
Nancy Pelosi, la présidente démocrate de la Chambre des Représentants a affirmé que plutôt que d’entamer une procédure de destitution du Président Trump, elle aimerait mieux le voir « en prison » une fois qu’il aura été battu à la présidentielle de 2020. C’était le 4 juin, lors d’une réunion supposément privée avec plusieurs hauts responsables de son groupe parlementaire. Cette affirmation a fait son chemin jusqu’au site internet Politico.
(Selon un sondage en ligne mené par la firme Harvard CAPS/Harris auprès de 1,295 électeurs inscrits, entre le 29 et le 30 mai (soit après la déclaration à la presse de Mueller) : Soixante-huit pour cent des personnes interrogées ont déclaré que les Démocrates au Congrès devraient accepter la conclusion de M. Mueller selon laquelle il n’y avait pas de complot criminel et 65 % ont déclaré que les Démocrates devraient accepter la conclusion du procureur général William Barr selon laquelle le président n’a pas essayé d’entraver la justice. Soixante-trois pour cent des répondants ont déclaré que les enquêtes sur l’affaire Trump font du tort au pays. Alors que 58 pour cent ont dit qu’il est temps pour le Congrès de tourner la page sur les enquêtes de la Russie.
Le même sondage montre que les électeurs inscrits Démocrates n’en démordent pas et sont aussi une majorité à vouloir l’impeachment de Trump.)
Nancy Pelosi est donc prise entre le marteau et l’enclume: elle doit accepter le verdict populaire sans aliéner sa base.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Michael Goodwin, paru dans le New York Post, le 8 juin.
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Nancy Pelosi doit arrêter sa guerre sans fin contre Trump
Attribuer cela à l’idée que « tout est relatif ». Quelqu’un qui admire Nancy Pelosi et qui lui parle régulièrement m’assure qu’elle ne fait pas partie des cinglés. Ces louanges visaient à me persuader que la Présidente de la Chambre des Représentants n’a pas perdu les pédales comme la foule de lynchage Démocrate qui est en train de se former au Congrès.
C’est bon à savoir, mais alors pourquoi Mme Pelosi parle-t-elle comme si elle était dans une république bananière ? Ne réalise-t-elle pas qu’elle joue à un jeu dangereux qui va diviser encore plus l’Amérique et déclencher une escalade de ripostes? Deux fois au cours des dernières semaines, elle a fait monter la température des cinglés obsédés par la destitution du Président Trump. D’abord elle l’a accusé de s’être livré à un « camouflage » criminel, puis elle a dit qu’elle n’était pas en faveur de la destitution, car elle préférait mettre Trump «en prison».
Dans aucun des deux cas, Mme Pelosi n’a décrit en détail les crimes commis par le président des États-Unis qui constituaient un camouflage ou qui lui feraient mériter d’être emprisonné. Il est également significatif qu’elle ait fait ces deux commentaires après la publication du rapport de l’avocat spécial Robert Mueller qui n’a trouvé aucune collusion et n’a offert aucune conclusion sur l’obstruction, le procureur général ayant jugé qu’il n’y avait pas eu d’obstruction.
Alors de quoi diable parle-t-elle ?
L’explication n’a de sens que dans le monde bizarroïde de la politique d’extrême gauche de l’ère Trump. Le bon sens suggère que les éruptions de Mme Pelosi sont des déclarations tactiques tandis qu’elle tente de résister aux chiens enragés comme les Représentants Jerry Nadler, Maxine Waters et Adam Schiff.
Une explication tordue revient à prétendre que Nancy Pelosi cherche à montrer qu’elle déteste Trump plus que quiconque, mais s’oppose à sa destitution uniquement parce que la plupart des électeurs n’en veulent pas.
