À présent que les Démocrates hystériques ne peuvent plus menacer Trump d’« impeachment », et que Trump annonce qu’il va déclassifier les documents pertinents à l’espionnage de sa campagne, (voir l’article de JP Grumberg sur l’opération boomerang), il fallait bien que les Dems trouvent un autre angle d’attaque. L’historien et politologue, Robert Kagan le leur a fourni sur un plateau d’argent.
En effet, Kagan, qui a quitté le Parti Républicain en 2016 et a soutenu Hillary Clinton parce qu’il considére Donald Trump comme un fasciste, a publié dans le Washington Post un long essai expliquant comment l’autoritarisme a fait son chemin jusqu’à Trump qui impose graduellement sa « vision autoritaire du monde ».
Publié le 14 mars, cet essai donne carte blanche aux anti-Trump qui peuvent maintenant comparer le président à Mussolini, voire à Hitler.
Un québécois viscéralement anti-Trump, Normand Lester, anciennement à Radio Canada et maintenant chroniqueur au Journal de Montréal (4 mai) enfonce le clou :
Le chroniqueur conservateur du Washington Post, Robert Kagan, croit que la présidence de Trump pourrait introduire le fascisme en Amérique. L’ancien secrétaire américain au Travail Robert Reich qualifie Trump de «fasciste américain du XXIe siècle». Le rédacteur en chef du New Yorker, David Remnick, écrit de son côté que « c’est sûrement de cette manière que le fascisme peut commencer». Dans son livre « Fascism: A Warning », l’ancienne secrétaire d’État Madeleine Albright affirme que le fascisme et les courants qui mènent au fascisme constituent actuellement une menace plus sérieuse qu’à tout moment depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Elle ajoute que cette menace est « amplifiée par l’instabilité de Donald Trump ».
Trump a les allures d’un fasciste à la Mussolini. On regarde des discours du dictateur italien sur YouTube et on a la sinistre impression que c’est Trump qui, dans l’uniforme de carnaval du Duce, parle et gesticule : même arrogance dédaigneuse, même incontinence verbale, même façon de relever le menton avec mépris. (!)
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit un article de Michael Lind* publié par le Washington Post, le 26 mars dernier qui démolit l’essai de Kagan.
La grande idée fausse de Robert Kagan
A une époque où l’on parle beaucoup de livres et d’essais qui expliquent la politique mondiale sur la base d’une grande idée fausse, comme « Le Choc des civilisations » de Samuel P. Huntington et « La Fin de l’histoire et le Dernier Homme » de Francis Fukuyama, Robert Kagan a fait sa propre contribution au genre dans son essai « The strongmen strike back » (Les hommes forts reviennent à la charge). Son idée que quelque chose qu’on appelle « autoritarisme » pose « un grand défi idéologique et stratégique » à la démocratie libérale est une grande idée, et elle est fausse.
L’« autoritarisme » est une étiquette de science politique apposée sur des régimes radicalement différents, et non une appellation revendiquée. Il y avait et il y a encore des Marxistes-léninistes et des Salafistes embarrassés par leur étiquette. Mais il n’y a pas de mouvement « autoritaire » qui se nomme comme tel ni de vision du monde « autoritaire » commune à un groupe en particulier.
Définir une dictature communiste, une monarchie arabe ou une technocratie singapourienne à parti unique comme étant autoritaires est juste mais sans importance. C’est comme définir les humains, les oiseaux et les kangourous comme étant des bipèdes. Vous ne savez pas si vous devez faire appel à un médecin ou à un vétérinaire.
La plupart des États non libéraux et non démocratiques ne sont pas nécessairement hostiles à l’égard des États-Unis et n’ont pas forcément des objectifs communs de politique étrangère.
Singapour et l’Arabie saoudite, pour ne citer que deux alliés autoritaires des États-Unis, s’épanouissent dans le système commercial et d’alliance internationale contrôlé par les États-Unis, alias « l’ordre mondial libéral ».
