
On pensait qu’ils avaient atteint le fond, les tréfonds des dénonciations bizarres pour crimes de pensée. On pensait qu’en creusant davantage, ils allaient trouver du pétrole ou peut être des idées. En réalité, ils s’enterrent dans le trou qu’ils ont creusé.
Aujourd’hui, Mesdames et Messieurs (et autres), on peut être sexiste en choisissant le mauvais chat. Reportage au cœur des abysses, prévoyez les sangles et les mousquetons, on descend profond.
La nouvelle vocation des films
Là où avant, le rôle des films était de nous faire passer un bon moment contre des sommes de plus en plus exorbitantes, aujourd’hui, leur rôle est de vous montrer des femmes.
Non seulement on les exhibe comme la dernière trouvaille d’un cabinet de curiosité, mais en plus il faut que ces dames fassent remarquer avec la plus grande arrogance que ces messieurs ne servent à rien.
Puis les actrices elles-mêmes, se sentant investies du pouvoir des héroïnes qu’elles incarnent, ont exprimé le souhait de renommer les licences entières dans lesquelles elles jouent.
Sansa donne le ton
Cette mode a débuté avec les X-men, et plus précisément avec Sophie Turner, qui incarne Jean Grey, le Dark Phoenix, dans le dernier opus X-men sorti en juin 2019. La belle et talentueuse jeune femme fut connue pour le rôle de Sansa dans Game Of Thrones, et plus récemment pour sa sortie d’après laquelle elle ne souhaite plus travailler dans des Etats interdisant l’avortement. Elle se déclare féministe et apprécie que la licence pour laquelle elle incarne le rôle de Jean Grey adopte une ligne concordante.
« Il s’agit vraiment de “X-Women”, cette fois ! J’en avais assez des Superman, Batman, Spider-Man, man, man, man… C’est agréable de constater que ce sont aujourd’hui des super-héroïnes qui mènent la danse et sauvent le monde. J’aurais aimé avoir ce genre de modèles quand j’étais enfant. » Ce type de déclaration, outre son ridicule consommé, implique une fermeture d’esprit particulièrement marquée : les jeunes filles ne pourraient-elles pas prendre des modèles masculins, pour porter les valeurs qu’ils incarnent plutôt que leur sexe de naissance ?

Combats de salon
Et quid de l’appellation X-women ? Imaginez, en 2019, on dit encore les X-MEN, les hommes-X si on traduit. Alors que si on transformait astucieusement ce nom en X-Women, on verrait immédiatement la fin de l’excision, des emplois peu qualifiés pour ces dames ainsi que des douleurs de l’accouchement !
Un autre problème réside dans le fait que les scénaristes ont poussé des lignes de textes artificielles, hors contexte, qui n’ont rien à voir dans la scène dans laquelle elles apparaissent, pour le plaisir d’exhiber ses médailles de féminisme : « Les femmes sauvent toujours les hommes ici, dit la belle Jean Grey au Professeur Xavier, rendu infirme pour s’être pris une balle en essayant de sauver le monde. Vous devriez penser à modifier le nom [de notre groupe] en X-Woman ». Non seulement la déclaration dans ce contexte est d’un ridicule consommé, mais en plus elle ouvre un débat dont personne ne se souciait avant : la guerre des sexes.

Pourquoi ce besoin de préciser qu’on est une femme ou un homme chaque fois qu’on fait quelque chose de bien ? Cette tendance à croire qu’il y a d’un côté la Team Femmes et de l’autre l’Equipe Hommes est nouvelle – et destructrice- à la fois comme modèle de société et pour la construction de l’histoire. Malicia, du premier film X-Men, souhaitait seulement sauver ses ouailles, pas délivrer un prêche sur son sexe. A l’époque comptaient sa problématique personnelle, ses doutes et turpitudes, pas le fait qu’elle avait tel ou tel chromosome et qu’elle était mieux ou moins bien qu’un homme. A la place, le réalisateur fait un gros plan sur le fait qu’il s’agit bien d’une fille, et vous avez vu ? Une fille ! Au lieu de se consacrer à l’histoire, il raconte l’histoire d’une femme. Cette différence de traitement devrait insupporter les femmes : sous prétexte de féminisme, on sacrifie la qualité. Après tout, pourquoi pousser l’effort lorsqu’une femme tient le premier rôle ?

