Selon Caroline Glick*, les victoires de Nigel Farage, de Marine Le Pen en France et de Matteo Salvini en Italie aux élections du Parlement européen sont dues à la montée de la droite populiste/nationaliste dans tout l’Occident. L’Establishment élitiste et globaliste paye le pris de son arrogance envers le peuple.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit son article paru le 27 mai sur le site de Breitbart.
Le mépris des élites est le dénominateur commun des victoires populistes
Le triomphe de Nigel Farage et de son Brexit Party aux élections du Parlement européen est l’indice de deux tendances principales.
- La première est liée à la politique britannique. La victoire du Brexit Party met effectivement fin au monopole du Parti conservateur sur la droite politique britannique pour la première fois en deux cents ans. Les Conservateurs réagiront de deux façons à ce rebondissement. Ils peuvent achever la désintégration du parti en redoublant d’effort pour mettre en œuvre le Brexit mou de la Première ministre sortante Theresa May – avec ou sans second référendum – ou ils peuvent commencer à écouter leurs électeurs.
- La deuxième tendance illustrée par la victoire de Nigel Farage – ainsi que le triomphe de Marine Le Pen en France et de Matteo Salvini en Italie – est la fameuse montée de la droite populiste/nationaliste dans le monde occidental qui va à l’encontre de la sagesse traditionnelle de l’establishment progressiste et élitiste de centre droit, et cela au mépris des résultats annoncés par les firmes de sondages.
En Grande-Bretagne, la montée en puissance du Brexit marque la fin de la piteuse histoire de la Première ministre Theresa May et sa trahison flagrante des électeurs britanniques. Mme May est arrivée au pouvoir après que son prédécesseur David Cameron eut démissionné de son poste en réponse au vote en faveur du Brexit.
Lors de son entrée en fonction, Mme May s’est engagée à respecter la volonté des électeurs et à faire sortir la Grande-Bretagne de l’Union européenne. Au lieu de faire cela, Theresa May est parvenu à négocier un accord de Brexit avec l’Union européenne qui aurait fait supporter à la Grande-Bretagne les coûts de l’adhésion à l’UE sans les avantages. Bien que son accord ait été rejeté à plusieurs reprises par le Parlement, elle a refusé de démissionner. À présent, sa carrière de première ministre qui a commencé à cause du Brexit se termine parce qu’elle a trahi le Brexit.
En ce qui concerne l’Occident au sens large, il est certain que les problèmes immédiats qui poussent les électeurs de différents pays à voter pour des partis anti-élitistes en faveur de dirigeants populistes et nationalistes ayant de fortes visions de restauration et de fierté nationales, sont de nature locale.
- La victoire du Premier ministre australien, Scott Morrison, plus tôt ce mois-ci sur son adversaire, le chef du Parti travailliste Bill Shorten, a été généralement attribuée au programme économique radical de Shorten. Les hausses d’impôt proposées par le gouvernement auraient nui aux jeunes familles et aux retraités. Sa loi sur les émissions de carbone aurait paralysé l’industrie minière australienne.
- L’ascension de Nigel Farage est due à la mauvaise foi de Mme May envers ses propres électeurs quant à son engagement à honorer leur vote en faveur du retrait de la Grande-Bretagne de l’Union européenne.
- En Israël, le Premier ministre Benjamin Netanyahou a remporté un cinquième mandat le mois dernier en s’appuyant sur un bilan diplomatique et économique que les partis de gauche n’ont pas réussi à discréditer.
- La victoire de Trump a été généralement attribuée à l’échec d’Hillary Clinton à rallier la base Démocrate de la Rust Belt (NdT: ce sont les régions du Nord-Est et du Midwest des États-Unis qui sont caractérisées par une industrie métallurgique principalement située dans les villes productrices d’acier de la Pennsylvanie et de l’Ohio) et à contrer le message de renouveau industriel de Trump.
Mais une question sous-jacente est commune à toutes ces élections. Jusqu’à ce que la gauche progressiste et le centre-droit de l’establishment la reconnaissent et trouvent un moyen respectueux de s’y opposer, ils continueront à voir les forces populistes se renforcer et remporter des élections.
C’est la question du mépris.
