Publié par Rosaly le 5 avril 2019

A l’approche des élections parlementaires, un petit film, intitulé «Une histoire qui rend furax» a le mérite de décrire sous forme d’une bande dessinée la situation dramatique à laquelle est confrontée la Finlande et le reste de l’Europe, suite à la trahison de leurs dirigeants.

Dire la vérité sur les méfaits d’une immigration incontrôlée, la dhimmitude et la corruption des élites dirigeantes devient du «racisme» et est dès lors considéré comme un délit.

Jugé «raciste», ce petit film électoral du parti «Les vrais Finlandais» a été sanctionné par la bienpensance. La chaîne de cinéma Finnkino a refusé de le diffuser, car jugé contraire aux valeurs démocratiques si âprement défendues par les progressistes en faveur des «nouveaux Finlandais».

La vidéo avait été intégralement postée sur YouTube, en anglais et en finnois, et récemment partagée sur les plateformes de divers médias sociaux.

Mardi, dans une déclaration publiée sur Twitter, la chaîne de cinéma Finnkino expliqua la raison du retrait du film dans ses salles de cinéma :

«Finnkino défend la tolérance, la liberté d’expression et la démocratie et ne tolère ni le racisme ni la discrimination.»

Finnkino défend la liberté d’expression à condition qu’elle soit politiquement correcte. Dans ces cas, où est la démocratie ?

Ce film de 6 minutes raconte une bien triste histoire, celle de la Finlande actuelle, semblable à celle d’autres pays occidentaux.

«Il était une fois un petit pays habité par des gens satisfaits et heureux. Les citoyens de cette petite nation aimaient leur patrie et leur indépendance acquise au prix de nombreux sacrifices.

Un jour, les dirigeants du pays, démocratiquement élus, décidèrent de trahir les promesses faites au peuple. Ils prirent conscience qu’ils pouvaient devenir incroyablement riches, s’ils utilisaient leur pouvoir d’une manière fourbe et manipulatrice. Ils décidèrent d’abandonner la culture de leur pays, ses traditions et ses valeurs en faveur d’une nouvelle population, constituée par des «migrants».

Via la législation et la fiscalité, ils dépouillèrent de plus en plus leurs propres concitoyens, tout en ouvrant les portes de leur pays à des étrangers du Tiers monde, dont les valeurs, traditions et croyances étaient totalement incompatibles avec celles de leur peuple.

Inconscients des risques que leur «humanisme» et leur grande «générosité» allaient faire peser sur la sécurité de leurs concitoyens, ils ouvrirent les vannes de l’inondation migratoire et accueillirent tous les «réfugiés», peu importe si la majorité d’entre eux ne l’était pas. Ils prirent le contrôle des médias et en firent leur plateforme de propagande.

Quiconque avait l’audace de s’opposer à cette folie était réduit au silence et traité en criminel. Ce pays, autrefois un havre de sécurité pour les enfants et les femmes, appartenait désormais au passé.

Les Finlandais de souche étaient priés de s’adapter à la nouvelle Société et sommés de ne pas céder à la haine et à la peur de l’étranger, paré de toutes les vertus.

Les années s’écoulèrent et la colère se répandit parmi les autochtones, devenus des citoyens de seconde zone dans leur propre pays. Cette juste colère se transforma en énergie et l’énergie en un monstre, qui traqua sans relâche les coupables. Dans l’impossibilité d’échapper à la colère du peuple, les dirigeants implorèrent sa pitié et promirent de rétablir l’ordre dans le pays. Mais leurs promesses ne suffirent pas à calmer leur colère. La mine contrite, le leader du gouvernement se mit à sangloter. Il promit de redresser la situation, de remettre sa démission et d’être expulsé du pays.

A ces paroles, le monstre, défenseur du peuple, disparut en fumée dans les airs, non sans avoir averti que si la corruption devait à nouveau montrer son visage hideux, il reviendrait à nouveau avec furie.

The End!”

Evidemment, il n’y a pas de monstre en colère, et il ne viendra pas pour sauver le peuple. Les vieux partis ne changeront pas leurs objectifs de destruction du peuple finlandais. Si vous voulez que cela change, alors utilisez votre pouvoir, votez pour le changement !

Il n’y a rien de controversé dans ce petit film, mais seulement une description de la réalité. Cette vidéo et son message devraient être partagés non seulement en Finlande, mais partout en Europe.

Selon les derniers sondages, le parti «Les vrais Finlandais» serait en hausse pour les élections du 14 avril prochain, sot à 15.1 %. Ce pourcentage est supérieur à celui obtenu lors des élections locales en 2017, qui s’élevait à 8.8 %, mais inférieur à celui de l’élection parlementaire de 2015, qui avait récolté 17.7 % des voix.

Le «monstre en colère» n’est pas encore prêt de se lever dans ce petit pays, ni ailleurs en Occident. Les citoyens frileux, tétanisés par la propagande de culpabilisation, qui de manière lancinante s’insinue jour après jour dans leur subconscient, redoutent d’être traités de xénophobes, d’islamophobes, de fascistes, de nazis. Ils perçoivent l’omniprésence de ce danger pour leur avenir et celui de leurs enfants, comme un vague malaise, qu’ils ne savent définir, mais ils préfèrent balayer cette perception embarrassante d’un revers de la main et se réfugient dans les plaisirs éphémères que leur offre la société de consommation pour oublier ce sentiment gênant qui les envahit. Si certains devinent le péril imminent derrière cette apparente tranquillité, cette illusion de paix, ce faux sentiment de sécurité, qui semblent flotter dans l’air, la majorité n’est pas encore sortie de sa torpeur et continue à croire en des lendemains qui chantent, promis par les partis politiques traditionnels. Ils se donnent ainsi bonne conscience et ferment les yeux sur les nuages sombres et même noirs qui s’agglutinent à l’horizon, tout comme dans les années trente, dans l’espoir qu’ils seront chassés par des vents favorables. Ce ne fut point le cas au siècle dernier. Adviendra-t-il de même en ce siècle ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source: «Election film that tells the truth about Finland and Europe banned from cinemas due to «racism». (Voice of Europe/Fria Tider Globar filmiätte stoppar Sannfinländarnas vallfilm)

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