
Le document officiel de l’Eglise catholique romaine publié fin 2015 marque réellement une étape nouvelle dans le dialogue chrétiens et juifs. Ce message qui s’adresse clairement aux catholiques mais aussi aux juifs.
Le 10 déc. 2015, le cardinal suisse Kurt KOCH prend la parole au Vatican, accompagné du Grand Rabbin David ROSEN (American jewish comittee) avec quelques autres personnalités du dialogue. Il s’agit de présenter à la presse et aux instances religieuses un nouveau document du St Siège, particulièrement riche de sens dans la période que nous vivons. Il se veut être une manière actualisée d’honorer le 50ème anniversaire de Nostra Aetate : (1965-2015) car la célèbre déclaration conciliaire a ouvert une posture entièrement renouvelée à l’égard du judaïsme.
Le 10 décembre 2015, le cardinal Koch présente avec enthousiasme le nouveau document issu de la commission pontificale comme un coup d’envoi vers une nouvelle ouverture à la réflexion théologique entre chrétiens et juifs.
C’est d’ailleurs en reprenant cette même perspective que le pape François est allé en visite à la synagogue de Rome dès le 17 janvier 2016, comme l’avaient fait ses prédécesseurs, mais cette fois avec la préoccupation d’offrir cette nouvelle démarche de cheminement commun dans une réflexion théologique. Cette perspective d’avenir ne l’a pas empêché d’évoquer d’abord le passé tragique, avec les rafles de juifs à Rome, dans les années 40, et après avoir mis en lumière le patrimoine spirituel commun qui nous relie, il a lancé un appel à la lutte contre toute forme d’antisémitisme alors que s’aggravent les crises en Occident et au Moyen Orient.
Sur cette offre catholique d’approfondissement commun au plan théologique et historique, le grand rabbin Di Segni a chaleureusement accueilli le chef de l’Eglise catholique, heureux de sa présence à la synagogue, mais il a aussi exprimé ses questions face à la démarche proposée par l’Eglise.
Le document tire son titre de l’épître aux Romains 11.29. (Les dons…)
Il y a 50 ans, Nostra Aetate était un véritable tournant à 180.
Le vœu du document romain de 2015 est d’encourager les chrétiens à reprendre conscience de leur origine, de relancer par conséquent l’estime pour le judaïsme, et d’intensifier la dimension proprement théologique du dialogue chrétiens et juifs.
Le document relève à quel point la déclaration NAe a été considérée comme une étape décisive puisqu’elle a en effet induit un changement dans les relations entre l’Eglise et le peuple juif. On ne peut cependant minimiser le fait d’une histoire du christianisme assombrie par un passé particulièrement hostile et discriminatoire envers les juifs. Il y a eu, dès le 4ème siècle, une disqualification grandissante de la tradition hébraïque qui s’est accompagnée, au long des siècles, non seulement de pogroms mais aussi de conversions forcées. La minorité juive a trop souvent souffert des comportements de la majorité chrétienne dominante, qu’elle soit catholique, protestante ou orthodoxe. C’est finalement l’ombre insupportable de la shoah qui a obligé les Eglises à repenser à la base leur relation au judaïsme, dès la fin de la 2de guerre mondiale.
Le document de 2015 considère la séparation entre la synagogue et l’Eglise comme la première division au sein d’un peuple de Dieu encore indivis, une fracture qui aura des conséquences considérables par la suite. Car c’est le prototype des schismes successifs : avec l’orthodoxie au 11ème s., et le protestantisme au 16ème s.
La Commission du St Siège pour le dialogue avec les juifs a été fondée en 1974 par Paul VI. Elle a publié la même année sa première réflexion pour faire appliquer sur le terrain l’orientation novatrice de Nostra Aetate. Le but était que les chrétiens se familiarisent avec le judaïsme qu’ils connaissent mal, et qu’ils le découvrent avec estime et respect tel qu’il se définit lui-même. Il est alors proposé de prendre en compte le fait que toute la liturgie chrétienne émane des pratiques de la tradition juive. En 1985, la même commission relance la recommandation de 1974 qui visiblement n’a pas eu l’effet escompté en raison de la résistance des habitudes de pensée. Cette fois, on insiste nettement sur une ligne plus théologique : les rapports entre ancien et nouveau testament, l’importance de la terre dans la vision juive de l’alliance, et l’existence de l’Etat d’Israël comme un signe à interpréter dans le plan de Dieu. (Pas seulement dans le registre politique avec les polémiques que cela engendre, mais dans la logique de la révélation et de l’élection).