Par conséquent, elle craint que ce ne soit une impasse pour les Démocrates parce qu’elle sait qu’elle est loin d’avoir la majorité requise des deux tiers au Sénat, dirigé par le GOP, pour obtenir une condamnation et une destitution. Une mise en accusation ratée, selon son pronostic, ferait réélire Trump et permettrait au GOP de reprendre la Chambre des Représentants et de maintenir la majorité républicaine en place au Sénat. En clair, les Démocrates se détruiraient eux-mêmes en essayant de détruire Trump.
Elle a raison au sujet des retombées probables, mais si le fait de souhaiter l’emprisonnement de Trump constitue la preuve qu’elle saine d’esprit et responsable, c’est que Washington est devenu un immense asile d’aliénés.
Selon sa logique, elle doit continuer à augmenter la mise pour prouver sa crédibilité à ses pairs. Peut-être que sa prochaine décision sera alors de demander que Trump soit exclu du Bureau Ovale. Comme ça, elle prouvera qu’elle le déteste vraiment, même si elle ne favorise toujours pas sa destitution.
Mais voilà, il y a un problème – en fait, deux problèmes – avec cette stratégie trop mignonne de Mme Pelosi.
- Les cinglés sont fous, mais ils ne sont pas idiots, et ils ne sont pas seuls. Environ 60 Démocrates, soit 25 pour cent du caucus, sont favorables à la destitution et les sondages montrent qu’une majorité de Démocrates du pays veulent se débarrasser de Trump de cette façon. À un moment donné, ces députés et ces électeurs se lasseront de voir Mme Pelosi jouer à des jeux de mots tout en les empêchant de faire ce dont ils meurent d’envie. Déjà, Nadler réclame ouvertement la création d’une commission spéciale de destitution, et c’est à l’occasion de leur confrontation privée sur la question que Nancy Pelosi aurait fait le commentaire sur l’emprisonnement. Nadler n’a été ni impressionné ni découragé.
- Mais le deuxième problème avec cette tactique, c’est que l’auditoire de son discours désinvolte ne se limite pas aux Démocrates qui haïssent Trump. L’idée que tout cela – de la destitution à la prison – est une réponse adéquate au Rapport Mueller est rejetée par la plupart des Américains, selon de nombreux sondages.
La majorité des électeurs comprennent que M. Mueller avait tout le temps, les enquêteurs et les incitations nécessaires pour trouver toutes les saletés qu’il pouvait. Son enquête a été vaste et coûteuse – il a convoqué 500 témoins, délivré 2 800 assignations à comparaître et utilisé des grands jurys et des agents lourdement armés dans des descentes de perquisition.
Si Trump avait enfreint la loi, Mueller l’aurait trouvé. Oubliez le bruit et les arguments légalistes : dans un monde binaire, le président a été blanchi.
Il est plus que temps pour la gauche de surmonter la défaite de 2016 et d’accepter que Trump a été légitimement élu et qu’il a droit aux pleins pouvoirs de la présidence. Le déni continu de cette réalité par son parti est l’étincelle qui rend le pari de Nancy Pelosi si imprudent.
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Mueller était leur meilleure chance et parler d’emprisonner Trump fait ressembler le pays aux républiques bannières où il n’y a pas de transfert pacifique du pouvoir. Il n’est pas difficile d’imaginer le résultat si elle persiste dans cette voie. Les calomnies ignobles et l’hostilité qui ont marqué le comportement de la gauche depuis l’élection de Trump continueront de s’intensifier et pourraient conduire à une généralisation de la violence politique.
On parle déjà trop d’assassinat. Et si la colère continue de monter et qu’un cinglé entend un appel secret qui lui ordonne de tuer le président ? Le fait que les services secrets ressentent le besoin de construire une clôture plus haute à la Maison-Blanche est un avertissement que le danger est dans l’air.
De plus, la guerre sans fin contre Trump ne sera pas ponctuelle. On peut s’attendre à ce que certains de ses partisans ripostent en nature la prochaine fois qu’il y aura un Démocrate à la Maison-Blanche. Serait-il surprenant que des Républicains en colère boycottent également l’inauguration et le discours de l’état de l’Union ? Si le GOP détient une ou les deux chambres, les enquêtes sur le passé et la famille d’un nouveau président Démocrate seraient pratiquement garanties dès le premier jour.