Dans leurs propres régions, la Chine, la Russie et l’Iran tentent d’étendre leurs sphères d’influence au détriment de l’influence américaine et ils partagent une préférence pour un monde multipolaire plutôt que pour l’hégémonie mondiale américaine.
La Russie voudrait affaiblir l’Union européenne pour des raisons géopolitiques ; de nombreux populistes nationaux européens voudraient affaiblir l’UE aussi – afin de renforcer les gouvernements nationaux aux dépens de Bruxelles. Rien de tout cela ne s’apparente à une Internationale autoritaire comme l’Internationale communiste (Comintern) d’autrefois. Il n’y a pas d’« Autorintern ».
Dans le monde de Kagan, Washington est à l’idéologie mondiale ce que Paris est à la mode.
En raison de l’incapacité de l’Amérique de contrôler d’une manière ou d’une autre le régime antilibéral de Vladimir Poutine, Kagan écrit : « Un “contrecoup” autoritaire s’est propagé dans le monde entier, de l’Égypte à la Turquie, du Venezuela au Zimbabwe, les autres régimes autoritaires, suivant son exemple, ont systématiquement restreint la place de la société civile, l’ont coupé de ses partisans étrangers et ont limité la libre expression et les médias indépendants. »
Mais l’armée égyptienne laïque n’avait pas besoin de la permission ou de l’exemple de Poutine pour renverser le président islamiste d’Égypte, Mohamed Morsi, pas plus que le président islamiste de Turquie, Recep Tayyip Erdogan, n’avait besoin de son exemple pour purger l’armée turque.
Y a-t-il une revendication plus absurde que celle-ci ?
Oui – L’affirmation de Kagan selon laquelle Bernie Sanders et Donald Trump sont des versions américaines de la soi-disant réaction « autoritaire » mondiale : « Et, bien sûr, les États-Unis ont connu leur propre réaction antilibérale. En effet, de nos jours, la critique antilibérale est si répandue, aux deux extrémités du spectre politique et dans les segments les plus énergiques des deux partis politiques, qu’il est impossible de trouver un Libéral américain à l’ancienne mode ».
Les Américains à gauche des Démocrates clintoniens et à droite de George W. Bush sont des « anti-libéraux », selon Kagan. C’est une offensive anti-rouge, ou peut-être anti-brun, de la part d’un adepte du centre inerte de la politique américaine.
Kagan critique à plusieurs reprises l’érudit israélien Yoram Hazony pour avoir soutenu, dans « The Virtue of Nationalism**» (La vertu du nationalisme), « que la vraie démocratie vient du nationalisme et non du libéralisme ». La distinction que fait Kagan entre le libéralisme et le nationalisme est commune parmi les universitaires et les journalistes occidentaux, mais elle est confuse.
Le libéralisme, comme la démocratie, fait référence à une forme de gouvernement. Le nationalisme désigne une sorte d’État, un État identifié à une majorité culturelle et linguistique (pas nécessairement ethnique ou religieuse).
Depuis deux siècles, depuis les révolutions américaine et française, la plus importante confrontation des modèles politiques porte sur l’État-nation (démocratique ou non, libéral ou antilibéral) versus l’État multinational (démocratique ou non, libéral ou antilibéral). La plupart des empires multinationaux, des Habsbourg, des Ottomans et des Hohenzollerns à l’Union soviétique, se sont effondrés en États-nations, démocratiques ou pas.
Il en va de même pour un certain nombre d’États multinationaux dysfonctionnels comme l’ex-Tchécoslovaquie, l’ex-Yougoslavie et l’ex-Soudan.
Peu de conflits majeurs dans le monde d’aujourd’hui, sont des luttes entre libéralisme et autoritarisme.
