
Il se passe au Venezuela un terrible drame dont l’enjeu est la survie de tout un peuple.
La population d’un pays disposant d’immenses ressources pétrolières est plongée dans la plus effroyable misère : nourriture, médicaments, services, produits divers de consommation…. sont des denrées rares dans ce pays jadis riche et prospère. Désorganisation généralisée. Le chaos règne.
La cause de cette crise sans précédent ? La politique « socialiste » initiée par le président Chavez et poursuivie par Nicolas Maduro.
Au cœur de ce désastre, toujours la même cause, la même utopique croyance en la vertu bienfaisante de l’interventionnisme étatique.
Que se passe-t-il quand l’Etat intervient directement dans l’économie ?
Quand les politiques prennent le contrôle des grands moyens de production ? Quand les fonctionnaires s’immiscent partout, jusque dans la distribution du pain ? Il se produit un dangereux mélange des genres.
La confusion des pouvoirs entraine à tous les niveaux la corruption, la pénurie, la violence, le désespoir ; la neutralisation de l’Assemblée élue ; la presse bâillonnée, la justice aux ordres ; les opposants pourchassés, persécutés, massacrés.
Pour imposer sa folle entreprise, Chavez et Maduro ont politisé à outrance l’état, mettant la bureaucratie au service direct de leur idéologie socialiste.
Ils ont massivement militarisé le régime. La force brutale règne. La soldatesque appuyée par la pègre est présente partout. Les exactions diverses, les arrestations arbitraires, les meurtres de masse font partie du paysage.
Dans la mise en œuvre de cette politique de la terreur et de la misère, le régime a trouvé dans la Chine et Cuba des alliés de poids.
Ces fins connaisseurs en matière de procédés de contrôle et de domination fournissent l’un les capitaux et le crédit, l’autre les conseillers.
L’exode de masse
Tous ceux qui peuvent quitter le pays, le font. 10% de la population a pris le chemin de l’exil. Ceux qui restent tentent de survivre par tous les moyens. Le Venezuela est une sorte d’ immense camp de concentration à ciel ouvert.
Il est devenu l’un des pays les plus meurtrier de la planète. Le nombre d’homicides explose.
Face à ces malheurs, conséquences directes d’une politique qui se prétend socialiste, les grands médias français observent un silence pudique. Encore une fois, les « progressistes » sont les complices d’un système inique dès lors qu’il se dit anticapitaliste et anti-Etats-Unis. En dépit du désastre, Mélenchon persiste à présenter Chavez comme un modèle ! À gauche personne n’appelle à la mobilisation pour libérer le peuple vénézuélien de la dictature.
Le livre que vient de publier la journaliste vénézuélienne, Paula Vasquez Lezama, « Pays Hors Service, Venezuela : de l’utopie au chaos », ed, Buchet Chastel, comble un vide. L’auteur apporte de précieuses informations permettant d’éclairer le lecteur sur la genèse de ce terrible drame. Le livre démontre en prenant appui sur les faits, que « La pénurie brutale dont souffrent les Vénézuéliens est directement liée à la gestion économique et sociale des gouvernements successifs de Hugo Chavez (1998-2013) et de Nicolas Maduro (depuis 2013) ». Trente années d’utopie gauchisante ont détruit le pays.
La France, pays le plus bureaucratisé de la zone euro, devrait méditer sur l’exemple vénézuélien.
Les maux dont souffrent le pays (chômage de masse chronique, endettement record, corruption, partition, déficits divers, violence, insécurité …) même s’ils n’atteignent pas l’ampleur de ceux du Venezuela, sont directement imputables à l’interventionnisme étatique, au clientélisme et à la corruption du peuple que masquent la charité sociale et l’assistanat généralisé.
La France est écrasée sous le poids de ses appareils bureaucratiques et son corollaire, les prélèvements obligatoires confiscatoires .
Seules les très grandes entreprises jouissent d’une réelle liberté et sont prospères car elles échappent à la tutelle de l’état. L’économie interne subit une réglementation tatillonne qui l’asphyxie progressivement. Comme dans tous les despotismes bureaucratiques, le même scénario se met en place. Une minorité sans scrupule, une caste, « la France d’en haut » s’enrichît, pendant que la majorité, « la France d’en bas » plonge, agonise.
