
Après d’interminables massacres de chrétiens, le pape Benoît XVI n’est jamais resté muet. Ses prises de position souvent ignorées des médias rendaient régulièrement hommage aux victimes, assassinées en sanction de leur appartenance chrétienne. Et le pape répétait à chaque fois la même conviction : « on ne peut pas utiliser la violence au nom de Dieu ! » En y ajoutant cet appel concret : « Les religions devraient inciter à un usage correct de la RAISON et promouvoir des valeurs éthiques ».
Une évidence, car un dieu qui pousse à tuer en son nom ne peut être qu’une idole païenne hostile à toute humanité et à toute civilisation.
Benoît XVI a surtout eu le courage de montrer combien le refus islamique d’associer la raison à sa prétention religieuse continue de faire peser une grave menace sur nos libertés et notre sécurité.
Cela d’autant plus que les garde-fous issus de la civilisation judéo-chrétienne s’effondrent les uns après les autres, sapés par une culture laïciste qui cible le christianisme mais ferme complaisamment les yeux sur une islamisation invasive et insidieuse.
La prise de position la plus significative de Benoît XVI a été celle de l’Université de Ratisbonne, en 2006. Evidemment, les médias occidentaux « soumis » ont voulu à tout prix y voir « une bourde », mais le pape savait pertinemment de quoi il parlait. Dans son discours lucide à la célèbre Université allemande où lui-même avait enseigné, il citait un passage du 16ème siècle relatant l’entretien entre l’empereur orthodoxe Manuel II Paléologue et un musulman cultivé :
« L’empereur connaissait les dispositions développées et fixées dans le coran à propos de la guerre sainte. Il dit avec rudesse à son interlocuteur musulman : montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme sa mission de diffuser par l’épée la foi qu’il prêchait ».
Cette citation, aussitôt extraite de son contexte – et alors que le discours n’était pas même traduit – suscita un embrasement inimaginable dans le monde islamique. La rue musulmane explosa de rage, on brûla l’effigie de Benoît XVI, une religieuse dévouée aux autochtones de Somalie depuis trente ans fut assassinée par une foule excitée, on incendia plusieurs églises dans les Territoires palestiniens, en Iraq et en Inde.
Or Benoît XVI offrait tout simplement dans son exposé historico-théologique une clé de lecture critique générale, qui s’applique à toutes les religions (christianisme compris). Il tenait à rappeler une évidence : violenter au nom de Dieu est inacceptable, car Dieu a un lien avec la raison humaine.
Sans cette affirmation de bon sens, il est impossible de poser les bases d’un dialogue entre civilisations qui se fonde sur des relations ouvertes à l’altérité !
En citant le Paléologue, Benoît XVI voulait établir de manière simple un constat historique indéniable : Mahomet a prêché sa foi par l’épée, il a davantage été chef de guerre que chef religieux. La préoccupation majeure du pape était la situation spirituelle du monde contemporain, en fonction de laquelle devait être dénoncée la vision théocratique de l’islam, concept absolutiste qui autorise à violenter au nom du divin. Cette perversion n’est pas seulement présente dans l’islam; elle a aussi existé ponctuellement dans le christianisme à certaines époques bien précises. Benoît XVI l’a reconnu ouvertement.
Mais il ne faudrait pas confondre ce qui est conjoncturel avec ce qui est structurel, comme le font souvent sur les plateaux de télévision les vulgarisateurs médiatiques selon le raccourci habituel « religion = violence ». De même que « monothéisme égale conflit »…
Or la profonde différence, entre islam et christianisme c’est que les textes fondateurs musulmans ne disent pas la même chose que les écrits judéo-chrétiens. En islam, le rapport religion-violence apparaît particulièrement imbriqué, car il suffit de lire le coran et les hadiths, mais aussi les biographes musulmans de Mahomet (Mouslim, Boukhari, etc) pour s’en faire une idée précise.