Presque tous impliquent le nationalisme, qu’il s’agisse de nations sans État qui veulent leurs propres États-nations, comme les Palestiniens (sic), les Kurdes et les Catalans, ou de puissants États-nations comme la Chine et la Russie, qui souhaitent accroître leur influence régionale pour des raisons nationalistes.
Dans la mesure où l’Union européenne et la Pax Americana ressemblent à des empires libéraux au service de leurs propres nations dominantes – les Allemands, les Français et les Américains – les perspectives d’un libéralisme anti-national pan-occidental ne sont pas bonnes.
Giuseppe Mazzini, William Gladstone, Woodrow Wilson et Franklin D. Roosevelt comprenaient que le libéralisme et la démocratie ont plus de chances de réussir lorsqu’ils s’appuient sur l’autodétermination nationale plutôt que de s’y opposer.
En tant qu’ancien analyste néoconservateur en politique étrangère comme Kagan, je reconnais le ton de l’appel aux armes qu’il utilise dans son essai. Des années 1950 aux années 1980, les libéraux de la guerre froide, plus tard appelés néoconservateurs, individuellement et par l’intermédiaire de groupes tels que le « Committee on the Present Danger» (le Comité sur le danger actuel), ont cherché à éveiller leurs concitoyens à la menace du communisme à l’intérieur comme à l’extérieur. Les comparaisons avec les années 1930 étaient courantes ; pour les néoconservateurs, nous étions toujours en 1939.
Ces jérémiades semblaient plausibles à une époque où il y avait vraiment une superpuissance hostile qui faisait la promotion d’un credo séculier universel. Mais même alors, l’idée que la guerre froide était une bataille d’ismes entre la démocratie et le communisme était fausse. Les États-Unis ont mené deux guerres féroces en Corée et en Indochine en soutenant les dictatures autoritaires alliées et ont vaincu l’Union soviétique dans les années 1980 en tant qu’allié de facto de la Chine communiste.
Dans le monde multipolaire d’aujourd’hui, caractérisé par des rivalités traditionnelles entre grandes puissances de bas niveau portant sur leurs sphères d’influence régionales, davantage poursuivies dans les domaines de politiques commerciales et industrielles et de la diplomatie d’alliance que sur les fronts militaire et de la propagande, il faut faire preuve d’un réalisme sobre et non d’un esprit anachronique, manichéen de guerre froide, joignant des dichotomies simplistes à la ferveur des croisades.
La realpolitik est de retour. En fait, elle n’a jamais disparu.
* Michael Lind est professeur invité à la Lyndon B. Johnson School of Public Affairs de l’Université du Texas. Il collabore à la rédaction de National Interest et il est l’auteur de «The American Way of Strategy».
** The Virtue of Nationalism de Yoram Hazony, est l’ouvrage d’un penseur conservateur qui soutient qu’un ordre nationaliste est la seule sauvegarde réaliste de la liberté dans le monde d’aujourd’hui. (éditeur Hachette Book, 2018).
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources :
- https://www.washingtonpost.com/opinions/2019/03/26/robert-kagans-big-wrong-idea/?utm_term=.4c3d4726acc4
- https://www.washingtonpost.com/news/opinions/wp/2019/03/14/feature/the-strongmen-strike-back/?utm_term=.a3d243f01ce0
- https://www.journaldemontreal.com/2019/05/04/trump-un-fasciste-a-la-mussolini
A une époque où l’on parle beaucoup de livres et d’essais qui expliquent la politique mondiale sur la base d’une grande idée fausse, comme « Le Choc des civilisations » de Samuel P. Huntington …
Vraiment ??
Il faut ne jamais avoir lu le livre de Huntington pour pondre une ineptie pareille.
Dans le préface, Huntington explicite clairement qu’il ne propose dans ce livre qu’une sorte de lecture des événements qui lui paraît cohérente et si quelqu’un propose mieux de façon plausible, libre à lui de le faire.
Huntington n’introduit aucun dogme indiscutable.
Il faut faire preuve de beaucoup de mauvaise foi pour percevoir et présenter son livre ainsi.
