Publié par Rosaly le 22 mai 2019

En cette ère de triomphe du politiquement correct et de l’appauvrissement généralisé de la pensée, il est exceptionnel d’entendre une telle vérité émanant d’un haut dignitaire de l’Eglise.

Le cardinal fit cette surprenante, mais oh combien sage et réaliste déclaration lors d’une séance de « questions et réponses » ce 17 mai organisée au « Rome Life Forum » , immédiatement après son discours sur la piété filiale et le patriotisme national.

Suite au refus du Pape François d’accorder une audience à Matteo Salvini, Ministre de l’Intérieur, on lui demanda s’il était normal que la bénédiction papale soit refusée à une homme politique qui résiste à l’immigration musulmane de masse.

Le Cardinal répondit qu’il ne ferait aucun commentaire sur les bénédictions papales, mais s’empressa d’ajouter :

Selon moi, la question fondamentale est la suivante : celui qui résiste à l’immigration de masse musulmane commet-il un acte immoral et doit-il dès lors, disons-le être privé de la Sainte Communion et/ou être d’une certaine manière reconnu comme un pécheur public ?

L’enseignement de l’Eglise sur l’immigration soutient les individus qui sont dans l’incapacité de trouver un moyen de vivre dans leurs pays. Ceci, toutefois, ne s’applique pas aux migrants opportunistes, qui déferlent en masse dans nos pays, notamment dans le cas de l’islam, qui selon sa propre définition se croit destiné à diriger le monde . Nul besoin d’être un génie pour comprendre ce qui se passe en France, en Allemagne, et aussi ici en Italie. Et cela s’observe également aux USA.

Mgr Burke cita alors un livre intitulé « No Go Zones: How Sharia Law Is Coming to a Neighborhood Near You » (Les zones de non-droit: comment la loi de la charia arrive dans votre voisinage), qui énumère les lieux aux USA, où les migrants musulmans ont établi leur propre ordre juridique.

En d’autres termes, ils résistent à l’Autorité légitime de l’Etat. Dès lors résister à l’immigration de masse musulmane dans un pays est un acte de patriotisme louable.

Oui, certaines personnes sont de vrais réfugiés. Nous devons les recevoir et les aider de toutes les manières, mais ce n’est pas le cas lorsque nous sommes confrontés à une immigration de masse.

Dans son discours avant la séance de questions-réponses, le cardinal se référa au Catéchisme catholique de 1992 concernant l’immigration. Contrairement aux positions de certains évêques et prêtres inconscients, favorables à l’accueil illimité de migrants, source de futurs conflits sanglants, le catéchisme précise:

Les nations mieux pourvues sont tenues d’accueillir autant que faire se peut l’étranger en quête de sécurité et des ressources vitales qu’il ne peut trouver dans son pays d’origine.

Les autorités politiques peuvent en vue du bien commun, dont elles ont la charge, subordonner l’exercice du droit d’immigration à diverses conditions juridiques, notamment au respect des devoirs des migrants à l’égard du pays d’ adoption.

L’immigré est tenu de respecter avec reconnaissance le patrimoine matériel et spirituel de son pays d’accueil, d’obéir à ses lois et de contribuer à ses charges.

A la question « comment les migrants peuvent-ils respecter l’héritage culturel et spirituel de leur nouveau pays, si ce dernier est spirituellement en faillite » , il répondit :

C’est l’une des difficultés actuelles. En fait, les musulmans disent qu’ils peuvent accomplir de nos jours ce qu’ils n’étaient pas capables de faire autrefois par les armes, car les Chrétiens aujourd’hui ne sont pas prêts à défendre leur foi, ni ce en quoi ils croient. Ils ne sont plus prêts à défendre la loi morale.

Le vide spirituel de l’Occident et son désenchantement généralisé favorisent la progression de cette idéologie totalitaire et liberticide en Occident. Une civilisation de substitution est en marche, guidée par la seule “religion” supposée susceptible d’apporter le bonheur à l’humanité, l’islam. Ce « credo » est soutenu, voire encouragé par l’ONU, l’UE et une partie de l’Eglise, qui ne se prive pas d’encenser l’islam, voire le mettre sur un pied d’égalité avec le christianisme. Or l’islam est l’antithèse du christianisme et le Cardinal Raymond Burke, à l’inverse de son supérieur hiérarchique, l’a non seulement bien compris, mais ose l’affirmer publiquement.

L’idéologie islamo-nazie est une catastrophe pour l’humanité et devrait être interdite en Occident, le coran, livre incitant à la haine et au meurtre des non musulmans, banni de nos nations, et les musulmans souhaitant rester dans nos pays, obligés de respecter nos lois, de s’y conformer, de s’adapter à notre civilisation, à nos traditions, et non exiger de nous, que nous nous pliions à leurs interdits religieux, à leurs revendications pseudo-religieuses, diamétralement opposées à nos valeurs judéo-chrétiennes.

