Macron veut supprimer l’École Nationale d’Administration (ENA) mais importer la défunte STASI d’outre-Elbe.
L’Elbe marquait la frontière entre la République Fédérale d’Allemagne (RFA) et la République Démocratique allemande (RDA) de 1949 à 1990. Le néologisme d’outre-Elbe est nécessaire pour comprendre ce qui se trame au palais de l’Élysée.
Le rôle indispensable de la STASI dans l’ex RDA
Dans l’ancienne RDA qui était voisine d’un État capitaliste parlant la même langue, la porosité de la frontière, surtout aux ondes hertziennes, était la plus grande menace pesant sur ce régime communiste ex-nihilo imposé par Moscou. Pour empêcher que l’État se vidât à l’exception des durs communistes, il fallait qu’il se dotât d’une police efficace pour contrôler l’information circulant dans le pays, y compris les secrets d’alcôve. Ainsi fut créé le ministère de la sécurité d’Etat (Ministerium für Staatsichereit), plus connu du grand public sous son acronyme STASI.
Cet État dans l’État disposait d’une pléthore de fonctionnaires établissant des fiches sur tous les citoyens. Qui fréquente cette belle brune ? Avec qui boit le soir ce célibataire endurci ? Dans quelle équipe de football joue ce garçon ou dans quelle organisation de jeunesse cette fille est-elle inscrite ? Comme la tache était immense, il fallait à ces braves fonctionnaires une myriade d’informateurs sur le terrain. Par exemple, tout immeuble devait avoir un concierge pour savoir qui entrait et sortait à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. La mission était confiée à un volontaire car la délation plaît à beaucoup de gens comme l’occupation en 1940 et la libération en 1944 de la France avec les femmes tondues nous l’apprirent.
Comme il n’y avait pas d’ordinateurs pour stocker la masse énorme des données, les fiches étaient entreposées dans des cartons qui occupaient des kilomètres linéaires dans de vastes bâtiments anonymes de la STASI.
L’incapacité de la France à voter un budget en équilibre depuis 1973
Depuis l’élection de Valéry Giscard d’Estaing en 1974, le premier énarque à accéder au sommet de l’État, tous les présidents de la V République ont épaissi le mille-feuille administratif et augmenté les dépenses publiques.
Entre temps, la France a rejoint la zone euro où elle est rapidement devenue un cancre de la classe. Elle doit présenter chaque année son projet de budget à la Commission européenne en raison de son incapacité à respecter la règle limitant le déficit budgétaire à 3% du produit intérieur brut qui a été fixée par le Traité de Maastricht de 1992.
La RDA et la France ont beaucoup de points communs
La RDA avait la STASI pour empêcher son peuple de s’évader. La France a son mille-feuille administratif pour empêcher les Français de prendre en charge leur destin, par exemple la liberté de sortir de la Sécurité sociale et de contracter une assurance privée de santé, de cotiser pour une retraite par capitalisation ou encore de scolariser leurs enfants dans une école privée sans contrat avec l’État. Ces deux pays partagent la même méfiance à l’égard de la liberté de leurs concitoyens.
La France n’aime pas ses économistes qui sont pourtant renommés à l’étranger
En bon énarque, il n’est pas venu à l’esprit de Macron de réduire simultanément de 20% les dépenses publiques, les impôts et les taxes pour renouer avec une croissance de 3% par an qui permettrait d’atteindre le plein emploi, d’augmenter le pouvoir d’achat des ménages et de réduire la dette publique qui asphyxie toute marge de manœuvre du gouvernement. Que voulez-vous faire ? Cela ne fait pas partie du programme d’économie de cette grande école qui se limite à deux auteurs étrangers dont un est très connu des Français, l’Allemand Karl Marx, et l’autre seulement des élites, l’Anglais John Maynard Keynes.
La France a eu dans le passé de grands économistes comme Turgot, Jean-Baptiste Say ou Frédéric Bastiat. Toutefois, ces trois auteurs français ne sont pas en odeur de sainteté du clergé communiste qui contrôle tout l’enseignement prodigué dans nos écoles de France et de Navarre. Ironie de l’histoire, ces trois auteurs sont très appréciés à l’étranger.
L’antienne du «en même temps que» de Macron répond au ni ni des centristes
Macron est fidèle à son leitmotiv du «en même temps que» qui lui a assuré la victoire en 2017. Il a un socle solide d’environ 20% des électeurs centristes qui sont adeptes du ni ni tiédasse (ni communisme ni capitalisme).
