Publié par Guy Millière le 22 avril 2019

Réfuter le torrent d’inepties et d’immondices qui inondent la presse française depuis la publication du rapport Mueller serait long. Ce torrent n’est que la continuation du torrent d’inepties et d’immondices déversés sur Donald Trump depuis qu’il est entré en campagne, et qui a grossi depuis qu’il est président.

Ce torrent est, comme le torrent qui l’a précédé, la copie du torrent qui inonde les grands médias américains en ce moment, et le reflet de la crise de rage qui touche le parti Démocrate depuis novembre 2016, et qui ne semble montrer aucun signe de rémission.

Le parti Démocrate est, je pense (et j’espère), en train de se suicider. Il serait impensable que puisse se trouver une majorité d’électeurs aux Etats-Unis pour envisager de confier le pouvoir à des gens aussi atteints. Au dernier décompte, il y a dix-neuf candidats aux élections primaires démocrates, et le plus sensé et le plus modéré parmi eux est le juif gauchiste antisémite admirateur de feu Hugo Chavez, Bernie Sanders. Un temps, un Irlandais qui tenté de se faire passer pour un Mexicain, Robert Francis O’Rourke, alias Beto, le surnom qu’on lui donnait parait-il quand il était bébé, et qu’il a gardé depuis car son âge mental n’a pas beaucoup évolué depuis, est devenu la star des journalistes : un homme qui s’est précipité pour manger des détritus au Nouveau Mexique pour expier sa défaite face au sénateur Ted Cruz ne pouvait que leur être sympathique, vu qu’ils produisent des détritus quotidiennement (O’Rourke fait en supplément de splendides moulinets avec ses bras pour imiter les éoliennes). Puis leur attention s’est tournée vers le maire d’une petite ville d’Indiana, South Bend : Pete Buttigieg. Il est aussi idiot que Beto, mais il a l’immense avantage d’être homosexuel, ce qui le rend à l’évidence bien plus éligible. Je ne donnerai pas la liste de tous les autres, Elizabeth Warren, la fausse indienne Cherokee, Kamala Harris, la fumeuse de haschich de San Francisco, Cory Booker, le nouveau Spartacus. La semaine prochaine Joe Biden, ancien vice-président d’Obama, un homme qui ne peut pas voir une femme sans avoir envie de la caresser partout, le Gaston Lagaffe de la politique, va se porter candidat. Pour son malheur, il est blanc et hétérosexuel, ce qui rend les choses très difficiles pour lui. Même si Bernie Sanders est blanc et hétérosexuel, le fait qu’il soit un juif marxiste antisémite (très important qu’il soit antisémite pour l’électorat démocrate), lui donne un avantage.  Si une femme noire, lesbienne et handicapée physique se met sur les rangs, elle pourrait le battre sur le fil. Les membres démocrates du Congrès qui ne sont pas candidats à la présidentielle sont eux-mêmes de beaux spécimens, Nancy Pelosi et Chuck Schumer peuvent être fiers de ceux qu’ils entrainent derrière eux: en France, on connait la militante islamiste somalienne qui hait viscéralement les Juifs, Israël et les Etats-Unis, Ilhan Omar, la “Palestinienne” admiratrice du Hamas Rashida Tlaib, l’ancienne serveuse de bar gauchiste Alexandria Ocasio  Cortez (la femme qui a proposé une Nouvelle Donne Verte qui devrait si elle était mise en œuvre supprimer les vaches et les avions dans un délai de dix ans et qui pense que la fin du monde surviendra deux années plus tard). Moins connus sont de multiples autres abrutis tout aussi excités : Adam Schiff, Maxine Waters, Eric Swalwell. Une fine équipe. Obama a vraiment réussi à transformer le parti Démocrate en un grand tas de fumier. C’est absolument consternant pour la démocratie américaine et pour la dignité des Etats-Unis.

