Publié par Rosaly le 25 avril 2019

Dans son nouveau livre «Dark Agenda*» David Horowitz, le fondateur du «Freedom Center» dévoile la guerre menée par les progressistes pour détruire l’Amérique chrétienne.

L’Europe chrétienne subit aussi les attaques destructrices des progressistes, des gauchistes, des laïcards, visant à éliminer le Christianisme tout en pavant le chemin à une idéologie pseudo religieuse totalitaire, tyrannique et mortifère.

«Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du Diable est de vous persuader qu’il n’existe pas !»

Charles Baudelaire

Les lecteurs de mon nouveau livre «Dark Agenda*» pourraient se demander comment un juif agnostique et ex-radical en est arrivé à écrire un livre sur la guerre menée par les progressistes pour détruire l’Amérique chrétienne. (Obama avait aussi bien œuvré dans ce sens.)

Ayant enfin reconnu le caractère destructeur du mouvement radical auquel j’avais appartenu il y a quarante ans, j’ai commencé à réexaminer tout ce que mes camarades et moi-même avions pensé du système que nous avions décidé de détruire. Au cours de l’enquête, j’eus une sorte de révélation.

En pensant aux droits inaliénables à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur, des droits aussi chéris par les radicaux, je compris que si ces droits étaient inaliénables, c’est tout simplement parce qu’ils avaient été conférés par Dieu. S’ils avaient été accordés par le gouvernement, ce dernier aurait pu les supprimer selon son bon vouloir.

C’était une idée simple à comprendre mais il n’était pas aussi facile d’y adhérer. Même si j’étais agnostique, je devais accepter le fait que sans une croyance en Dieu ou le respect d’une telle croyance, ces droits ne pourraient pas exister. Sans respect pour les croyants et leurs croyances, sans respect pour les chrétiens qui ont créé ce pays, nos droits les plus précieux seraient sans fondement et ne pourraient être défendus.

Et ce ne fut que le début de mes réflexions. Quatre-vingt-dix-huit pour cent des personnes qui s’établirent et créèrent l’Amérique étaient des chrétiens protestants fuyant la persécution religieuse en Europe. Chaque élément de notre démocratie – pluralisme, inclusion, diversité, égalité et protection des minorités – est d’origine chrétienne et plus spécifiquement issu de la Réforme protestante.

La Réforme fut une révolte contre l’autorité de l’Église catholique, dont le rôle jusque-là était d’être le médiateur entre Dieu et ses créatures. Avant la Réforme, aucun salut n’était possible en dehors de l’Église et de son sacerdoce. Les réformateurs promurent deux doctrines fondamentales : «le sacerdoce de tous les croyants» et «le salut par la foi».

“Le salut par la foi” était la conviction que nous sommes tous des créatures si imparfaites que nul d’entre nous ne mérite le salut, ce dernier ne pouvant être accordé que par la grâce de Dieu. C’est l’idée que sous-tend le contrôle des pouvoirs mis en place par les Pères fondateurs américains qui comprirent les dangers posés non seulement par une majorité populaire, mais également par le gouvernement lui-même, dont les agents étaient aussi susceptibles de commettre des péchés, sources d’injustice, que ceux qu’ils gouvernaient.

Mais l’idée protestante véritablement révolutionnaire fut celle du «sacerdoce de tous les croyants». Cela signifiait que chacune des créatures de Dieu faisait directement face à son créateur, sans médiateur, et donc tous les êtres humains étaient égaux aux yeux de Dieu et devaient être traités de manière équitable par le gouvernement, qui n’existait que pour les servir.

C’est cette idée qui fit de l’Amérique le leader mondial en matière d’abolition de l’esclavage, de valorisation des femmes et de création d’une société inclusive et diversifiée. Selon le point de vue protestant, aucune Église n’a été érigée au-dessus des autres, aucun pape, prêtre ou ministre n’a l’autorité même de définir ce qu’est le christianisme, encore moins l’État. Cela fut laissé à l’individu et à sa conscience.