Autre étape ayant eu un impact : la publication du document de la Commission biblique du St Siège en l’an 2000 « Le peuple juif et ses saintes Ecritures dans la Bible chrétienne » une approche substantielle, spécifiquement théologique, dont la préface porte la signature du cardinal Joseph Ratzinger. Il est mis en lumière, dans cette étude, le fait que la Bible hébraïque fait partie intégrante de la Bible chrétienne, et que le texte sacré des juifs est également sacré pour les chrétiens. Il y a toute une liste de questions à approfondir qui figure dans cet ouvrage, avec cette invitation tout à fait nouvelle : les catholiques sont encouragés à prendre en compte l’approche spécifiquement juive du premier testament ; alors que jusque-là n’était acceptable que la projection interprétative christocentrique sur les textes antérieurs au nouveau testament.
Le nouveau document Dons-Appel 2015 relève le rôle constructif du pape Jean Paul II dans les retrouvailles entre catholiques et juifs : son pèlerinage à Auschwitz, sa prière au Kottel et à Yad Vashem lors de son voyage en Israel, et son habitude de recevoir régulièrement des représentants du judaïsme au Vatican ; sans oublier le fait que dès le début de ses 28 ans de pontificat, Jean Paul II a rencontré systématiquement les communautés juives locales lors de ses fréquents déplacements dans le monde.
Quant à Benoît XVI, il nous est signalé combien il était engagé personnellement et avec érudition dans le dialogue, avant même son élection au ministère de Pierre. Le pape François, quant à lui est connu pour avoir développé des amitiés constructives avec les juifs argentins – bien avant de recevoir sa charge d’évêque de Rome.
Le document du St Siège 2015 énumère les nombreux contacts institutionnels devenus habituels entre l’Eglise et les organisations juives : le comité juif international pour les consultations interreligieuses, le comité de liaison catholique-juif international, le grand rabbinat d’Israel, les associations de rabbins américains, le congrès juif mondial, le b’nai brith, etc. Les colloques entre ces délégations et le St Siège sont souvent axées sur des thèmes porteurs : l’éthique biblique, l’anthropologie selon la Bible, la liberté religieuse, la place de la famille, la sauvegarde de l’environnement, la place des institutions religieuses dans les sociétés laïques, la place des Saintes Ecritures dans la communication sociale, etc. La plupart du temps, les acteurs de ces colloques sont des évêques, des prêtres, des rabbins et grands rabbins. Un approfondissement particulier des liens spirituels s’est effectué entre le judaïsme orthodoxe et l’Eglise catholique à partir de convergences de sensibilités. Mais la commission de dialogue du St Siège se veut ouverte à l’échange avec tous les courants du judaïsme. La même commission veille à promouvoir au sein même de l’Eglise catholique la relation fraternelle entre chrétiens et juifs en sollicitant les conférences épiscopales dans le monde entier. Ainsi, la journée du judaïsme, Dies Judaïcus, célébrée solennellement à Genève chaque année, en est un des exemples concrets.
Le document de 2015 souligne une réalité constatable sur le terrain : on assiste à une prise de conscience du fait que chrétiens et juifs sont en fait interdépendants les uns des autres dans les situations du monde actuel. C’est un argument réaliste pour recommander urgemment le cheminement commun – y compris au niveau théologique – étant donné l’évolution des mentalités et les périls géopolitiques. Il postule l’idée que chrétiens et juifs ont tout à gagner à sortir de leurs méconnaissances et de leurs incompréhensions respectives et récurrentes. Depuis 50 ans, l’Eglise répète que sans son ancrage dans le judaïsme, elle perd son identité sotériologique et sans cette connexion, elle dégénèrerait en secte gnostique. Coupé de sa référence à la Bible hébraïque, le message de salut chrétien perd simultanément son historicité et sa signification, et il devient manipulable par les idéologies. Et le pape François ajoute que chrétiens et juifs partagent beaucoup de convictions essentielles qui sont aussi les fondements d’une éthique commune et les moteurs d’un engagement humaniste.
On en vient donc dans le document à examiner le statut théologique particulier du dialogue catholique-juif :
Dans la vie de l’Eglise catholique, ce dialogue chrétiens et juifs occupe une place à part entière et entièrement à part. Malgré les ruptures initiales et les conflits interminables des siècles passés, l’Eglise se dit consciente de sa continuité avec Israël. De ce fait, le judaïsme n’est pas pour les chrétiens une religion parmi d’autres, comme l’islam, l’hindouisme, etc. En parlant des juifs, Jean Paul II utilisait l’expression « frères aînés », Benoît XVI, celle de « pères dans la foi ».
