Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 30 juin 2019

Immigration et diversité : le terrorisme humanitaire anarcho-gauchiste révolutionnaire est toujours à la manœuvre ! Pour les migrants, le plus grand danger, ce sont les activistes anarcho-gauchistes au service de la politique migratoire clandestine de l’UE. Le terrorisme humanitaire anarcho-gauchiste pourrait être poursuivi pour complicité avec les passeurs et les mafias agissant illégalement pour manipuler les clandestins et pour avoir provoqué la mort de milliers de migrants en Méditerranée transitant par la Libye pour quitter le continent africain. Le nouveau coup de force du “Sea-Watch 3” fournit des preuves accablantes impliquant les activistes anarcho-gauchistes dans les activités migratoires illégales des passeurs en Méditerranée et en Libye. 

Le terrorisme humanitaire anarcho-gauchiste révolutionnaire est complice du fait que plus de 12.000 personnes sont mortes en Méditerranée centrale, en tentant de rallier l’Europe depuis la Libye, ce qui, d’après l’ONU, en fait la route migratoire maritime la plus meurtrière au monde. Le terrorisme humanitaire sacrifie des migrants pour atteindre un seul objectif : “la révolution”. Depuis toujours, les activistes de “la révolution” ont eu recours à une politique fondée sur la propagande et sur l’agitation révolutionnaire sans craindre de devoir sacrifier les vies des migrants en détresse en mer. Le seul objectif est de manipuler les médias pro-migrants afin de faciliter une invasion révolutionnaire continue en Europe. Les ONG ont volontairement financé ces activistes anarcho-gauchistes au service de la politique migratoire clandestine de l’UE. Et lorsque cette stratégie a échoué grâce aux opérations de sauvetage des garde-côtes libyens afin de secourir des migrants en détresse en mer et de sauver de la mort de milliers de personnes par noyade, les activistes anarcho-gauchistes accusent les autorités maritimes et Salvini d’intercepter et de renvoyer les migrants en Libye ! 

L’affaire du terrorisme humanitaire des activistes du “Sea-Watch 3” : C’est maintenant qu’il faut stopper la folie migratoire révolutionnaire pour la destruction du droit des gens et de l’Occident chrétien.

Dans une tribune publiée par le Monde de gauche, plus de 700 marionnettes gauchisantes appellent à défendre les activistes du “Sea-Watch 3” contre Matteo Salvini : “Nous appelons le gouvernement italien à changer de politique et à laisser le “Sea-Watch 3″ arriver à bon port, puis à continuer sa mission en sûreté !” 

Le “Sea-Watch 3” est le dernier des bateaux de la flotte du terrorisme humanitaire qui, pour le compte d’ONG humanitaires anarcho-révolutionnaires, opèrent en Méditerranée pour les passeurs de migrants et la mise en scène, sur toutes les télés, d’embarcations en détresse en mer qui fuient l’enfer médiatique de Libye. 

Après avoir forcé le blocus italien, le “Sea-Watch 3” des activistes anarcho-gauchistes du terrorisme humanitaire ont voulu échapper aux garde-côtes pour accoster à Lampedusa et provoquer le débarquement autoritaire et illégal de migrants. La capitaine Carola Rackete a lancé toutes les provocations possibles. 

Elle a attendu le résultat de ses interviews avec les médias collabos des Droits de l’Homme ! Malgré les avertissement des autorités italiennes elle a enfreint la loi : “En jargon maritime, cela s’appelle forcer le blocus !” Comme sa situation de hors-la-loi vis-à-vis des autorités italiennes devenait intenable, elle a décidé de forcer le blocus italien et d’entrer de force dans les eaux italiennes pour rejoindre Lampedusa. 

La loi internationale et les principes fondamentaux du droit maritime sont bafoués par le “Sea-Watch 3” et les activistes anarcho-gauchistes du terrorisme humanitaire. Du point de vue révolutionnaire, ce sont les autorités italiennes qui se mettent hors-la-loi ! Le ministre Matteo Salvini a passé un décret qui interdit l’abord des côtes italiennes aux illégaux et poursuivi en justice les activistes des ONG anarcho-révolutionnaires au service du terrorisme humanitaire. Il a fait bloquer dans les ports italiens les bateaux des ONG des activistes du terrorisme humanitaire avant de devoir repousser par la force le “Sea-Watch 3” et le cas échéant, dans le cas du forçage du blocus italien pour entrer de force dans les eaux italiennes, de le confisquer.

C’est pourquoi les activistes des ONG du terrorisme humanitaire ameutent l’opinion par les médias collabos et cherchent les moyens de le faire reculer au nom de la révolution migratoire En Marche !

Les droits des activistes des ONG sont les principes fondateurs du terrorisme humanitaire. Salvini a les moyens de prendre des sanctions contre les coups de force des ONG du terrorisme humanitaire. Il peut édicter des règlements qui interdisent l’organisation des mafias de passeurs de clandestins avec la complicité des activistes du terrorisme humanitaire pour contrer la menace d’invasion contre la sécurité des citoyens.

Le Monde avec AFP : “Migrants en Méditerranée : le “Sea-Watch 3” accoste à Lampedusa malgré le refus du gouvernement. Carola Rackete, la capitaine allemande du terrorisme humanitaire, est arrêtée pour aide à l’immigration clandestine. Elle a forcé le passage au milieu de la nuit, malgré la vedette de la police chargée de l’en empêcher. Vers 3 heures, la police est montée à bord pour arrêter la capitaine allemande qui risque jusqu’à dix ans de prison, selon les médias italiens. “Nous sommes fiers de notre capitaine : elle a fait exactement ce qu’il fallait, elle a insisté sur le droit de la mer et a mis les gens en sécurité”, a écrit sur Twitter le président de l’ONG activiste allemande au service du terrorisme humanitaire, Johannes Bayer.

