
“L’enfer s’est figé jeudi, alors que Donald Trump a prononcé un discours en Europe que même ses critiques ont applaudi”, écrit avec enthousiasme le Wall Street Journal.
Ses remarques sur le 75e anniversaire du débarquement du jour J en Normandie étaient émouvantes, et l’occasion offre une leçon sur les valeurs qui unissent l’alliance occidentale,” affirme le comité éditorial du Wall Street Journal, qui poursuit ainsi :
L’enfer s’est figé jeudi, lorsque Donald Trump a prononcé un discours en Europe que même ses critiques ont applaudi.
Ses remarques sur le 75e anniversaire du débarquement du jour J en Normandie ont été émouvantes, et l’occasion offre une leçon sur les valeurs qui unissent l’alliance occidentale malgré les querelles personnelles et politiques du moment.
Dans son ode aux soldats qui ont pris d’assaut les plages et ont sauté en parachute derrière les lignes nazies, M. Trump a souligné leur plus grande motivation.
“Ces hommes ont couru à travers les flammes de l’enfer mus par une force qu’aucune arme ne pouvait détruire : le patriotisme féroce d’un peuple libre, fier et souverain”, a-t-il dit face aux applaudissements. “Ils se sont battus non pas pour le contrôle et la domination, mais pour la liberté, la démocratie et l’autonomie.”
Dans ces mots et dans d’autres du discours, on peut voir un concept de nationalisme qui unit plus qu’il ne divise. On a beaucoup parlé de la résurgence du nationalisme en Occident comme d’une menace pour les valeurs occidentales universelles telles que la démocratie, et de nombreuses personnes dans les classes qui bavardent ont pris parti comme si elles étaient des pôles incompatibles.
Trump, Farage et Salvini contre Macron, Merkel et Obama.
Ce sont les nationalistes contre les “mondialistes”, les fascistes naissants contre les habitants égoïstes de Davos, c’est selon le côté de la fracture où vous vous situez.
La réalité plus complexe est qu’il existe des différences de philosophie entre les dirigeants politiques des deux camps.
Et bien que les différences entre les camps puissent être profondes sur tel ou tel sujet économique ou sur l’Iran, disons, en tant qu’enfants de l’Occident, qu’ils ont plus de choses en commun.
Cela devient probablement plus clair lorsque les enjeux sont aussi importants qu’ils l’étaient le jour J.
Les hommes qui ont débarqué sur les plages d’Omaha, d’Utah et de Juno étaient motivés pour libérer l’Europe de l’idéologie fasciste. Mais ils étaient également motivés à défendre leur propre souveraineté nationale contre la tyrannie nazie.
Ils défendaient la Grande-Bretagne, la France, le Canada, la Norvège, la Pologne, l’Australie et l’Amérique, comme M. Trump l’a souligné en identifiant nommément les nationalités de la force de libération du jour J. Ils étaient des patriotes nationaux au service d’une cause mondiale de liberté.
Le nationalisme n’est en effet pas nécessairement l’ennemi des valeurs de gauche.
Les mots d’un discours d’anniversaire ne cacheront pas longtemps les disputes d’aujourd’hui, et ils ne devraient pas le faire.
Les alliances exigent de la candeur pour éviter la complaisance. Mais il convient de noter que deux ans après le début de la présidence de M. Trump, l’alliance occidentale s’est avérée plus résiliente que beaucoup ne le craignaient. A quelques exceptions près (la Hongrie), le nationalisme n’a pas non plus été un cheval de bataille pour contrôler la presse ou intimider le pouvoir judiciaire. La démocratie britannique survivra au Brexit, nous osons le prédire.
Quant au président américain, il remarquera peut-être l’accueil qui a été réservé à ses remarques du jour J et, d’ailleurs, à toute la semaine qu’il a passée en Europe.
L’Europe veut toujours un leadership américain par un dirigeant qui fasse preuve du respect qui convient envers les alliés de l’Amérique.
les états unis sont quand même très suprémaciste envers l’europe de l’ouest qui est de plus en plus suicidaire
Bonjour Patphil:
Les États-Unis sont suprémacistes envers l’Europe ??? Où voyez-vous cela?
En 2018, les dépenses de défense États-Unis destinées à l’OTAN s’établissent 706 milliards de dollars soit près de 70 % des dépenses totales de défense allouées à l’organisation par les 29 pays membres (1 013 milliards de dollars).
