces prédateurs, ennemis de toute civilisation !… Seulement, voilà ! Comme l’a souligné notre ministre : « Notre pays n’accepte pas la peine de mort »… Alors, que faire ?
Lors de son entretien sur BFMTV, Nicole Belloubet a indiqué son intention d’assurer aux djihadistes français « un minimum de droit à un procès équitable. Nous veillons à ce que les droits de la défense soient assurés »… et de rappeler que « les Français concernés bénéficient de la protection consulaire ». Dans ce cas, comment venir à bout de ces monstres qui se renouvellent perpétuellement en puisant leur force dans notre faiblesse ? Comment peut-on appeler autrement cette pourriture humaine qui exhibe la tête de sa victime en guise de trophée ? Que viendrait-il faire dans une prison française 5 étoiles si ce n’est attendre patiemment de recouvrer la liberté pour donner libre cours à ses pulsions barbares ? A-t-il accordé, lui, « un minimum de droit » à ses victimes ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © José Castano pour Dreuz.info.
oeil pour oeil? notion à définir .
ou bien protection de la société ? en tout cas ces gens là doivent rester là où ils ont choisi d’être et la justice y appliquer les lois du pays
Déchoir de la nationalité hommes, femmes et enfants et leur sort n’est plus de notre ressort: adultes jugés et condamnés sur place, enfants confiés aux instances syriennes. Et on pourra penser aux nôtres.
Nicole Belloubet a indiqué son intention d’assurer aux djihadistes français (et bi-nationaux) « un minimum de droit à un procès équitable. Nous veillons à ce que les droits de la défense soient assurés »… conformément à la règle de la lâcheté face au monde musulman qui prône l’amour de nos ennemis.
Les déglingo-LREM nous conduisent à l’abîme !
Les seuls dont les droits sont ignorés par la Belloubête : les victimes !
Qu’est ce qu’elle s’en tamponne, de ceux là !
Il serait temps de requalifier ce credo contre la peine de mort. On peut très bien ne pas accepter la peine de mort en tant que châtiment, EN TEMPS DE PAIX. En situation de conflit armée (de guerre, en fait, même si elle ne dit pas son nom), un ennemi est un ennemi. On ne le tue pas pas pour lui infliger un châtiment mais parce que son existence et ses actions nous menacent directement. Il est hors de doute que ces gens sont des ennemis de a France. Leur organisation n’est pas signataire de la convention de Genève qui protège les prisonniers, (d’ailleurs uniquement s’ils sont capturés en uniforme, ce qui n’a pas été leur cas). On peut donc, et on doit les exécuter. Parce que ce sont des ennemis dangereux. Point barre. Il n’est pas question ici de “peine”, mais de nettoyage.
Le vrai problème n’est-il pas l’abolition de la peine de mort ? Et pas que pour les djihadistes. On peut parler des pédophiles ou violeurs récidivistes (ils le sont toujours), de ceux qui assassinent et torturent, par “jeu”, des gamins … Les victimes ont droit à bien moins d’égard et de soins que ces assassins.
Je rappelle que Dieu est pour la peine de mort, et pour les humanistes larmoyants (qu’ils aillent donc s’occuper des victimes ou de leur famille, on verra ensuite s’ils continuent à marcher dans la sensiblerie dite humanitaire).
Pour ceux qui pourraient s’étonner qu’une chrétienne, une femme de foi, parle ainsi, je vais rappeler ce qui est écrit:
Apocalypse 2:27
Il les (les nations) paîtra avec une verge de fer, comme on brise les vases d’argile, ainsi que moi-même j’en ai reçu le pouvoir de mon Père.
Apocalypse 12:5
Elle enfanta un fils, qui doit paître toutes les nations avec une verge de fer. Et son enfant fut enlevé vers Dieu et vers son trône.
Apocalypse 19:15
De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu tout-puissant.
Psaumes 2:9
Tu les briseras avec une verge de fer, Tu les briseras comme le vase d’un potier.