Partout dans le monde occidental, au-delà des questions économiques et même au-delà de questions sociales spécifiques comme le mariage homosexuel ou les droits à l’avortement, les électeurs sont motivés à voter pour la droite populiste et nationaliste en partie à cause de leur colère envers ceux de la gauche et du centre-droit, qui ne dissimulent même pas leur mépris du « bas-peuple ».
Aux États-Unis, le snobisme de la gauche a atteint son paroxysme avec la description qu’a faite Hillary Clinton des partisans de Trump, les traitant de « déplorables ». Mais elle n’était pas la seule à faire cette affirmation. Celle-ci s’est réalisée dans une atmosphère générale où les politiciens Démocrates, de Barack Obama à Nancy Pelosi, ainsi que les Républicains de l’establishment, se sont sentis à l’aise de rabaisser les Américains qui ne font pas partie de leur club.
Barack Obama a de façon infamante décrit les « déplorables » d’Hillary Clinton comme étant des « personnes amères » habitant de petites villes qui « s‘accrochent à leurs fusils, à la religion ou à leur antipathie envers les gens qui ne sont pas comme eux ou à leurs sentiments anti-immigrants ou anti-commerce international pour expliquer leur frustration ».
Les médias, qui servent de prolongement au Parti Démocrate et s’accordent avec les Républicains NeverTrump pour mieux attaquer Trump et ses électeurs, font continuellement part de leur mépris pour ces derniers.
De même, selon Stan Grant, professeur et analyste des médias australien, l’un des facteurs décisifs de l’élection australienne a été la religion. Une grande partie du public a eu le sentiment que le dirigeant syndical Shorten les méprisait, eux et leurs convictions religieuses.
Grant se souvient que dans les semaines qui ont précédé les élections, une vedette nationale de rugby – qui, comme Morrison, est un chrétien évangélique – a écrit un article désobligeant sur les homosexuels sur sa page Facebook. Alors que Morrison a réagi en traçant une ligne de séparation entre ses actions politiques et ses croyances religieuses afin de neutraliser le problème, la réaction de Shorten a été de fustiger Morrison.
Selon Grant, « la décision de Shorten a alarmé de nombreux électeurs : Qu’est-ce qu’il représente ? Accorde-t-il plus de valeur au droit de la communauté LGBTQ de ne pas être offensée qu’au droit d’une personne de professer publiquement ses croyances religieuses ?»
Grant a ajouté que la réaction de Shorten à ces interrogations est venue la même semaine lorsqu’il a « prononcé un discours vibrant dans lequel il s’engageait à «changer la nation pour toujours» ».
Il s’avère que même si les Australiens ne s’opposent pas au mariage homosexuel, ils ne veulent pas que leur pays soit fondamentalement transformé. Quelle que soit la façon dont ils s’attaquent aux problèmes sociaux, ils veulent que l’Australie reste l’Australie.
En adoptant une attitude de mépris à leur égard, Shorten, comme Hillary Clinton, Obama, Theresa May et le président français Emmanuel Macron ont insulté les électeurs.
Depuis les années 1990, on nous dit que la mondialisation est un mouvement progressiste et post-nationaliste. Il est vrai que nombreux sont les programmes radicaux adoptés par la gauche au cours des vingt dernières années qui ont été initiés dans un seul pays et se sont répandus dans le monde entier par le biais de divers connecteurs, en particulier les médias sociaux.
À gauche, la communauté universitaire internationale et l’élite transnationale du monde des affaires ont adopté des valeurs et des programmes similaires. Ces valeurs et ces programmes sont devenus les cartes de visite des membres de l’élite dirigeante internationale. Ces valeurs et programmes se sont de plus en plus éloignées de ceux des citoyens des pays et sociétés d’origine de ces élitistes.
La montée de la droite populiste/nationaliste dans tout l’Occident montre que la mondialisation va dans les deux sens. Les membres de l’élite mondiale progressiste et de centre-droit ont adopté les mêmes valeurs et programmes post-nationalistes, post-industriels et post-chrétiens lors de conférences à Bruxelles, à New York, aux Nations Unies, et sur les réseaux en ligne.
Mais de retour dans leur pays d’origine, ceux qu’ils ignorent sont aussi en ligne et parlent aussi. Les majorités ignorées s’écoutent aussi les unes les autres.