Bonjour Aspirine: Huntingdon ne propose peut-être pas un «dogme indiscutable» mais il s’attaquait à son rival de toujours Fukuyama et son idée de la «fin de l’histoire» propagée dans les milieux intellectuels à l’époque de la chute de l’Union Soviétique.
C’était le choc de deux thèses, largement citées, qui se sont avérées fausses puisque l’histoire ne s’est pas terminée (le communisme et le socialisme ont continué en Chine, en Corée du Nord et à Cuba, notamment) et comme le démontre très bien Lind, les USA, toujours dans la realpolitik, se sont alliés à l’occasion autant avec des pays communistes qu’avec des pays islamiques autoritaires. Donc l’histoire continue et les «civilisations» ne s’entrechoquent pas sauf peut-être par migrants/réfugiés interposés quand ils vont vivre en Occident mais vomissent les valeurs occidentales, avec la complicité des élites européennes.
Des alliances de circonstance temporaires – en effet, la triste realpolitik par excellence – n’invalident aucunement la thèse du choc des civilisations.
Je n’y vois vraiment pas une “grande fausse idée”, celle d’un petit découvreur frustré, en manque de sa minute de gloire, du nouveau prétendu Big Bang.
Huntington ne fait que proposer une interprétation possible des faits observables – en l’occurrence passablement convaincante.
On peut, en toute légitimité démocratique, ne pas être d’accord; sans toutefois avoir nécessairement recours aux allégations dévalorisantes discutables du genre “grande fausse idée”. Une petite fausse idée ?
Bonjour Aspirine!
Je comprends que vous appréciez Huntington, je crois que Lind réagit surtout au fait que sa thèse ainsi que celle de Fukuyama ont été véhiculées et utilisées très largement par les élites intellectuelles européennes au point de passer pour des dogmes.
Lind, à mon avis ne descend pas Huntington, il dit simplement que ceux qui ont véhiculé son idée du «Choc des Civilisations» comme un dogme ont fait fausse route.
Vous devriez vous concentrer sur ce que Lind dit de Kagan – sa véritable cible – plutôt que de rester accroché au premier et au dernier paragraphes de son article.
Par ailleurs, si vous lisez l’anglais vous pouvez cliquer sur le lien que je donne pour le très long essai de Kagan.(The strong Men Strike back).
Un article sérieux, qui mène à réflexion sur la lecture des deux ouvrages sus-cités.
Merci JPG
PS : J’ai de plus en plus l’impression, en ce qui nous concerne, que c’est le chien qui se mord la queue ; mais jusqu’où et jusqu’à quand ? Nous sommes loin d’être les USA et loin d’avoir un Trump se profilant à l’horizon. Et quand bien même, les français le veulent t’ils vraiment ? Je reste dubitative.
Il ne leur reste plus comme armes que des noms d’oiseaux multicolores.
Pathétiques.
Il est vraiment peu clair ce que Michael Lind voulait transmettre comme message par son article. Si c’est la conclusion, somme toute banale, “La realpolitik est de retour. En fait, elle n’a jamais disparu.</i<", quelle utilité d'avoir écrit tout ce qui la précède ?
Le but de l’article de Lind est de démonter la thèse de Kagan selon laquelle ceux qui défendent les États-Nations et leurs frontières (Trump, Salvini, etc) sont dans une dérive «autoritaire», ce qui autorise à les traiter d’extrême droite et de fascistes!
Bonjour Madame,
votre compatriote Mathieu Bock-Côté nous apporte une analyse pertinente et rafraîchissante agrémentée d’un délicieux accent québécois. Il a réussi à clouer le bec à tous ces adeptes du politiquement correct qui, vous pour vous intimider, utilisent des mots comme fasciste, xénophobe, intolérant , peureux . Si cela ne suffit pas ils passent alors au racisme ou au nazisme.