Il y a aussi en exégèse depuis des décennies, un retour explicite à la judéité reconnue de Jésus de Nazareth, Yeshoua Ha Notsri. Lui qui était juif observant et a annoncé dès le début de son engagement « Je ne suis pas venu pour abolir mais pour accomplir » et il interdisait à ses disciples (talmidim) de mépriser le plus petit aspect de la Torah. Selon les évangiles, l’objectif manifeste de Jésus n’était pas de s’annoncer lui-même, mais de proclamer l’avènement du Règne de Dieu en parlant au nom du Père. Ce sont les communautés qui l’ont ensuite mis au centre de l’expérience kérygmatique de sa mort-résurrection. A son époque, il y avait plusieurs courants au sein du judaïsme, plusieurs écoles comme celles de Hillel et de Shammaï. Le message central de Jésus est en accord avec un courant réformateur significatif du judaïsme au 1er siècle. C’est pourquoi l’enseignement de Jésus reste incompréhensible si on ne l’inscrit pas dans la tradition vivante d’Israël. Pour les chrétiens, la présence de Dieu s’incarne pleinement en lui sans altérer son humanité ni sa judéité.
Comme l’affirmait Jean Paul II avec honnêteté : « qui rencontre Jésus rencontre le judaïsme »…Et c’est vrai, les premiers disciples de Jésus étaient des juifs et l’Eglise primitive était 100% juive – jusqu’à l’arrivée en masse, dans les communautés, de membres de culture païenne qui par la suite vont prendre le pouvoir. Paul de Tarse a très tôt structuré le mouvement des « juifs qui croient au message de Jésus », et qui s’appelait alors « disciples du chemin » – une sorte de pendant à l’appellation juive « halakha » des écoles pharisiennes; mais en concertation avec le groupe apostolique responsable à Jérusalem, Paul n’a pas imposé la circoncision ou la cacherout à tous les sympathisants nouveaux venus. Au premier siècle, coexistaient donc paisiblement, dans les mêmes assemblées, des chrétiens juifs et des chrétiens païens ; ainsi l’Eglise avait deux branches, celle de la circoncision et celle de la gentilité.
On estime de ce fait que la distanciation entre Eglise et synagogue ne s’est faite que progressivement et donc beaucoup plus tard qu’on ne le croyait jusque récemment. Selon les recherches historiques, la rupture n’a été complète qu’au 4ème siècle. Pour cette période, avant les exclusions mutuelles, il n’y avait pas d’antagonisme majeur entre : vivre de la tradition juive, et confesser Jésus comme Christ. C’est par la suite que les polémiques se sont amplifiées de la part de certains pères de l’Eglise hostiles à la synagogue d’une part, mais aussi des écoles du talmud d’autre part, avec les dérives haineuses intercommunautaires qui s’en sont suivies.
Le judaïsme du temps de Jésus a donc donné naissance à la fois au judéo-christianisme mais aussi, après la destruction du Temple en l’an 70, au judaïsme rabbinique postbiblique. Le document de 2015 souligne ce fait que les juifs et les chrétiens sont nés de la même matrice et peuvent être considérés comme appartenant à la même fratrie spirituelle. Ils ont ensuite évolué sur des voies au départ parallèles, mais ensuite divergentes et avec des logiques propres. Ainsi, ils se sont éloignés les uns des autres et sont entrés progressivement dans des attitudes de diffamation mutuelle.
Cependant, de manière officielle, l’Eglise désire tourner la page des blocages méprisants et des impasses ; donc, elle clarifie sa position à l’égard du judaïsme dès la parution de la déclaration conciliaire N. Aetate en 1965. Elle affirme que l’amour de Dieu pour le peuple d’Israël est permanent et sans retour possible en arrière. Elle précise aussi que la théorie du remplacement d’Israël par l’Eglise n’a aucun fondement. Et que donc les entreprises de disqualification des juifs sont contraires à la dynamique de la révélation.
La foi des juifs exprimée dans le premier testament n’est pas pour les chrétiens une AUTRE religion, mais le fondement même de leur propre foi. C’est précisément en ce sens que le pape Jean Paul II a déclaré en 1986 à la synagogue de Rome : « la religion juive ne nous est pas extrinsèque, mais intrinsèque ! Nous avons avec elle des rapports que nous n’avons avec aucune autre religion. Nous sommes frères. Vous êtes nos frères aînés.» C’est pourquoi, du point de vue catholique, le dialogue chrétiens et juifs n’est pas un dialogue interreligieux ad extra, mais une relation œcuménique ad intra.