Macron laisse croire à l’opinion publique qu’il est favorable à plus d’égalité de chance avec la suppression de l’ENA qui formate l’élite technocratique du pays. Mais il ne va pas au bout de la logique qui est la suppression du statut de la fonction publique. A quoi bon supprimer la plus haute école de fonctionnaires du pays si on ne supprime pas tous les autres concours de la fonction publique ? La France est le pays où il pousse le plus grand nombre de fonctionnaires par kilomètre carré. Un salarié sur quatre en France travaille pour l’État, les collectivités locales, les services publics ou les entreprises publiques. Pourtant, le secteur privé est le seul créateur de richesse du pays et aussi le seul à être soumis à la concurrence d’airain du marché. Mais il est très ponctionné, réglementé, contrôlé et harassé par des inspecteurs tatillons qui détestent le capitalisme. Aussi la croissance est en berne depuis 1974 qui coïncide avec l’arrivée du premier énarque à la présidence.
Hitler et Macron ont des points communs
Comme Adolphe Hitler, Emmanuel Macron est un psychopathe bavard et narcissique qui se lance dans de longs monologues débridés.
Hitler était suivi par le docteur Theodor Morell qui lui administrait des injections tous les jours pour le doper. Il n’était en forme naturelle qu’en soirée privée où son auditoire réquisitionné devait l’écouter sagement. Quand tous les invités étaient endormis sur leurs fauteuils vers trois heures du matin, il allait enfin se coucher.
Il en allait de même avec le Lider Maximo quand il recevait des diplomates de pays amis comme la France dans l’une de ses nombreuses résidences luxueuses disséminées à travers l’île de Cuba.
De son côté, Macron s’est lancé dans un tour de France pour son grand débat national faisant suite à la grogne des gilets jaunes. Il a soûlé de paroles son auditoire trié sur le volet. Comme on pouvait aussi s’y attendre, la montagne a accouché d’une souris. Tant d’argent public et de temps ont été gaspillés pour conclure une évidence qui s’impose depuis longtemps aux Français qui ont encore une jugeote, à savoir que la réduction des dépenses publiques est la priorité car la pression fiscale ne peut plus être augmentée en raison du ras-le-bol fiscal des gilets jaunes.
En revanche, Hitler surclassait Macron en tant qu’orateur. Il était capable de galvaniser tout un peuple par la palette de son registre alors que Macron avec sa voix de fausset n’envoûte qu’un quart de l’électorat.
Macron se veut le maître des horloges
«Je resterai le maître des horloges, il faudra vous y habituer, j’ai toujours fait ainsi. Je ne vais pas sauter pour aller devant les caméras parce que Mme Le Pen va devant les caméras»
En raison de sa pathologie narcissique, Macron ne supporte pas les opinions divergentes. Pour ce faire, il est sournoisement à la manœuvre pour contrôler davantage l’information qui circule trop librement à son goût sur la toile. Après le contrôle des fake news par la voie parlementaire, il voudrait instaurer une structure administrative qui assure la «neutralité» des informations circulant sur tous les canaux.
Les Français sont bien servis en matière de contrôle de l’information. Aux lois mémorielles qui imposent le point de vue officiel de l’État sur des événements historiques, s’ajoute une autorité administrative dite «indépendante» comme le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). Comme il se doit, ledit conseil est présidé par un énarque formaté de longue date à la pensée unique.
Des esprits médisants racontent que le CSA est partial et qu’il perpétue l’ordre moral imposé par la bien-pensance dont les idées sont conformistes et soumises au politiquement correct.
Parfois, il arrive dans un simulacre de débat qu’un conservateur social ou un libéral économique soit invité sur un plateau de télévision. Le spectacle est pitoyable car le pauvre invité est rapidement interrompu par le modérateur, conspué et tourné en dérision par les comparses du modérateur, et évacué manu militari du plateau de télévision s’il n’accepte pas de recevoir sa leçon sans broncher. C’est la conception du débat de la gauche.
Une STASI serait inutile et coûteuse pour l’État français
Le maître des horloges ne se contente pas de journalistes serviles. Il veut aussi contrôler tout ce qui se dit sur la toile où la seule opposition réelle du pays trouve son exutoire. Il croit à la nécessité de créer une STASI pour contrôler le dernier bastion de liberté en France.
Mais les réseaux sociaux américains sont remplis de gauchistes zélés pour contrôler l’information qui circule sur la toile. A son audition devant le Congrès américain, Mark Zuckeberg, le fondateur de Facebook, a révélé l’extrême partialité de son groupe à l’encontre des conservateurs dont les commentaires sont systématiquement censurés. Les réseaux sociaux américains sont aussi capables de censurer à un bien moindre coût que des énarques siégeant dans des comités Théodule.
