Publié par Jean-Patrick Grumberg le 14 avril 2019

Qu’un migrant Pakistanais arrivé depuis deux mois en France, ayant déjà bénéficié deux fois de “rappels à la loi”, qui a dégradé la basilique Saint-Denis, n’a pas été expulsé, et n’est pas jugé avec la célérité réservée aux Gilets jaunes, en dit long sur le deux poids deux mesures que subissent les Français ethniques.

Un musulman de 41 ans a comparu ce vendredi au tribunal de Bobigny pour avoir détérioré la basilique. « Je ne sais pas en quoi je suis concerné par cette affaire », déclare, au tribunal de Bobigny vendredi dernier le prévenu, déjà récidiviste alors qu’il n’est en France que depuis deux mois.

Confondu par son ADN

Les prélèvements ADN ont montré qu’il est coupable d’avoir dégradé deux portes, plusieurs vitraux et l’orgue de la basilique de Saint-Denis en mars.

Le migrant délinquant a été interpellé jeudi au centre de rétention de Vincennes (Val-de-Marne), car il a été confondu par son ADN retrouvé dans la basilique.

De nationalité pakistanaise, il est arrivé en France il y a deux mois, ne parle pas français, mais il déteste la France et les Français et il leur fait payer sa présence. Si leurs dirigeants politiques sont assez cons pour accepter ça, je n’ai aucun problème : ils se sont choisis ces politiciens.

Il a déjà écopé des rappels à la loi pour avoir dégradé à deux reprises des biens en février, précisent les médias français (1).

Si je compte bien, et puisqu’il est en France depuis deux mois, il a donc, dès qu’il a posé le pied sur le sol français, commencé à commettre des délits.

Il se moque du tribunal et de la justice

Dans la nuit du 2 au 3 mars dernier, cet homme plein de haine a brisé des vitraux de la basilique, fortement endommagé les portes du buffet du grand orgue, et cassé le moteur de l’instrument.

Comme c’est un migrant (depuis quand les Pakistanais ont-ils le droit de venir s’installer en France ?) le président du tribunal lui a offert de reporter la date de son procès. En réponse, le suprématiste a déclaré qu’il « ne comprend pas le système judiciaire français ».

Agacée, la présidente du tribunal a déclaré :

« la situation n’est pourtant pas très difficile à comprendre.»

« Comment vous fournir des explications si je ne suis pas au courant ? », a insisté le prévenu.

La magistrate a tout de même finit par se demander si le christianophobe ne se payait pas sa tête, et a déclaré «qu’il semble qu’il fait pas exprès de ne pas comprendre». Elle a tout de même renvoyé le procès au 10 mai, mais a placé le prévenu en détention provisoire jusqu’à cette date – et nous ne savons pas si la procédure ne va pas tout de même lui rendre immédiatement sa liberté.

Et la présidente a réclamé une expertise psychiatrique, qui s’ajoute à ce que ce type a déjà coûté à la société.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

  1. Le Parisien

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