Pendant ce temps, l’Allemagne continue de vivre de ses excédents commerciaux sans payer sa part des dépenses de l’OTAN.
Vraiment émouvantes, oui, Dreuz info, les paroles du Président
Trump, dans son “ode aux soldats qui ont pris d’assaut les plages
et ont sauté derrière les lignes nazies!
Le Wall Street Journal évoque, par ailleurs, “les valeurs de gauche”.
Quelles sont-elles? Le pacifisme, la reddition à l’ennemi séculaire
islamique encouragé par les démonstrations de veulerie; l’ouverture
des frontières — et des “droits”— aux envahisseurs se présentant
comme “migrants” ou “demandeurs d’asile” en provenance du
monde islamique à feu et à sang par sa faute; la grande distribution
des richesses acquises par le travail de nos aïeux, à de pléthoriques
oisifs; des mesures dites “écologiques” respirant la plus épaisse
stupidité ( cf histoire des éoliennes, entre autres) masquant mal
une entreprise délibérée de spoliation de la classe laborieuse;
entreprise d’abrutissement de la jeunesse en vue de l’asservir, etc…
Alors, si! le nationalisme est l’ennemi des “valeurs de gauche”.
Il prône le respect et l’enseignement des valeurs judéo-chrétiennes
ainsi que les fondements de notre civilisation gréco-romaine que
d’aucuns rêvent d’éradiquer; il lutte contre l’islamisation de
l’Europe; il veut préserver les emplois sur le sol de la patrie…
“Patrie”, patrie: ce mot résonne à peu près comme le mot “race”,
en France gauchie: il va falloir l’effacer du dictionnaire, n’en
doutons pas.
Il ne faut pas mélanger le peuple d’un pays quel qu’il soit – France y compris – avec la façon dont les idéologues mondialistes le manipulent pour se servir de sa place dans la géographie ou de ses resources.
C’est ne pas voir la forêt à cause des arbres.
Ou, dans ce cas, c’est de ne pas voir le monde à cause des nations.
La bataille des peuples des nations du monde, qui ne demandent que de vivre en paix, n’est vraiment pas contre les pays. Elle est vraiment contre des philosophies utopistes qui animent les dirigeants mondialistes et leur laquais – tel Mr. Macron pour la France – dans un monde qui est devenu de plus en plus petit; et que pour des raisons trop nombreuses à étaler, ils veulent contrôler.
Mr. Trump ne veut pas jouer le jeu avec eux. Pour cela il est leur ennemi.
Malheureusement, les enseignements à cette échelle qui sont très éclairants, sont très rares. Ils commencent à sortir mais la police des pensées d’Orwell fait un beau boulot pour étouffer ceux qui osent ouvrir la bouche.
Malheureusement aussi, le peuple des nations se fie trop a la presse écrite ou télévisée pour formuler leur opinion, ne réalisant pas que celle-ci est contrôlée par ces utopistes. La majorité du peuple qui n’est pas intéressée par la vérité sans le savoir, joue le jeux
Il ne faut pas mélanger le peuple d’un pays quel qu’il soit – France y compris – avec la façon dont les idéologues mondialistes manipulent pour se servir des resources des pays.
C’est ne pas voir la forêt à cause des arbres.
Ou, dans ce cas, c’est de ne pas voir le monde à cause des nations.
La bataille des peuples des nations du monde, qui ne demandent que de vivre en paix, n’est vraiment pas contre les pays. Elle est vraiment contre des philosophies utopistes qui animent les dirigeants mondialistes et leur laquais – tel Mr. Macron pour la France – dans un monde qui est devenu de plus en plus petit.
Mr. Trump ne veut pas jouer le jeux avec eux.
Malheureusement, les enseignements à cette échelle qui sont très éclairants, sont très rares. Ils commencent à sortir mais la police des pensées d’Orwell fait un beau boulot pour étouffer ceux qui osent ouvrir la bouche.
Malheureusement aussi, le peuple des nations se fie trop a la presse écrite ou télévisée pour formuler leur opinion, ne réalisant pas que celle-ci est contrôlée par ces utopistes. En finale, le peuple est son propre pire ennemi.
Merci Dreuz
Jean-Claude
Las Vegas
Pour une raison ou une autre mon article – si dessus – s’est doublé à l’intérieur de lui même. Désolé de la confusion. Je ne peux pas corriger.
Jean-Claude
Las Vegas
Bel article