Le document de 2015 développe une réflexion sur les aspects communs de la révélation. Le pape François dit en substance : les juifs considèrent la parole de Dieu comme présente dans la Torah. Les chrétiens partagent ce point de vue mais pensent que Jésus est dans sa personne une incarnation de la Torah. Le judaïsme et la foi chrétienne sont ainsi deux modalités par lesquelles le peuple de Dieu dans son ensemble fait siennes les Ecritures sacrées d’Israël. Toute réponse à la parole salvifique de Dieu qui serait en accord avec l’une ou l’autre de ces deux traditions peut ouvrir un accès à Dieu.
Pour les chrétiens, Jésus a vécu selon l’alliance, qu’il a voulu actualiser dans sa personne. Mais cela n’empêche pas que l’alliance avec Israël est irrévocable et toujours actuelle. L’opposition entre bible juive et bible chrétienne n’a jamais fait partie de la doctrine de l’Eglise catholique, rappelle le document de 2015. L’Eglise catholique a d’ailleurs exclu sans hésitation le dénommé Marcion, au 2ème siècle, lorsque celui-ci a prétendu que le premier testament était aboli par le nouveau. C’est pourquoi les chrétiens ne peuvent jamais considérer le nouveau testament comme le substitut de l’ancien. Il est constitué d’éléments de langage qui, tous, font partie de la bible hébraïque. C’est une relecture midrashique de la parole de Dieu à travers l’événement Jésus, tout comme les rabbins ont été amenés à faire une nouvelle lecture des Ecritures après la destruction du Temple en l’an 70, et ils ont adopté de nouvelles interprétations de la tradition antérieure en se recentrant différemment.
Si l’alliance de Dieu avec Israël n’a jamais été révoquée, l’Eglise estime que sans Israël, elle perdrait sa posture originale dans l’histoire humaine, et sans l’Eglise, Israël pourrait rester autocentré et ne pas développer son potentiel universel, dit le document. Sous cet angle, le St Siège insiste sur le fait que Israël et l’Eglise sont liés l’un à l’autre en raison de l’alliance et du message qui en découle pour le monde.
Le document reprend l’affirmation de Jn 4.22 « le salut vient des juifs », en estimant qu’il n’y pas opposition entre la rédemption d’Israël et le mystère du Christ sauveur. Théologiquement les juifs prennent part au salut de Dieu et Paul l’affirme dans l’épître aux Romains : tout Israël sera sauvé ! ».
Pour l’Eglise, le Christ est le rédempteur de tous, mais cette affirmation ne nie pas la vocation spécifique d’Israël. « Les dons et l’appel de Dieu sont irrévocables » selon la phrase paulinienne qui a donné son titre au document. Pour les catholiques, la difficulté est de comprendre de façon inclusive et cohérente que Dieu n’a pas révoqué son alliance avec Israël, et que le salut en Jésus est universel et non pas antagoniste. Afin de dissiper tout malentendu, l’Eglise conclut dans le document de 2015 qu’elle ne conduit aucune action missionnaire auprès des juifs. Il n’existe aucune institution prosélyte envers les juifs car l’Eglise reconnaît que les juifs sont dépositaires de la Parole de Dieu. Elle se refuse à aller annoncer aux juifs le Dieu d’Israël, sa mission étant de témoigner – avec eux – du Dieu de la Bible aux païens.
Un autre engagement commun prioritaire est celui de lutter ensemble contre l’antisémitisme. Le pape François l’a redit et répété : un chrétien ne peut pas être antisémite. Fils d’Abraham, les juifs et les chrétiens – conclut le document, sont appelés à promouvoir un témoignage de justice, de paix, en collaborant dans des organisations caritatives. Ils peuvent ainsi transmettre, à tous, sur le terrain les bénédictions du Dieu de la tradition biblique. Le document considère que cet engagement s’amplifiera d’autant plus que les chrétiens et les juifs se connaîtront mieux, qu’ils s’estimeront dans le respect de leurs pratiques respectives, et qu’ils se donneront les moyens d’approfondir ensemble leurs trésors spirituels.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez, prêtre catholique, commission judéo-catholique de la conférence des évêques suisses et de la fédération suisse des communautés israélites, pour Dreuz.info.
Je sais que ce commentaire ne passera pas mais je ne peux y résister, et puis il sera lu au moins par une personne, celui ou celle qui va le zapper.