Le parti Démocrate est en train de se suicider, je le pense (et je l’espère), oui, et je pense et j’espère qu’il se dirige en 2020 vers l’une des plus cuisantes défaites de son histoire. Et, poussé par la haine la plus extrême, il procède à une lecture bien plus que biaisée du rapport Mueller. Il n’y voit pas ce qui s’y trouve : une totale exonération de Trump. Et il y voit seulement ce qui s’y trouve aussi : des moyens grotesques, ignobles et totalement infondés d’accuser Trump et d’enclencher si possible une procédure de destitution destinée à échouer.  

Les grands médias américains, totalement inféodés à la haine qui imprègne le parti Démocrate, suivent le mouvement, et tiennent le même discours que les Démocrates les plus atteints, et regarder CNN (500.000 téléspectateurs restants en moyenne quotidienne), ou MSNBC (800,000 téléspectateurs restants en moyenne quotidienne) est devenu un spectacle digne d’un mauvais film d’horreur (je regarde seulement pendant les pauses publicitaires sur Fox News, qui reste une chaine d’information et attire de plus en plus de téléspectateurs).

Lire le Washington Post et le New York Times permet de lire en version originale ce qu’on trouvera en version française chez les journalistes français, qui y puisent la dose d’ineptie et d’immondices qui leur permettent d’intoxiquer leurs lecteurs. (Je veux être juste, il doit rester deux, peut-être trois journalistes qui traitent des Etats Unis en France sans dire ou écrire n’importe quoi, ce qui est peu).

Tentons donc pour ceux qui veulent être informés de dire (ou répéter) ce qui doit l’être.