Pour conclure, Macron est victime aussi d’énantiosémie qui désigne le fait qu’un mot désigne dans son esprit tordu à la fois une chose et son contraire. Pour lui, la neutralité du débat veut dire neutraliser son adversaire.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bernard Martoia pour Dreuz.info.
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Excellente analyse. Les comparaisons sont parfaitement choisies.
Depuis 30 ans, Macron certes, mais aussi tous les prédécesseurs (depuis VGE comme vous le dites d’ailleurs) on est entré en dictature progressive. Tous les étaux se resserrent les unes après les autres. Ceci n’est pas surprenant. Depuis 40 ans, le politiquement décérébré qu’est le français a mis en place des incapables, et que l’on savait incapable avant l’élection. Mais, tous les 5 ans, la sempiternelle promesse d’assistanat passe avant tout le reste.
Question dictature, Ils se valent tous. Macron est le président actuel, il est donc près de notre mémoire. Ses prédécesseurs ont eu des attitudes dictatoriales continues et inacceptables. On peut facilement en citer un grand nombre.
Le plus terrible est que le français, dans son écrasante majorité, ne s’en rend pas compte ou, si oui, se tait pour éviter des ennuis : c’est exactement la définition de la dictature.
Dictature pour dictature, si tel est le destin obligé de notre pays désormais, autant avoir une dictature salutaire (si l’on peut dire ça) que nocive. Et on se demande si l’armée, encore une fois puisque nous en sommes arrivés là et que le français ne comprend toujours, et toujours pas, et ne comprendra plus car il est déjà maintenant totalement soumis, doit maintenant prendre le pouvoir.
Comme le dit très justement notre ami dreuzien Jacques Ady dans son post du 28 octobre 2018 à 09 h 56 faisant suite à l’article de Monsieur Manuel GOMEZ intitulé Général Gomart : «l’invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée» en date du 27 octobre 2018, je cite : “(…) Au point délétère où nous en sommes, je crains que la seule façon d’éviter un bain de sang et/ou une partition du pays serait la prise du pouvoir par l’armée HORS DE TOUTE VOIE DÉMOCRATIQUE, autrement dit par un putsch militaire (…)”.
Et je suis persuadé que notre ami à totalement raison.
Cela remettrait de l’ordre dans notre pays, de toute évidence. Et le paradoxe, c’est que ce que l’on appelle démocratie ne serait même pas changée, dans la mesure où elle n’existe plus depuis longtemps dans notre pays :
– le politiquement correcte est une véritable dictature de la parole
– hors du politiquement correcte tu te retrouves devant les tribunaux rouges
– les journaliste ayant une once de vérité de parole sont virés du service public
– le simple fait de rappeler les chiffres officiels de l’occupation des prisons te condamne (Zemmour)
– le nombres d’associations de défense des bougnoules, arabes et toute la clic ne se compte plus, et financée par l’état
– une désinformation totale des français par une censure stalinienne de la totalité des médias
– les français passent bien après les immigrés
– l’islam s’impose par la volonté des dirigeants français et les imams
– 1 mot de simple réflexion sur l’islam, tu es condamné
– et plein d’autre des comme ça….
Un régime militaire ne fait pas autrement, pas pire.
Reste chez toi et ferme ta gueule et on te foutra la paix. C’est ce qui existe déjà actuellement en france.
Des militaires au pouvoir où nous en sommes désormais, hélas, semble être la seule solution. Je suis persuadé qu’on ne verrait aucune différence au-niveau de la démocratie.
Ou alors un Trump mais qui n’a pas encore l’ombre d’un début d’embryon d’existence dans ce qu’il reste de la france.
@oryx
depuis 1974 cela fait déjà 45 ans que nous sommes entrés dans la route de la servitude si bien décrite par l’Autrichien Friedrich von Hayek.
Il faudrait en France un général Pinochet comme au Chili qui amena dans son gouvernement des Chicago Boys, des économistes passés par l’université de Chicago où enseignait Milton Friedman.
Malgré l’alternance démocratique avec la double réélection de la socialiste Michelle Bachelet à la présidence du pays, la dette du Chili par rapport à son PIB est de 20% environ
source
https://fr.actualitix.com/pays/chl/chili-dette-publique-selon-pib.php
Effectivement.
“Au 4ème trimestre 2018, la dette publique de la France a grossi de 12,3 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent pour atteindre 2 315,3 milliards d’euros (…). L’endettement de la France équivaut maintenant à 98,4% du PIB”
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Référence
Arrêtez avec la dette, elle n’existe que dans votre tête et celle des banquiers pour asservir les peuples, sinon y en a pas
Boutade, ou réalité ? Dans ce dernier cas, plus de détails seraient les bien venus…
Une dictature militaire avec ses milliers de morts et de disparus, de la torture assez généralisée…
On sera peut-être obligés de le vivre pour défendre plus important encore, mais de là à le souhaiter !!!!