Le message le plus puissant qui traverse le monde chaque jour et donne du pouvoir aux populistes et aux conservateurs nationalistes est un message d’exaspération et de colère contre la solidarité des élites transnationales dans leur mépris pour leur peuple. De Jérusalem à Budapest, de Birmingham à Cincinnati, les citoyens rejetés ont compris que la seule façon de rappeler à l’ordre les élites méprisantes est de les chasser du pouvoir.
Pour les unionistes européens et les Remainers britanniques, pour l’élite israélienne et l’establishment américain, la mondialisation de leurs valeurs et de leurs programmes les a amenés à croire que la démocratie se résume à truquer les règles du jeu. Par l’activisme judiciaire et la réglementation bureaucratique, par la terreur intellectuelle et la honte publique, ces élites cherchent à nullifier les résultats des élections. Les urnes, à leur avis, ne sont pas à la hauteur des forces combinées des médias d’élite, du monde universitaire et de la bureaucratie. Ce sont eux qui doivent déterminer les normes et les politiques – au nom de la démocratie.
Mais partout en Occident, les « déplorables » s’écoutent les uns les autres et redécouvrent leur pouvoir et leur voix dans les urnes. Ils se rendent compte que la démocratie est un moyen pour le peuple de déterminer la voie à suivre. L’élite peut contrôler le discours, mais c’est le peuple qui décide qui dirigera le pays.
Il est vrai que les raisons qui motivent les votes varient d’un pays à l’autre. Mais le refus des électeurs d’accepter le mépris avec lequel leurs élites les traitent unifie les électeurs du monde occidental.
Tant que les élites refuseront d’accepter que les valeurs et les programmes traditionnels de leurs sociétés ne sont pas fascistes et racistes, mais conventionnels et même louables, elles continueront à mal interpréter les données des sondages. Elles continueront d’ignorer les électeurs et d’être prises au dépourvu par des défaites électorales auxquelles elles ne s’attendent pas.
*Caroline Glick est une journaliste et commentatrice de renommée mondiale, spécialiste du Moyen-Orient et de la politique étrangère américaine, et auteure de The Israeli Solution : A One-State Plan for Peace in the Middle East.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
pour moi populisme/nationalisme = patriotisme qui est quelqu’un qui aime son Pays et oui nos élites et nos médias sont arrogant et son contre le Peuple
Tout à fait. Depuis quand défendre son identité, avec tout ce qu elle comporte, est ce un crime? Abandonner tout cela est un affront à nos ancêtres.
Je pense qu’il faudrait, de temps en temps, envoyer les “zélites” à la compagne pour qu’elles prennent un peu l’air, leur faire mettre les mains dans le fumier, histoire de savoir comment ça se passe dans le vrai pays. Faire un peu comme Mao ou Pol Pot, histoire de les rééduquer, juste leur faire sentir ce que c’est qu’être dans la m…e en permanence.
que du bon sens!
Et plus les élites sont nulles , plus elles sont arrogantes . Il suffit de voir les poufs et pouffiasses nommés grâce à des circuits relationnels improbables à des postes inespérés pour leur niveaux de fainéantises scolaires favorisés par leur haine de tous ce qui est français , pour comprendre dans quelle mherde nous sommes !
La macronisation de la France fut un crime contre l’humanité !
les populistes préfèrent nous défendre avannt de porter secours au reste du monde!
est ce si incompréhensible?
Patphil
Surtout que la portion du “reste du monde” qui nous échoit n’est vraiment pas un cadeau…
Bien d’accord. J’ajouterai que ce qu’on appelle non sans mépris le “populisme” est aussi un vague d’écoeurement des lois immorales que la Gauche a instaurées, et sinon instaurées, développées: avortement, mariage gay, théorie du gender… C’est un revirement moral qui s’amorce, longuement contenu.
On se souvient que lorsque la France s’est levée contre l’abolition des écoles privées (quasiment toutes catholiques), Mitterand a reculé.
Lorsque la France s’est soulevée contre le mariage gay, avec des millions de protestataires dans la rue (c’était les chemises roses, les “gilets jaunes” de l’époque), le Pouvoir a ignoré le mouvement, avant d’en arriver à écraser le mouvement des Gilets Jaunes par la violence et la désinformation.
