
“Les personnes ne maîtrisant pas la langue locale ne seront pas autorisées à travailler en Assam”, a déclaré l’organisation littéraire Assam Sahitya Sabha.
Le 16 mai dernier, Assam Sahitya Sabha, une organisation littéraire de l’Assam, a déclaré que les personnes qui ne connaissent pas l’assamais ou toute autre langue indigène ne seraient pas autorisés à travailler dans l’État, rapporte The Hindu.
Le Président de l’Assam Sahitya Sabha, Sabha Paramananda Rajbongshi a déclaré :
Nous avons signifié la notification conformément aux dispositions de l’Accord de l’Assam (de 1985 qui a mis fin à une agitation de six ans pour l’expulsion de migrants illégaux).
Le Centre aurait dû s’efforcer de protéger l’identité culturelle et linguistique des peuples autochtones. Nous devons protéger notre identité”.
Le Sabha a été à l’avant-garde d’un mouvement de résistance à la menace que représentent les langues dominantes pour l’assamais et les autres langues locales.
L’Assam Sahitya Sabha, fondée en 1917, a donné un mois au gouvernement Sarbananda Sonowal pour que les écoles affiliées au Conseil central de l’enseignement secondaire introduisent toute langue autochtone reconnue comme troisième langue jusqu’en terminale.
Les Français défendent-ils leur identité culturelle, leur âme, contre les migrants venus d’Afrique ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
ils ont compris comme l’ont fait les birmans avec les envahisseurs rohingyas
L’inde à la civilisation multimillénaire survit, Monsieur,
même à l’islam.
Pour ce qui concerne la France, j’engage vos lecteurs à signer
la pétition lancée par les volontaires pour la France, visant
à obtenir la déchéance de nationalité pour le rapeur bi-
national camerounais ( et français, pour les commodités).
Une de ses chansons appelle à “baiser et brûler la France”.