Publié par Jean-Patrick Grumberg le 14 juin 2019

Depuis trois ans, les médias affirment sans cesse que Donald Trump est un raciste. J’ai vérifié, le mensonge est entré dans la tête de ceux qui se laissent mener par le bout du nez par la propagande, quand elle est signée par Le Monde ou Libération.

La vérité est que non seulement cet homme n’a jamais été raciste, mais sa popularité auprès des Noirs et des Hispaniques ne cesse de progresser depuis 2016.

  • Les sondages de 2016 montrent qu’Hillary Clinton a obtenu 88 % de voix noires, contre 8 % pour Trump.
  • Il est important de noter que ce 8 %, bien que peu reluisant, était cependant supérieur aux 6 % de Mitt Romney en 2012.
  • Un nouveau sondage réalisé par Quinnipiac montre que si la course à la présidence se passait aujourd’hui entre Joe Biden Donald Trump, ce dernier bénéficierait maintenant de 12 % du vote Afro-Américain. C’est d’autant plus remarquable que traditionnellement, les Noirs sont devenus dépendants des fausses promesses des Démocrates.

Il en va de même des sondages effectués auprès des Hispaniques.

  • En 2016, Trump obtenait 28 % des voix hispaniques. Il a maintenant l’appui de 33 % d’entre eux. Là encore, dans un contexte où ils votent massivement Démocrate.

Ces statistiques sont d’autant plus remarquables que les médias décrivent Trump comme un raciste depuis trois ans, ce qui naturellement veut dire que sans leurs mensonges, son taux de popularité auprès des noirs serait bien plus élevé.

Le fait est que depuis que Trump est président, le taux de chômage des noirs et des hispaniques est le plus bas jamais atteint, alors que les Démocrates tentent de soutenir qu’il n’y est pour rien.

L’autre fait est que le président a présidé à une réforme importante de la justice pénale qui bénéficie essentiellement aux noirs. Il a permis :

  • l’augmentation des chances, pour les détenus, de muter lentement de la prison à la société en passant par des foyers de transition, 
  • l’octroi de congés extra-carcéraux pour des réalisations professionnelles, 
  • et de meilleures approches en matière de peines obligatoires qui réduisent rétroactivement les peines de drogue d’une durée ridiculement élevée.

Tout cela joue évidemment un rôle certain dans cette affaire, et fait contrepoids au matraquage médiatique négatif. Le fait qu’il ait personnellement, à la demande de Kim Kardashian et Kanye West, accordé la clémence à Alice Johnson, une femme noire de 63 ans qui purgeait une peine pour une accusation de drogue depuis 1996, n’y est pas non plus pour rien dans la destruction de cette énorme Fake News, que dis-je, cet énorme et répugnant mensonge, que Trump est raciste.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.


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