Face à ce dilemme, Benoît XVI affirmait avec force que si l’on est convaincu que Dieu est entré en relation avec l’être humain doué de raison, la religion ne doit jamais servir de caution et d’alibi à la violence. En effet, une foi authentique ne peut se propager par la violence car elle est le fruit de l’âme, raisonnable, capable de réflexion et de dialogue. Le Paléologue, élevé dans la philosophie grecque, disait le pape, proclame le lien vital entre la raison et la foi, dans le but de contester la démarche islamique belliqueuse aux effets redoutables.
C’est bien ce que confirme El Tayeb Houdaïfa, chroniqueur de La vie Eco, lorsqu’il écrit que la période islamique du 7ème siècle fut « trop préoccupée par les conquêtes d’expansion militaire et pas assez par l’usage de la raison ». Il y eut aussi les assassinats successifs pour la succession dynastique de Mahomet (Omar, Othman, Ali). Ce qui a donné lieu à la rivalité séculaire entre sunnites et chiites, qui s’affirme de plus en plus dans l’axe Iran-Liban. El Tayeb Houdaïfa enfonce le clou : « l’après-prophète s’illustra plus par l’empire de la déraison que par le gouvernement de la raison »
Cependant, une chance nouvelle de réforme était apparue, lorsqu’aux 8ème et 9ème s. les Arabes firent traduire dans leur langue les œuvres des philosophes grecs qu’ils venaient de découvrir par leur conquête. Comme ils ne connaissaient pas le grec, ce sont les juifs lettrés et les savants chrétiens – nestoriens en particulier – qui réalisèrent pour eux ces traductions grâce au syriaque. De ce fait, la popularisation des œuvres grecques en milieu arabo-musulman suscita rapidement la première école théologique islamique importante, celle des mutazilites – avec Wasil ibn Ata, fondateur du kalam, la théologie spéculative. Intellectuellement attractive, cette théologie mutazilite fut établie comme doctrine officielle par le calife Al Mamun (814-833), mais une opposition farouche fit rapidement chuter cette démarche philosophique. Pour contrer cette pacification de la religion mahométane, Al Achari développa une ligne dure attribuant tout à Allah et rendant la raison de l’homme inopérante. Puisque l’individu est prédestiné dans ses moindres faits et gestes, c’est le mektoub qui régit tout selon le bon plaisir d’Allah,croyance doctrinale officielle encorede nos jours.
Au 11ème et 12ème s. Al Farabi et Al Kindi furent des penseurs musulmans développant l’idée d’une liberté éclairée par la raison, mais Ghazali leur adversaire réagit par un ouvrage intitulé « Destruction des philosophes ».
Même Averroes, un siècle plus tard, se retrouvait disqualifié au nom même de ce reflux vers un islam dur des origines. Dès lors, l’étau se refermait jusqu’à nos jours avec le redressement doctrinal opéré par Ghazali, freinant toute investigation philosophique en islam. C’est ce que l’on appelle la « fermeture des portes de l’ijtihad ».
Dans la même période, (au 11ème siècle), un autre théologien musulman célèbre refusait lui aussi fermement toute ouverture vers la raison : il rejetait toute influence philosophique grecque. C’est Ibn Hazm, que Benoît XVI, en connaisseur de son sujet, a présenté explicitement dans son discours de Ratisbonne : car pour ce juriste, Allah est pure transcendance sans aucun lien avec la raison humaine ni avec la vérité. L’idée était bel et bien de revenir à l’islam pur et dur du temps du prophète, considéré comme âge d’or de l’islam ; c’est le salafisme, courant musulman radicalisé qui gagne du terrain partout aujourd’hui, des montagnes afghanes aux banlieues françaises.
Dans la même logique, Ibn Hazm préconisait la lecture littérale du coran, c’est l’école zahirite, (le zahir = sens apparent). Tout lecteur du coran qui doute, ne serait-ce que d’une seule lettre, est kafir, incroyant, infidèle, impie. Le kufr, c’est l’impiété, punie de persécution en ce monde et des tortures de l’enfer dans l’autre.
Le coran ne recèle donc aucun sens caché, comme le prétendent les soufis, considérés par l’islam officiel comme une secte ésotérique et hérétique à combattre sans pitié.