Après une telle lecture, la pensée qui s’impose à mon esprit va à l’apôtre Paul, lequel doit se retourner dans sa tombe, lui qui aimait tant son peuple et risquait à chaque instant sa vie pour lui apporter le message du salut par et en Jésus-Christ.
Bien sûr le salut vient des juifs, c’est incontestable puisque ils sont les détenteurs des oracles de Dieu, mais ça s’arrête là.
Il n’y a pas de salut en dehors de Christ, ( et non en-dehors de “l’église romaine”) mais Paul n’a pas trahi son appel ni son sauveur.
Cependant, cette pseudo “église” ne cesse de bafouer celui dont elle se réclame.
vous croyez avoir découvert la roue en disant que le salut est en Jésus Christ, et cela vous autorise aussitôt à cracher sur l’Eglise catholique, vous êtes donc satisfait? mission accomplie?
sans cette Eglise que vous détestez par ignorance, et son engagement pluriséculaire vous ne connaîtriez même pas Jésus Christ.
Mais je crois que votre propos – vu l’article – est quelque peu hors sujet !!
je constate que sur ce long article, une ligne et demie est réservée au pape actuel
” Le pape François, quant à lui est connu pour avoir développé des amitiés constructives avec les juifs argentins ”
mais porter la kippa est le seul fait marquant, en revanche ses déclarations sur les musulmans, l’islam, le coran indique bien sa préférence!
L’église (catholique) “se refuse à du prosélytisme en vers les Juifs” dîtes-vous. Comme presque tout le temps, elle agit différemment de ce que faisaient les premiers chrétiens, les apôtres allaient annoncer le salut en Jésus dans les synagogues et donc à des Juifs. Les Juifs ont aussi besoin du salut en Jésus car aucun ne peut prétendre avoir respecté la loi. Par ailleurs, quand on parle, il ne faut pas dire chrétien au lieu de dire catholique, la différence est énorme à tous points de vue, en doctrine d’abord et presque toujours en comportement envers les Juifs.
eh bien moi, figurez-vous, je dis chrétien quand je le désire, et détrompez-vous, vous n’en avez pas la propriété exclusive.
d’autant plus que hypocritement vous insinuez que ceux qui sont catholiques ne sont pas chrétiens…
Cet article quoi qu’il en soit fait plaisir.
De savoir qu’un document officiel en 2015 attestant de la proximité des religions judéo-Chrétiennes, c’est toujours une reconnaissance importante.
Même si comme les autres intervenants, je n’ai pu m’empêcher de penser aux actions de l’actuel Pape. Ce document reste important.
Merci.
Cet article quoi qu’il en soit fait plaisir.
De savoir qu’un document officiel en 2015 attestant de la proximité des religions judéo-Chrétiennes, c’est toujours une reconnaissance importante.
Même si comme les autres intervenants, je n’ai pu m’empêcher de penser aux actions de l’actuel Pape. Ce document reste important.
Merci.
mon point de vue sur le salut des juifs est différent de celui de l’article.
Car comme le souligne Jésus à Nicodème Docteur de la Loi, il lui faut naître de nouveau lui aussi et même si il est juif et docteur en Israël. Nicodème acceptera Jésus comme son Messie et participera à la mise au tombeau du Christ (Jean 19).
Lorsque vous dites tout Israel sera sauvé, Israel n’est pas le peuple juif bien qu’il en fasse parti et de la plus noble des manières. Israel, c’est l’ensemble des tribus perdues et de Juda plus les tribus qui lui sont associées. Donc lorsque Paul dit “Tout Israel sera sauvé” , il va au-delà du peuple juif. Il parle de tous ceux des nations issus des tribus perdues qui entendront le message de la bonne nouvelle de Jesus le Messie (Yéhoshoua HaMashiakh’) et le suivront.
Voici le passage très clair qui évoque la rencontre entre Jésus et Nicodème , un Chef des juifs :
1Mais il y eut un homme d’entre les pharisiens, nommé Nicodème, un chef des Juifs, 2qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit: Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui. 3Jésus lui répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu. 4Nicodème lui dit: Comment un homme peut-il naître quand il est vieux? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître? 5Jésus répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. 6Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est esprit. 7Ne t’étonne pas que je t’aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau. 8Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit.