C’est sûr que le PIB/hab a beaucoup augmenté (mais le Chili est un “petit” pays, avec très peu d’immigration), nettement plus qu’en France, en Allemagne ou aux Etats-Unis, taux de croissance
2017/1973 : CHL 8,2, GER 7,8, FRA 6,8, USA 7,8
2017/1990 : CHL 5,1, GER 1, FRA 0,8, USA 1,5
Mais la richesse par habitant est très inégalement répartie, et les échanges tiennent beaucoup à une structure agricole et minière. Les inégalités “supportent” ce type de division du travail, mais rentrer dans le monde du XXI siècle voudra sûrement dire réduire les inégalités au moins au sein de certaines régions.
L’indice de Gini témoignait d’un des pays les plus inégalitaires de l’OCDE.
En 1990 (fin de Pinochet) 56,2 et en 2015 47,7. En baisse depuis 1990 donc.
L’évolution a été contraire aux Etats-Unis (et aux autres pays européens). Depuis 1979 (34,6) puis 1990 (38,2) et 2015 (41,5)… Mais tout ce quoi Trump lutte, le marécage et la kleptocratie se trouve dans ces inégalités croissantes.
2015 : FRA 32,7 GER 31,7, Suisse CHE 32,3
Les nomenklaturas/kleptocratie, quelles que soient leurs natures, sont toujours des boulets économiques et démocratiques dans la durée.
Ou OAS ou POUTINE
Histoire de les faire filer droit l’ordre s’impose en France
Bonjour,
Détrompez-vous, y a monsieur Serge Petitdemange, un ancien militaire à la retraite, vous n’avez qu’à suivre ses postes sur Youtube (jasper mader) ou sur Facebook, Renaissance Française ou Serge Petitdemange
N’ayant pas le temps de suivre les posts sur Youtube (jasper mader) ou sur Facebook, Renaissance Française du dénommé Serge Petitdemange, ancien militaire à la retraite, je ne peux donc pas me détromper.
Peux-tu me faire un résumé de la pensée de ce personnage ?
Dans cette attente…
Non non, il n’y a pas de dette, tout comme il n’y a pas d’immigration massive ni de zones entières livrées à l’islam, tout comme il n’y a aucun problème avec la sacro-sainte Sécu ou avec notre système de retraites, tout comme le millefeuilles administratif est une vue de l’esprit… et bien sûr, on peut dépenser à tout-va, être à 4 ou 5% de déficit tous les ans, être obligé d’emprunter pour équilibrer les comptes de l’État… mais il n’y a pas de dette !
Et ma grand-mère est championne olympique de boxe poids lourds.
Plus démago et plus dangereux, tu meurs.
Magnifique réponse, mon ami Jacques Ady !
Bonnes fêtes de Pâques !
Alain,
Je vous l’ai déjà dit, je suis Serge Petitdemange via ses vidéos, mais où cela nous mène-t-il ?
Il faut agir frontalement.
J’ai écrit ça, moi ? 😉
Je devais être particulièrement démoralisé… cela dit, j’ai bien écrit “je crains que” et non “j’espère que”,
car une autre solution, évidemment préférable, serait que les Français – la majorité d’entre eux du moins – changent de mentalité, et comprenant ce que que Bernard explique dans le présent article, comprenant l’importance de la liberté, une liberté basée sur des convictions et des principes judéo-chrétiens, élisent démocratiquement des dirigeants dignes de ce nom, comme les Américains l’ont fait avec Donald J. Trump…
Rien n’échappe à bibi oryx, une vraie concierge…
🙂
@Jacques
en cette journée de Pâques qui fête la résurrection du Christ, prions pour qu’un miracle se produise afin que les Français renouent avec la foi chrétienne, recouvrent leur liberté et que la France redevienne la fille aînée de l’Église . Amen !