Comme les protestants immigrèrent en Amérique pour fuir les persécutions fondées sur les religions établies par l’État, les Pères fondateurs américains firent de la liberté religieuse, la première liberté et le fondement de toutes nos autres libertés.

Le titre de mon livre est « Dark Agenda*: La guerre de la gauche pour détruire l’Amérique chrétienne.»

Au cours des soixante dernières années, la gauche anti-religieuse et anti-américaine a mené un assaut incessant contre les croyants et leurs croyances, supprimant la liberté religieuse, privant les lieux publics d’expressions et de toute mémoire religieuses et supprimant par là les fondements mêmes de notre démocratie.

C’est la prise de conscience que la haine du christianisme par la gauche est aussi sa haine de l’Amérique elle-même, qui m’a inspiré et incité à écrire ce livre.

L’année 2008 fut marquée par l’ouverture d’un nouveau centre d’informations sur notre république, adjacent au Capitole, à l’attention des visiteurs. il coûta 621 millions de dollars.

Lors de son ouverture, toutes les références à Dieu et à la foi religieuse des Pères fondateurs furent systématiquement supprimées des photos et des exposés historiques. Les efforts des concepteurs pour effacer toutes traces du christianisme furent à la fois extrêmes et mesquins.

Une image agrandie de la Constitution fut photoshoppée pour faire disparaître les mots «En l’année de notre Seigneur» au-dessus des signatures des Pères fondateurs.

La devise officielle de la nation était supposée être « E Pluribus Unum» en lieu et place de «In God we trust». (En Dieu nous croyons ou en Dieu nous avons confiance).

( « E Pluribus Unum» (Un à partir de plusieurs) était considérée comme la devise nationale jusqu’à ce que Congrès adopte en 1956 «In God we Trust».« E pluribus unum » subsista néanmoins sur certaines pièces de monnaie et sceaux des États-Unis. )

L’inscription de la devise nationale «In God we trust» en lettres dorées sur une réplique de la tribune du Président à la Chambre des représentants fut «omise» sans doute en raison de sa référence à une divinité.

Supprimer le nom de Dieu et toute référence écrite à la religion des Pères fondateurs ne suffit pas. Suite à une série de décisions iniques de la Cour suprême, dès 1962, les enfants de écoles publiques du pays furent privés de la connaissance des origines religieuses, des fondements de notre nation et de ses libertés. A cause des décisions révoltantes de la Cour, ces connaissances sont aujourd’hui niées par la Constitution elle-même.

En 1986, une étude réalisée sur plus de 60 manuels scolaires utilisés par 87% des enfants des écoles publiques dévoila que le premier «Thanksgiving Day» célébré par les «Pilgrims» une année après leur arrivée aux USA sur le Mayflower était bien une journée de remerciements pour tous les bienfaits reçus, mais nulle part il ne fut mentionné que ces remerciements s’adressaient à Dieu. Les Indiens Pueblo peuvent prier la Mère Terre, mais les Pèlerins ne peuvent être montrés en train de remercier Dieu. Et jamais les chrétiens ne sont présentés priant Jésus.

L’étude résuma ses conclusions en ces termes : «Il n’y a pas une histoire ou un article dans tous ces livres, d’environ 10.000 pages, dans lequel la motivation centrale ou le contenu majeur provient du christianisme ou du judaïsme.»

Si vous ne savez pas d’où vous venez, comment pouvez-vous savoir où vous allez ?

Ces attaques contre la religion créèrent une crise nationale dans notre pays, nous divisant en camps belligérants, dont les points de vue fondamentaux sont non seulement conflictuels, mais irréconciliables.

La première décision de la Cour suprême bannissant la religion des écoles et finalement de la place publique, connue sous le nom de Engel v. Vitale, fut prise en 1962.

Engel était un membre fondateur du chapitre New-Yorkais de l’American Civil Liberties Union, (ACLU) une organisation radicale hostile à l’Amérique et à ses fondements religieux. L’ACLU poursuivit en justice une prière non confessionnelle de 23 mots élaborée par le «New York Board of Regents:

«Dieu tout-puissant, nous reconnaissons notre dépendance à l’égard de toi et nous implorons Tes bénédictions sur nous, nos parents, nos enseignants et nos pays. Amen.”