Il est assez paradoxal de remarquer que Ibn Hazm donnait cette impulsion de repli à l’islam, alors même que – à l’inverse – se développaient en Europe chrétienne les premières grandes universités occidentales. Elles constituaient un lieu d’érudition et d’ouverture où l’on pouvait discuter et mener des disputationes contradictoires, où l’on s’exerçait à confronter des arguments et avancer des hypothèses de compréhension des connaissances.
Mais de par sa posture, ce Ibn Hazm, cité par le pape, est devenu l’un des théoriciens du djihad, en tant que guerre d’expansion de l’islam, et cela, dans la fidélité aux opérations guerrières des origines, c’est à dire la conquête obligatoire des territoires infidèles s’accompagnant du traitement impitoyable des non musulmans, les dhimmi, comme le préconise le coran.
Autre aspect particulier d’Ibn Hazm, son antisémitisme virulent. Le légiste musulman était engagé à fond dans la polémique antijuive et antichrétienne. Il martelait dans son traité Al Fisal l’intolérance absolue envers la catégorie coraniquement dénommée les « gens du Livre », Ahl al Kittab, avec de multiples imprécations contre la Torah désignée comme fiction mensongère. Il maudissait même tout musulman qui vivrait en bonne intelligence avec des juifs ou avec des chrétiens, vigoureusement dénoncés par le coran comme falsificateurs de la révélation divine. « Ne prenez pas pour amis les juifs et les chrétiens ! »
Ce n’est donc pas par hasard que Benoît XVI prenait le soin de mettre en évidence la position d’Ibn Hazm dans son analyse, vu tout ce qui en découle sur le terrain géopolitique et interreligieux. Pour le pape, le Dieu de la Bible, contrairement au dieu du coran, est un Dieu de l’alliance, un Dieu ami des hommes. Si dans son discours, Benoît XVI faisait remarquer que la théologie judéo-chrétienne bénéficie de l’outil grec de la pensée, c’est pour souligner expressément que la raison entre en ligne de compte dans l’expression de la foi, telle qu’issue de la bible hébraïque. Pour Benoît XVI, il convient de ne pas dés-helléniser la réflexion chrétienne, comme il convient de ne pas déjudaïser la foi en amputant sa spiritualité de l’Ancien Testament.
On voit bien quels sont les enjeux pour lesquels Benoît XVI a dénoncé toute foi qui exclurait la raison, sans oublier de montrer les limites d’une raison qui exclurait la foi.
La réflexion de Benoît XVI s’est poursuivie sur le même terrain dans le discours des Bernardins à Paris, en 2008, suite logique du discours de Ratisbonne de 2006. Voici ce que déclarait Benoît XVI exactement un an avant sa visite en France : « Fait aussi partie de l’héritage européen une tradition de pensée pour laquelle un lien substantiel entre foi, vérité et raison est essentiel.
« Permettez-moi de citer Jürgen Habermas :
« Par l’autoconscience normative du temps moderne, le christianisme n’a pas été seulement un catalyseur. L’universalisme égalitaire, dont sont nées les idées de liberté et de solidarité, est un héritage immédiat de la justice juive et de l’éthique chrétienne de l’amour.
Inchangé dans sa substance, cet héritage a toujours été de nouveau approprié de façon critique et de nouveau interprété. Jusqu’à aujourd’hui il n’existe pas d’alternative à cela ».
Pour Benoît XVI, les origines de la théologie occidentale et les racines de la culture européenne sont exactement les mêmes : judéo-chrétiennes.
Le fil rouge de cette réflexion est biblique, aussi le pape insiste-t-il au passage sur la filiation chrétienne vis-à-vis de la tradition juive. Les moines ont hérité des rabbins et des connaisseurs de la Bible la valeur du travail manuel. Sans cette culture du travail combinée avec la culture de l’esprit et du cœur, l’Europe n’existerait pas, et elle se détruirait si elle s’écartait de cet humanisme-là.
Et surtout, sans jamais prononcer une seule fois le mot islam, pour éviter les polémiques et les débordements, Benoît XVI a renforcé – dans la marge de son texte – la mise en garde de Ratisbonne :
Dans la sunna, il existe un hadith qui avertit : « pas de monachisme en islam ! ». Or, aux Bernardins, le pape a mis fortement en valeur l’immense apport historique des moines à la civilisation occidentale au cours des siècles. Ils ont défriché les esprits autant que les espaces.