Il s’agit, chaque fois des nations, et c’est prophétisé pour le millénium, temps durant lequel Satan doit être lié. C’est l’homme qui est mauvais. Il ne comprend, hélas, vraiment pas l’humanisme tolérant, il s’en sert, il s’en rit et prend pour des imbéciles les “indulgents”, il ne comprend que le fouet, les chaînes, la prison et la mort.
Ce n’est pas moi qui de dis, c’est la Bible qui le démontre. C’est pourquoi Dieu est sévère avec les méchants, et Il dit qu’il les hait.
Psaumes 11:5
L’Eternel sonde le juste; Il hait le méchant et celui qui se plaît à la violence.
La SÉVÉRITÉ va de pair avec la BONTÉ de Dieu (Rms 11.22). Mais sa bonté est conditionnelle: “si tu demeures ferme dans cette bonté; autrement, tu seras aussi retranché”
Les gens se dont fait un dieu papanounours qui pardonne tout et qui ferme les yeux sur tous les écarts, fussent-ils graves et même abominables. Oui, Il pardonne, sous réserve de se repentir, de faire demi tour, et d’abandonner le péché : “Va et ne pèche plus de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire” a dit Jésus.
Bien sûr que le sort de ces djihadistes doit faire l’effet d’un procès, mais sur place, et selon les lois syriennes ou iraqiennes, puisque c’est la nationalité que se sont choisis ces criminels. Pas de jugement face à nos lois humanistes mollassonnes et sans effet dissuasif, avec relaxe à la clé rapidement, faute de place (faut bien de la place pour mettre les papys en gilet jaunes !)
Après, c’est le sort de ces enfants qui doit être réglé. Nés en Syrie, ils sont syriens. Ils ont imprégnés d’esprits de mort: ils n’ont vécu qu’au milieu d’horreurs. Qui veut en adopter ? Des parents vraiment courageux et persévérants ! Le plus normal serait qu’ils soient confiés au pays où ils sont nés, quitte à ce que la France participe à leurs besoins. Mais ces enfants parlant syriens ou iraqiens seront beaucoup mieux encadrés par des gens qui connaissent à fond le problème de la violence islamiste, inculquée aux enfants dès l’âge de deux ans.
Non, le problème est que l’on s’obstine à être dans la confusion et l’aberration mentale, et qu’on prétend lire la situation avec les lunettes du droit commun, alors qu’on est dans une situation de guerre.
Il faut arrêter de chercher midi à quatorze heures. Il ne s’agit pas de criminels ordinaires, “civils”, agissant pour des motifs personnels crapuleux ou sentimentaux, mais de groupements armés organisés qui nous font la guerre et se livrent à des actes du guerre, et commentttent surtout des crimes de guerre et des crimes contre l’Humanité. Point.
Vouloir leur appliquer les règles du droit commun, c’est aussi idiot que si pour arrêter l’armée allemande en 1914 ou en 1940, on leur avait envoyé les flics, les pandores et les juges pour leur mettre des contraventions pour violation de propriété, ou les arrêter et les mettre en examen pour usage illicite d’armes à feu!
C’est juste stupide. Ou très Belloubet, cette gourdasse gauchiassante conne comme ses pieds.
Alors, si la décision de trancher entre ces options s’avère difficile pour nos gouvernants, il existe une troisième voie qui résoudrait leur problématique : l’exécution, sur place, de ces djihadistes !
C’est la solution
Ces primitifs de djihadistes ont gouté au sang des infidèles. Ils n’arrêtent pas de nous bassiner avec leur “nous aimons la mort comme vous aimez la vie”.
Pour eux il n’y a pas d’innocent hors le chemin d’allah.
Alors, la pitié pour ces tueurs/tueuses, me parait une grave insulte envers les victimes de ces tarés à momo.
Organisons des jeux du cirque en leur promettant que le dernier survivant aura la vie sauve. Simple et pas chère.
En d’autres termes la peine de mort est ce qu’ils ont appliqué sans le moindre remord. Dès lors il est cohérent d’éliminer ces psycho-rigides, histoire d’éviter de futures récidives.