  1. Il n’y a jamais eu de “collusion” entre Trump ou son entourage et la Russie. Chacun le sait depuis plus de deux ans, y compris Robert Mueller, qui a gaspillé 35 millions de dollars pour rien et devrait être condamné à rembourser.
  2. Les seuls liens existants entre une campagne et la Russie sont ceux reliant la campagne de Hillary Clinton et des agents russes, par l’intermédiaire de l’ex agent britannique Christopher Steele.
  3. Hillary Clinton aurait dû être trainée en justice pour de multiples raisons, et entre autres, pour l’utilisation d’un serveur internet clandestin qu’elle a utilisé pour transmettre des documents classes “secret défense”, ce qui tombe sous le coup des lois américaines sur l’espionnage. Il faudra qu’elle soit inculpée et condamnée.
  4. Hillary Clinton a commandé à une entreprise frelatée, Fusion GPS, par l’intermédiaire du cabinet d’avocats Perkins Coie un faux dossier à l’ex agent britannique Christopher Steele qui l’a lui-même commandé à des agents russes et ce dossier est la seule et unique base qui ait jamais permis de parler de “collusion”. Et il y a eu effectivement collusion : non pas entre Trump et Poutine, mais entre Hillary Clinton et ces agents russes.
  1. James Comey, Andrew McCabe, directeur et directeur adjoint du FBI sous Obama, John Brennan, directeur de la CIA sous Obama, James Clapper, directeur du renseignement sous Obama, Loretta Lynch, ministre de la justice d’Obama, Susan Rice, Conseillère Nationale à la Sécurité d’Obama, Samantha Power, ambassadeur aux Nations Unies sous Obama, Bruce Ohr, vice-ministre de la justice sous Obama, ont tous à des degrés divers des responsabilités dans l’utilisation du dossier Steele pour diffamer Trump, pour le déstabiliser, pour tenter de l’incriminer. Il faudra qu’ils soient inculpés et condamnés. Tous.
  2. Indépendamment de Trump lui-même, aucune des personnes menacées, mises sous pression, inculpées puis condamnées en justice dans le cadre de l’enquête Mueller n’est coupable de quoi que ce soit qui ait à voir avec une “collusion” avec la Russie, ou qui ait même le moindre lien à la Russie. Le crime essentiel de chacune d’elles est d’avoir travaillé pour Donald Trump. Toutes méritent amplement une amnistie. Celle-ci, qui viendra je pense, ne permettra malheureusement pas de rétablir des vies dévastées. Le Général Michael Flynn n’est coupable de rien et a tout perdu. Ce qui lui est arrivé est une honte. Paul Manafort a fraudé le fisc il y a une quinzaine d’années, cela ne méritait pas une lourde de peine de prison. Michael Cohen a commis des crimes plus graves, mais aucun de ces crimes n’a le moindre rapport avec Trump : Michael Cohen est un homme faible, on l’a fait chanter et il a chanté. C’est triste. C’est tout. Qu’il ait chanté est mal, qu’on l’ait fait chanter est sordide.
  1. L’équipe Mueller était effectivement composée de dix-huit Démocrates enragés, et quand Trump le dit, il a raison. Ces Démocrates enragés ont détruit des vies et sont la lie de la société américaine, vraiment la lie. Leur comportement vis-à-vis de ceux qu’ils ont interrogés est digne des pires pratiques du KGB sous Staline. Ils n’ont pas réussi à extorquer de faux aveux, et ils ont donc échoué, heureusement. Que Mueller ait recruté ces gens montre qu’il est une crapule sans honneur ni éthique.
  2. Le rapport Mueller n’est pas “expurgé” d’éléments “sensibles et compromettants”, comme le disent les falsificateurs. En ont été éliminés les passages concernant le secret défense, entre autres, des passages aussi concernant les pratiques des agences de renseignement américaines, et c’est une obligation légale. Sa teneur a été modifiée à hauteur de zéro pour cent.  Les Démocrates du Congrès le savent et en demandant que soit publié un rapport “non expurgé” savent qu’ils demandent au Ministère de la justice de violer la loi. C’est immonde et sans précédent.
  3. Malgré 35 millions de dollars dépensés, le rapport Mueller ne contient rien qui incrimine Trump, que ce soit pour une “collusion” inexistante, ou pour une “obstruction” à la justice, également inexistante.
  4. Le rapport contient deux cent pages détaillant l’enquête sur la “collusion”, et conclut qu’il n’y a rien d’établi. Ce que Mueller et ses Démocrates enragés savaient au départ. Ces deux cent pages montrent surtout qu’ils n’ont rien extorqué (faux aveux, fausses preuves) à ceux sur qui ils ont fait pression. Suivent deux cent pages consacrées à l’”obstruction” à la justice. Ces pages sont indignes de gens prétendant être juristes
    • l’idée d’”obstruction” en soi n’a aucun sens, car la Constitution aurait permis à Trump de révoquer Mueller et de mettre fin à l’enquête à chaque instant, en toute légalité. Le Président des Etats Unis a ce droit. Cela s’appelle “executive privilege”. Il faut tout ignorer du droit américain pour ne pas le savoir.
    • la nomination de Mueller a été faite en violation des règles juridiques américaines qui stipulent qu’un procureur spécial ne peut être nommé que pour enquêter sur un crime qui a effectivement été commis, et pas pour chercher si un crime inexistant a été commis (En toute logique, Rod Rosenstein a violé la loi en nommant Mueller, et il devrait lui-même rendre des comptes). La quasi-totalité de la partie “obstruction” à la justice du rapport contient la transcription d’éléments de conversation et d’interrogatoires censés montrer que Trump aurait tenté de faire obstruction à la justice sans y parvenir, ainsi que des citations d’articles totalement infondés du Washington Post et du New York Times. Aucun de ces éléments ne montre effectivement la moindre obstruction. Aucun n’a la plus minuscule valeur juridique. Le rapport dit que ces éléments ne sont “pas suffisants” pour montrer une obstruction : c’est vraiment le moins qu’on puisse dire. Et c’est le maximum que peuvent dire des Démocrates enragés et frustrés. Ils ajoutent que cela ne veut pas dire que Trump est innocent : c’est un propos strictement diffamatoire destiné à jeter un os à ronger aux Démocrates du Congrès. Si un procureur a des preuves pour incriminer quelqu’un il le met en examen. S’il n’a aucune preuve, il ne le met pas en examen et ferme le dossier. Point. Ecrire qu’on n’a aucune preuve, mais que cela ne veut pas dire que la personne est innocente est digne de la loi des suspects au temps de la Terreur en France ou du règne de Lavrentiy Beria sur la justice soviétique. C’est ravaler la justice américaine au rang d’une justice totalitaire.
  5. Trump aurait dit, selon des témoins dont on peut penser qu’ils ne sont pas dignes de foi (mais passons) que sa présidence était “foutue” au début de l’enquête Mueller. J’en parle juste parce que cette phrase a été souvent citée. Si Trump a tenu ces propos (ce qui n’est pas certain), ceux-ci au moment où ils sont censés avoir été tenus (il y a deux ans) n’étaient en aucun cas un aveu de culpabilité concernant quoi que ce soit (Trump disait au même moment qu’il était victime d’une machination et n’avait strictement rien à cacher), mais l’effet de la crainte que son action présidentielle soit entravée. Il faut vraiment être un crétin crapuleux (ou un Démocrate, ou un journaliste des grands médias américains ou français) pour y voir autre chose. Il faut surtout pour y voir autre chose oublier ce que Trump disait au même moment.

