
Source : Lematin
Le taux de sans emploi a reculé de 0,1 point en mai à 2,3%, un niveau jamais atteint depuis juillet 2008.
Le nombre d’inscrits auprès des Offices régionaux de placement (ORP) s’est fixé à 101’370 personnes (-5,5%).
Sur un an, le taux de chômage s’est également replié de 0,1 point, selon les indications fournies vendredi par le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco). Corrigé des variations saisonnières, le taux de chômage est resté stable à 2,4% en comparaisons annuelle et mensuelle.
Le nombre de seniors sans emploi est repassé sous la barre de 30’000 personnes, se fixant à 29’175 personnes. Cela représente un recul de 4,8% sur un mois. La contraction est encore plus marquée pour le chômage des jeunes (15 à 24 ans), qui a baissé de 5,7% à 10’049 inscrits.
Le nombre de demandeurs d’emploi s’est établi à 176’128 personnes, soit -5,0%. Les places vacantes recensées ont connu un recul de 8% à 37’390 unités, parmi lesquelles 22’544 soumises à l’obligation d’annonce introduite en juillet 2018 pour les professions où le taux de chômage dépasse 8%.
Vaud et Valais en nette baisse
Les cantons de Vaud et du Valais ont enregistré la baisse mensuelle la plus marquée, de 0,3%, un honneur partagé avec les Grisons. Ils affichent un taux respectif de 3,3% et 2,5%. Genève demeure en queue de classement parmi les Romands avec 4,2% (-0,1 point).
Neuchâtel a bénéficié d’une contraction de 0,2 point, ce qui lui permet de présenter un taux de 3,3%. Le Jura n’est pas loin, avec 3,1% (-0,1). La région francophone du Jura bernois a campé sur un taux de 2,4%.
Fribourg a consolidé sa première position parmi les cantons romands, au bénéfice d’un repli de 0,2 point à 2,3%. Les cantons les plus peuplés que sont Berne et Zurich ont vu leur proportion de sans-emploi reculer de 0,1 point à respectivement 1,7% et 2,1%. Obwald reste le meilleur élève de Suisse, avec un taux stable de 0,7%.
Dans son compte-rendu mensuel, le Seco détaille également les statistiques des réductions de l’horaire de travail, qui ont concerné en mars 2019 706 personnes (-7,1% sur un mois) et 66 entreprises (stable). Un tassement de 5,2% est constatée pour les heures de travail perdues, 46’157 au total. En comparaison annuelle, les baisses sont très importantes.
En mars, les spécialistes du Seco ont dénombré 2234 personnes ayant épuisé leurs droits aux prestations de l’assurance-chômage, sur la base des données provisoires fournies par les caisses de chômage.
juin 2019, comparatifs:
taux de chômage aux USA : 3,6
au Royaume Uni: 3,9
en Tchéquie: 2,5
Tout comme en Francabia…. dans le cerveau liquéfié de Trouduc.
Suisse, chômage à 2,3 % ; France, à 8,8 % : https://www.lesechos.fr/economie-france/conjoncture/le-chomage-en-net-recul-au-quatrieme-trimestre-964354
Explication : https://www.juritravail.com/Actualite/generalite-assurance/Id/286404
Mais comment ça? Nous, Français, les petits génies de la planète, les donneurs de leçons au monde entier, serions aussi cons que ça? Eh ben oui ma chère Lucette, nous avons les dirigeants les plus pourris, les plus incompétents, les plus cons, et l’histoire n’est pas prête de se terminer.
Le chômage en Suisse est trompeur puisque ceux qui terminent leur chômage sortent des statistiques. Ils se retrouvent à l’aide sociale, s’ils n’ont pas la malchance de faire partie de ceux qui n’ont droit à rien – à moins de vendre la maison, de vider leur retraite, leurs comptes en banque, ceux de leurs enfants, et de taper leurs amis. Alors ils auront – peut-être – droit à quelque chose de ce qu’ils ont cotisé.
En réalité une proportion importante de Suisses se retrouve sans rien mais comme ils ont la pudeur de rester discrets (lorsqu’ils ne se jettent pas sous un train) la presse n’en parle guère.
Et il y a quelques années la durée d’indemnisation a été réduite de deux ans à un an et demi. Mécaniquement, cela a réduit le taux de chômage d’un quart. On pourrait le réduire encore d’un tiers en passant la durée d’indemnisation d’un an et demi à un an. Bizarrement aucun politicien ne l’a encore formulé mais je suis sûr que cela viendra.
