En ouverture de la conférence « Le journalisme assiégé », la présidente de Media Line, Felice Friedson, a souligné que les Fake News érodent la confiance du public dans la presse.
A l’ère des « fausses nouvelles » et des « faits alternatifs », le rôle traditionnel des médias en tant que gardiens de la démocratie est de plus en plus menacée. Les questions qui ne sont pas évoquées : les journalistes de gauche répandent des mensonges que les réseaux sociaux ne laissent plus passer, et les médias ne sont plus les gardiens de la démocratie, mais leurs fossoyeurs.
Des dizaines de journalistes étaient réunis en Israël pour une conférence de deux jours baptisée « Journalisme assiégé ».
En voulant aborder les défis auxquels sont confrontés les journalistes dans un environnement dont ils ont perdu le monopole, et où la source de l’information est directement en contact avec le public, sans leur intermédiaire, sans leurs explications, sans leur censure et sans aucun filtre, en 280 caractères sur Twitter, la crise que traverse un milieu professionnel imbu de lui-même, incapable de la moindre introspection, incapable de n’assumer aucune responsabilité, de faire la moindre autocritique, et qui se perçoit essentiellement non plus comme le rapporteur des événements, mais le dernier rempart des valeurs humanitaires attaquées par l’extrême-droite, est bien réelle.
À cette fin, la présidente-directrice générale de The Media Line, Felice Friedson, a prononcé un discours d’ouverture soulignant — sans préciser qu’elle en est essentiellement responsable — que la confiance du public dans la presse s’érode. Elle a cité un sondage du Pew Research Center qui confirme cette tendance de fond.
Aujourd’hui, nos utilisateurs finaux remettent en question la source — même dans les cas de plus en plus rares où l’attribution complète est donnée. C’est une crise », a expliqué Friedson qui ne semble pas connaître cette maxime pleine de sagesse : « si quelqu’un te ment une fois, honte sur lui, s’il te ment deux fois, honte sur toi ».
- Scott Kraft, rédacteur en chef du LA Times, a évoqué la diminution de la liberté de la presse pendant l’Administration Trump, un canard exemplaire de Fake News diffusée par les journalistes de gauche, alors que le président Trump est sans doute le président le plus transparent de l’histoire, que les critiques contre lui ont atteint un niveau qui tient au syndrome, et qu’il serait bien compliqué d’expliquer comment, si la liberté de la presse diminuait, plus de 90 % d’informations négatives sur Trump continuent à être diffusées.
- Linda Qiu, en charge de traquer les médias de droite pour le New York Times, un peu l’équivalent du Decodex du Monde, a parlé de l’importance de séparer la vérité de la fiction parmi une foule de renseignements.
- Elle a noté qu’environ 180 sites sont maintenant dédiés au Fact check des informations, sans préciser qu’ils ne sont en réalité pas du tout dédiés au Fact check, mais à démolir les opinions conservatrices.
L’intervention de Qiu suivait de quelques jours la décision du NYT de supprimer les caricatures politiques dans son édition internationale — ils ont été supprimés de longue date dans l’édition nationale — suite à la publication d’une caricature antisémite du Premier ministre Benjamin Netanyahou, rapidement supprimée, pour laquelle le quotidien ne s’est pas vraiment excusé.
Ni Joseph Federman, chef du bureau pour Israël et les Territoires palestiniens d’Associated Press, ni Dan Meridor, président du Jerusalem Press Club (JPC), organisateur de l’événement, ni Uri Dromy, directeur général du JPC, n’ont été en mesure d’inviter les journalistes à se demander s’ils ne portaient pas une responsabilité écrasante dans l’érosion de la confiance du public.
Au lieu de cela, Dromy a reproduit le cliché des attaques contre les médias venant de Donald Trump aux États-Unis et de Benjamin Netanyahou en Israël, sans évidemment évoquer les attaques des médias contre ces deux dirigeants.
Du bout des lèvres, il a évoqué le besoin de « renforcer le professionnalisme des journalistes qui peuvent être négligents et commettre des erreurs, et dit que cela “donnerait plus de pouvoir aux journalistes et leur permettrait de s’opposer à de telles attaques”.
C’est finalement Noam Lemelshtrich Latar, fondateur de l’école de communication Sammy Ofer d’IDC Herzliya, qui a sauvé l’honneur de cette médiocre conférence nombriliste de journalistes qui gémissent sur leur sort en se disant victimes du populisme et des médias “d’extrême droite”. Donnant sa version de ce qu’il estime nécessaire de faire pour rétablir la confiance du public dans le journalisme, il a déclaré :
Aujourd’hui, la plupart des journalistes ne séparent pas l’opinion des faits. Ils doivent apprendre à contenir leur ego, et à se souvenir de leur éthique professionnelle qui consiste à rapporter les faits et à permettre à l’auditoire de les interpréter », a-t-il dit.