Et de toute façon, si “on” les trucide, ce sera par la main d’allah le tout puissant etc.
Donc c’est pas moi qui les zigouille c’est allah. Et tout le monde y trouve son compte…
Pour ce qui est des enfants en bas âge, séparons les d’emblée de parents aussi toxiques. Quitte à les rassembler dans de nouveaux orphelinats.
« Celui qui s’incline devant des règles établies par l’ennemi ne vaincra jamais »
Merci pour cette citation très précieuse que je ne connaissais pas. Je ne manquerais pas de m’en resservir.
Elle est également valable dans le débat politique, où tout le monde s’incline devant des règles du jeu pipées imposées par toute une intelligentsia (imbecillentsia serait d’ailleurs plus réaliste) gauchiste, et qui ont pour nom “politiquement correct”, “double standard”, “antiracisme”, “multiculturalisme”, chasse aux sorcières fascistes, racistes, islamophobes, homophobes et autres trucomachinophobies inventées à la demande.
C’est exactement le même procédé: imposer ses règles, qui reviennent finalement toujours au bon vieux “pile je gagne, face tu perds”.
Résumons-nous :
– tous les Occidentaux, hommes et femmes qui ont participé à des crimes dans ces pays doivent être jugés dans ces pays, y compris ceux qui sont revenus en catimini. C’est une règle internationale acceptée par tous ;
– s’ils y sont reconnus coupables, peu importe la qualité de la Justice régnant dans ces pays (qui vaut bien le Mur des Cons) où ils ont choisi librement de sévir, il doivent être immédiatement déchus de leur nationalité occidentale pour “trahison” (depuis quand les États s’inquiètent-ils de leurs traitres?) ;
– dès lors, leur sort ne nous regarde plus et ceux qui les ont combattus en seront pour leur peine ;
– l’adoption étant interdite par l’islam, les enfants, dont l’identification est impossible, doivent faire l’objet d’un programme d’adoption international, excluant dans l’idéal, les parents musulmans pour motif de désendoctrinement naturel : la plasticité intellectuelle d’un enfant peut se remettre de traumatismes semblables ;
Imaginez la situation actuelle : on laisse partir des combattants agresser des pays étrangers et quand ils veulent appliquer leur loi martiales légitimement, on les réclame!!! C’est un casus belli manifeste inacceptable moralement.
P.S. : il faut cependant que ces pays dissocient le verdict et la sentence : coupable = perte de nationalité ; sentence = 72 vierges pour les uns et la vaisselle d’Allah ad vitam æternam pour les autrEs.
Belloubet m’écœure et me fait honte.
Il n’y a qu’une réponse à ce faux problème : qu’ils crèvent tous sur place.
Je me réjouis de l’unanimité des commentaires précèdents et de la conclusion qui en découle logiquement :déchéance de nationalité, donc désinterêt de la France à leur égard.
La gauche , par la voix d’une Belloubet – comme ce fut le cas de la part d’une Taubira, marche à côté de ses pompes, sur ce sujet comme sur bien d’autres : par exemple le tollé de ces bien pensants suite à la déclaration de Castaner reconnaissant une complicité objective des O.N.G et des passeurs …
Quand et comment amorcer le retour du bon sens au pays de Descartes ?
Avec le raisonnement de Beloubet le Maroc l’Algérie la Tunisie ne reconnaissent pas a la France le droit de juger et condamner leurs ressortissants terroristes qui on fait des attentats en France merci pour les victimes.
Mais voilà ces pays ne sont pas aussi cons que la Frances et ils ne veulent pas recuperer ces debils islamisés
Au lieu de donner des bougies et de fausses promesses aux victimes le gournement devrait leur donner l’argent qu’il va donner pour la défense de leurs assassins.
C’est curieux, pour les nazis il n’y a pas, il n’y avait pas de pitié et à juste titre et pour ceux là il faudrait leur trouver une protection juridique pour des crimes au moins aussi odieux que ceux des nazis ?