C’est la captation par le gauchisme de toutes les instances: Elysée, Assemblée Nationale, Sénat, Conseils régionaux, Conseils Généraux, et quantité de Maires importantes qui a permis à la Gauche et à macron aujourd’hui de pouvoir tout faire, et même le pire, en étant intouchable… à ce qu’ils croient !
Les Verts, aux Européennes, ont pris une place prépondérante. C’était aux yeux de bien des Français déroutés par la pléthore de listes, mais voulant marquer leur refus de Macron une liste “honorable et morale” et ayant une chance d’être représentative. La médiatisation excessive des risques du réchauffement climatique a fait son oeuvre. Tout le monde se veut aujourd’hui écolo, sans savoir ce qui se cache en arrière plan de cette “grande cause”.
Mais cela montre aussi la recherche conscient ou inconsciente de retour à des valeurs morales, face à une oligarchie arrogante qui se plaît à entraînant les peuples dans la fange par des lois abominables.
Excellent article de Caroline Glick comme toujours : en effet le seul et unique moyen que les peuples ont de se faire entendre contre les fausses élites et véritables escrocs que sont les gouvernants qui ont des agendas totalement opposés aux peuples et basés sur des notions complètement fictives, suicidaires, contre productives émanents de cerveaux délavés de toute intelligence, toute forme d’intelligence étant remplacée par un snobisme “intellectuel” se croyant si supérieur du fait que leurs détenteurs ont des diplomes sans valeur d’intelligence mais uniquement de bonne mémoire et de soumission (où est l’intelligence de celui qui sait retenir un livre bourré d’éléments qu’il apprend par cœur) et dénué de jugement celui-ci leur faisant totalement défaut?ce sont des perroquets sans jugement qui additionnent les bévues dans la vie. Ils ne sont pas aptes à diriger une nation.
Ce qui caractérise la gauchiasserie, est l’obstination à vouloir réaliser leur idéologie envers et contre tout, contre tous. Plus elle perd de terrain, plus elle révèle sa nature profonde de dictature féroce, ne tenant jamais compte de la raison des peuples qui vivent, eux, dans un monde réel. Pourtant, la vieille maxime de la nature chassée qui revient au galop, (pour ne pas dire en pleine gueule !), leur ferait du bien à comprendre ; à NOUS comprendre, détenteurs que nous sommes, de l’équilibre dans lequel nous engageons nos vies au quotidien.
Très bon constat. Mais il n’est pas sûr que le problème se résolve par les urnes.
Le peuple vote mal, remplaçons le peuple.
Et c’est évident
Ensuite, trichons
Le scrutin ici, a été faussé par de nombreuses irrégularités
Électeurs désinscrits
Bulletins RN, LR, LFI absents
Un maire a dû rendre à la police les bulletins RN cachés dans sa voiture
D’autres n’ont pas déballé
Des bulletins déchirés donc non valides
On a demandé à des électeurs de rentrer chez eux pour faire des photocopies
1 manque de respect
2 tout le monde a une photocopieuse chez lui, c’est évident
Doute sur les résultats réels
– les prisons ont voté RN ???!!!
Qui peuple essentiellement les prisons ?
Et ils votent RN ?
– le vote des français de l’etranger
À Londres , la PI était refusée
Donc tout le monde peut venir voter
À Washington , demander une PI est « raciste »
Le vote des expats est LREM à plus de 90%
Les résultats sont annoncés par le joueur de poker.
On rigole
L’abstention :
Castaner annonçait que des milliers de personnes pourraient se retrouver non-inscrites et prévoyait un gros bug informatique
Or, la participation a augmenté de 10 points ???
Ils sortent d’où , ces nouveaux électeurs ?
Tous les résultats ne sont pas annoncés
Ex , la liste communautariste islamiste , qui a fait un tabac sur 2/3 villes
Déjà , cette liste avait été acceptée hors délai par Castaner
On a jamais vu ça
Il faudrait collationner les résultats publiés par bureau puis par commune et refaire le décompte
Aurions-nous des surprises ?