S’il n’est pas mis un terme rapide aux dérives de la dépense publique, à l’emprise délirante de l’état sur l’économie interne, la France, dernier pays socialiste d’Europe, sombrera dans le chaos.
« Arrêtez d’emmerder les Français… » Ce cri lancé par Georges Pompidou devrait être la devise de ceux qui veulent sauver le pays de la catastrophe programmée.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.
désolé mais j’ai aucune pitié car ils ont baiser le cul a hugo chavez , ils ont baiser le cul au communisme alors ils ont juste a payer le prix de l’ignorance maintenant ….. au Québec les communistes de Québec Solidaire ont 15% des votes et pour eux l’exemple a suivre est le vénézuela et la corée du nord
Ils ont tout simplement écouté le Petit barbu de Noël habillé en rouge.
Dans la mise en œuvre de cette politique de la terreur et de la misère, le régime a trouvé dans la Chine et Cuba, des alliés de poids.
SANS OUBLIER LA RUSSIE DE POUTINE
Car il y a en permanence un bon contingent de militaires russes, la Russie ex URSS
y joue un rôle quelque peu effacé mais non moins important, elle n’a jamais lâché
le continent sud américain, elle continu son travail de NUISANCE.
michel boissonneault
En effet, on présente tellement bien le communisme comme étant la SOLUTION au sale capitalisme que présentement ca marche a merveille, ils ont même le vent en poupe. Reste a savoir si toute la population est prête a tenter l’aventure d’une idéologie qui a tué des centaines de millions de vies humaines et créer la PAUVRETÉ.
Pourquoi mettre “socialiste” en guillemets dans l’introduction? Si cela ne se passait pas au Venezuela, la description correspondrait bien à ce qui attend la Wallonie après les élections dans les jours qui viennent en cas de victoire de la gauche, càd. de tous les partis sans exception. Il va falloir s’attendre à un tsunami fiscal et de là à la fermeture des entreprises encore debout bon an mal an qui avaient survécu à 60 ans de péhesse au pouvoir absolu qui corrompt absolument. Outre la langue de bois des politiques et les livrets d’épargne de chez ING, tout sera désormais vert: l’économie, la politique, les emplois et même la religion, avant de devenir vert de gris. Ici, on appelle cela le changement afin de sauver la planète. Sinon, c’est la fin du monde (les Témoins de Jéhova le disaient aussi et ils n’étaient donc pas si foufous), un monde qui sera sauvé par la Wallonie, ses 16.000 km fort carrés et ses 3,5 millions de chômeurs et autres assistés bornés.
La Flandre: sa croissance, ses infrastructures, son dynamisme économique, ses entreprises de renom, son savoir-faire, ses travailleurs, son bon sens.
La Wallonie: sa déchéance, ses grèves, ses vieux pensionnés à 55 ans, ses syndicats, ses légendaires TEC (les bus), ses écolos, ses chômeurs, ses ASBL (associations lucratives sans but), ses administrations pléthoriques. Rien que du bonheur au nom de principes creux et abscons tels que la justice sociale (définition?) et le bien commun (définition?), le tout sur le compte des “Fachos Flamands” qui n’en veulent plus (les Wallons s’en étonnent et traitent les Flamands de fachos). Ah le socialisme, que c’eeesssst boôôôwe !
“… le régime a trouvé dans la Chine et Cuba, des alliés de poids.” Vous oubliez la Russie, M. Touati.
Et que ce sont les Vénézuéliens eux-mêmes, farouchement socialistes, qui ont élu MM. Chavez et Maduro – et qui éliront le prochain socialiste qui leur promettra la lune une fois qu’ils se seront débarrassés du dernier en date.
Les dégâts sur le plan économique sont bien pire au Vénézuéla qu’en France, d’accord, mais au moins la population ne subit pas, en plus de l’utopie socialiste, une invasion massive de sauvages déterminés à l’asservir.
@ Atikva
Allons… un peu d’espoir. 🙂 Le Brésil voisin a éjecté ses deux derniers brontosaures socialo-communistes corrompus – Lula et Roussef – et a heureusement basculé à droite avec Jaïr Bolsonaro.
Wait and see…
@ Rico
Oh, moi je ne demande pas mieux ..
Merci Monsieur Touati de nous ouvrir les yeux sur ce qui se passe loin de chez nous
(la France), qui fait mal et dont on veut surtout pas que nous en soyons informés !