Pour y parvenir, les journalistes doivent être plus modestes… Ils doivent admettre quand ils font des erreurs, bien que les [rétractations] finissent généralement par être publiées à la dernière page. »
Voilà de rares propos venant d’une école de journalisme de premier plan. Ceci explique cela.
Lemelshtrich Latar a abordé un autre point, bien réel celui-ci, et assez distant du malaise des Fake News diffusées par les journalistes de gauche, mais qui mérite d’être mentionné, car nous en sommes tous, consciemment ou pas — et souvent inconsciemment — victimes.
Aujourd’hui, le public ne s’intéresse pas à la vérité, mais aux opinions qui renforcent leurs idées préconçues. Les journalistes qui cherchent vraiment à dire la vérité doivent surmonter cette barrière cognitive de la part des consommateurs qui ne veulent pas écouter des informations contradictoires à ce qu’ils pensent déjà. »
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Ils sont rigolos nos gauchiottes, toujours à donner des leçons de morales. La déontologie journalistique, ils ne connaissent pas les bougres de manipulateurs !
Il faut au final les boycotter en les dénonçant sur les réseaux sociaux par exemple et utiliser le bouche à oreille….
À chacun d’entre nous de prendre conscience de ces falsificateurs d’infos.
les journalistes de gauche répandent des mensonges que les réseaux sociaux ne laissent plus passer, et les médias ne sont plus les gardiens de la démocratie, mais leurs fossoyeurs.
Ceci est bien VRAI et cela fait un bout de temps que je ne me réfère plus aux MERDIAS gauchistes pour m’informer, on voit très bien le but visé par ces CRASSEUX de journaleux, Ils sont devenus plus que transparents pour propager leurs FAKES NEWS. Y a même plus de doutes.
Sans fake news,
il suffit de lire la Bible, d’étudier l’archéologie, les sciences générales, et quelques hommes de génie et de parler avec un journaliste classique de l’AFP ensuite, hum…
Le fake news fait rapidement surface dans son dialogue et sa philosophie est un astre errant qui ne sait d’où il vient ni où il va, tel un savon qui prétend laver les tâches d’un léopard
Dans les écritures, celui qui annonce le Message n’a aucun gain si ce n’est d’avoir la joie d’accomplir son oeuvre avec zèle, lorsque c’est pour le compte de Yhwh, Source de Vie et non de mort.
L’amour du matin de la lumière est plus fort que l’or
Le comble étant que cette conférence ait lieu en Israël, qui subit les pires Fake News imaginables de la part de ce milieu corporatiste, nombriliste et non-objectif !
Ou bien, comme sur France 2. Ils démontent une réelle fake news, dénichée sur internet, pour démontrer les bêtises que peuvent croire certains sur les réseaux sociaux.
Mais lorsqu’eux-mêmes donnent de fausses informations, par exemple sur Trump, sur Israël, ou qu’ils minimisent certains faits ou taisent certaines vérités, ou balancent des mesnsonges à propos du climat, des musulmans, là personne pour reprendre ce qui a été ce qui a été dit ou écrit. Ensuite ils se plaignent de ne pas être cru.
D’un journaliste, je désire des faits, pas son opinion, tronquée par ses croyances athées, ses délires gauchistes du tout le monde est beau et gentil, sauf ceux quu ne pensent pas comme eux.
Je pense aussi qu’il existe de bons journalistes. Ceux-ci devraient davantage s’exprimer, exposer les faits et ne pas reprendre bêtement les news de l’AFP.
Peuvent bien gémir, tiens !
Avec eux -comme avec toute la gôchiasserie- Bossuet ne prend pas une ride :
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences…
alors qu’ils en chérissent les causes.”
B-‘E
les journalistes maintenant ne sont que des idéologues avec l’accord des chefs de plateau et des propriétaires des médias … donc j’ai aucune pitié de leurs malheur car ils véhiculent de la propagande mais avec Twitter le Président Trump a pas de besoin d’eux même aujourd’hui grace au WEB n’importe qui avec son CELL peut filmer un événement ….. c’est cela le problème car les gauchistes socialiste adore tout contrôler mais ils perdent du terrain jour après jour …. Trump est le seul qui lutte vraiment contre le Big Brother 1984 gauchiste
Cher M. Jean-Patrick Grumberg,
Merci de votre témoignage. Pour faire court: je partage entièrement votre analyse sur les médias “mainstream”. Heureusement que nous avons maintenant Dreuz.info pour nous informer ou plutôt ré-informer. Le matin, je lis Boulevard Voltaire sur mon portable et le soir, je lis Dreuz.info (je ne peux plus m’en passer).