Tous les abstentionnistes devraient vérifier les listes d’émargement afin d’être certains qu’ils n’ont pas voté à l’insu de leur plein gré
Et les procurations ?
A vérifier aussi
Bien à vous tous
Janvier : je suis sûr que RN a dû faire au moins 20% de plus à probablement au moins 30% et lerm 30% de moins à 15-16% sans les triches aux urnes.
Robert, je pense comme vous. Agir de la sorte n a rien d une démocratie mais tout d une dictature.
Janvier, entièrement de votre avis.
Je crois que cette situation résulte de l’éducation qu’ont reçu nos élites. Les professeurs particulièrement en Europe ont été imprégné d’une culture trotskyste alternative socialiste au stalinisme. Ayant été assassine Trotsky est devenu un martyr et un héros pour les socialistes s’opposant à Staline
Les élites soixante-huitardes se sont emparé de ce mythe et ont inculqué cette idéologie en profitant du vecteur de l’éducation. Si le slogan de la IV éme internationale Prolétaires de tous les pays unissez vous, les élites ont pensé que pour faire l’unité il fallait que les prolétaires puissent circuler librement d’où les migrants et la politique européenne. Par ailleurs, les grands industriels ont avec les élites museler le peuple en lui donnant de l’assistanat au lieu de crée de la richesse pour le peuple et ils ont fait du slogan de Trotsky avec l’aide des élites qu’ils subventionnent Industriels de tous les pays unissez vous. Pour le peuple qui est beaucoup moins con que le pense les élites cette situation ne peut qu’entraîner la paupérisation économique et culturelle. Les partis dits populistes ont refusé ce jeu et ils offrent une alternative qui fait rêver le simple citoyen en prônant protection du peuple socialement en proposant justement de demander une compensation à l’assistanat et un contrôle de l’immigration qui devrait réduire le nombre de migrants et qui permettrait de renouer avec les valeurs et l’histoire propre à chacun des peuples.
Article juste sur le fond mais à mon avis trop optimiste sur le pouvoir réel du peuple et du vote.
D’abord parce que le vote populiste n’est parvenu au pouvoir en Europe occidentale qu’en Italie et en Autriche (et la coalition autrichienne vient de tomber). Donc succès limité. Je laisse volontairement de côté l’Europe de l’est car leur forte adhésion au christianisme, leur cohésion ethnique et la crainte du russe expliquent pour beaucoup que le sentiment national et les valeurs chrétiennes soient le dénominateur commun naturel qui les fait pencher vers le populisme.
Ailleurs, les populistes progressent mais sont écartés du gouvernement dans les coalitions (Suède, Allemagne, Belgique). Les pays du Sud de l’Europe comme le Portugal, l’Espagne et la Grèce sont socialistes “dans l’âme”.
Enfin, quand ils sont au pouvoir, les populistes ont une marge de manoeuvre très limitée à cause des juges nationaux et europens qui appliquent des normes et des lois favorables à tout être humain quoi qu’il fasse, au détriment de l’autochtone et du citoyen.
Le succès d’un RU vraiment hors de l’UE peut constituer un bel exemple d’espoir et d’avenir, poussant d’autres peuples à imiter les Britanniques. Un effondrement de la zone euro peut aussi faire bouger les lignes. Ou encore un embrasement de zones islamiques dans un pays européen. A part ça, je ne vois pas ce qui pourrait faire évoluer la situation de manière vraiment décisive et favorable aux populistes.
Les Elites font beaucoup pour leur peuple les Vélib’ oui utile pour casser quand on manifeste sur les Champs Elysée , le PMU comme ça on rend accros les petits salaires aux jeux ,espoir fait vivre, mais bon c’est par bonté d’Ames afin de mieux ruiner les pauvres , les Euro million ect ……………………Mais en Réalité ils méprisent le peuple ils disent les geux les sans dents les alcooliques paresseux bon à rien , les cerfs
Pas cool les Enarques attentions champion du monde des cocottes papier
Ha General Electric ça matraque les licenciement 2009 fusion avec Alstom Macron Ministre des fiances il n’a rien vu ben oui une Elite avant ce petit pd était dans la Banque il a du se faire viré
J’ai du mal a y croire c’est une face ????????????????????????