Après tout, un tel retour de balle ne serait que justice.
Continuez comme ça et bientôt, la destitution – et la prison – pourraient devenir des outils politiques couramment utilisés par les deux partis pour défaire les résultats électoraux.
Ce que je crains le plus c’est que ça prenne une autre guerre civile pour arrêter l’escalade de ce cycle.
Si les amis de Nancy Pelosi ont raison de dire qu’elle n’est pas folle, elle doit agir en conséquence. Si elle croit que la destitution est mauvaise pour le pays aussi bien que pour son parti, elle doit le dire clairement et cesser d’essayer de jouer sur les deux tableaux.
Elle pourrait aussi donner l’exemple en s’occupant des problèmes frontaliers et d’autres questions nationales urgentes.
Sinon, elle est en train de jouer avec un feu qui sera facile à allumer et impossible à éteindre.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources:
oui ses copains et copines veulent la destitution du Président Trump mais pelosi veut la prison pour Trump car la vérité est que c’est la panique dans le camp démocrate que la prison commence a faire peur … car il y a une odeur de prison pour obama et les clintons
Les « dhimmicrates » sont de très mauvais perdants …. et cela le Citoyen commence à la percevoir !
Même en Europe…. la « bien-pensance » commence à comprendre que ce Président Trump n’est absolument PAS l’idiot qu’ils espéraient ….
Je vous laisse deviner qui est le véritable …. »idiot international » …..
Jour après jour, le « simple bon sens » fait son chemin…
c’est justin trudeau
J’aurais plutôt dit: « Nancy Pêle-Aussi, coincée entre le marteau et la faucille ». Cette Barbie démocrate est d’une sottise indescriptible.
Patrick
EX BARBIE et cela fait un bail en plus, Je vois déjà un trudeau lui tenir compagnie
il a encore besoin d’une grand-mère.
Bonjour Madame,
Leur agitation n’est que la conséquence de l’absence d’un programme et d’un candidat crédible. La mise en accusation n’aboutira pas pour trois raisons:
a) une majorité de députés au Sénat n’est pas disposée à voter la mise en accusation (385 sure 435)
b) Le « dossier » Mueller n’a rien de consistant et Barr a commencé à s’intéresser aux magouilles des « démocrates ».
c) Ils n’auront jamais l’accord du Concret
Voyons maintenant la dernière coqueluche médiatique: Joe Bliden (il vaut mieux oublier Sander si non les USA vont finir comme le Venezuela). Ça se passe aussi de tout commentaires comme le reste. Ce n’est jamais rigolo de tirer sur les ambulances.
PS: une autre confrontation avec Goupil (un autre gauchiste de salon très médiatisé spécialiste des « clashs ». Il est choisi pour ça) et Bercoff (il collabore à l’unique magasine de droite « Valeurs Actuelles »)
https://www.youtube.com/watch?v=FI9uUusvHJgCordialement
Je me suis permis de vous donner quelques exemples du niveau des débats en France…
Cordialement
Sur The American Spectator, l’article suivant :
The Media Press Dems for Impeachment Porn
House Democrats dither while the press demands clicks and eyeballs.
https://spectator.org/the-media-press-dems-for-impeachment-porn/
Le seul programme des socialo-macronistes en France est de prendre l’argent à ceux qui travaillent.
Le seul programme des socialo-démocrates aux Etats Unis est de prendre le pouvoir à ceux qui ont été élus démocratiquement.
https://spectator.org/the-end-of-legitimacy-and-the-collapse-of-democracy/
The End of Legitimacy and the Collapse of Democracy
(La fin de la légitimité et l’effondrement de la démocratie)
par Abraham H. Miller – 9 juin 2019
Tous les empires et les grandes sociétés ont une fin.