L’Eglise, supposée défendre le christianisme, capitule joyeusement devant l’islam sous le prétexte de se montrer, ouverte, généreuse, inclusive, et trahit ainsi sa foi, son Dieu, au point de renier le Christ pour ne pas froisser la susceptibilité des musulmans.

Face à la clairvoyance du Cardinal Raymond Burke, un pasteur britannique remporte lui la palme de l’aveuglement.

La dhimmitude de certains membres de l’Eglise anglicane et autres confessions chrétiennes soulève des questions quant à la sincérité de leur foi chrétienne.

A Darlington, le pasteur de l’église St Matthew et St Luke est sous le feu des critiques. Dans le cadre d’un événement multiconfessionnel à l’occasion du ramadan, le pasteur a invité la communauté musulmane à y réciter des prières islamiques, non sans avoir auparavant proposé de voiler toutes les croix et de mettre à sa disposition différentes salles pour permettre aux hommes et aux femmes de prier séparément…

Voiler la Croix dans une église, ce symbole du christianisme qui fait frémir d’horreur les musulmans, n’est-ce pas là un acte flagrant de reniement du Christ?

C’est pourquoi, quiconque me confessera devant les hommes, je le confesserai aussi devant mon Père qui est dans les cieux, mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux.

Matthieu 10:32-33

Alors que les Chrétiens souffrent de toutes les horreurs de la persécution dans les pays islamiques, à cause de leur odieux statut d’infériorité , cette invitation est une démonstration cinglante de la dhimmitude d’une partie de l’église anglicane poussée à l’extrême. Ce pasteur envoie aux musulmans un signe de capitulation, de lâcheté, de faiblesse. Une faiblesse , qui ne suscite que mépris, de la part de ceux que ces serviteurs indignes du Christ veulent honorer en renonçant ouvertement à leur propre foi?

Mis au courant de cette invitation , le Diocèse de Durham a prié le pasteur de ne pas autoriser les prières islamiques dans l’église. Une faible lueur d’espoir dans cette obscurité …

Mgr Gavin, archevêque anglican de l’Eglise épiscopale anglaise, un ancien chapelain de la Reine, fur l’un des nombreux fidèles à réagir rapidement :

La motivation derrière cet évènement est évidemment excellente. Tout ce qui peut rassembler les gens, les aider à mieux se comprendre et à être de bons voisins est louable et doit être apprécié, mais cela doit être fait avec probité.

Approuvant l’intervention du Diocèse, il déclara :

J’espère que les leçons ont été apprises. Les membres du Diocèse ont réalisé que le pasteur avait commis une erreur stupide, mais je suis heureux que cela se soit produit, car cette « gaffe » a soulevé aux yeux du public des questions importantes, sujets de réflexion. L’islam et le christianisme ne sont pas des cousins abrahamiques dans la religion du Moyen-Orient. Ils sont en fait antithétiques, opposés l’un à l’autre.

En proposant de «cacher les croix», le vicaire a fait preuve d’un manque d’intégrité épouvantable, d’autant plus troublant de la part d’un pasteur. Il a été insultant envers les fidèles, il a sciemment ignoré l’incursion suprémaciste islamique au Royaume-Uni, il s’est montré irrévérencieux envers le Christ et a violé le droit canon.

Toutes formes de services utilisées en vertu des droits canons B1/2/3 et B5, Section 3 doivent être respectueuses et ne peuvent s’opposer ni s’éloigner de la doctrine de l’Eglise d’Angleterre en toute matière essentielle.

Lors d’une déclaration au Premier ministre, un porte-parole du diocèse de Durham affirma:

S’il est essentiel de bâtir de bonnes relations inter-religieuses, il est clair qu’un acte de culte d’une tradition religieuse non chrétienne n’est pas autorisé dans une église consacrée d’Angleterre.

Si les prières islamiques ont été interdites à l’intérieur de l’église, la communauté musulmane se rassemblera à l’église pour le repas de rupture du jeûne. Les croix seront-elles voilées en cette occasion ? Une tradition islamique, qui se généralise de plus en plus au sein des églises chrétiennes et ce au nom d’un utopique « vivre ensemble » joyeux et festif avec les adeptes d’Allah. Hypocrisie colossale ! Une église n’est pas un restaurant, mais un lieu de prière. A quand l’organisation d’un repas lors de la fête de Noël ou de Pâques dans une mosquée en l’honneur de la communauté chrétienne ? Quand les poules auront des dents ! Pas si stupides les islamiques !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources:

  • Cardinal. Burke: It’s ‘responsible’ for Christian nations to resist ‘large-scale Muslim immigration’(LifeSiteNews)
  • UK: Church offers to cover up crosses, host Ramadan prayers» ( Premier UK)

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