Publié par Salem Ben Ammar le 21 juin 2019

Jamais je ne dirai qu’il faut dissocier les musulmans de l’islam

  • Jamais je ne ferai la différence entre l’islam et l’islamisme.
  • Jamais je ne dirais que l’islam est soluble dans la République.
  • Jamais je ne dirai que le musulman est mon compatriote.
  • Jamais je ne dirai que l’islam est innocent.
  • Jamais je ne dirai que les musulmans sont une chance pour l’humanité et qu’ils œuvrent pour son bien commun.
  • Jamais je ne dirai que les musulmans sont les premières victimes de l’islam.
  • Jamais je ne dirai que le musulman “modéré” d’aujourd’hui n’est pas susceptible de passer un jour à l’acte.
  • Jamais je ne dirai que la violence terroriste n’est pas consubstantielle au Coran.
  • Jamais je ne dirai que l’islam est ce que les musulmans font de lui.
  • Jamais je ne dirai que les crimes terroristes sont étrangers à l’islam.
  • Jamais je ne me ferai l’avocat des musulmans qui n’ont que haine et mépris pour l’humain que je suis.
  • Je dirai toujours que les musulmans sont le fruit de l’arbre musulman, et qu’ils sont l’image vivante de leur dogme. Ils sont l’islam à ciel ouvert. Leur comportement et leur mode de vie sont sa face visible, le nier, c’est voiler la vérité.
  • Je dirai encore toujours que les musulmans n’ont leur salut que dans l’apostasie de l’islam, ou à défaut qu’ils réforment en profondeur le Coran. Il n’y a pas de verbe incréé dès lors qu’il a été transcrit par la main de l’homme. Le vrai verbe incréé est celui qui bannit la violence. Ils doivent expurger le Coran des versets diaboliques.
  • Sans faire un procès en inquisition aux musulmans – ils nous en font suffisamment déjà – il y a matière à se poser des questions sur la nature belliqueuse et terroriste de l’islam, de même que s’inquiéter sur leur surreprésentation dans la population carcérale et dans les statistiques des crimes et délits en Occident.
  •  Il n’en reste pas moins que l’on ne peut pas extrapoler et déduire que tous les musulmans sont prédisposés à la violence, alors que paradoxalement, seule la Mauritanie figure parmi les 10 pays les plus dangereux au monde.

On ne combat pas l’ennemi avec des idées préconçues et du ressentiment.

Ce n’est pas en jetant l’opprobre sur eux, même si eux ils le font 17 fois par jour dans leurs prières, que l’on va faire passer nos messages auprès de ceux qui cherchent à briser leurs chaînes.

Je signe et persiste enfin que pour en finir avec le cauchemar de l’islam et le suprémacisme musulman, il faut en finir avec l’énergie fossile et passer aux énergies propres.

Seule une indépendance énergétique peut éloigner le spectre du péril musulman.

Rien ne se fera tant l’on n’aura pas mis les pays d’origine face à leurs responsabilités dans la crise migratoire. Il ne revient pas aux Nations-Unies d’imposer aux peuples européens, qui étouffent déjà sous le fardeau migratoire, l’accueil des personnes porteuses de cultures incompatibles avec la leur.

La souveraineté nationale est d’accueillir qui on veut.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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