Mais le public sent le caractère forcé de ce scénario et de ces lignes de texte. Personne n’est dupe, et la qualité s’en ressent. Ce dernier film X-men a écopé de très mauvaises notes sur le site Rotten Tomatoes. Par bonheur, le chantage au sexisme ne fonctionne plus. Après l’échec cuisant de Captain Marvel, aucune équipe de communication ne veut plus plaider au sexisme pour excuser ses ventes et scores misérables. Un désastre suffit.
Le MIB s’enlise
Sophie Turner a-t-elle passé le mot à Tessa Thompson du film Men In Black ? Après tout, la licence bien connue de film d’extraterrestre, à vocation humoristique, a le culot, en 2019, de sortir une nouvelle mouture et de toujours s’appeler Men in black, les hommes en noir. Tessa Thompson, actrice principale de ce nouvel opus sorti en mai 2019, explique au micro qu’elle « a eu cette conversation » avec l’équipe de réalisation, mais que « ça prend du temps ». Faudrait-il repabtiser Men in Black en Women in Black pour les beaux yeux de Tessa Thompson ?
Faut-il rappeler la polysémie du mot « men » que « women » n’a pas ? Faut-il surtout lui rappeler que le nom « men in black » vient de la légende urbaine des hommes en noir censés propager le complot alien sur Terre ? C’en est à se demander s’il ne faudrait pas remplacer aussi le mot « père » Noël par « mère » pour éviter d’invisibiliser les femmes dans les légendes.
Le marketing rose
Lorsqu’une licence est reprise et mise au goût du jour, on devrait pouvoir s’attendre à des nouveautés. La nouveauté est-elle scénaristique ? Dans les effets spéciaux ? Que nenni ! Il y a une femme qui joue un des rôles principaux ! En effet, Tessa Thompson joue une agent légèrement Mary Sue (elle connaissait le MIB depuis son plus jeune âge), forte et indépendante, qui a travaillé dur pour arriver à intégrer cette unité d’élite, là où son coéquipier Chris Hemsworth incarne un agent arrogant et insupportable.
Comme il est naïf d’imaginer que les femmes se laisseront leurrer par des films lénifiants re-packagés en rose ! C’est tout juste s’ils ne fournissent pas des coupons réductions pour des vêtements ou de la lessive avec le ticket de cinéma tellement la ficelle est grossière.

Le marketing pseudo féministe à l’oeuvre
Tout se passe comme si les femmes allaient voir des films uniquement parce qu’un des personnages est féminin ; ces stratégies marketing de gagne-petit ne prennent pas, et les producteurs s’en rendent compte tout doucement (échecs de Doctor Who, Ghostbusters, etc..).
Patriarchat
Mais ils ont trouvé pire pour faire mousser la guerre des sexes. Plus profond, plus intense, quelque part plus magique.
Rappelez-vous dans Captain Marvel (décidément, on se le farcira jusqu’au bout), il y avait un petit chat qui se prénommait Goose. Dans le comics dont est tiré le film, Goose est une chatte.
Dans le film, Goose est interprétée… par un monsieur chat, et non une madame chat. Horreur et mille tonnerres ! Goose a été mégenré, voilà qui procède forcément d’une volonté sexiste et oppressivement patriarcale de vouloir invisibiliser les femmes, humaines comme chat !

Le trouble naquit dans la cervelle féline
Après le tollé que cette révélation a provoqué sur Internet, Anne Boden, la réalisatrice, a défendu son choix en expliquant qu’il n’y avait rien de sexiste, mais que « les chattes sont plus difficiles à dresser ». Nouvelle salve de commentaires sur les réseaux sociaux par les indignés professionnels, la production jette l’éponge.
Nos nouveaux Inquisiteurs
Cela nous prouve que faire un film « girl power » fait pour mettre en avant une femme ne protège pas de la colère des nouveaux idéologues de la toile.
Nous pouvons même dire qu’il s’agit d’inquisiteurs, qui débusquent et traquent tout ce qui ne correspond pas à leur credo, même si les effets de leur chasse vont à l’encontre de ce qu’ils prétendent défendre.
Le fait de déclencher une guerre des sexes participe d’un sexisme latent encore plus violent que celui prétendument combattu. A vouloir mettre les femmes en avant uniquement parce que ce sont des femmes, on crée une ligne de rupture qui n’existait pas auparavant, du temps où l’on préférait encore raconter des bonnes histoires.