Le nôtre ne fera pas exception. Les fissures de l’effondrement sont déjà visibles.
Rien n’a autant de valeur pour un système politique que sa légitimité. Les régimes en proie à la corruption et à l’inefficacité tombent pendant des siècles si les masses y croient. Le droit divin des rois a soutenu la royauté française malgré leur incompétence manifeste. Le tsar russe était connu comme «le petit père» malgré le maintien du servage en Russie longtemps après la transformation de l’Occident par la révolution industrielle.
La force de notre démocratie est sa légitimité. Hillary Clinton a noté cela lors de la campagne électorale de 2016 en demandant au candidat Donald J. Trump s’il accepterait les résultats de l’élection. Quand il a hésité, elle a parlé des implications pour la démocratie américaine s’il ne le faisait pas.
Ironiquement, c’est Hillary Clinton qui n’a pas accepté les résultats des élections.
Elle a parcouru le circuit des orateurs en disant aux auditeurs impatients que les Russes lui avaient volé l’élection. De même, Stacey Abrams, qui a brigué le poste de gouverneur de Géorgie sans succès, a imputé sa perte à la suppression des élections. Ces thèmes ont été à la fois soutenus et embellis par le groupe actuel de candidats aux présidentielles démocrates, malgré l’absence de preuves. Même après le rapport Mueller, la stratège démocrate Donna Brazile a déclaré que la Russie avait permis à Trump de remporter les élections.
Nous savons maintenant que l’enquête Mueller était basée sur un mandat non vérifié de la FISA payé par la campagne d’Hillary Clinton au moyen d’une découpe. Même le rapport Mueller initialement vanté semble maintenant être rempli d’inexactitudes, le parti pris allant dans une direction. Les documents exculpatoires de la transcription de l’avocat de Trump, John Dowd, ont été supprimés pour laisser supposer un acte répréhensible. La transcription complète comparée par les détectives Internet raconte une histoire différente.
L’oligarque ukrainien de Paul Manafort, supposé avoir des liens avec les services de renseignement russes, est en réalité une source de renseignements pour le département d’État américain, une dénaturation qui a été perpétuée dans le rapport Mueller.
La communauté du renseignement semble vulnérable aux accusations de fomenter un coup d’État manqué.
Les démocrates continuent de refuser d’accepter les résultats des élections de 2016, alors que les républicains estiment qu’il existe un État profond illégitime, plus préjudiciable au processus démocratique que ne pourraient l’être les Russes.
Personne n’est au-dessus de la loi, mais les étrangers en situation irrégulière – écrasant notre frontière avec des demandes d’asile qui échouent au regard du droit international – semblent être au-delà de la loi, comme ceux qui sont déjà ici.
Comment une société postindustrielle absorbera des millions de personnes peu alphabètes ne fait pas partie du débat public. Poser le problème du bénéfice que ces gens apportent aux États-Unis, quand ils vont sucer le gouffre du système de protection sociale en pleine expansion, s’appelle raciste.
Dans notre société laïque, la politique est devenue le substitut de la foi et le fanatisme politique a remplacé le fanatisme religieux. Les opposants n’ont plus de divergence d’opinion mais constituent une forme de démon à exorciser de la société civile.
La place publique s’est déplacée vers Internet. Les milliardaires des technologies sont devenus les tsars de la détermination de ce qui constitue un discours acceptable, et le Congrès semble aussi impuissant à les contrôler que la crise à la frontière.
Pendant ce temps, la dette publique augmente, soutenue par les taux d’intérêt historiquement bas qui mèneront inévitablement à la prochaine vague d’inflation. Les frais de scolarité dans les collèges dépassent de loin tous les autres produits de la société et la qualité de l’enseignement est devenue inversement liée à la hausse des coûts. Les collèges n’enseignent plus aux élèves comment penser, car l’indépendance de la pensée pourrait les amener à une divergence d’opinions avec les propagandistes se faisant passer pour des enseignants. Dans le monde des espaces sûrs et des crimes de pensée, le Premier amendement est assassiné à la porte du campus.