Tous les Démocrates, tous les journalistes américains, tous les journalistes français savent tout ce que je viens d’écrire (et je pourrais continuer longtemps et ajouter de nombreux détails). Ils ne le disent pas. Ils mentent.  Ils sont tous à hauteur de poubelle sale.

Les Démocrates n’ont rien à proposer. Ils se contentent de vomir sur Trump, comme si cela tenait lieu de programme. Quand ils font des propositions, ces propositions sont si ineptes qu’elles feraient honte au plus débile des gauchistes européens.

Les grands médias américains glissent vers le gouffre, et si cela continue, leurs journalistes pourront se réunir entre eux sans allumer les projecteurs, car il n’y aura plus de téléspectateurs. Ils pourront s’envoyer les articles les uns aux autres, car il n’y aura plus de lecteurs.

Les grands médias français survivront, hélas. Il n’y a pas en France de chaine de télévision faisant encore de l’information, et un ou deux magazines honnêtes ne sont pas suffisants pour compenser inepties et immondices.

J’ai renoncé à chercher dans la grande presse en France un article détaillant les accomplissements de Trump, qui sont pourtant très nombreux. Je sais qu’un tel article n’existe pas.  

Aucun journal, aucun magazine, aucune radio, aucune télévision n’a parlé de mes livres sur Trump. C’est logique : mes livres sur Trump disent la vérité, et dans un univers cloacal, dire la vérité est malséant.

Les gens qui veulent connaitre la vérité peuvent lire Ce que veut Trump, plus que jamais d’actualité (un chapitre dit tout sur ce que contient le rapport Mueller et a été écrit bien avant que le rapport Mueller soit publié).

Ceux qui veulent s’intoxiquer ont l’embarras du choix.  

Jamais un Président qui a fait autant de bien à l’Amérique et au monde n’a été aussi maltraité que Trump. C’est odieux pour lui. C’est odieux pour l’Amérique. C’est odieux pour le monde. C’est odieux pour la vérité la plus élémentaire et pour les valeurs éthiques qui ont fondé la civilisation occidentale. Le résultat est que des millions de gens dans le monde pensent que Trump est un abruti dangereux, alors qu’il est l’un des très grands Présidents des Etats-Unis.

Que cherchent ceux qui maltraitent Trump ? J’en viens à penser qu’ils cherchent le mal, simplement le mal. La gauche aime le chaos et la destruction.  Elle a toujours détesté les Etats-Unis parce qu’ils sont la puissance de la liberté sur terre. Elle n’apprécie que les Présidents maléfiques qui nuisent aux Etats-Unis et à la liberté.

Parce que les Etats Unis sont désormais mon pays, j’ai hâte que le droit et la vérité y soient remis à leur place.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

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