Allez, ne vous en préoccupez plus
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Dern. Publié avec l’aimable autorisation de l’auteur (son site)
Au départ le succés des super héros provient
du fait que c était les mecs qui lisaient les
bd de strange et autre comics , c est dans
l ADN des gars ( merci Stan Lee ) Les filles elles lisaient heu
??…. A oui des livres sans image surtout
parfois les pif poches du frangin , LILI et
AGGIE .
Si ont prend le succés de BARBIE(pas claus ) il est certain
que c est pas par l ADN des mecs que ces poupées
ont cartonné dans le monde .
Les gars n ont pas cherché a imposer un barbie mec .
Les escrocs biologique ont paniqué qu a Angoulême
il y avait pas de prix pour les déssinatrices bd ,certain
ont fait gréve
Je peux me tromper mes les filles préfèrent etre dans
les bras de james Bond . plutôt que d etre James Bond !?
Jai bien peur que les escrocs biologique vont fracturer la
nouvelle génération
Finis les films téstostérone , ont aura droit a ça:
TARZANE ,RAMBO GIRL ,JAMES BLONDE 007,
FAST AND FURIEUSES , GLADIATRICE , IL FAUT
SAUVER LA SOLDATE RIHANNA , TERMINATEUSE
ECT ….
Le chaos pour les males , c est maintenant !
………..tout ira pour le mieux dans le meilleur des films avec une dose de porno. Comme pour les bandes-dessinées, même les féministes s’y mettent à regarder le porno !
Déjà l’actrice qui parle de X-Women, alors que son personnage passe d’une X-Men (dont gentils) à une version sombre appelée Dark Phoenix, dont l’entité est l’antagoniste principal du film… Mouais.
Mais c’est cool d’avoir une femme antagoniste, ça arrive pas souvent.
Quelle sociétée de débiles, transformer les héros mâle en“moumoune“, (Oups excuser pour les stupides politiquement correctes, je voulais dire gays.),pour faire plaisir
à ces frustrées feministes.
Ces gauchistes sont vraiment les pires imbéciles, mêmes le simple mots “ patrimoine “leur faits exploser leur cervelle de moineaux…car horreur “UN “patrimoine!!!,il faut tu pas avoire de vie, pour nous emmerder avec ces sotises!!,LA HONTE!!
la belle lecon de morale tant que c etait les hommes qui empochaient les cachets avec ces roles c etait tres moral mais maintenant on remonte la mayonnaise avec des femmes et tout d un coups ce n est plus moral…… parce qu elles encaissent des gros cachets ont le premier role un role dominant a c est emmergenant …..il faut vite les recadrer en soubrette menagere cuisiniere…….qui va faire des enfants les elevers le menage la bouffe tout quoi …..elles veulent porter le pantalon gagner le pognon etre des mecs c est pas moral il y a confusion des genres elles bouffele pain des garcons…….une femme qui gagne son pain n est plus soumise a l autorite de son mari……voila ou on en est……en occident seulement ……pauvres femmes orientales a qui toutes libertes est nie ah onleur a accorde le droit de voir des match de foot….. quoi elles veulent faire comme les hommes qu elle indecence et pourquoi pas boire une biere aussi …..MAICHO moi je vois plutot une autre maniere d utiliser les femmes maintenant ce ne sont plus des pleurnicheuses nouveau temp nouvelle epoque faudra s y faire mon vieux
Petit rappel pour ceux qui veulent changer 007 en james bonette, qu`il y a déjà une 007 féminin et elle est excellente,pour les ignards MODERTY BLAISE, une nouvelle version serait plus aventageuse , que satisfaire les caprises de névrosées féministes!!