Mahomet avait proscrit la musique et la poésie qu’il détestait, comme faisant obstacle à la parole d’Allah. Or, le pape a mis en valeur la créativité artistique du chant, de la musique, en lien avec la Parole de Dieu. Il a aussi montré toute la richesse de la démarche scientifique qui y puise son élan créateur de connaissance.
Par la même occasion, le pape a rappelé que le christianisme – comme le judaïsme dont il est issu – n’est pas une religion du Livre, mais une religion de la Parole vivante. Parole humaine inspirée par Dieu et que l’on peut donc analyser, discuter, interpréter, sans commettre de sacrilège. Ce qui exclut le fondamentalisme littéraliste et ses dérives dangereuses ; belle illustration de la phrase de Paul : « la lettre peut tuer, seul l’Esprit vivifie ! »
Enfin, on peut dire que Benoît XVI s’est prononcé sur les échanges interreligieux, la condition indispensable est qu’il n’y ait ni relativisme ni confusion des genres ! Sa présentation récusait les clichés politiquement correct parlant du judaïsme, du christianisme et de l’islam indistinctement, comme des religions abrahamiques, des religions du livre, ou l’amalgame indifférencié entre les 3 religions monothéistes…
L’idéologie égalitariste et laïque du « toutes les religions se valent » ne tient pas, face à une réflexion de cette profondeur, où la prise en compte clairvoyante du passé nous permet de mieux nous situer pour assumer l’avenir.
C’est le défi qu’a magistralement, magnifiquement relevé le pape à Ratisbonne puis à Paris, en guise d’avertissement à notre époque. Il a été ainsi une des rares personnalités internationales capables de désigner précisément d’où proviennent les menaces réelles tout en montrant les voies d’avenir à nos sociétés en mutations.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez, prêtre catholique, commission judéo-catholique de la conférence des évêques suisses et de la fédération suisse des communautés israélites, pour Dreuz.info.
Ce serait donc la raison du coup d’état?
Tout ça pour dire quoi , qu’il a osé relever le défi mais que personne ne suit aujourd’hui à son poste laissé à celui qui est allé donner un signal contraire au Maroc….
Benoît XVI a t il capitulé devant les montagnes que nous connaissons telles que tous ces scandales au Vatican et partout? Devant l’Islam toujours violent et avide de nos pays ? Il reste bien seul…
Vous cherchez là un sujet qui ne peut que déclencher les réactions les pires. À mon avis!
je classe en effet vos réactions à mes articles parmi les pires – comme vous le mentionnez – et les moins intéressantes de tous les commentateurs.
si mes réflexions ne vous passionnent pas, c’est votre droit, mais gardez vos sempiternelles critiques fielleuses pour d’autres têtes de pipe.
L’Islam est un ennemi résolu, redoutable et impitoyable du judaïsme et du christianisme et ne s’en cache même pas. Son idéologie doit être envisagée comme une force spirituelle adverse que la Bible désigne comme notre véritable ennemi. Toutefois la Bible dit aussi que, dans cette perspective, nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, c’est-à-dire, dans le cas qui nous occupe, à chercher à éliminer physiquement les musulmans. Toute la difficulté réside dans ce dilemme. L’Islam est irréformable et pratique le meurtre inscrit et préconisé dans ses écrits. Le christianisme doit lui opposer l’Amour de Dieu pour toutes ses créatures. Mais les chrétiens ont le droit et aussi le devoir me semble-t-il de pratiquer la légitime défense pour préserver des vies menacées. Si une armée ennemie veut porter atteinte à la vie des miens, j’ai le droit de me défendre de façon proportionnée à l’agression dont je suis l’objet. Et j’ai la conviction que nous nous trouvons actuellement exactement en situation de légitime défense face à un Islam conquérant et meurtrier. L’heure n’est plus aux discussions de salon.
