
Pendant que Nancy Pelosi et les Démocrates s’efforcent de distraire les Américains de la contre-enquête de Barr sur les agissements secrets des agences de renseignement autour des élections présidentielles de 2016, en accusant le président de se conduire en « dictateur » qui fait du « cover up » et détruit la démocratie (!) et en le menaçant (encore) de le destituer, le New York Times s’acharne sur son plan de paix au Moyen Orient.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit cet article d’ Alan M. Dershowitz*, publié le 24 mai sur le site du Gatestone Institute.
Pourquoi le New York Times tente-t-il de faire avorter le plan de paix de Trump pour le Moyen Orient ?
Le New York Times semble déterminé à démolir le plan de paix proposé par Trump pour le Moyen Orient avant même qu’il ne soit rendu public. Dans un article récent, il ne cite que des opposants et des critiques qui, sans même avoir vu le plan, ont déclaré son effondrement. Sous forme de nouvelle, le Times a fourni une « analyse » dans la section des informations qui est, en réalité, un éditorial. C’est devenu de plus en plus courant dans les pages d’informations du New York Times.
La séparation de l’information et de l’opinion s’inscrit dans la plus haute tradition du journalisme, mais le New York Times semble déterminé à abattre ce mur de séparation, surtout lorsqu’il s’agit de sujets sur lesquels ses rédacteurs et éditeurs ont des opinions tranchées. Parmi ces sujets figurent à la fois Israël, qui ne peut rien faire de bien, et Donald Trump, qui a toujours tort. Lorsque ces deux sujets se rejoignent, comme c’est le cas pour le plan de paix Trump, les lecteurs doivent se méfier et ne pas accepter ces reportages comme étant impartiaux.
Tous les experts cités dans l’article prédisent que le plan ne réussira pas.
Nombre de ces experts ont participé aux efforts infructueux déployés dans le passé pour parvenir à un règlement du conflit israélo-palestinien. Il n’est pas surprenant que ces experts ne veulent pas en voir d’autres réussir là où ils ont échoué, surtout si ces autres sont des membres de l’Administration Trump. De plus, un expert est allé jusqu’à dire : « La seule façon de protéger la viabilité à long terme des meilleurs aspects du plan Kushner est de le tuer dans l’ɶuf. »
Le danger d’un tel reportage biaisé est qu’il peut devenir une prophétie auto-réalisatrice. Si le New York Times dit que le plan échouera, son reportage est susceptible d’avoir une influence sur les parties à la négociation. Personne ne veut risquer sa crédibilité en participant à une entreprise vouée à l’échec.
Le New York Times a refusé de demander l’avis d’experts parmi ceux d’entre nous qui ont discuté avec l’Administration à propos de certains aspects du plan. Le NYT semble délibérément éviter de citer des personnes qui ont une opinion positive des efforts de l’Administration Trump.
Personne n’a jamais perdu d’argent en pariant contre la paix entre Israéliens et Palestiniens. Le refus exprimé par les dirigeants palestiniens de seulement prendre en considération le plan Trump n’est pas un signe encourageant, malgré les rapports publiés selon lesquels le plan comprend des incitations économiques considérables qui pourraient améliorer la vie des Palestiniens. Il y a toujours l’espoir que les autres nations arabes sunnites de la région verront les bons côtés de ce plan et feront pression sur les Palestiniens pour qu’ils s’assoient et négocient.
Malgré la probabilité que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou forme un gouvernement de droite, il est probable qu’Israël verra d’un bon œil les efforts de Trump, sinon tous les aspects du plan.
Tout plan de paix comporte un compromis de la part des deux parties. Il vaudrait beaucoup mieux que le New York Times attende que le plan soit publié et commente ensuite ses dispositions spécifiques plutôt que de s’y opposer en ne citant que ses critiques les plus virulents.
Il y a ceux qui critiqueront n’importe quel plan, aussi positif soit-il, s’il émane de l’Administration Trump. Lorsque le président Trump a déplacé l’ambassade des États-Unis à Jérusalem et a reconnu la souveraineté d’Israël sur le plateau du Golan, de nombreux Démocrates qui auraient été favorables à de telles mesures si elles avaient été prises par Barack Obama, s’y sont opposés uniquement parce que ces mesures avaient été prises par le président Trump. Ces Démocrates ne veulent pas voir Trump réussir quoi que ce soit, même si son succès est bon pour l’Amérique, pour Israël et pour la paix.
Une telle attitude reflète la nature hyper-partisane de la politique et des médias d’aujourd’hui.
Si les rédacteurs en chef du New York Times refusent de séparer l’opinion et l’analyse de leurs reportages, chaque lecteur a l’obligation de faire cette distinction pour lui-même. Gardez cela à l’esprit lorsque vous lirez le New York Times.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
*Alan M. Dershowitz est professeur émérite de droit à la Harvard Law School et auteur de «The Case Against the Democrats Impeaching Trump», Skyhorse Publishing, 2018. Il est Distinguished Senior Fellow au Gatestone Institute.
Source : Gateston Institute
A la lecture des agissements de ce Président hors normes, il paraît probable que ce plan, préparé depuis deux ans avec l’engagement singulier de son gendre, ne ressemble pas à un énième plan de paix.
Donald Trump demeure le chef de chantier pugnace qu’il a été tout au long de sa vie professionnelle, avec ses échecs et ses réussites.
Son expérience pour batailler avec les administrations, les réglementations, les banques et les politiciens, s’est enrichie de nouveaux combats engagés avec les organisations internationales , les médias, les « élites », le show-business et la FED.