Les professeurs d’université qui, à une autre époque, ont combattu serments et loyauté contre leur loyauté, succombent maintenant pour écrire une déclaration saluant la diversité et leur engagement en tant que condition d’emploi, de rétention et de promotion. Ils le font sans gémissements. Le contrôle de la pensée reste cependant le contrôle de la pensée.
La dette des étudiants des collèges dépasse désormais celle des consommateurs, et les collèges, conçus à l’origine pour éduquer les 7,5 à 15% de la population âgée des collèges, se situent désormais bien au-dessous de cela. Entre-temps, les collèges sont devenus des usines de propagande générant des diplômes inutiles qui ne fournissent aucune compétence à la population active et une foule d’attitudes – telles que la nécessité d’éviter la controverse – qui sont contre-productives dans un environnement économique concurrentiel.
Pour beaucoup, n’ayant acquis aucune compétence économique utile, il n’y a aucun moyen de se débarrasser de l’albatros de la dette étudiante. Certains ont quitté l’Amérique comme le seul moyen opportun de le faire.
L’éducation américaine fait l’envie du monde entier, votre alma mater vous le dira au moment de la collecte de fonds. Cela n’est vrai que dans les domaines du génie et de la science. Les commissaires sont jaloux des arts libéraux et des pseudo-sciences qui pourraient expliquer pourquoi nous sommes parvenus à contrôler la pensée vantant faussement le Premier amendement, comme les apparatchiks de l’ Université de l’Illinois ont réussi à le faire dans leurs communiqués de presse justifiant leur assaut récent. la liberté d’expression.
Cette société peut-elle survivre ? Rappelons-nous que les collisions économiques sont l’oxygène des mouvements de masse. Les temps de crise mobilisent la périphérie politique, les outsiders, les politiquement aliénés dont le type de politique a peu à voir avec le courant dominant. Le fardeau croissant de la dette de cette société laisse présager un tel effondrement.
Dans les origines du totalitarisme , la philosophe politique Hannah Arendt nous rappelle qu’Hitler et Staline ont mobilisé «des masses et non des classes». Elle entendait par là que lorsque les sociétés implosent dans un désastre économique, les identités fondées sur les classes s’effondrent. La société est mûre pour la mobilisation de masse par un aventurier qui façonnera les masses avec de nouvelles identités. Que ce soit Napoléon Bonaparte, Staline, Mussolini, Hitler ou Péron, le scénario est remarquablement le même.
Alors pourquoi l’Amérique n’a-t-elle pas répondu à une telle mobilisation pendant la Grande Dépression? Légitimité ! Le facteur même qui est en train d’être érodé par nos conflits politiques internes qui portent atteinte à nos droits de premier amendement et à notre acquiescement à la volonté de la population d’élire des candidats que certains refusent d’accepter.
Abraham H. Miller est professeur émérite de sciences politiques et membre distingué du Haym Salomon Centre.
Elle ingurgite quel genre d’alcool , cette PELOSI ??? elle va se ruiner la santé !!!!
il n’y a plus qu’à dissoudre ce populo qui vote mal!
Phil a raison, Macron roule le peuple travailleur de France et Nancy Pelosi roule les électeurs et la démocratie d’Amérique. Dans les 2 cas le peuple et la démocratie les sanctionneront.
Nous nous rapprochons de plus en plus d’une catastrophe, une implosion de la démocratie et un effondrement social qui nous mènera vers l’abime, une défaite en règle
sans plus ni moins. Beaucoup aujourd’hui ont OUBLIER ce que nos soldats sont parvenus a faire il y a 75 ans et a un prix très élevé et ce a tous les niveaux. Quel gâchis.
J’ACCUSE LES GOUVERNEMENTS ET LES ENSEIGNANTS SOCIALO-COMMUNISTE de s’etres livrer a diverses propagandes venant des SYNDICATS entre autre.