9Nicodème lui dit: Comment cela peut-il se faire? 10Jésus lui répondit: Tu es le docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses! 11En vérité, en vérité, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu; et vous ne recevez pas notre témoignage. 12Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes? 13Personne n’est monté au ciel, si ce n’est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est dans le ciel. 14Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l’homme soit élevé, 15afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. 16Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. 17Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. 18Celui qui croit en lui n’est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.
vous parlez exactement comme un religieux palestinien qui nous explique qu’il n’y avait pas de “juifs” avant le 3ème siècle et que par conséquent le temple de Jérusalem n’était pas juif mais palestinien.
votre interprétation à partir de Nicodème a pour but de discréditer les croyants de l’alliance version première! vieille méthode antisémite : on disqualifie les juifs au nom de la nouveauté chrétienne, le judaïsme sert de faire-valoir à un christianisme qui annule ce qui le précédait. Quel retour en arrière. Et l’accumulation de citations chère à certains milieux qui se rassurent à bon compte ne changera rien au problème…
Si Jésus le juif s’adresse à Nicodème le juif , c’est bien qu’il y a des juifs avant le 3eme siècle, et si Matthieu décrit la généalogie de Jésus, c’est bien qu’il y a des juifs depuis des millénaires.
Vous me prêtez des propos insultants. Il n’y a rien d’antisémite dans ceux-ci, gardez vos insultes pour vous même, svp.Vous tordez à souhait tout propos pour servir votre compréhension très personnelle de la Parole.
Et je ne discrédite rien du tout, ni personne, c’est vous qui discréditez les paroles du Christ.
De plus, si Jésus dit à Nicodème “Tu es le docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses! “, c’est bien que la reconnaissance de Jésus (Yéshoua Ha Mashiakh’) aurait du être une chose naturelle pour les juifs.
D’ailleurs il ne s’agit pas pour Jésus de demander à Nicodème de changer de religion, mais de reconnaitre Jésus, Yéshoua (Le Salut de D.ieu), dont le nom est cité plus d’une centaine de fois dans la 1ere alliance. Pratiquement à chaque fois que le terme salut est cité, c’est le Nom Jésus, Yéshoua qui est cité.
Si l’on vous suit alors, lorsque Pierre s’adresse aux juifs à Jérusalem le jour de la Pentecôte c’est parce qu’il est palestinien anti-sémite. Voici ce que Pierre a dit aux juifs qui étaient présents :
“37 ils (les juifs) dirent à Pierre et aux autres apôtres: Hommes frères, que ferons-nous? 38Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du Saint-Esprit. 39Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera.” non seulement Pierre leur dit que cette promesse est pour eux mais pour leurs enfants et ceux qui sont en diaspora !
De même Paul est donc anti-sémite , lorsque il dit ” je n’ai point honte de l’Evangile (Bonne Nouvelle du Christ): c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit, du Juif premièrement”.
Votre idée selon laquelle le salut en Yéshoua HaMashiaKh’, Melekh’ HaYéhoudim, n’est pas pour les Yéhoudim, est complètement anti-scripturaire.
Oui, Marie la juive, la mère de l’homme Jésus, a efectivement bien reconnu qu’elle avait besoin d’un sauveur !
(Luc 1:47)
Monsieur l’Abbé,
Comme les commentateurs précédents je dois souligner à votre attention combien le comportement du pape François est déconcertant.
Aux termes du document de 2015 du Saint Siège, dites vous : “chrétiens et juifs sont en fait interdépendants les uns des autres dans les situations du monde actuel…..argument réaliste en face des périls géopolitiques “.
Vous ajoutez que le document du Saint Siège énumère les contacts institutionnels devenus habituels entre l’EGLISE ET LES ORGANISATIONS JUIVES
Cette solidarité se justifie d’autant plus qu’elle se trouve illustrée par le danger de l’extermination des mécréants (càd juifs et chrétiens confondus ) professée par l’Islam déjà passé aux actes en Orient, et bientôt en Occident.
Monsieur l’ Abbé puisque l’union fait la force pourquoi EGLISE ET RGANISATIONS JUIVES ne scelleraient elles pas une union sacrée de circonstance pour dissuader de son funeste projet le partenaire actuellement associé au pape François dans sa croisade pro immigrants ??? “Sans l’Eglise, poursuit le document, Israël pourrait rester autocentré et ne pas développer son potentiel universel ” O.K. mais ce qui est également vrai c’est que Eglise et Israël seront ensemble phagocytés si la réaction n’est pas enclenchée…
Mais celui-là est Juif qui l’est au dedans, et la circoncision est du coeur, en esprit, non pas dans la lettre; et la louange de ce Juif ne vient pas des hommes, mais de Dieu. Romains 2:29.
