Le géopoliticien Albert Soued rapporte les derniers propos de l’analyste du Moyen-Orient Jonathan Spyer, qui dresse un tableau un peu plus complexe que les déclaration hâtives des médias sur la situation en Syrie
Alors que le monde célèbre la défaite de l’Etat islamique depuis la bataille finale de Baghouz le 23 mars dernier, Jonathan Spyer, analyste du Moyen Orient signale que le conflit n’a pas disparu et s’est métastasé. Durant les dernières 24 heures, les forces gouvernementales syriennes ont bombardé des zones tenues par les rebelles dans le nord-ouest du pays. 17 civils ont été tués, a déclaré jeudi un groupe de surveillance de la guerre.
Environ 10 000 anciens combattants de la brigade Fatimiyoun, composé principalement d’Afghans de la minorité ethnique Hazara, qui est l’une des plus pauvres du pays, recrutés et formés par l’Iran, sont rentrés en Afghanistan, a affirmé cette semaine un haut fonctionnaire du ministère afghan de l’Intérieur (1)
« La guerre qui a ravagé la Syrie au cours de la dernière demi-décennie touche à sa fin, explique Spyer (2), dans Foreign Policy.
Le califat déclaré par Abou Bakr al-Baghdadi de l’organisation de l’Etat islamique, le 29 juin 2014 à la mosquée al-Nuri de Mossoul, a disparu sur le terrain. La rébellion, principalement sunnite, contre le régime de Bachar al-Assad est terminée.
Ce qu’il en reste aujourd’hui est la composante militaire d’un projet turc visant à transformer un coin du nord-ouest de la Syrie en une entité cliente turque.
Cependant, trois nouvelles guerres ont éclaté. Elles se déroulent dans les trois zones indépendantes de facto dont les frontières se dessinent au fur et à mesure que la fumée de la bataille précédente se dissipe :
• la zone à l’Ouest contrôlée par le régime, garantie par la Russie ;
• la zone à l’Est de l’Euphrate, contrôlée par les Forces démocratiques syriennes, qui se composent principalement de combattants kurdes protégés par les Etats-Unis et la puissance aérienne occidentale ;
• et enfin la zone contrôlée par les Turcs et leurs alliés sunnites dans la province d’Idlib.
La zone du régime comprend environ 60% du pays, le SDF en compte environ 30% et la zone islamiste turco-sunnite environ 10%. Chacune de ces régions est aujourd’hui le théâtre d’une guerre civile qui lui est propre, soutenue par les enclaves voisines ».
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Il en est ainsi depuis depuis 1400 ans. Aucun conflit entre musulmans n a cessé .
Ces barbares ,ont déjà a leur actif ,des centaines de millions de morts non musulmans ,sur tous les continents.
Et ,bientôt ,on va les laisser conquérir d autres planètes !
On ne peut que se réjouir que les musulmans soient divisés, heureusement qu’ils ne sont pas unis dans leur idéologie malfaisante contre le reste du monde.
Mt 12:25 Comme Jésus connaissait leurs pensées, il leur dit: Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister.
Ce que les arabes ne comprennent pas, c’est qu’il ne faut pas ouvrir la boite de pandore.
Une fois le terrorisme installé, on ne peut plus l’arrêter. Et souvent le serpent mord celui qui l’a engendré
la syrie n’est qu’une invention des francobritanniques après la première guerre mondiale
qu’ils se partagent le territoire et vivent en paix (le vivre ensemble ne fonctionne pas chez eux non plus)
Hyaou !!!! tout le monde y va de son idée et au final ! tout le monde est mort ! vos dieux sont morts, place aux vivants ! arrêté de vous flinguer pour des entités que vous ne croiserez jamais ! Chacun chez soi et respect pour l’étranger qui transite, il nous faut définir des nouvelles règles sinon L’Humanité sprint à sa perte. Et bordel de merde une maman, une jeune fille, un gamin sont aussi précieux à l’ouest, à l’est, au sud, au nord. Baissez vos armes et aillez les couilles de discuter avec vos cœurs.