Enfin, les statistiques du chômage masquent une énorme sous-enchère salariale en Suisse, où la concurrence entraînée par la libre-circulation pousse tous les salaires vers le bas.
quel pays prend en compte toutes les données dans ses statistiques?
Aucun, mais en France la durée de base du chômage est de 24 mois, ce qui relativise les 18 mois de la Suisse. Il y a plusieurs façons de compter les statistiques et le taux de personnes au chômage n’est pas forcément la meilleure.
De plus, et comme je l’ai dit plus haut, les statistiques du chômage cachent une pression féroce à la baisse sur les salaires de tous ceux qui ne font partie ni de l’élite, ni d’une profession protégée – des gens venant en Suisse grâce à la libre-circulation et prêts à travailler à n’importe quel prix, au besoin en au noir en se faisant aider grâce à des aides réservées aux étrangers. C’est sans doute très bien pour eux, mais les Suisses n’ont pas de pays de rechange où aller chercher les emplois qui leur font désormais défaut, et eux n’ont pas de privilèges concernant les impôts, les taxes et le loyer.
Voilà pourquoi malgré l’apparente « bonne santé » de l’économie les Suisses sont inquiets (mais pas au point de se réveiller électoralement je vous rassure) et le chômage, c’est-à-dire la crainte d’un déclassement, arrive en tête des préoccupations des Helvètes dans un récent sondage d’opinion.
petit détail: la majorité des personnes inscrites au chômage en Suisse ne sont pas des Suisses
Tous les pays du monde ont des « petits problèmes » – ou des gros problèmes. Montrer les petits problèmes du doigt pour compenser les grands accomplissements et réussites ne me parait pas un procédé très honnête pour décrire la situation d’un pays. Tout comme évoquer ceux qui « font passer l’économie avant tout ». C’est une phrase creuse, vide de sens, mais qui est utilisée comme une arme pour mettre certaines personnes mal à l’aise et les dissuader de s’engager dans la conversation. Mon opinion personnelle : vous êtes intellectuellement très malhonnête. Et je suis heureux que vous soyez là et commentiez car c’est en laissant les gens intellectuellement malhonnêtes s’exprimer que les idées progressent.
Le Grand Directeur … LUI SEUL …. prends en compte toute les données…!
Lui seul me fera savoir quand je devrai arrêter de travailler et non pas les soi disants organisateurs terriens.
J’ai 69 ans et je continue à travailler à plein temps parceque je n’ai pas trouvé dans les écritures (l’internet céleste) la date que le GD a prévu pour ma cessation d’activité.
A 54 ans première fois au chomage, plus de 500 offres d’emploi, lettre de congé reçue par surprise le lendemain de l’achat d’un appartement, marié et un garçon de 4 ans à charge, après 15 mois de recherche toujours rien, je décide de prendre les derniers sous en ma possession et bloque les conditions pour nos dernières vacances en Israel, la veille de mon départ avec ma famille je reçois une seule et unique demande de contact, je prends le dossier avec moi et depuis Jérusalem, LUI le GD a fait en sorte que je puisse signer avec la mention « Jérusalem le .. juillet 2005 ».
Constat : le GD est le meilleur responsable des ressources humaines que je connaisse.
Idem pour ma deuxième expérience du chomage à 58 ans, une année et demi de recherche 665 offres d’emploi, aucun résultat, je m’inscrit à un cours de perfectionnement, et à la fin du cours on me demande de rester comme enseignant pour adultes dans le métier que j’exerce. Le GD est de nouveau présent, il trace le chemin que je vais devoir suivre pour être à son service.
Idem pour la troisième expérience, on me met sur la voie du chômage (auquel je n’ai plus droit ayant plus de 65 ans) je fais uniquement trois téléphonnes à des connaissances et sachez que cette expérience à été la plus courte 5 mois et demi sans activité sans revenu financier, et voilà, un travail m’a été mis en place par le GD avec une rétribution salariale Céleste.
Je continue tous les mois depuis des années à lui dire…Fais de moi ce que tu désire.
Utilise moi pour réaliser ton règne. Plus les années passent et plus il est présent dans ma vie.
Pour ceux qui vivent ces moments difficiles, je leur dis, ayez confiance LUI le GD il sait tout et organise tout.
Merci à Dreu et à tous.