
Le 19 mars 2012, un terroriste islamique a pris pour cible une école juive dans la ville française de Toulouse.
Quatre juifs ont été tuées, dont trois enfants. Sept ans plus tard, le 19 mai 2019, deux allées d’une place du 17e arrondissement de Paris portent le nom de ces enfants. L’allée Myriam-Monsonégo et l’allée Arié et Gabriel Sandler. Et les médias sont restés d’une désespérante discrétion.
Les enfants tués étaient Myriam Monsonego, 8 ans, et les frères Arie et Gabriel Sandler, 6 et 3 ans. La quatrième victime était leur père, un enseignant de l’école, le rabbin Jonathan Sandler.
Anne Hidalgo et Nicolas Sarkozy étaient présents lors de l’inauguration. L’adjointe au maire de Toulouse, Laurence Arribagé, a déclaré :
Les familles ont souhaité que ces plaques se situent dans un square, un lieu de vie avec des rires et des balançoires, pour rendre hommage à leurs enfants”, a déclaré cette dernière lors de la cérémonie.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Outre le silence coupable des média (mais sont-ils capables d’autre chose que de lâcheté ?), je constate que cette haine antisémite vient de nulle part. Il y a un collège public près de chez moi. Une plaque rappelle les noms des enfants juifs déportés. Les coupables sont désignés: les nazis. Dans d’autres cas, on rajoute parfois “avec l’aide des autorités françaises”. Si on ne nomme pas l’origine du mal, on banalise le mal.
Oui, plutôt que d’écrire “victimes du terrorisme”, il aurait fallu à mon sens écrire “victimes de Mohamed Merah”, au minimum.
Mais c’est toujours comme ça en France : on confond un moyen (“le terrorisme”) avec l’idéologie (l’islam antisémite, en l’occurrence) qui utilise le terrorisme – ou plus simplement, qui assassine ; et cela, par lâcheté, par vénalité (les voix aux élections mais aussi les pétrodollars) et sur fond d’indifférence au sort des Juifs.
@ Jacques Ady
On pourrait vous rétorquer que mette le nom du bourreau sur la plaque, c’est lui faire de la publicité. Il aurait alors fallu rajouter qui il est: un terroriste musulman.
Comme parfois, on site le nom du dignitaire nazi qui a commandité un massacre en le citant sur la plaque commémorative mais en précisant sa fonction dans l’ordre nazi.
Oui, on refuse de faire la différence entre le moyen (le terrorisme, un moyen parmi d’autres) et l’idéologie qui le porte ( et c’est pourtant elle qu’il faut combattre pour faire taire ses modes d’expression !). Je me demande ce qu’ont ressenti les parents de ces pauvres petits.
Très juste. Le terrorisme est un moyen. La fin c’est l’islamisme.
“Victimes de l’islamisme et de la haine antisémite” eut été plus exact.
C’est déjà beau que les muz autorisent cette inscription. Il faudra attendre qu’elle soit taguée pour savoir combien de temps ils l’autorisent.
Abou … les muzz vont détruire cette belle enseigne
Allée Arié et Gabriel Sandler, assassinés à Toulouse le 19 mars 2012 aux âges de 6 et 3 ans avec leur père Jonathan, victimes du terrorisme ISLAMISTE
et de la haine antisémite.
Arrêtons de faire dans la dentelle et nommons les choses telles qu’elles sont.
C’est bien mais peu faire mieux comme dirait Teddy, encore un petit effort, rajouter islamiste à terrorisme, comme on parle de la barbarie nazie !
Au risque de jeter un pavé dans la mare — et pas pour le plaisir,
Monsieur—, je vous dirai que cette initiative ( non pas de “Paris”,
mais du maire Hidalgo qui met Paris en coupe réglée) m’apparaît
comme un obscène clin d’oeil à la communauté juive, avant les
élections: européennes, et municipales, dans qqs mois.
Sa plaque ne mentionne pas, contrairement aux plaques apposées
dans les écoles “aux enfants juifs déportés”, QUI est vecteur d’anti-
sémitisme: hier “la barbarie nazie” , qui figure en toutes lettres, mais
aujourd’hui, la barbarie islamiste , qui n’est PAS NOMMEE.
Elle est innommable, sans doute.
Rappelons que c’est elle qui est à l’origine de l’ “aliyah intérieure”
opérée par nombre de Français juifs persécutés pour leur
appartenance, dans les banlieues nord et est, de Paris où la vie
est devenue impossible, y compris pour tout Fdesouche.
Cf l’article de M. Goldnadel, hier sur un rappeur anti-blanc.
La fausse compassion d’Hidalgo est d’un écoeurant cynisme.
Mais ce n’est pas tout.
En 2012, QUI a été victime, AUSSI, de la barbarie coraniste?
A Montauban à Toulouse, nos militaires ont payé de leur vie
le fait de représenter la France tant haïe par nombre d’Africains
du Nord.
Où se trouve la plaque commémorant leur souvenir ?
La politique d’Hidalgo, de Sarkozy, comme celle de Hollande
et de Macron consiste , entre autres félonies, à faire venir des
migrants islamistes africains — et moyen-orientaux, par
essence anti-occidentaux et anti-juifs, pour un grand
nombre: cela va de pair.
L’on n’est pas encore parvenu à faire juger un de leurs clients:
K. Traoré, assassin de Mme Halimi, bénéficiaire d’un logement
social, d’allocs…
TOUS les assassins coranistes, en France, bénéficient, rappelons-
le, de l’assistanat décidé par ces politiciens qui ruinent la France, et
en dissolvent l’identité. L’espérance de reconnaissance en termes
de voix doit être dénoncée: comment s’explique-t-on qu’une “liste
des démocrates musulmans français” ait été acceptée , alors qu’elle
était forclose depuis une semaine ?
en fait,victimes de l ‘islam….si on dit la vérité