Pendant 170 ans, les prières étaient des pratiques courantes dans les écoles publiques sans aucun défi constitutionnel. Mais Engel et son équipe affirmèrent que cette prière anodine violait la clause d’Etablissement du Premier Amendement, interdisant à l’Etat d’instaurer une religion officielle.

Sept avocats non élus, mais nommés à vie, de la Cour Suprême décidèrent par six voix contre une en faveur des radicaux. Seule voix divergente, le juge Potter Stewart, souligna l’hypocrisie de ses collègues, dont les séances débutaient toujours par «Dieu protège l’Amérique et cette honorable Cour.» L’idée qu’une prière non confessionnelle de 23 mots pouvait créer une religion était absurde, mais six juges non élus en décidèrent autrement.

On attribue à Archimède la phrase suivante : «Donnez-moi un levier et un lieu où je puisse me tenir ferme et j’ébranlerai la terre.»

À la Cour suprême, une minorité radicale avait trouvé un levier qui contournerait le processus démocratique et lui permettrait de changer la donne.

D ’autres moyens démocratiques existaient pourtant pour concilier toutes les parties.

Si les athées se sentaient exclus par la prière non confessionnelle, ils auraient pu adresser une pétition aux régents, au conseil scolaire ou à leurs représentants élus pour qu’ils trouvent un moyen d’accommoder les enfants non religieux. Cependant, comme tous les bons radicaux, ils ne s’intéressaient pas au processus démocratique. Ils avaient trouvé auprès d’une partie du gouvernement des acolytes, qui pourraient changer les pratiques d’une nation du jour au lendemain, faire de ces nouvelles pratiques la loi fondamentale du pays et l’imposer à tous les états à la fois.

A quel point les plaignants, qui façonnèrent l’avenir de l’Amérique grâce au « levier» de la Cour suprême, furent-ils radicaux et anti-Américains ?

L’année suivante, Madalyn Murray O’Hair, l’athée la plus célèbre des États-Unis, introduisit un recours parallèle à celui de l’ACLU, mais beaucoup plus influent, affirmant que les lectures bibliques à l’école violaient la clause d’Etablissement.

Madalyn Murray était la fondatrice des «Athées d’Amérique.»

Life magazine la surnomma : «La femme la plus détestée d’Amérique. Elle adopta cette épithète pour se positionner en victime. Manipulatrice de premier ordre, elle trompait l’opinion publique de façon éhontée. Elle alla même jusqu’à blâmer les chrétiens pour la crise cardiaque qui fut fatale à son père, quelques heures après l’avoir agressé verbalement lors du café du matin par ses mots : » j’espère que tu tomberas raide mort. Je jetterai ton corps ratatiné à la poubelle. «

Peu avant le lancement de sa campagne anti-prière, M. Murray emmena sa famille en Europe, où elle essaya d’entrer en URSS. Voyant quelle personne perturbée elle était, le Kremlin rejeta sa demande.

Quand elle revint aux USA et se prépara à présenter son fils comme une victime de l’intolérance des chrétiens, elle lui demanda ce qu’il ressentait à propos des prières dans son école. Il lui dit que cela ne le dérangeait pas, ce à quoi elle répondit :

«Tu ne comprends pas encore ce qui se passe…? Les États-Unis ne sont rien de plus qu’un camp de travaux forcés fascistes dirigé par une poignée de banquiers juifs. a New York… Le seul moyen de parvenir à une véritable liberté passe par le nouvel homme socialiste… La Russie est proche mais pas encore suffisamment, sinon ils nous auraient laissés entrer. «

Les Russes furent suffisamment intelligents pour comprendre que cette femme était une folle nuisible, mais non la Cour suprême des USA, qui avec une seule voix dissidente, vota pour imposer sa volonté à tous les Américains et supprima ainsi la liberté religieuse, fondement de toutes nos libertés.

