
Après avoir promis de « rayer le régime sioniste de la carte politique du Moyen-Orient », les Iraniens, tel que le ministre des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif , se plaignent maintenant que les sanctions de Donald Trump empêchent le Croissant-Rouge iranien d’apporter son aide dans les régions dévastées par des inondations.
Selon l’AFP à Téhéran, l’Iran, pays réputé pour son aridité, est frappé depuis une vingtaine de jours par de violentes intempéries. Une première vague d’inondations a touché le nord-est du pays le 19 mars et une deuxième l’ouest et le sud-ouest le 25 mars. Une dernière vague sévit depuis le 1er avril, de violentes averses s’abattant sur l’ouest et le sud-ouest du pays.
La province du Lorestan (ouest) a été la plus touchée (14 morts) par cette dernière vague, des quartiers entiers ayant été ravagés par les inondations et l’accès à certains villages étant toujours coupé.
Selon le gouvernement iranien, les inondations ont endommagé environ 12 000 km de routes, soit 36 % du réseau routier du pays.
Ce bilan pourrait encore s’alourdir avec les pluies torrentielles qui se sont abattues ces derniers jours dans la province du Khouzestan, faisant craindre une crue imminente du fleuve Karkeh sur lequel sont construits plusieurs barrages qui pourraient céder et mettre en danger les habitants des villes situées le long des berges.
Cette crainte a poussé le gouvernement de la province Gholamreza Shariati à ordonner l’évacuation le plus rapidement possible de six villes. Les autorités ont déjà dû ouvrir en urgence les vannes du barrage de Karkeh, l’un des plus grands de la région pour éviter une surcharge trop importante. Le ministre de l’Intérieur Abdolreza Rahmani estime à 400.000 le nombre d’habitants du Khouzestan menacés par les inondations.
Des menaces, des plaintes mais pas de responsabilité
En juillet 2018, alors que l’Iran faisait face à une grave sécheresse.
je mentionnais dans un article que le général de brigade Gholam Reza Jalali, commandant de la Défense passive iranienne, avait déclaré lors d’un colloque national sur la protection des populations, que « Le changement climatique en Iran est suspect (…) Israël et un autre pays de la région ont des équipes conjointes qui travaillent à faire en sorte que les nuages qui entrent dans le ciel iranien soient incapables de déverser la pluie. En plus de cela, nous faisons face à un phénomène de vols de nuages et de neige », a ajouté le général Jalali.»
Le 28 janvier dernier, le général Hossein Salami, N°2 des Gardiens de la Révolution, cité par la télévision publique iranienne, ne se gênait pas pour dire que «La stratégie de l’Iran est de rayer le régime sioniste de la carte politique du Moyen-Orient ».
Il faut croire que, pour se venger, les Israéliens ont envoyé des pluies diluviennes sur leur ennemi iranien !
Conclusion
Les inondations ont suscité des critiques publiques à l’égard de la réaction inadéquate du gouvernement et de l’Administration Rouhani. Sur les médias sociaux iraniens, beaucoup ont d’abord critiqué le gouverneur du Golestan, qui était en voyage à l’étranger au moment des inondations. Le gouverneur a ensuite été congédié par le vice-président Eshaq Jahangiri.
Le Président Rouhani a également été critiqué pour être resté en vacances sur l’île de Qeshm, dans le golfe Persique, dans les jours qui ont suivi les premières inondations dans la province du Golestan. Cependant, le 27 mars, Rouhani s’est – enfin – rendu dans la province de Mazandaran pour superviser les opérations de secours.
Le ministre de l’Énergie, Reza Ardekanian, cité par l’agence de presse Tasnim, estime quant à lui que ces inondations sans précédent sont dues aux changements climatiques !
De son côté, le Croissant-Rouge iranien a déploré la difficulté de faire appel à l’aide internationale nécessaire pour pallier les conséquences des inondations catastrophiques qui ont touché le pays, et ce à cause des sanctions américaines.
Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a critiqué sur Twitter le 1er avril l’impact des sanctions sur les opérations d’aide. Il a noté que la pression de Donald Trump et la négligence de la résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies ont empêché le Croissant-Rouge iranien d’apporter son aide dans tous les régions dévastées par ces inondations sans précédent :
Il est impossible à l’heure actuelle de profiter de différents types d’équipements, notamment d’hélicoptères qui livrent l’aide humanitaire. Ce n’est pas simplement une guerre économique, c’est du terrorisme économique.
Les Iraniens sont bien placés pour parler de terrorisme « économique », eux qui, plutôt que d’investir dans un système de drainage adéquat, ont choisi de mener une guerre contre Israël par procuration en finançant le Hamas et le Hezbollah ! C’est ce qui s’appelle de l’argent bien dépensé.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources:
- https://www.lapresse.ca/international/moyen-orient/201904/08/01-5221339-iran-trump-accuse-les-gardiens-de-la-revolution-de-terrorisme.php
- https://www.i24news.tv/fr/actu/international/moyen-orient/194141-190128-la-strategie-de-l-iran-consiste-a-eliminer-le-regime-sioniste-ndeg2-des-gardiens
- https://fr.timesofisrael.com/en-iran-des-inondations-dune-rare-ampleur-font-au-moins-19-morts/
- https://fr.sputniknews.com/presse/201904031040594472-iran-inondations-sanctions-aide-croissant-rouge/
- http://www.agenceafrique.com/16469-plus-de-70-morts-dans-les-inondations-en-iran.htmlhttps://www.lapresse.ca/international/moyen-orient/201904/07/01-5221227-inondations-en-iran-six-villes-evacuees-70-morts.php
- https://www.meforum.org/7570/iran-imploding-strategy
- https://www.niacouncil.org/iran-unfiltered-week-march-25/
va chier le con avec tes putains de sanction économique …. l’iran a donner des milliards au hezbollah et au hamas …. pour des missiles , des armes de toute sorte et du ciment pour la construction de tunnel donc maintenant c’est directement la faute des mollahs si la population civil iranienne est dans le trouble
Magali Shalom,
L’obsession et la haine abyssale de l’empire “délirant” se résument effectivement à cette assertion stupide du “général” Jalali : “(…) Israël et un autre pays de la région ont des équipes conjointes qui travaillent à faire en sorte que les nuages qui entrent dans le ciel iranien soient incapables de déverser la pluie. En plus de cela, nous faisons face à un phénomène de vols de nuages et de neige”.
Quant au “docteur” Zarif, il est fortement conseillé de faire un réarbitrage du milliard de USD versé annuellement aux organisations terroristes, tant au Moyen-Orient qu’en Europe, et de le consacrer au peuple iranien qui souffre atrocement de la tyrannie islamique.
Il lui est aussi recommandé d’étudier l’histoire : tous les empires et nations qui ont tenté de porter atteinte à Israël sont tombés dans les oubliettes de l’histoire. On peut trouver de rares vestiges d’une partie d’entre eux dans les musées. A bon entendeur salut.
Qu’on y croit ou qu’on y croit pas, la Parole biblique prend un singulier relief aujourd’hui. Prenons seulement Genèse 12 :
” L’Eternel dit à Abram : … Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction.
JE BÉNIRAI CEUX QUI TE BÉNIRONT, ET JE MAUDIRAI CEUX QUI TE MAUDIRONT.”
Tous ceux qui contribuent à aider, financer, armer les ennemis d’Israël quels qu’ils soient subiront tôt ou tard le feu dévastateur de cette Parole. Quand on aide, finance ou arme des organisations terroristes ayant pour seul objectif : jeter Israël à la mer, on maudit Israël, point/barre.
L’Iran commence à voir les effets de cette Parole biblique, et ce n’est que le début. Comment expliquez-vous, par ailleurs, que les “territoires palestiniens” soient constamment en proie à une pauvreté crasse alors qu’ils perçoivent de la communauté internationale antisémite et antisioniste autant de subsides qu’Israël en reçoit des USA et qu’Israël prospère ? La réponse est dans Genèse 12, tout simplement !