Que dirons-nous donc que, selon la chair, Abraham notre père a trouvé? Car si Abraham a été justifié sur le principe des oeuvres, il a de quoi se glorifier, mais non pas relativement à Dieu; car que dit l’Écriture? “Et Abraham crut Dieu, et cela lui fut compté à justice”. Or à celui qui fait des oeuvres, le salaire n’est pas compté à titre de grâce, mais à titre de chose due; mais à celui qui ne fait pas des oeuvres, mais qui croit en celui qui justifie l’impie, sa foi lui est comptée à justice; ainsi que David aussi exprime la béatitude de l’homme à qui Dieu compte la justice sans oeuvres: “Bienheureux ceux dont les iniquités ont été pardonnées et dont les péchés ont été couverts; bienheureux l’homme à qui le *Seigneur ne compte point le péché”. Cette béatitude donc vient-elle sur la circoncision ou aussi sur l’incirconcision? Car nous disons que la foi fut comptée à Abraham à justice. Comment donc lui fut-elle comptée? quand il était dans la circoncision, ou dans l’incirconcision? -Non pas dans la circoncision, mais dans l’incirconcision. Et il reçut le signe de la circoncision, comme sceau de la justice de la foi qu’il avait dans l’incirconcision, pour qu’il fût le père de tous ceux qui croient étant dans l’incirconcision, pour que la justice leur fût aussi comptée, et qu’il fût père de circoncision, non seulement pour ceux qui sont de la circoncision, mais aussi pour ceux qui marchent sur les traces de la foi qu’a eue notre père Abraham, dans l’incirconcision. Car ce n’est pas par la loi que la promesse d’être héritier du monde a été faite à Abraham ou à sa semence, mais par la justice de la foi. Car si ceux qui sont du principe de la loi sont héritiers, la foi est rendue vaine et la promesse annulée; car la loi produit la colère, mais là où il n’y a pas de loi, il n’y a pas non plus de transgression. Pour cette raison, c’est sur le principe de la foi, afin que ce soit selon la grâce, pour que la promesse soit assurée à toute la semence, non-seulement à celle qui est de la loi, mais aussi à celle qui est de la foi d’Abraham, lequel est père de nous tous (selon qu’il est écrit: “Je t’ai établi père de plusieurs nations”), devant Dieu qu’il a cru, -qui fait vivre les morts et appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient, -qui, contre espérance, crut avec espérance, pour devenir père de plusieurs nations, selon ce qui a été dit: “Ainsi sera ta semence”. Et n’étant pas faible dans la foi, il n’eut pas égard à son propre corps déjà amorti, âgé qu’il était d’environ cent ans, ni à l’état de mort du sein de Sara; et il ne forma point de doute sur la promesse de Dieu par incrédulité, mais il fut fortifié dans la foi, donnant gloire à Dieu, et étant pleinement persuadé que ce qu’il a promis, il est puissant aussi pour l’accomplir. C’est pourquoi aussi cela lui a été compté à justice. Or ce n’est pas pour lui seul qu’il a été écrit que cela lui a été compté, mais aussi pour nous, à qui il sera compté, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité d’entre les morts Jésus notre Seigneur, lequel a été livré pour nos fautes et a été ressuscité pour notre justification.
Romains 4:1-25.
Christ nous a placés dans la liberté en nous affranchissant; tenez-vous donc fermes, et ne soyez pas de nouveau retenus sous un joug de servitude. Voici, moi Paul, je vous dis que si vous êtes circoncis, Christ ne vous profitera de rien; et je proteste de nouveau à tout homme circoncis, qu’il est tenu d’accomplir toute la loi. Vous vous êtes séparés de tout le bénéfice qu’il y a dans le Christ, vous tous qui vous justifiez par la loi; vous êtes déchus de la grâce. Car nous, par l’Esprit, sur le principe de la foi, nous attendons l’espérance de la justice. Car, dans le Christ Jésus, ni circoncision, ni incirconcision, n’ont de valeur, mais la foi opérante par l’amour. Vous couriez bien, qui est-ce qui vous a arrêtés pur que vous n’obéissiez pas à la vérité? La persuasion ne vient pas de celui qui vous appelle. Un peu de levain fait lever la pâte tout entière. J’ai confiance à votre égard par le Seigneur, que vous n’aurez point d’autre sentiment; mais celui qui vous trouble, quel qu’il soit, en portera le jugement. Mais moi, frères, si je prêche encore la circoncision, pourquoi suis-je encore persécuté? -alors le scandale de la croix est anéanti. Je voudrais que ceux qui vous bouleversent se retranchassent même. Car vous, frères, vous avez été appelés à la liberté; seulement n’usez pas de la liberté comme d’une occasion pour la chair, mais, par