
Source : Bfmtv
Plusieurs individus soupçonnés de préparer un passage à l’acte violent contre des forces de sécurité ont été interpellés en fin de semaine dernière.
Plusieurs individus ont été interpellés le 26 avril dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris le 1er février 2019 du chef d’association de malfaiteurs terroriste criminelle, a indiqué le parquet de Paris à BFMTV ce lundi.
Un projet d’attentat contre des policiers
Cette enquête, confiée à la DGSI, met en cause des individus soupçonnés de préparer un passage à l’acte violent, à brève échéance, susceptible de viser les forces de sécurité.
L’un d’entre eux, mineur, a déjà été condamné par le tribunal pour enfants pour des faits qualifiés d’association de malfaiteurs terroriste. Interpellé en février 2017, à l’âge de 15 ans, alors qu’il cherchait à se rendre en Syrie, il a été condamné à la peine de 3 ans de prison dont 2 ans assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve.
Après avoir été placé en centre éducatif fermé (CEF) puis incarcéré, il était actuellement placé au sein d’une structure éducative dans le cadre de cette mise à l’épreuve.
un gros Bravo a tout ceux et a celles qui ont stopper cette attentat
Est-ce qu’ils ont eu le temps de refermer la porte à clé avant de remettre le mineur au travail?
un qui voulait aller au califat islamique!
les autres sont ils des hindous, des bouddhistes ou des catholiques d’extême droite?
Ou des Musulmans….!
“il était actuellement placé au sein d’une structure éducative ”
Soit : il faudrait s’interroger sur la manière dont procède ce type de “structure éducative”, car on voit que les résultats ne sont pas à la hauteur des espérances !
Commençons par expulser de France ces djihadistes en herbe avec toute leur famille, grands-parents, parents, oncles, tantes, cousins, cousines… ça en calmera quelques uns! Et quelles économies!!!
Tout à fait d’accord avec vous. C’est là la seule mesure efficace si nous voulons nous protéger mais aussi ne pas faire des dépenses inutiles pour mettre en oeuvre des programmes coûteux et tout à fait inutiles. Ces individus doivent encourir la perte de la nationalité française dans le cas où ils en posséderaient une autre.