Excellent texte, Monsieur Martoïa. Je ne comprends pas très bien où veulent en venir tous ces Macron-de-cuir? En effet, l’URSS, la Yougoslavie et l’Allemagne de l’Est n’existent plus. La STASI non plus. Il ne reste que le KGB/FSB mais on ne peut pas dire que, même dirigée par lui, la “nouvelle” Russie soit le pays de la réussite économique ou même politique. Pourquoi alors vouloir créer toujours plus d’état et de contrôle alors que cela ne mène jamais nulle part? Croient-ils, nos Macron-de-cuir, que la France serait différente, elle, que les Russes, les désormais Est-Allemands et ex-Yougoslaves étaient à ce point incompétents et que la France, toujours elle, pourrait faire beaucoup mieux depuis la Ville-Lumière? Il n’en est rien et il n’en sera rien. La seule chose que ces pays ratés ont réussi consiste à montrer que l’étatisme, le dirigisme et l’élitisme de classe (nomenklatura) sont bel et bien stériles et conduisent dès lors inexorablement à l’échec. Le seul espoir est que le système “social-démocratique” devrait bien finir par s’écrouler. Paradoxalement, il parvient encore à survivre grâce au capitalisme (qu’il soit des copains, des multinationales ou de base) en procurant cette bouffée d’air que le système prend lorsqu’il ressent sa propre asphyxie. La recette est pourtant simple: pour tout investisseur, tout passe par la fiscalité. Bien sûr, il existe d’autres critères de décision avant d’investir: le niveau de l’enseignement, la qualité des infrastructures, le régime politique et sa stabilité, la santé (également mentale) de la population, la connaissance des langues, le climat, l’accès à la mer, mais tout cela fait partie de l’analyse du risque, le critère no 1 étant une fiscalité acceptable compte tenu des autres critères. La France est en faillite financière et morale. Par exemple, avoir plus de 5 millions de chômeurs avec les atouts que le pays possède, c’est purement scandaleux, je ne vois pas d’autre terme (je blâme la France, mais la Belgique franqueupheune et sa bouche en cul de poule de gauche en sont le copié-collé). Alors, c’est quoi le problème, si celui-ci n’est pas la fiscalité et le poids de l’état et ce bien avant l’immigration? Et donc, Monsieur Martoïa, je souligne la grande pertinence de votre texte. Vous avez tout compris car vous posez les bonnes questions, des questions bien “gratte-culs” dont dreuz a le secret, en fait tout ce que l’élite déteste car elle ne veut pas de la réponse qui est pourtant évidente.
P$: la Flandre belge est en quasi plein emploi alors que la Walbanie reste la République populaire de Walbananie (RPW). Comment est-ce possible alors que la RPW est pourtant “gouvernée” pratiquement sans discontinuité par les grands justiciers sociaux et défenseurs visionnaires du bien commun autoroclamés et réunis au sein du fringant P$ walbananiais depuis plus de 60 ans?
on apprend aujourd’hui que les hopitaux parisiens ont donné à la police des listes de blessés giletsjaunes.
mais on vous dira bien sur que personne ne les avait demandé! la stasi en marche avant toute!
J’ai lu, hier ou avant-hier, l’article de Boulevard Voltaire qui traitait de la “neutralité” voire “neutralisation” de l’information.
Ma question simplette est la suivante : comment comptons-nous faire pour lutter contre ces noirs projets ? N’y a-t-il aucun mouvement d’opposition capable de dénoncer haut et fort les manigances de notre petit dictateur ?
Je lis régulièrement la lettre des Volontaires Pour la France.
J’ai ce matin demandé aux VPF quelles étaient les actions entreprises par le mouvement. Je ne suis pas certaine que l’on me réponde.
Bref, vous l’aurez compris : je me demande ce que l’on peut faire pour faire reculer Macron et sa sinistre bande.
il faut avoir vu le remarquable film ” la vie des autres ” pour mesurer la vie sous la STASI
Bonsoir Patito: pouvez-vous nous en dire plus sur ce film? Merci.
La référence à la Stasi, Staatssicherheit, sécurité de l’état est un peu osée. Le film susmentioné est une bonne premiére impression, la réalité était plus intense. D’après tout, ce qu’ on a pu entendre, surtout après la chute 1989.
google vous en dira plus que moi mais ce film de 2006 est remarquablement bien joué ; le héros ‘( si je puis dire ) est un obscur fonctionnaire de la Stasi chargé d’écouter une actrice et qui rentre ainsi dans sa vie privée perturbée par un apparatchick qui veut profiter de son statut pour abuser d’elle ; petit à petit son rôle rentre en conflit avec ce qu’il comprend du coté noir des puissants du régime
se greffe la dessus un personnage qui écrit en secret des articles pour la presse de l’ouest dont nous comprenons qu’il sera sauvé grâce à ce fonctionnaire qui a fermé les yeux et pas dénoncé son auteur ……….
Ce film a reçu l’Oscar du meilleur film en langue étrangère
Macron a un profil de dictateur et les institutions de la 5eme République ne nous protège en rien de cela. Droit devant !
Hitler et Macron ont des points communs et aucune lois vous protègent