Les deux décisions suivantes de la Cour suprême élaborées par les radicaux furent encore plus trompeuses. Elles conduisirent directement vers l’abîme où se trouve notre Société aujourd’hui. L’argument frauduleux juridique était commun aux deux cas, mais c’est la décision prise en 1973 par l’arrêt Roe v.Wade, qui conduisit la nation aux dissensions politiques auxquelles nous sommes confrontés aujourd’hui.

Le procès fut l’œuvre des avocats de «Planned Parenthood» et de l’ACLU, soutenus par une branche d’une organisation radicale des années soixante, appelée «Students for a democratic Society at the University of Texas» (Etudiants pour une Société démocratique de l’Université du Texas). Une fois encore, les radicaux choisirent de contourner le processus législatif-démocratique en s’appuyant sur la tyrannie de neuf avocats non élus et nommés à vie, qui votèrent pour faire du droit de tuer des enfants dans le ventre de leur mère un droit fondamental du pays.

La base légale dans l’arrêt Roe vs Wade 410 US 113 (arrêt historique rendu par la Cour suprême des États-Unis en 1973 sur la question de la constitutionnalité des lois qui criminalisent ou restreignent l’accès à l’avortement) fut un droit constitutionnel imaginaire à la vie privée, inventée par les avocats de Planned Parenthood pour justifier leurs objectifs radicaux. Même si la Constitution contenait un droit à la vie privée – et ce n’est pas le cas – la décision n’avait aucun sens. Le juge Rehnquist, en total désaccord, déclara que l’avortement n’avait rien de privé.

Les restrictions sur l’avortement ne portent pas atteinte au droit de choisir d’une femme. Sauf si elle est victime d’un viol, une femme fait une série de choix avant de prendre la décision de tuer un enfant : d’abord, avoir des relations sexuelles, puis choisir son partenaire, ensuite passe à l’acte soit sans se protéger, soit sans prendre la pilule du lendemain. Tout cela se passe avant que la femme atteigne le moment fatidique du choix final : décider d’accoucher et trouver des parents adoptifs pour l’enfant ou prendre la terrible décision d’avorter, donc de tuer son bébé.

L’arrêt Roe v. Wade constitua une rupture fondamentale avec le tissu social de la vie américaine. Cette rupture fut imposée du jour au lendemain dans toutes les communautés du pays et sans le consentement de leurs habitants, qui selon la Constitution, étaient pourtant supposés être souverains.

Cette décision frauduleuse et tyrannique de la Cour suprême divisa la nation en deux. Les communautés traditionnelles se sentirent agressées et cela mena directement à la création du droit religieux.

Avant l’arrêt Roe v. Wade, la communauté évangélique se méfiait des implications politiques, mais cet assaut inconstitutionnel contre sa communauté l’inquiéta et la projeta dans la politique dans le seul souci de se protéger.

«The Moral Majority», « Focus on the Family», et «American Family Association», les piliers de ce mouvement, se constituèrent directement à la suite de l’arrêt Roe v.Wade. Quand le parti Démocrate adopta l’arrêt Roe, v. Wade, cela provoqua la défection complète de sa base catholique et le parti vira radicalement à gauche.

A droite, l’arrêt Roe v.Wade incita catholiques et protestants évangéliques à s’unir en une force politique, cette même force qui d’abord élut Ronald Reagan, puis Donald Trump.

Le venin des Démocrates envers les chrétiens provient du syndrome de dérangement Reagan et Trump, dont ils semblent souffrir parallèlement à leur haine à leur égard.

Cela se manifeste dans les attaques contre la religion perpétrées par le nouveau mouvement athée, dont les porte-paroles ont accusé la religion de «tout empoisonner» et dont la voix principale, Richard Dawkins écrivit :

«Les idées religieuses sont irrationnelles, elles sont idiotes, super idiotes et bêtes.

Le mépris de Dawkins envers les Croyants est identique au mépris affiché à l’égard de Donald Trump, présumé être un « «suprémaciste blanc», «un agent russe», et un «inapte a à exercer le mandat présidentiel».