amour, servez-vous l’un l’autre; car toute la loi est accomplie dans une seule parole, dans celle-ci: “Tu aimeras ton prochain comme toi-même”. Mais si vous vous mordez et vous dévorez l’un l’autre, prenez garde que vous ne soyez consumés l’un par l’autre. Mais je dis: Marchez par l’Esprit, et vous n’accomplirez point la convoitise de la chair. Car la chair convoite contre l’Esprit, et l’Esprit contre la chair; et ces choses sont opposées l’une à l’autre, afin que vous ne pratiquiez pas les choses que vous voudriez. Mais si vous êtes conduis par l’Esprit, vous n’êtes pas sous la loi. Or les oeuvres de la chair sont manifestes, lesquelles sont la fornication, l’impureté, l’impudicité, l’idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les colères, les intrigues, les divisions, les sectes, les envies, les meurtres, les ivrogneries, les orgies, et les choses semblables à celles-là, au sujet desquelles je vous déclare d’avance, comme aussi je l’ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront pas du royaume de Dieu. Mais le fruit de l’Esprit est l’amour, la joie, la paix, la longanimité, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, la tempérance: contre de telles choses, il n’y a pas de loi. Or ceux qui sont du Christ ont crucifié la chair avec les passions et les convoitises. Si nous vivons par l’Esprit, marchons aussi par l’Esprit. Ne soyons pas désireux de vaine gloire, en nous provoquant les uns les autres et en nous portant envie les uns aux autres.
Galates 5:1-26.
Jésus lui dit: Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie; nul ne vient au Père que par moi.
Jean 14:6.
Que dit Pierre?
Et Pierre, voyant cela, répondit au peuple: Hommes israélites, pourquoi vous étonnez-vous de ceci? Ou pourquoi avez-vous les yeux fixés sur nous, comme si nous avions fait marcher cet homme par notre propre puissance ou par notre piété? Le Dieu d’Abraham et d’Isaac et de Jacob, le Dieu de nos pères, a glorifié son serviteur Jésus, que vous, vous avez livré, et que vous avez renié devant Pilate, lorsqu’il avait décidé de le relâcher. Mais vous, vous avez renié le saint et le juste, et vous avez demandé qu’on vous accordât un meurtrier; et vous avez mis à mort le prince de la vie, lequel Dieu a ressuscité d’entre les morts; ce dont nous, nous sommes témoins. Et, par la foi en son nom, son nom a raffermi cet homme que vous voyez et que vous connaissez; et la foi qui est par lui a donné à celui-ci cette entière disposition de tous ses membres, en la présence de vous tous. Et maintenant, frères, je sais que vous l’avez fait par ignorance, de même que vos chefs aussi; mais Dieu a ainsi accompli ce qu’il avait prédit par la bouche de tous les prophètes, savoir que son Christ devait souffrir. Repentez-vous donc et vous convertissez, pour que vos péchés soient effacés: en sorte que viennent des temps de rafraîchissement de devant la face du seigneur, et qu’il envoie Jésus Christ, qui vous a été préordonné, lequel il faut que le ciel reçoive jusqu’aux temps du rétablissement de toutes choses dont Dieu a parlé par la bouche de ses saints prophètes de tout temps. Moïse déjà a dit: “Le Seigneur, votre Dieu, vous suscitera d’entre vos frères un prophète comme moi; vous l’écouterez dans tout ce qu’il pourra vous dire; et il arrivera que toute âme qui n’écoutera pas ce prophète sera exterminée d’entre le peuple”. Et même tous les prophètes, depuis Samuel et ceux qui l’ont suivi, tous ceux qui ont parlé, ont aussi annoncé ces jours. Vous, vous êtes les fils des prophètes et de l’alliance que Dieu a établie avec nos pères, disant à Abraham: “Et en ta semence seront bénies toutes les familles de la terre”. A vous premièrement, Dieu, ayant suscité son serviteur, l’a envoyé pour vous bénir, en détournant chacun de vous de vos méchancetés.
Actes 3:12-26.
Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. Car Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde afin qu’il jugeât le monde, mais afin que le monde fût sauvé par lui. Celui qui croit en lui n’est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Or c’est ici le jugement, que la lumière est venue dans le monde, et que les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, car leurs oeuvres étaient mauvaises; car quiconque fait des choses mauvaises hait la lumière, et ne vient pas à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient reprises; mais celui qui pratique la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, qu’elles sont faites en Dieu.
Jean 3:16-21.