“Mission accomplie”, a twitté le ministre de l’intérieur italien, Matteo Salvini : “Capitaine hors la loi arrêtée, navire pirate séquestré, maxi-amende de 900 000 euros à l’ONG étrangère”. Il a exprimé sa “honte face au silence du gouvernement des Pays-Bas”, pays dont le Sea-Watch bat pavillon. Juste après, le “Sea-Watch 3”, sous pavillon néerlandais, conduit par les gardes côtes italiens, est reparti s’ancrer au large. 

Le navire du terrorisme humanitaire de l’ONG espagnole Proactiva Open Arms patrouillait au large de la Libye malgré la menace d’une amende de 200 000 à 900 000 euros brandie par les autorités espagnoles. “Si je dois payer par la prison ou par une amende le fait (du terrorisme humanitaire), je le ferai”, a assuré Oscar Camps, fondateur de l’ONG. Dans le même temps, une enquête est ouverte contre Carola Rackete.

La capitaine allemande a forcé le blocus des eaux territoriales italiennes imposé par le ministre de l’intérieur. Matteo Salvini a réclamé l’arrestation de l’équipage et le placement sous séquestre du navire. Le parquet d’Agrigente (Sicile) a ouvert une enquête contre Carola Rackete pour aide à l’immigration clandestine et non-respect de l’ordre d’un navire militaire italien de ne pas pénétrer dans les eaux territoriales.

Salvini refusait que les migrants débarquent avant d’avoir reçu l’assurance que la France de Macron, l’Allemagne, le Portugal, le Luxembourg et la Finlande étaient finalement disposés à accueillir ces migrants !

Daoud Boughezala, Causeur : “Confronté au chantage des ONG pro-migrants sur terre comme sur mer, le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini, invité de l’émission politique Porta a porta sur la Rai, a joué cartes sur tables face aux questions des journalistes sur l’immigration. Il a dénoncé le coup de force du “Sea-Watch 3” et le chantage au sentiment, une arme de destruction massive du terrorisme humanitaire. 

Contre le sans-frontiérisme des activistes anarcho-révolutionnaires sous drapeau humanitaire, Salvini invoque le droit et le bon sens. Il a rappelé que si urgence à débarquer il y a, lebateau naviguant dans les eaux maltaises pouvait très bien accoster en Tunisie, pays proche, pacifique et sûr. D’autant que la Cour européenne des droits de l’homme vient de donner raison au gouvernement italien par sa dernière décision n’autorisant les débarquements d’immigrés clandestins que dans les cas d’urgence humanitaire ou sanitaire. 

C’est rigoureusement la politique de Salvini, refusant le fait accompli du terrorisme humanitaire et des mafias de passeurs avec la promulgation du décret sécurité qui inflige de lourdes amendes aux embarcations d’ONG pleines d’immigrés clandestins. Le “Sea-Watch 3” a lancé un appel aux dons sur Internet récoltant 67 000 euros en quelques heures… Salvini dit de Carola Rackete : “Une fanfaronne qui fait de la politique sur le dos des migrants avec l’argent d’on ne sait qui“. Matteo Salvini n’a pas le temps d’attendre l’ambigüité des européens : si les 27 ne veulent pas partager le fardeau migratoire, Rome se lavera les mains des règles européennes et ne prendra plus la peine de relever les empreintes et l’identité des individus qui entrent sur son sol pour atteindre l’espace Schengen. Le contrôle de la Méditerranée étant l’objet de tractations à n’en plus finir, Salvini abat une autre carte : la souveraineté terrestre. Le gouverneur de la région Frioul-Vénétie, Massimiliano Fedriga, réclame la suspension de Schengen pour contrer l’afflux de clandestins venant de la route des Balkans. Une centaine de Pakistanais et d’Afghans aurait illégalement traversé la frontière malgré les patrouilles conjointes italo-slovènes que Rome et Ljubana ont mises en place. “Si la route des Balkans est rouverte, si le flux de migrants ne s’arrête pas, je n’exclus pas [de mettre des barrières.]” Et on songe à la clôture que le président Trump a décidé d’installer à la frontière mexicaine en accord avec les Mexicains ! 

Valeurs actuelles : “Cette entrée illégale dans les eaux territoriales italiennes a mis Matteo Salvini hors de lui. Alors que Matteo Salvini a refusé d’accueillir les clandestins, la capitaine Carola Rackete a indiqué avoir forcé le blocus italien : “J’ai décidé d’entrer dans le port de Lampedusa. Je sais ce que je risque !” 

Dans la foulée de cette déclaration, le navire est entré dans les eaux territoriales italiennes. “Ça suffit, nous entrons. Pas “par provocation” (des activistes anarcho-gauchistes au service du terrorisme humanitaire), mais par nécessité, par responsabilité (anarcho-révolutionnaire), a dit sur Twitter l’ONG qui gère le bateau. 

Cette intrusion a immédiatement fait réagir Matteo Salvini dans une vidéo diffusée sur Facebook en direct : “Personne ne débarque à moins que quelqu’un ne s’occupe de les emmener à Amsterdam, à Berlin ou à Bruxelles. J’en ai plein le cul !”, a-t-il asséné, dénonçant “le petit jeu politique dégueulasse et sordide” de l’ONG (anarcho-gauchiste au service du terrorisme humanitaire). Matteo Salvini et Washington affichent leur “proximité” pour contrôler l’invasion migratoire : la capitaine allemande risque la prison et une amende !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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