Il sait, mieux que personne, que les traitements politiques de dossiers politiques conduisent à des impasses, ou à des situations improbables, quand leur traitement purement financier, issue d’un bon sens élémentaire, livre des solutions inédites.
Ce plan de « paix », sera ainsi une sorte de nouveau plan Marshall, et sa possible séduction se résumera au choix :
– de prolonger une guerre inepte, ne profitant qu’aux chefs de guerre,
– de préférer l’argent, coulant à flot, pour construire un nouvel avenir dans de nouvelles limites territoriales, devenant de fait accessoires.
Que le New-York Times, empêtré dans ses rotatives qui ne tournent plus rond, parie sur l’échec, est presque un gage donné à ce plan imaginé… de développement.
j’adore Trump mais pour moi aucun plan de paix est possible car les primates du fatah et du hamas en veulent pas …. je refuse que Trump copie Chamberlaine lorsqu’il était revenu a Londre avec un traité de paix signé par hitler …. ce salaud respectait aucun de ses engagements …. je refuse voir Trump ce faire ridiculiser par l’histoire car présentement il est en voie de devenir le meilleur Président que les États Unis ont jamais eu …. si il continue Trump va surpasser mon idole Ronald Reagan
Le nyt du juif converti sulzberger n’est pas un média d’information mais une feuille de chou colportant les opinons de cette famille de juifs convertis imprégnés du nazisme pour des raiusons dogmatiques et personnelles ces crétins ne supportant pas l’idée que tous les juifs ne se convertissent pas parce que eux…se sont convertis. D’où leur volonté de détruire Israel par les seules armes que ces lâches dégénérés connaissent le mensonge et la pr à la göbbels dont ils font un usage immodérés et systématique dans feuille de chou, leur torchon comme disent les Américains. Il est temps que ce torchon fasse faillite et cette famille avec lui. En tous ils méritent de nombreuses et grosses amendes pour leurs mensonges, leurs intrigues et leurs malversations surtout s’ils ne payent pas leurs amendes aussi salées qu’elles soient.
Une fois de plus je bats ma coulpe. Les dirigeants du NYT se seraient convertis, mais dans quelle religion SVP?
Quelle qu’elle soit, ça explique la ligne éditoriale de ce torchon.
Je pense comme Michel Boissoneault qu’un plan de paix est voué à l’echec et en plus qu’il serait stratégiquement mal venu étant donné qu’on ne fait pas la paix avec des nazis qui veulent exterminer les Juifs et Israel. Le seul plan de paix dans ce cas est de faire parler le CANON pour faire fuir cette population de nazis vers la partie de la Palestine d’où ils viennent la Jordanie. Tant que ces faus palestiniens GENOCIDAIRES seront en Judée/Samarie/Gaza aucune paix n’est possible et ce n’est pas un bout de papier qui peut changer la géopolitique,la mentalité, le terrorisme etc. Un tel papelard ne ferait qu’accélérer la guerre ce qui serait une bonne chose en soi si ce n’est que je ne crois pas au machiavélisme au 21 èmeS. car il était valable seulement au 16èmeS. et depuis tout a changé. Faire signer un papelard aux bélligérants pour que ça aboutisse à une guerre est trop risqué me semble-t-il.
PARIS — What to do about Islam in France? Considering Islamist terrorist attacks, communalism and the international manipulation of Muslim communities, the matter is pressing. But it’s contentious, because managing Islam seems to go against laïcité, France’s staunch version of state secularism, and a 1905 law that mandates the separation of church and state.
Wouldn’t revising that law be an admission that secularism is bowing to Islamism? On the other hand, if the law isn’t revised, or if the French state cannot find other ways of monitoring and steering Islam, then Islam in France risks falling under the control of foreign states or the influence of radicals. That is already the case, actually: Since laïcité prohibits the French authorities from using public funds to build mosques or train imams, Algeria, Morocco, Turkey and Saudi Arabia have stepped in. According to the newsmagazine L’Express, 70 percent of imams practicing in France are not French.
In an attempt to overcome these paradoxes, President Emmanuel Macron recently convened at the Élysée Palace the country’s various Muslim leaders and then representatives from all religions. The order of the day for the broader meeting, held on Jan. 10, was old emergencies: how to punish radicalism, control the financing of mosques and make Muslim authorities accountable. The news daily Le Monde, which obtained the note that the president handed to attendees, reported that the government was proposing to revise the 1905 law while “confirming” “its principles.”
It was an attempt to square a circle, a malaise, so very French. And the narrower question of what to do about imams — their origins, their trainings, their salaries — summarizes it well.
NYT
Ils préféreraient un plan de paix permettant d’engranger des subsides pour leurs copain s gochiasses.
Le plan du siècle va amener très prochainement la paix au Moyen-Orient grâce à Trump, Netanyahu, Al Sissi, Mbs et d’autres leaders arabes.
Pour ce qui concerne le NYT, CNN, … , cela fait des années que je ne perds plus mon temps à lire ou écouter leurs élucubrations.
“Le plan du siècle va amener très prochainement la paix au Moyen-Orient “.
Vous êtes très optimiste, car je ne vois pas les arabes accepter ce plan, même s’il est en or massif pour eux. Les dirigeants “palestiniens” (guillemets obligent) se foutent de la paix comme de leur 1ère chaussettes. La situation actuelle ni guerre-ni paix leur va comme un gant. Ils vivent grassement, aux dépens du peuple qu’ils sont censés défendre.
Cette situation leur convient admirablement. Elle leur permet de combiner leur soif de pouvoir ainsi que les avantages qui vont avec. Une situation de chef guerillerro est plus prestigieuse que celle d’un fonctionnaire subalterne.