Je dirais même: une fois qu’on est “accroché” à Dreuz.info, il n’est plus possible de faire marche arrière. – Il y a bien longtemps que je ne lis plus le Monde, le Figaro (sauf Ivan Rioufol, Eric Zemmour), le Point, l’Express, le Parisien, etc. – Personnellement, je trouve que la Pravda [= Правда] à l’époque soviétique avait plus de talent littéraire que certains articles du Monde aujourd’hui.
Allemagne – Bundesrepublik Deutschland:
Etant germaniste de formation, je lis souvent le journal hebdomadaire Junge Freiheit de Berlin. Un article intéressant est paru ce jour, 14.06.2019: “die grüne Lüge” (= le mensonge vert) qui rejoint un peu votre analyse sur les fausses nouvelles [Fake News]. “Stoppt den Klima-Wahn !”, nous prévient le Dr. Thilo Sarrazin en Allemagne (= Arrêtez la folie du climat !).
En ce qui concerne votre collègue Guy Millière, je suis entièrement d’accord avec son analyse sur le Président Macron. Je préfère malgré tout la Chancelière Angela Merkel qui réussit un parcours sans faute sur le plan économique, mais elle s’est fourvoyée avec ses histoires de “migrants” (Asylbewerber). Tiens, c’est assez curieux que les demandeurs d’asile (Asylbewerber) en Allemagne deviennent des “migrants” en France. Autrefois, on disait tout simplement: les immigrés, sans connotation péjorative.
“Aber : Ist Deutschland wirklich souverän in Sachen Migration ?” (= Mais: Est-ce que l’Allemagne est réellement souveraine en matière d’immigration ?). A mon avis, j’ai des doutes sur ce point. J’ai l’impression que même la Chancelière n’est pas tout à fait libre de faire ce qu’elle veut. – C’est en tout cas la question qui se pose à Berlin en ce moment.
Dimanche 16 juin, je vais voir Marion Maréchal Le Pen, à la fête du livre de Radio Courtoisie à Paris – Porte de Champerret. J’aime bien la jeune Marion, mais elle n’a malheureusement aucune influence sur le RN.
J’aime bien aussi Jacques Myard, mais c’est l’ancienne génération.
En fait, je préfère l’AfD avec Alice Weidel au Rassemblement national en France – le programme économique de l’AfD me paraît nettement plus réaliste. Tout au début, l’AfD n’était pas du tout destinée à devenir un parti politique. C’était une sorte de club de réflexion économique – un peu comme l’Institut des libertés de notre ami Charles Gave. Mais rapidement, à partir de 2010, l’AfD est devenu un parti souverainiste à l’allemande avec Dr. Frauke Petry au début, puis Alice Weidel / Alexander Gauland ensuite.
En fait, l’AfD est surtout implantée dans l’ancienne DDR.
Leipzig = 28 % à 30 % pour l’AfD – Saarbrücken = 5 % à 8 % en moyenne.
Tout est dit dans ces deux chiffres. Cela ne veut pas dire qu’il y a moins de problèmes à Sarrebruck qu’à Leipzig, mais l’état d’esprit n’est pas du tout le même entre la Sarre et la Saxe (Sachsen). – Je sais que beaucoup d’anciens membres du MfS = Ministerium für Staatssicherheit der DDR, aujourd’hui à la retraite, votent maintenant pour l’AfD (Berlin-Est, Leipzig, Dresden, Görlitz, etc.). Et la chaîne russe RT Deutsch (en allemand) est nettement plus regardée à l’Est qu’à l’Ouest – selon leur statistique.
Certes, la RDA en tant qu’Etat est morte officiellement le 2 octobre 1990, mais les Allemands de l’Est continueront encore longtemps d’exister.
Voilà pour aujourd’hui.
Merci à vous tous de nous donner la parole sur différents sujets, en particulier M. Jean-Patrick Grumberg et M. Guy Millière (j’ai bien aimé sa dernière conférence à Paris).
Bien à vous tous – All the best wishes to you in the United States,
François Rosicki
Les BOBOS occidentaux ont tellement peur de la conquête islamique a l’échelle du globe
qu’ils et elles sont prêts a se prosterner voir se prostituer pour ne pas avoir a les affronter militairement, ils n’iront JAMAIS au combat pour leur LIBERTÉ pas la génération de jeunesses d’aujourd’hui. Ce que nous avons vu sur les plages de Normandie n’arrivera plus JAMAIS. L’Europe de mérite de toute façon pas que nous allions pour une troisième fois les LIBÉRER. Ils devront se battre et mourir pour demeurer libre.