
Je vous le disais, le candidat Démocrate à la présidentielle 2020 Beto O’Rourke, est pour l’instant le poulain de Barack Obama.
Problème, il est irlandais d’origine, il s’appelle Robert, et il est vraiment très blanc. Beaucoup trop blanc pour la politique identitaire de la gauche. Et il est impossible de le faire passer pour un noir.
Qu’à cela ne tienne ! Les médias continuent de Photoshoper le candidat.
Puisqu’ils ne peuvent vraiment pas le faire passer pour un noir ou un musulman, ils en ont fait un Hispanique !
- Première étape : le prénom. Beto au lieu de Robert.
- Seconde étape : la très respectueuse agence d’information Associated Press a carrément menti sur son origine, en publiant une dépêche indiquant que Beto “s’est exprimé publiquement dans son espagnol d’origine”.
Dans un article publié hier, Associated Press a écrit que dans un discours qu’il a prononcé dans sa ville natale d’El Paso :
“O’Rourke a parlé longuement dans son espagnol natal, suscitant des applaudissements forts et soutenus.”

“Espagnol natal” ?
- “Beto” est un Irlandais-américain de quatrième génération,
- Il est né aux États-Unis.
- Il n’a jamais vécu dans un pays hispanophone.
- Sa langue maternelle est l’anglais !
Il faut dire que le candidat fait tout pour brouiller les cartes et tromper le public.
- Voici un clip de Beto parlant espagnol dans une interview avec le journaliste Jorge Ramos – parfaitement anglophone.
Les hispanophones de langue maternelle espagnole remarqueront immédiatement que Beto parle bien, mais qu’il a un accent américain et que sa grammaire et sa syntaxe sont loin d’être parfaites.
Mais bon, si faire croire que Beto est un hispanophone “natif” lui vaut quelques voix de plus, quel mal y a-t-il à tromper les électeurs ?
- Peu de temps après qu’Associated Press ait été pris la main dans le sac par un journaliste de droite (les journalistes de gauche sont complices de tous les mensonges qui peuvent permettre d’empêcher Trump d’être réélu), AP a supprimé la référence à “espagnol natal” dans son article.
- Puis, quand un autre journaliste a fait remarquer qu’AP a discrètement corrigé son article, AP s’est fendu d’une nouvelle correction, mentionnant son erreur (1). Ce n’était pas une erreur. Le journaliste savait très bien qu’O’Rourke n’est pas espagnol. Ou alors il doit changer de métier.
Mais le mal était fait. Un journal du Tennessee publiait l’article de AP dans sa version originale avec la revendication “native Spanish”.

D’autres suivront.
Voilà jusqu’où les médias de gauche vont aller pour renforcer la crédibilité hispanique de Beto O’Rourke auprès du grand public peu informé.
Quant aux médias français, ils continuent à diffuser leurs mensonges sur O’Rourke comme ils ont diffusé leurs mensonges sur Trump, avec l’objectif inverse : faire aimer Beto, faire détester Trump.
J’ai publié un article-vérité sur ce candidat tricheur (2), détaillant tout ce que les médias cachent sur lui. Mes confrères l’ont lu, la honte ne les étouffe pas. Comme ils ont compris qu’ils ne retrouveront jamais la confiance des lecteurs, ils sont de pis en pis.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Sa langue maternelle est pourtant la langue de bois…
Les médias canadiens français, continuent à diffuser leurs mensonges sur O’Rourke comme ils ont diffusé leurs mensonges sur Trump, avec l’objectif inverse : faire aimer ROBERT allias Beto pour les hispanos faire détester Trump.
La télé telles RDI radio Canada et LCN ne tarit pas d’éloges pour ce texan d’une imbécilité extreme.
Serge,
Tout à fait, de jours en jours la meute des 3 mousquetaires (R.C. RDI, et LCN) s’en donnent à coeur joie. Ce qu’ils ne comprennent pas est qu’ils perdent des joueur, éveillés, qui commencent à chercher la vérité ailleurs.
pour un Américain blanc donc bilingue ce qui est rare …. son espagnol est pas si pire mais en vérité je souhaite de tout cœur qu’il sera le Chef du Parti démocrate car il fera rager et diviser le vote des femmes , le vote des noirs et des latinos mais le plus important est que Trump va le démolir car il a tellement d’argument contre ce petit fils snob et arrogant
Pourquoi poser la question, alors que vous savez pertinemment, M. J-P. G., -comme tout Dreuzien- que la réponse tient dans l’apophtegme pré-enregistré de Buzz Lightyear of Star Command : “To infinity… and beyond!”.
Tirez la ficelle : tous les gentils de gauche tiennent en cette certitude-là [Il y en même un -insipide mais bruyant- qui a cru bon d’appeler son ‘mouvement’ “En Marche (vers le néant, me semble-t-il)”].
L’ennui -le très gros ennui- c’est qu’eux aussi ignorent qu’ils sont des poupées de plastique (c-à-d des jouets dans les mains de… certains bienfaiteurs de l’humanité auto sanctifiés), ils ignorent aussi que leur message est pré-enregistré et que leur rayon de la mort n’est qu’une LED.
En attendant qu’ils se réveillent (enfin !) de leur mythe sub-sub-sub-subconscient…
… qu’est-ce qu’ils peuvent nous pomper !
Ado-Y-H-W-Hnaï, accorde-leur le Discernement !
Ça les sauvera.
Et, de plus, ça nous fera des vacances…
B-‘E
Bonjour,
Franchement on s’en fout de ce type, il ne sera pas élu
“Pourquoi le «grand débat» était une imposture”?
Parce que Macron est un imposteur.
Erratum : mauvaise page!
Déjà, seulement pour faire de l’audience, comme l’a avoué CNN, ils sont prêts à inventer un Trump détestable, et dès lors que les média ne sont plus totalement financés par leurs lecteurs déjà partiaux, mais qu’en plus ils osent accepter publiquement des subventions du pouvoir, quel qu’il soit, vous pouvez considérer que LA DÉMOCRATIE EST ABOLIE .
Quand les média dépassent les bornes comme dans l’enquête de Muller contre Trump, enquête menée tambour battant dans l’espoir de découvrir bien autreS choseS afin de <le destituer pour couvrir les exactions putschistes des Démocrates du clan Clinton : il faut bien réaliser QU’AU-DELÀ DES BORNES… IL N’Y A PLUS DE BORNES . La suite nous attend.
Voilà notre réelle situation actuelle. Nous sommes des résistants.
Plus que jamais, je suis maintenant fortement convaincu encore a l’effet que le monde journalistique est devenu la courroie de transmission des gouvernements en place car leur média respectifs ont un besoin urgent de $$$$$ pour continuer a respirer, sans ces SUBVENTIONS, ils sont mort leur journal n’existe plus. Voila pourquoi certains MÉDIA tels Radio-canada et bien d’autres sont devenu si LOYAL envers les gouvernements qui les font survivre. ILS SONT A LA SOLDE DES POLITICIENS a pas n’importe lesquels; CEUX DE GAUCHE en particulier. Nous n’avons pas fini de voir tout ces renégats que dis-je, ces MERCENAIRES de la presse écrite et parlée nous envahir de leur imbécilité crasse. LIRE UN JOURNAL AUJOURD’HUI
c’est se prostituer voir s’avilir voir s’abrutir.