Bien sûr. Des penseurs , et non des moindres, ont écrit sur la notion de “guerre juste” : “jus ad bellum” et “jus in bello” .On attribue à saint Augustin ce concept de guerre juste, mais d’aucuns en ont écrit avant lui: Platon, Aristote; puis, à Rome, Cicéron. Augustin a même, ce me semble, tiré l’épée contre les Vandales qui assiégeaient Hippone.
Merci Monsieur l’abbé Alain René Arbez pour cet article édifiant. Pour l’illustrer, éclairer davantage les lecteurs et confirmer ce à quoi Benoît XIV avait fait allusion , voici sur le lien suivant le condensé de tous les versets coraniques qui institutionnalisent et sacralisent la violence coranique:
https://ripostelaique.com/tout-savoir-sur-les-versets-coraniques-et-la-violence-en-8-parties.html
@ Maurice
Je recommande aussi un autre article de Riposte Laïque paru hier: ” Le pape François islamise-t-il l’Europe par ignorance ? De Julien Martel. Plusieurs personnes auraient aurait oeuvré au départ forcé de Benoît XVI…
“…un dieu qui pousse à tuer en son nom ne peut être qu’une idole païenne hostile à toute humanité et à toute civilisation…”
Voilà qui résume bien l’islam et ses “prophètes” de malheur!
Benoît XVI a été la première personnalité internationale de notre époque, me semble-t-il, à évoquer clairement, mais avec tact, les problèmes civilisationnels que pose l’islam… : “…Le premier qui dit la vérité ; Il doit être exécuté…” (Guy Béart)
Merci pour cette mise au point extrêmement instructive.
Je ne suis pas “complotiste”. Je me moque et je me méfie de toutes les rumeurs de complot. Cependant, malgré le silence de plomb de tous les merdia occidentaux, j’ai l’intime conviction que l’excellent Benoit XVI a démissionné à cause d’énormes pressions, venant du monde entier, en particulier, après son très lucide discours de Ratisbonne.
C’est quand même curieux que ce pape lucide sur l’hégémonisme de l’islam, ait été immédiatement remplacé par par le pire des paillasson, le dhimme dans l’âme François.
Même si on n’est pas “complotiste”, force est d’admettre que l’Histoire, tant la grande que la petite, s’est nourrie de complots,d’intrigues,de conspirations et de conjurations.
@ A²R
De fait, en termes plus ou moins amphigouriques vous encensez l’un (B16) pour au mieux désavouer au pire blâmer l’autre (F1) ! Les luttes intestines, les querelles de chapelle et les contradictions structurelles des vaticanistes sont (bien) connues.
Passons…
«Il est clair que l’Islam et le Christianisme ne peuvent être tous les deux vrais.
Soit Jésus était le plus grand des prophètes, soit c’était Mahomet.
Soit la Bible est la Parole de Dieu, soit c’est le Coran.
Nous sommes sauvés soit en acceptant Jésus-Christ comme notre Sauveur, soit en respectant les cinq piliers de l’islam.
Encore une fois, ces deux religions ne peuvent être vraies toutes les deux.
La Bible et le Coran ne peuvent tous les deux être la Parole de Dieu.
La vérité a des conséquences éternelles.»
Source : https://www.gotquestions.org/Francais/Islam.html
l’amphygouriste de service, c’est vous.
en quoi suis-je vaticaniste? du délire…
@ Mr l’Abbé
Bonsoir Monsieur l’Abbé, Merci de ce rappel historique et philosophique. Le problème avec l’islam, c’est que les Occidentaux s’imaginent pouvoir échanger avec des gens dotés de la même capacité de réflexion, mais l’islam interdit tout doute et donc sape toute réflexion. La notion de réciprocité n’existe pas chez les musulmans, sinon on pourrait construire des églises dans les pays musulmans.
Si comme le coran le dit la parole de Dieu ou Allah est éternelle, il est absolument impossible qu’il ait dit “tu ne tueras pas” et ensuite “tuez les infidèles”, les musulmans se prennent les pieds dans le tapis avec leur histoire de versets abrogés et abrogeants, franchement c’est d’un ridicule… Bien à vous, L.
@ Berny
Le catholicisme romain et le protestantisme médiéval tardif ne peuvent être vrais tous les deux.
