
“Du moment que le frigo est plein et que les séries TV sont là, tout est normal”, explique Sweiller, un lecteur de Dreuz de la première heure.
Il poursuit ainsi :
Se responsabiliser, réagir avec vigueur, c’est accepter de se faire accuser de fanatisme, d’extrémisme, de fascisme, etc… c’est surtout mettre en danger sa routine et sa vie pépère !
L’homme déteste !
L’homme déteste fondamentalement être libre car c’est une responsabilité, un combat de tous les instants !
C’est si bon l’esclavage doux à l’occidentale où la prise en charge est totale …
[Pour être libre] c’est beaucoup de travail sur soi en perspective (en commençant par moi évidement) pour redevenir un vrai homme digne de ce nom, c’est à dire un guerrier !
Réflexions inspirées par les cours du Rav Dynovisz
Il conviendrait d’ajouter que la notion de liberté n’est pas absolue mais relative. On n’est pas “libre”. On est très libre, un peu libre, peu libre. Et cela dépend des sujets et des époques.
Mais une chose est certaine : il n’est pas facile de savoir combien on est libre, puisque c’est un état relatif et dépendant du contexte. L’oiseau né en cage considère qu’il est anormal de voler.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sweiller pour Dreuz.info.
en total désaccord!
Pourquoi, si je puis me permettre de vous le demander ?
Il serait intéressant de comparer les deux points de vue.
Cette situation décrite est ce à quoi aspire Big Brother et Macron poursuit la tâche !
En d’autres temps, Etienne de la Boetie a écrit un admirable discours sur la servitude volontaire, que l’on peut d’ailleurs télécharger sur Internet et qui illustre bien votre propos.
So what ? Développez un peu votre propos !
c’est le choc ressenti par les allemands de l’EST à la réunification lorsqu’ils se rendirent compte que la société occidentale ne les prenait pas par la main comme en régime communiste ; certains en ont gardé la nostalgie là où nous voyons une servitude.
Une question intéressante à creuser : quand le mur est tombé, dans quel sens sont allés les gens ?
Il y a aussi eu beaucoup de ressortissants de l’ex-URSS qui, même en ayant fui leur pays et s’être installés dans le monde libre et civilisé, avaient une profonde nostalgie du communisme et regrettent ouvertement la “mère Russie” !
J’étais et je suis toujours anticommuniste non pas primaire mais viscérale. Je suis allée en Russie et en Ukraine au ” bon temps” de l’URSS. Après quelques jours j’ai compris que c’était ce dont rêvait la majorité des français. Tout le monde avait un emploi, je dis bien emploi et non travail. Dans les hôtels les employés étaient plus nombreux que les clients et ils passaient leur temps à bavasser. Ils ne mourraient pas de faim même si la nourriture était peu variée, ils étaient logés, mal logés certes, mais pratiquement gratuitement, ils étaient très bien chauffés (ça c’est pour le frigo plein!).
Mais surtout tout le monde était logé à la même enseigne, à part une poignée qu’était la nomenklatura. Et cerise sur le gâteau on n’avait pas le droit de penser et encore moins de dire sa pensée.Quelle tranquillité d’esprit! A cette condition tout était pris en charge! Nous en sommes là en France. Je passe mon temps à dire qu’on n’est plus en France mais en Soviétie.
Excellent texte. Réaliste, historique, vrai aujourd’hui pour un pays appelé France.
En plus de chacun des mots bien justes, la première et les deux dernières lignes sont criantes de vérité et je les partage à 1000 %.
Remarquable …. déductions parfaitement exactes !
“Du pain et des jeux ” !
( les “jeux” ? ……donc de la distraction pour tromper l’ennui, la médiocrité …. des médiocres !! (et “ils” sont légions dans la vie civile !))
Relevons (une fois de plus !) la qualité “raisonnementale” et philosophique du site !
Jamais pris en défaut de logique, jamais pris en défaut de ….. simple bon sens !
Pour “certains” …. ce doit être particulièrement insupportable !
@de simple bon sens !
Comme votre pseudo, il semble que le bon sens ne vous manque pas.
Sauf un petit bémol.
Les jeux distrayaient en effet et faisaient oublier la gestion malhonnête, qui nuisait au peuple.
Tandis que la Télévision, je ne sais plus où je peux trouver une émission de quelque ordre que ce soit, qui ne distille sournoisement ou franchement, la propagande gauchiste.
Même dans les tous nouveaux feuilletons, jeux, etc…La mention de Trump et de l’actualité pratiquement au jour le jour, se trouve déjà le travail de sape.
Bonne soirée,
@ Aline1
Preuve qu’une bonne télé, c’est une télé éteinte. 🙂
@Rico,
En effet, vous n’avez pas tort.
Sauf qu’alors, si nous faisions comme les totalitaires, à savoir censurer totalement le petit écran, ou même la presse, nous n’aurions pas le droit de critiquer leur façon de faire, et comment constater alors, le deux poids deux mesures, leurs mensonges, leur désinformation, etc. ?
Il faut bien en passer par là.😬
Rester lucide tout de même, en laissant de côté définitivement les pires…
LE COMMUNISME, C’EST TOUT CE QUE MÉRITE LA FRANCE –
L’ASSISTANAT OU LA DÉPENDANCE FACE A L’ÉTAT PROVIDENCE.
LE TOUT GRATUIT OU PRESQUE ET SURTOUT LA RETRAITE ET LE PLUS TÔT POSSIBLE.
ET PARADIS A LA FIN DE VOS JOURS.
Éliane Amado Levy-Valensi disait dans un de ses livres (de mémoire, ce n’est pas au mot près) : les vacances sont inutiles si le travail est enrichissant / de qualité !
Un exemple frappant de ce phénomène est déjà inscrit dans la Torah (il y a 3331 ans !) … Des commentateurs disent que personne n’aurait jamais songé s’enfuir de l’esclavage d’Égypte* car chacun se sentait ‘libre’ ! Car chacun se connaissait avec son statut (esclave par exemple) et n’aurait jamais imaginer en changer pour devenir autre chose …
Au chapitre 14 de Chemot (l’Exode) on peut lire :
“1 L’Éternel parla ainsi à Moïse: 2 “Dis aux enfants d’Israël de remonter et de camper en face de Pi-Hahiroth, פִּי הַחִירֹת ,entre Migdol et la mer; devant Baal-Cefôn, à l’opposite, vous camperez au bord de la mer.” Nous sommes à la frontière de l’Égypte …
Et bien peut être serez vous étonnés d’apprendre que ‘Pi-Hahiroth’ (Pithom) s’actualise en termes modernes comme ‘Statue de la Liberté’ !
* L’hébreu n’étant pas vocalisé le mot Égypte, מִצְרַיִם ,peut se lire metzarim = les limites … C’est le pays de toutes les limites, tout le monde y est esclave de quelque chose !
Sinon Goethe, c’est bien l’anagramme de Game of Thrones ? (bon ok je sors)