Pascal, Galilée, Newton, Copernic et même Darwin croyaient en une divinité et s’inspiraient de cette conviction. Ces grands scientifiques étaient-ils tous idiots, super idiots et bêtes ?

Pourquoi la gauche est-elle en guerre avec les chrétiens ? Pour la même raison qu’elle est en guerre contre l’Amérique et la démocratie fondées sur des valeurs chrétiennes.

Les chrétiens croient en la sainteté de l’âme individuelle, en son caractère unique ; ils croient au libre arbitre et au «péché originel», à la nature imparfaite des êtres humains. C’est notre nature imparfaite qui rend les utopies de gauche – communisme, socialisme, justice sociale – impossible à réaliser et monstrueuse à poursuivre.

Le libre arbitre signifie que les individus sont responsables de leurs actes et non les races ou les sexes, comme le prétendent les rédempteurs sociaux. Les gauchistes, les soi-disant démocrates, les progressistes, les communistes, les fanatiques de la justice sociale sont tous des adhérents réactionnaires de l’hérésie Pelagienne du 4e siècle, du nom de son auteur Pelagius, un moine anglais chrétien. L’hérésie Pelagienne est l’idéologie la plus destructrice de toute l’histoire de l’humanité. (après l’idéologie islamique bien évidemment)

Pelagius croyait que les hommes naissaient bons et que les péchés qu’ils commettaient étaient contraires à leur vraie nature. Dès lors, si les gens restaient fidèles à leur vraie nature, ils résisteraient à la tentation et seraient de bons Chrétiens. Ils pourraient créer le paradis sur terre, et ce sans l’intervention de Dieu ou la grâce divine.

Les progressistes sont les adeptes modernes de Pelagius. Selon eux, les gens naissent bons, mais c’est la Société qui les rend mauvais (comme si la Société ne reflétait pas les gens qui l’ont créée). Par conséquent, si les gens restent fidèles à leur nature, s’ils choisissent d’être politiquement corrects ou si l’Etat peut les contraindre à le devenir, nous pourrions parvenir à créer un monde d’égalité parfaite, de justice et de paix..

Ce sont ces mêmes mensonges séduisants qui conduisirent au meurtre de 100 millions de personnes au cours du siècle dernier. Ils furent condamnés à mort , car ils s’opposaient à la perfection totalitaire.

La doctrine de Pelagius fut combattue par Saint-Augustin d’Hippone. En 418, sous son impulsion, le concile de Carthage affirma qu’à cause du péché originel, la grâce divine était absolument nécessaire pour faire le bien. Il condamna Pelagius et « quiconque dit que (…) si la grâce n’était pas donnée, nous pourrions pourtant, quoiqu’avec moins de facilité, observer sans elle les commandements de Dieu ». Cette condamnation sera réitérée au concile œcuménique d’Éphèse (431).

Saint-Augustin était en quelque sorte le parrain du conservatisme moderne. Il fit valoir que le péché faisait partie intégrante de la nature humaine et que nous partagions tous le péché originel d’Adam : connaître le Bien et le Mal, aspirer à être semblable à Dieu et créer de Nouveaux Mondes.

C’est pourquoi les êtres humains corrompent les mouvements pour le changement social et le gouvernement aussi sûrement qu’ils corrompent la Société.

Parce que c’est dans la nature humaine de corrompre. C’est la corruption humaine qui voue à l’avance à l’échec tous les projets utopiques, qui visent à réparer et à racheter le monde, un exploit que Dieu seul peut accomplir.

La bataille à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui est l’un des épisodes d’une guerre aussi vieille que la création elle-même. C’est une guerre qui naît de l’esprit humain, né mauvais, mais aussi capable de créer la Beauté et le Bien.

Nous menons le combat pour nos vies, celles de nos enfants et pour ce grand pays, unique parmi les nations, qui mérite d’être sauvé.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source: » Video: David Horowitz unveils the Left’s Dark Agenda» – Freedom Center founder reveals progressive’s war to destroy Christian America. (FrontPage Mag – Traduction Rosaly)

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