Les “palestiniens” ont laissé les clés du pouvoir à une clique d’assassins (Hamas) qui recycle les subsides perçus de l’étranger dans l’acquisition d’armements destinés à détruire Israël et ce qu’il leur en reste est placé bien au chaud dans des circuits bancaires opaques, se moquant éperdument du dénuement de la population. En maudissant ainsi Israël, ils sont maudits en retour…
Comment expliquez-vous que les USA voient leur économie au bénéfice d’un redressement spectaculaire depuis 2 ans, que j’oserai même qualifier de surnaturel ? Leur président, D. Trump, véritable Cyrus des temps modernes, bénit Israël comme jamais auparavant depuis 1948 et lui-même est béni ainsi que tout son pays, en dépit des montagnes d’ignominies dont il est constamment la cible. C’est pas plus compliqué que ça…
Mais il n’y de pires aveugles que ceux qui ne veulent rien voir, ni pires sourds que ceux qui ne veulent rien entendre. C’est bien le cas de nos contrées occidentales repues et empiffrées qui préfèrent s’enfoncer leur cervelle à 2 neurones dans le sable rose de leurs illusions. Mais, sauf repentance individuelle et collective, les jugements d’En-Haut — en chemin — s’abattront bientôt sans crier “gare!” Et il sera alors trop tard…
Amen !
Je suis persuadé que l’europe va trinquer dans les 50 ans à venir: de la même façon que D. a durcit le cœur de pharaon pour mieux le punir, il a rendu idiots les dirigeants européens pour punir l’Europe pour ce qu’elle nous a fait. L’Europe va disparaitre sous un flot incessant de barbares. l’Europe n’aura plus à collaborer, elle sera engloutie
En lisant ces lignes, je réalise que l’Occident judéo-chrétien ne prend absolument pas la mesure de l’état de délabrement mental dans lequel se retrouve l’Orient musulman après des siècles d’islam : imaginez Abraham Lincoln, Winston Churchill ou Nelson Mendela proférer que l’ennemi artificiel mais rassembleur vole les nuages!
Et, comme Erdogan et tous les autres Ayatollahs, ils sont “Chefs d”État” de pays peuplés de semblables énergumènes! Peut-on craindre situation plus inquiétante?
Réponse : “!noN”
Ils sont vraiment arriérés, les vrais musulmans.
Les armes climatiques ça existe
Mais oui, bien sûr, et la marmotte…
Israël aurait des bombes à inondations ? Des missiles à déluge ?
Oh mais c’est très intéressant.
En Bretagne, on pourrait fabriquer des bombes à lisier !
Ce genre de technologie ne devrait pas rester un secret militaire, il faut le partager largement.
Oui bien sur les USA
Dès les années 1950 aux Etats-Unis, des rapports ou déclarations officiels reconnaissent l’intérêt militaire des techniques de modification des conditions climatiques. « L’intervention dans le domaine atmosphérique et climatique (…) se déploiera à une échelle aujourd’hui difficile à imaginer. Cela interférera dans chaque relation de pays avec tous les autres, plus fortement que la menace de l’arme nucléaire ou que toute autre guerre pourrait le faire », déclarait ainsi le mathématicien américain John von Neumann, à l’apogée de la guerre froide, en 1955.
Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d’ensemencement des nuages, à l’aide d’iodure d’argent, sont notamment utilisées par l’armée américaine entre 1967 et 1972 dans le cadre de l’opération Popeye. L’objectif : provoquer des pluies et donc prolonger la saison des moussons afin d’entraver les mouvements des troupes ennemies le long de la piste Hô-Chi-Minh.
Alors que les Etats-Unis et la Russie se livrent à une course scientifique pour maîtriser le climat et la météo, l’ONU décide de légiférer. En 1977, la Convention Enmod, ratifiée par l’Assemblée générale des Nations unies, interdit d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles. Est visée « toute technique pour changer, grâce à une manipulation délibérée des processus naturels, la dynamique, la composition ou la structure de la terre, y compris ses biotes, sa lithosphère, son hydrosphère et son atmosphère, ou de l’espace intersidéral ».