Je préfère l’original catholique romain à la copie, à l’imitation, à la contrefaçon protestante séditieuse, frauduleuse, hérétique et blasphématoire !
Défendre les Chrétiens ! Rendez nous Benoit XVI ! Dehors François l’Apostat !
Phrase pathétique, peut-être même pathologique.
je t’ emmerde .
L une est la religion ,l autre est une secte coranique.
Vous n’avez pas lu l’article en entier semble-t-il.
Ces invectives à l’emporte-pièce ne sont fidèles ni à son style ni à son contenu.
L’Abbé vous parle de faits, et vous dit qu’à plusieurs reprises une orientation de l’Islam vers la raison a été amorcé… en vain.
Comme je l’ai déjà dit ,et bien d’autres aussi : “LA” religion est un poison ………….
ça continue encore et ça continuera encore que , au seul nom de dieu des crétins profonds s’entretuent et tuent des innocents ……………
Quand va t’on comprendre que ces livres que vous appelez “bible” ou “coran” ont été écrit par la MAIN de l’homme …………..
@ le templier
Je suis athée, viscéralement et définitivement, mais votre condamnation de toute religion est trop brutale. Je pense que le christianisme a été un facteur formidable de progression morale, philosophique et sociétale, même s’il a dans le passé freiné la science, et que la plupart de ses valeurs sont à protéger car sans elles nous n’en serions pas arrivés à la civilisation la plus tolérante, fraternelle et libre qui ait jamais existé.
C’est fort bien dit Lisianthus !
Il est certain que les idéologies sans dieu qui ont fleuri au XXe siècle auront fait la preuve de leur pacifisme et de leur amour de l’humanité: bolchevisme,nazisme, maoïsme, polpotisme, combien de morts? Et Guevara, et Castro, et Enver Hodja, et Mengistu, et Kim Jong Il encore aujourd’hui,et combien d’autres du même tonneau, tous nourris de tendresse humaine !
Monsieur l’Abbé Arbez a donné une autre lecon excellente pour argumenter dans une atmosphère non-bénévolante vers les chrétiens et la bible et les monuments du christianisme. Malheureusement il faut dire et cetera. Le Professur Habermas en dialogue avec le Professur Ratzinger a montré son respect vers la créativité et l’originalité chrétienne, mais en mentionant “la parole vivante” Monsieur l’Abbé fait la référence essentielle au Benoit XVI.
Encore un article de référence impeccable que je n’hésiterai pas à utiliser pour ouvrir les yeux de certaines personnes de mon entourage.
Bravo et merci pour le travail remarquable que vous faites contre vents et marées !
C’est un outil très utile dont nous sommes gratifiés par l’étude de Monsieur l’Abbé ARBEZ.
Je posais la question récemment de savoir s’il existe une possibilité, dans la tradition écclésiastique, de REVOQUER UN PAPE indigne de la confiance de la communauté chrétienne…..du fait d’un comportement tel que celui du pape François qui pourrait selon les interprétations , être qualifié soit de PERVERSITE soit de DEBILITE MENTALE, (au choix) , en raison du dialogue ahurissant qu’il s’entête à entretenir avec les représentants d’un ISLAM qui martyrise les Chrétiens d’ORIENT entre autres crimes bien réels !… Cette situation n’est elle pas EXTRA ORDINAIRE ???
Excellent article dans lequel il apparait que l’islam s’est construit en opposition a l’alliance sensible du coeur et de l’esprit. Comme un frère moins aimé qui aurait voué son existence a la revanche, son but ultime est de remplacer la lumière que d’autres ont reçu et accepté par les ténèbres.
Benoît XVI et Barack Obama réduisent l’un comme l’autre le destin juif à la Shoah, en même temps qu’ils transfèrent aux Arabes dits « palestiniens » les attributs historiques du peuple juif et d’Israël.