Le voici dans un entretient la radio ouvertement socialiste (qui n’a aucun problème a être financée via les impôts par ceux qu’ils haïssent ouvertement:
https://www.youtube.com/watch?v=dscsN1DDt2A
PS: Il parle très vite . Par contre il ne perd jamais le fils de ses idées. Un t bon intellectuel très bon orateur. Il met en évidence implicitement la médiocrité de ces “journalistes” militants qui forment la plus grande partie de ce milieu.
Bonjour Cestmoi!
J’adore MTB comme on l’appelle au Québec! Il est brillant et je lis fidèlement toutes ses chroniques dans le Journal de Montréal.
Je ne suis pas toujours à 100% d’accord avec lui mais il est un fier Québécois nationaliste et il respecte la religion chrétienne!
La fin des nations ne veut pas dire disparition des nations. Cela veut dire Fin du monde. Dieu règnera sur terre sur toutes les nations entières. Si ils se réfèrent à la bible pour créer un monde universel, ils ont tout faux. Dieu a voulu un monde diversifié depuis Babel. C’est sa volonté. Dieu aime la diversité, et les hommes bien dans leur peau veulent appartenir à leur pays, ils respectent leur cultures. Ils sont attachés à leur racines toute leur vie. Cela fait partie de leur identité. Etre déraciné c’est une souffrance de tous les jours. Le bonheur le plus simple est quand on se sent chez soi. Le reste, c’est de l’ineptie, de l’errance, de l’illusion. Les sans patrie, les sans papiers, les sans identité sont des Caien errants sur terre, des damnés de la terre. Ils paieront toute leur vie cette errance. C’est mon avis personnel, il n’engage que moi. Et d’ailleurs, ces hommes en fin de vie reviennent souvent sur le lieu de leur racines pour y mourir paisiblement. Ils se sentent enfin chez eux. Ils sont bien, en paix, en harmonie avec leur destinée. Ils peuvent quitter ce monde en ayant le coeur apaisé.
Je souscrit à votre déclaration à 100%
Et je trouve tout à fait injustifiée l’interprétation selon laquelle un ETAT qui défend ses frontières fait preuve d'”autoritarisme”
De plus à quoi rime ce salmigondis sémantique d'”appellations contrôlées” des Etats ? En réalité ce qui importe c’est une gestion DEMOCRATIQUE (càd conforme aux désidérata de sa population) “vérité en deça des Pyrénées, erreur au delà”, le bon sens pratique démontre la validité de cette analyse. Et arrêtons de camoufler derrière un vocabulaire inapproprié les faillites de gouvernements
autistes et abusifs en termes d’humanité.
P.S.- Ma réponse était destinée à ZANAROFF (que j’approuve pleinement)
zanaroff
J’adhère en tout point avec vous sur ce sujet, ce que vous dites est bien vrai
Le TOUT PUISSANT avait vu juste, Il a donné des continents pour chacune de ses familles humaine et dur et en chacun de ces continents on retrouve de réelles beautés Ce que Dieu a fait, IL L’A BIEN FAIT. Ce sont les hommes le véritable problème a commencer par la DOMINATION des uns sur les autres par divers moyens comme la RELIGION pour ne nommer quelle-ci et, quand celle-ci se déclare supérieur a l’Autre, cela mène a des conflits et nous l’aurons a coup sûr
si cela continu.
Pour une nouvelle c est une première. C est à cela que l on constate à quelle point la merde se révolte
je vois que la plupart des attaquants anti-Trump sont des juifs, ou plutôt des alterjuifs…
le camp démocrate est leur référence.
Je me suis posé la question pourquoi ces juifs qui sont dans la haine de soi sont tous sans exception de gauche. Je n’ai pas dit que si on est un juif de gauche, on est nécessairement dans la haine de soi. Mais quand ils le sont, ils sont systématiquement tous de gauche. Certain vous jusqu’à cacher leur nom de famille Jean Daniel (né Bensaïd), “Edgar Morin” (né Nahoum). D’autres on reçu la légion du (dés)honneur. Certains “journalistes” comme Charles Enderlin etc.