Absolumment d’accord avec l’auteur: le seul moyen de s’en sortir en France est d’échapper à la tutelle de l’Etat mais c’est plus facile à dire qu’à faire dans un pays presque communiste
La réponse de Thomas Sowell:
1) Quand les politiques prennent le contrôle des grands moyens de production. Sa réponse: c’est du socialisme
2) Quand les fonctionnaires s’immiscent partout, jusque dans la distribution du pain, et que les politiciens disent aux entrepreneurs ce qu’ils doivent faire. Sa réponse: c’est du fascisme.
L’auteur dit: il se produit un dangereux mélange des genres. Ma réponse: effectivement. Et cela s’appelle du socialo-fascisme.
“Il (Roger Scruton) met à nu le mythe de la culture intellectuelle de gauche française : les intellectuels de gauche devaient conduire le prolétariat dans une confrontation contre la bourgeoisie, mais « seulement, ces intellectuels se sont détournés du prolétariat quand ils se sont aperçus que celui-ci ne les aimait pas ». En fait, la classe ouvrière a pu, sans l’aide des intellectuels, s’émanciper, progresser socialement et rejoindre les intérêts des petits patrons et des petits propriétaires. Les intellectuels de gauche n’ont, alors, pas supporté cette prise d’autonomie et cette collusion avec les intérêts d’une autre classe. Ils ont alors « inventé le mot populisme pour décrire le fait que le peuple se soit détourné d’eux ».
L’erreur et l’orgueil : penseurs de la gauche moderne, de Roger Scruton
https://www.bvoltaire.fr/livre-lerreur-et-lorgueil-penseurs-de-la-gauche-moderne-de-roger-scruton/
“Dans un essai publié pour la première fois en 1977, il (Badiou) écrivit qu’il n’existait qu’un grand philosophe de notre époque : Mao Zedong. “
En France cela va être difficile de se débarrasser du socialisme qui même n’étant pas au pouvoir est installe dépuis des lustres et dirige tous les rouages de la société.
Il y à tous les postes honoriphiques qu’attribuent les gouvernements successifs à tout un tas de ministres à la retraite ou pas et qui nous coûtent une fortune.
Le dernier en date le préfet de Paris virer par Castaner et qui se retrouve au conseil d’état avec un salaire confortable et à vie, heureusement que le France est encore riche sinon elle ressemblerait au Venezuela.
“heureusement que le France est encore riche
sinon elle ressemblerait au Venezuela” ?
Riche, la France ?… avec sa dette de 2700 milliards d’€ ? 🙁
La France doit etre attentif a ce qui arrive au Venezuela .
On vois bien la paille ailleur mais on a une poutre
énorme en France .Exemple si la même coupure de
courant se produisait en France, le chaos serait
spectaculaire et terrifiant ,
Sur notre sol on a une police limite burn out , des
migrants pas encadrés ,des marginaux de divers pays,
des citées islamique armées , des anarchistes préts a
tout défoncer, des soldats sentinelles de parades ,
des LGBT ramollis du bocal ,une population de souche
vieillissante , des Français sous tranquillisant (record d europe )
une jeunesse gauchisè qui se prend pour un climatiseur
mondial ,des grandes villes qui deviennent des parcs de
loisirs a trotinettes ; tecno teuf et défonce d un coter et
poubelle migratoire de l autre du style Porte de la chapelle ,
vient s ajouté une dictature du tout numérique qui dépand
de la fée électricité( banques, administration, téléphones,
hospitaux ,métros ,médias , éclairages ect,,,,,)
des polititiens dangereusement incompétents .
On a tous les ingrédients pour un cocktail éxplosif qui
éclaboussera aussi la caste bobo bisou ! (il le mérite ! )
O n se moque pas de Dieu …….impunément !
SANDENT ” des cités islamiques armées,…….. des politiciens dangereusement incompétents ”
Votre résumé est incontestable. Et, pour l’illustrer, cette dernière aux infos : “les détenus vont bénéficier de sortie le dimanche 26 mai pour aller voter “..Quand on connait la proportion de population carcérale islamiste dans les prisons françaises, la 34ème liste risque de nous apporter une surprise.Ces élections européennes confirment un réel danger pour notre survie.