
Source : Saphirnews
Tariq Ramadan aurait perçu, en tant que « consultant », 35 000 euros par mois pendant des années du Qatar, à travers la Fondation du Qatar pour l’éducation, la science et le développement communautaire (Qatar Foundation), dirigée par la puissante mère de l’émir, Cheikha Mozah. C’est ce qu’affirment les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot dans l’ouvrage Qatar Papers, paru jeudi 4 avril chez Michel Lafon.
Celui qui dirigeait depuis 2012 le Centre de recherche sur la législation islamique et l’éthique (CILE), structure lancée par la fondation, assurait pourtant via Saphirnews qu’il n’avait « pas d’engagement financier » dans le travail mené avec le Qatar.
Ce qu’il disait sur ses liens avec le Qatar en 2013
Selon une note de Tracfin consultée par les auteurs de Qatar Papers puis par Libération, l’intellectuel suisse a rapatrié en juin 2017 en France la coquette somme de 590 000 euros, en provenance de son compte qatari alimenté par les versements mensuels de la fondation afin de financer, entre autres, l’achat de deux appartements parisiens. Une somme qu’il doit en grande partie grâce à la la Qatar Foundation qui lui versait 150 000 riyals par mois, soit l’équivalent de 35 000 euros, toujours selon les journalistes.
Il n’est pas préciser des journalistes depuis quand et jusqu’à quand Tariq Ramadan a bénéficié de ce généreux revenu mais ses deux mises en examen pour viols fin 2017, à la source de révélations sur sa vie privée, n’ont pas été sans conséquences pour sa réputation. Il est remplacé au CILE depuis quelques mois par un directeur intérimaire en la personne d’Emad El-Din Shahin, doyen de la Faculté d’études islamiques de l’Université Hamad Bin Khalifa au sein de la Qatar Foundation.
A son arrivée à la direction de ce centre en 2012, Tariq Ramadan a fait face à de nombreuses critiques mettant en cause son indépendance. Voici ce qu’il répondait à ses détracteurs dans une vidéo diffusée sur Saphirnews à son retour du Forum social mondial, à Tunis, en 2013. « La réalité de mon engagement, c’est que (le CILE) est un projet dans lequel j’ai posé dès le départ une indépendance intellectuelle et politique et une indépendance financière », déclarait-il, face caméra, comme en atteste cette vidéo, assurant ne percevoir qu’un salaire, celui de professeur d’études islamiques à Oxford.
La Takyia toujours la Takyia
putain qu’il me fait chier …. une raison de plus pour détester ce batteur de femmes
consultant, un beau métier …
il va donc expliquer aux princes et émir comment violer sans se faire prendre ?
CONSULTANT UN ESPION
il est temps qu il goutte a la 7/5
Pierrot, qu’est la 7/5 ?
Des “consultants” ou “intellectuels” du genre
Ramadan, on en a à revendre. Ce citoyen suisse
doit rendre des comptes à la justice de son
pays.
La France est infestée de propagateurs de
l’islam. Le Qatar, on le sait, paie avec munifi-
cence ses agents.
Je regrette que Macron ait choisi pour allié
ce méchant petit émirat.
l avenir l a dit
Décidément vous faits exprès de ne pas comprendre: Frère Tariq n’a pas menti, il a taqiyaquiquement dit la vérité: grâce à l’argent du Qatar, il est financièrement indépendant!
C’est pourtant simple à comprendre!
SASKIA
LA 7/5 est une balle et pour sa bande EMIRAT il y a le M51 a tête multiple
Merci, Pierrot, pour votre explication technique.
Vous avez, je crois, la bonne solution: pour des
“radicalisés”, la solution radicale. Et logique,
en temps de guerre.
Nos militaires devraient en toucher un mot au
chef de l’Etat ( et “chef des Armées”).
Une seule question : Pourquoi encore parler de cet étron de Ramada sur Dreuz ?
Tirez la chasse !
Le triste sieur Ramadan n’est qu’un épiphénomène apparu à l’occasion d’un dossier pénal portant sur des abus sexuels. La vérité qui doit nous préoccuper est révélée dans le livre ” Quatar’s papers” où les deux enquêteurs ont mis au jour l’ immense toile d’araignée géographique tissée par l’oeuvre Quatar Charity pour implanter la culture, la religion, le culte musulman à travers les pays qu’elle gratifie de ses allocations pour des ouvertures d’écoles coraniques et des constructions de mosquées.
Tout est à revoir dans ces financements qui portent injure à l’indépendance nationale.
La tentative de Macron de confondre sous l’égide de la loi 1901 les attributions des “associations cultuelles” avec celles des “associations culturelles” n’a heureusement pas pu aboutir, car tout le secteur religieux (concurrent)de la République a dénoncé une manoeuvre destinée à favoriser l’islam en France. Affaire à suivre.