Source : Dna
Ces derniers jours, des incidents se sont produits à plusieurs reprises sur la ligne 3 du tramway sur le sol français, incidents qui ont des implications en matière de sécurité, selon les BVB qui exploitent le tram. Ainsi, plusieurs conducteurs ont été attaqués avec des pointeurs lasers. L’une d’entre eux a été blessée au point de suivre un traitement médical.
Afin de protéger la sécurité des conducteurs et des passagers, les BVB ont donc décidé de suspendre immédiatement et sans remplacement la circulation des tramways entre les stations Burgfelderhof à la frontière suisse et la gare de Saint-Louis, de 20 h jusqu’à la fin de l’exploitation.
« Nous attendons maintenant des autorités françaises compétentes qu’elles prennent enfin des mesures efficaces et durables pour assurer à nouveau la sécurité d’exploitation de ce tronçon », déclare Bruno Stehrenberger, responsable des transports chez BVB.
Pour l’instant, tous les trajets de la ligne 3 à destination du centre de Bâle partiront donc depuis l’arrêt Burgfelderhof entre 20 heures et la fin de l’exploitation, sans desservir la gare de Saint-Louis.
Jusque-là, et depuis l’automne dernier et le début des troubles près de la gare, la compagnie bâloise avait placé des personnels de sécurité à bord de certaines rames. Ces personnels resteront en place sur le côté suisse du trajet.
Les BVB recommandent aux passagers à destination de la gare de Saint-Louis d’utiliser la ligne de bus 604 de Distribus au départ de la station Schifflände, au centre-ville de Bâle.
Bravo.
Que la France mette de l’ordre sur son territoire.
Il est INTOLÉRABLE que des raclures puissent toujours et encore pourrir la vie de personnes qui ne demandent qu’à vivre tranquillement et circuler sans se mettre en danger.
Et, pour les femmes qui le souhaitent, porter des jupes.
Fox69 : Vous avez absolument raison. Au lieu de s’occuper des autres pays, leur donner toujours des ordres et critiquer leurs décisions, le gouvernement français ferait mieux de s’occuper de son propre pays où il y a suffisamment balayer…, même trop.
Ah ben voilà 🙂 nous y sommes ! 🙂
Chaque fois que les journalopathes français parlent du tramway de Jérusalem, ils prennent un malin plaisir à ajouter “le tramway de la discorde” (ce qui, sur le terrain, est complètement faux – et ils n’y sont d’ailleurs jamais allés).
À St Louis, la France a donc officiellement maintenant son tramway de la discorde !
Et paf !
ET UNE DE PLUS !!!!!!!!!!!!!!!!!!
l Afrique blanche et noir il est temps du retour au BLED avec les familles comme en 71 rapprochement familiale que du bonheur ; de partir d un pays de mécréant
il est plus facile de s’en prendre aux giletjaunes qu’au petites frappes des “quartiers”
Exactement mais comme vous dites ces petites frappes de la BXIII sont armés de AK47 la police ne peut rien faire que un Gilet Jaune on peut le matraquer
Les faits se sont déroulés dans la résidence universitaire qui jouxte l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Ce mercredi 1er mai, il est près de 16 heures quand le cortège qui défile se retrouve bloqué boulevard de l’Hôpital. Après des tirs de grenade lacrymogène, une trentaine de manifestants pénètre dans l’enceinte de la Pitié-Salpêtrière par l’entrée qui donne accès au service de réanimation de l’hôpital et à la résidence universitaire. La fameuse « attaque » qu’a dénoncée le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner avant de reconnaître son erreur.
Amadou et Sadio, un étudiant et son frère venu l’aider à déménager, descendent alors dans la cour qui donne sur le boulevard de l’Hôpital pour observer la manifestation. Pris à partie par les CRS, ils vont alors revenir vers la résidence universitaire. Dans une vidéo filmée par un autre résident et postée depuis sur YouTube, on voit ensuite quatre policiers portant sur la tête un casque de moto poursuivre et frapper Amadou.
Il témoigne auprès de Mediapart :
« Je leur ai dit à plusieurs reprises : “J’habite ici.” J’avais mes papiers, les clefs de ma chambre et j’étais prêt à tout leur montrer. Mais ils n’étaient pas là pour dialoguer, ils ne voulaient que la violence.