Programme Haarp
Si les publications de travaux décroissent, les recherches, elles, se poursuivent. Alors que se développe aux Etats-Unis une Revolution in Military Affairs censée adapter les forces armées à leurs missions du XXIe siècle, un nouveau projet, de très grande ampleur, voit le jour : le programme américain Haarp (High Frequency Active Auroral Research Program).
Sur un site du département américain de la défense à Gakona, en Alaska, l’US Air Force et l’US Navy entreprennent ainsi, en 1990, de faire construire une station de recherche composée de 180 antennes et 360 émetteurs radio. L’objectif annoncé : comprendre les mécanismes complexes qui gouvernent la ionosphère, région de la haute atmosphère, et étudier son impact sur les communications longues distances.
Mais pour les amateurs de théories du complot, Haarp est bien plus que cela. « D’un point de vue militaire, Haarp est une arme de destruction massive, qui opère à partir de l’atmosphère externe et qui est capable de déstabiliser des systèmes agricoles et écologiques partout dans le monde » et de « griller les avions dans le ciel », assure Michel Chossudovsky sur le site conspirationniste Mondialisation.ca.
En réalité, si la création de Haarp remonte bel et bien à l’époque de la guerre froide, où les sous-marins américains et soviétiques rôdaient dans les mers profondes et nécessitaient des moyens de communication améliorés, la base a vu ses objectifs redéfinis depuis l’éclatement de l’Union soviétique, comme l’explique une étude publiée dans la revue scientifique Nature.
Les Etats-Unis ont tout d’abord pensé à l’employer afin d’étudier les moyens de contrer l’explosion d’un missile nucléaire dans l’atmosphère. L’idée consistait à envoyer des particules qui accéléreraient la chute des radionucléides vers l’atmosphère inférieure. Mais en 2006, un groupe de scientifiques a conclu que toute tentative pour remédier à des rayonnements nucléaires était irréaliste et risquait, de surcroît, de provoquer un black-out des ondes radio à haute fréquence, perturbant les communications et la navigation. Après de multiples remaniements, poursuit la revue américaine, Haarp se consacre désormais à l’étude de phénomènes scientifiques dans la ionosphère, comme les processus qui provoquent des aurores boréales ou le rayonnement des éruptions solaires.
Géo-ingéniérie
Car pour la communauté scientifique, la manipulation du climat s’avère à la fois malaisée et dangereuse, qu’elle ait des fins militaires ou mêmes civiles, à savoir ce que l’on appelle la géo-ingéniérie – modification de l’équilibre énergétique de la Terre pour lutter notamment contre le réchauffement climatique. « On a par exemple découvert que si on dissipait des nuages au dessus de l’Atlantique-Sud, on pourrait provoquer des sécheresses en Amazonie du fait d’une circulation atmosphérique modifiée. De même, si on envoyait des aérosols dans la stratosphère pour refroidir le globe, cela affaiblirait probablement la mousson et réduirait les précipitations nécessaires à la survie alimentaire de millions de personnes en Afrique, en Inde et en Chine », explique Alan Robock, professeur en climatologie à l’université Rutgers du New Jersey.
D’autant que ces connaissances sont encore non maîtrisées. « Nous n’avons pas une connaissance du climat suffisante pour savoir comment l’influencer à un endroit particulier sans affecter d’autres endroits, de sorte qu’il serait difficile de nuire à un adversaire sans nuire à vous-même ou à vos alliés, prévient Ken Caldeira, expert de l’atmosphère à l’Institution Carnegie de Washington. Par ailleurs, le projet ne pourrait pas être tenu secret et l’infrastructure nécessaire, comme une flotte d’avions ou de navires, serait vulnérable à une attaque. »
« Si un pays manipulait actuellement le climat, il y aurait des preuves dans la stratosphère que nous observerions par satellites, comme par exemple de petites éruptions volcaniques ou des nuages qui se désagrègent, confirme Alan Robock. En bref, les armes climatiques n’existent pas. »
Audrey Garric
La Fiction dépasse la réalité