[…] Le pape centre symboliquement sur Yad Vashem sa visite aux Israéliens. À Bethléem, dans son adresse aux Arabes, l’homme à la kippa blanche recourt au registre du religieux, notamment lorsqu’il compare ses auditeurs à la « Sainte Famille » fuyant le Massacre des Innocents. Dès lors, les Juifs sont revêtus de l’habit d’Hérode, l’assassin d’enfants. Les Arabes palestiniens, frustrés de la terre de « leurs ancêtres », deviennent le peuple autochtone chassé de chez lui. De la part d’un pape qui affirmait vouloir dialoguer avec les Juifs, une pareille falsification est bien singulière. On est loin du message de son prédécesseur aux « frères aînés ». […]
http://marcoroz.over-blog.com/article-32552857.html
ces allégations sur Benoît XVI sont tout simplement fausses et trahissent un manque de connaissances du sujet.
avant d’accuser, on se renseigne.
“… the pope … once again endorsed Palestinian statehood, referred to the suffering in the Gaza Strip five times, and compared the fate of Palestinian refugees with the Holy Family’s flight to Egypt.”
https://www.ncronline.org/news/vatican/today-benedict-belonged-palestinians
Avant d’accuser, on se renseigne.
ces allégations sur Benoît XVI sont tout simplement fausses et trahissent un manque de connaissances du sujet.
avant d’accuser, on se renseigne.
“The Holy See supports the right of your people to a sovereign Palestinian homeland in the land of your forefathers…”
(ibid.)
Alors, ces allégations ? Elles sont fausses ? Qui est-ce qui semble manquer de connaissance sur ce sujet ?
Je ne dis pas que ce genre de phrase n’ait pu être formulée dans un contexte bien particulier, mais c’est votre interprétation oubliant tout le reste de l’action de Benoît XVI qui pose problème, vous ne rendez pas justice à son engagement et à son lien avec Israël.
les papes reçoivent les représentants de toutes les entités politiques quel que soit le régime, il y a toujours une rhétorique avec un langage diplomatique qui prend en compte les sensibilités des populations et qui évite de relancer les conflits. Même en Israël, une proportion importante de citoyens tiennent le même langage des deux états.
Simplement pour rendre grâce à notre Père tout puissant de nous avoir donné son fils bien aimé afin que nul ne périsse et que nous ayons la vie éternelle. Merci notre Christ bien aimé, notre Seigneur de joie, de nous enseigner par ta parole puissante, le dévouement et la diminution, afin que tu puisses croitre et que nous prenions plaisir à rester sur le chemin étroit, pour expérimenter au quotidien la vérité et la vie.
@ Paul
Je vous salue Marie, pleine de grâce
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs
Maintenant et à l’heure de notre mort
Amen
Tout à fait le rabâchage religieux dénoncé par Jésus !
Quelle triste horreur!
Quand vous priez dites : »Notre Père.. »
Abba…
Le reste n’est qu’une triste mélopée à une idole morte!
@Zacharie
Si vous vous voyiez tel que Dieu vous voit, vous verriez que vous êtes spirituellement pauvre, nu et aveugle, et, accessoirement incompétent et ignorant.
Bonne nuit, si c’est possible !
Là au moins je suis d’accord, c’est pour cela que j’ai besoin de Dieu. Dans ma faiblesse il est fort en moi!
Mais pas d’idole Morte dénoncée par la deuxième Parole d’Exode20.
Ce Pape, Benoit XVI, a déclaré que l’Islam pouvait avoir été définie par quelqu’une d’autre que lui plusieurs siècles avant comme une religion du meurtre religieux. Pour lui prouver le contraire une meute de gentils musulmans au service de l’amour et la paix s’est jetée sur une religieuse agée qu’ils connaissaient depuis trente ans et ils l’ont massacrée pour démontrer qu’ils sont la référence mondiale de l’amour et de la paix.
Et tout le monde trouve ça bien.
Ca rappelle claire Bretécher et son “on vit une époque formidable” des années VGE.
Il y avait l’ingénieur au chômage a qui le clochard dit :”si je te sodomise tu trouveras du travail”. Puis l’ingénieur est venu le retrouver pour le manque de résultat et le clodo lui a dit :”si a ton âge tu crois encore au Père Noël”. Il aurait pu ajouter “je ne suis ni de droite, ni de gauche, je suis au service de l’islam, je te prépare la voie”.
“quelqu’un d’autre”. Faute involontaire, c’est ce con de clavier.