Une explication que j’ai trouvée est que le socialisme est une religion séculière et que de ce fait il y aurait un conflit interne d’ordre religieux.
Entièrement d’accord avec aspirine, car Samuel P Huntington ne souhaite pas le choc des civilisations met le craint. Et donc il a plutôt été visionnaire en regard de ce qui se passera le 11 septembre 2001. C’est triste de voir sur Dreuz des gens ou des textes qui se sont fait avoir par l’interprétation gauchiste de penseurs de droite qui avait un message très simple à faire passer.
Normand Lester journaliste que j’ai deja apprecier car il presentais la nouvelle et les faits mais la depuis qu’il a change pour nous presente son opinion il est vraiement rendue tres bas au meme niveau que ceux qui ont le syndrome anti Trump
Robert B
Normand Lester journaliste
Il en a tellement perdu que son cerveau s’est atrophié lamentablement.
Mes connaissances en économie sont trop limitées, mais si je devais choisir de vivre dans un pays gouverné par un horrible fasciste comme Donald Trump et un autre dirigé par des gens bienveillants comme Hassan Rohani ou Kim Jong-un …
Arrêter de parler de “Démocrates” ce ne sont que de vulgazires tarés de gauce…
Je n’ai jamais vu un con dire “je suis un con”
MDR !
Petite rectification : “…vu et, surtout, ‘entendu’ un con…”
Doctor Muzz aide la presse Française à trouver des VRAIS NAZIS
La Haut-Commissaire aux droits de l’Homme de l’ONU et l’Unicef ont vivement réagi à ces exécutions. La première, Michelle Bachelet, s’est déclarée «horrifiée» par ces informations, confirmées par ses services : «Mon bureau plaide auprès de l’Iran pour une abolition totale des exécutions de personnes qui étaient mineures au moment des faits. J’appelle une nouvelle fois les autorités à stopper l’exécution de mineurs et de commuer immédiatement toutes les sentences de mort.» Selon les décomptes d’Amnesty International, la République islamique a appliqué la peine de mort à 97 mineurs entre 1990 et 2018, et 90 sont encore dans les couloirs de la mort.
Mais ce sont des très méchants garçons ces mecs la armé de bombe H Macron file droit
Les deux Québécois anti-Trump reconnus, Normand Lester et Pierre Martin, ont pondu des articles mensongers et erronnés sur Trump depuis le début de sa présidence. Ces journaleux sans dignité n’ont plus aucune crédibilité journalistique. Leur travail consiste essentiellement à exciter la haine chez les anti-Trump et à les conforter au sein de la population Québécoise.
C’est sûr que dès lors qu’un homme de bon sens, comme Trump ou d’autres, prétendent empêcher les gauchistes d’exercer leur liberté de détruire un pays, comme l’a fait Obama, les gauchistes crient à l’antilibéralisme.
Un peu comme si un malfrat criait à l’antilibéralisme parce que la police le prive de sa liberté.
Dès lors, c’est tout le raisonnement qui est faussé.
Ce que ces gauchistes sont c** (comme le dit Georg47 plus haut) quand même ; ou plus précisément, de mauvaise foi, avec l’esprit complètement à l’envers par dessus le marché (d’où la perversion voire l’inversion du sens des mots qu’ils pratiquent si allègrement).
Si la politique conservative s’occupe de mettre la realpolitik en congruence avec les lois existantes, comme en cas “frontière”, la réaction est de trouver de bons compliments comme nazi, faschistes ou réactionaire etc. Malheureusement une capacité reduite en mots et termes. Bien à trouver vite un sens caché derrière des attributes usés.
J’en ai marre des discours de la gauche anti trump. Remarquez que C est le seul en occident à avoir pris des mesures anti envahissement musulmans