
Donald Trump a donc lancé mardi soir à Orlando sa campagne pour l’élection présidentielle de novembre 2020.
Il l’a fait comme à son habitude devant une immense salle enthousiaste et comble, voire débordante : vingt mille personnes. Il y avait cinq ou six fois plus de gens à l’extérieur qu’il n’y en avait à l’intérieur du stade où il parlait. Des gens sont venus de loin : certains ont parcouru des centaines de kilomètres pour être là. Aux fins d’être sûrs d’entrer, des gens ont campé devant le stade deux jours avant le discours. (Jean-Patrick Grumberg a publié ici de nombreuses photos très éloquentes et venant accompagner l’article qu’il a consacré au sujet).
Comme à son habitude encore, Trump a prononcé un discours combatif, sans utiliser les circonlocutions aseptisées qui rendent la plupart des discours politiques inaudibles.

Il l’a fait avec une énergie, un charisme et une solidité dont très peu de dirigeants sont capables, et avec un amour visible pour son pays et pour le peuple américain.
Sachant que la meilleure défense, c’est l’attaque, il a commencé par détailler toutes les turpitudes commises à son encontre par l’administration Obama finissante, par le FBI sous James Comey, par la CIA sous John Brennan, et par Hillary Clinton. Tout, en filigrane de ses propos, montrait que des enquêtes sont en cours, vont aboutir, et que des mises en examen suivies de peines de prison vont suivre. Il a parlé d’espionnage et d’actes criminels graves. Deux procureurs sont au travail, et avancent.
Il a ensuite mis en pièces les éléments principaux du programme de ses adversaires Démocrates, éléments tous plus ineptes les uns que les autres, et il l’a promis à ceux qui l’écoutaient : les Etats-Unis ne seront jamais socialistes.
Il a présenté son bilan tel qu’il est aujourd’hui, et le moins qu’on puisse dire est que c’est un bilan remarquable : plein emploi, croissance forte, hausse des salaires, absence d’inflation, investissements importants, création de milliers de nouvelles entreprises, recul très net de la pauvreté et de l’immigration clandestine, endiguement de la Corée du Nord, de l’Iran, de la Russie et de la Chine, soutien renouvelé à Israël.
Il a dit ce qu’il lui restait à faire et n’avait pas encore pu accomplir : mise en place d’un système d’assurance santé permettant de sortir de l’Obamacare (John McCain avant de mourir a apporté aux Démocrates la voix qui leur manquait au Sénat pour que l’Obamacare ne soit pas aboli), achèvement de la construction du mur sur la frontière Sud, abolition du statut que se sont accordées les villes sanctuaires (villes où les illégaux ne peuvent être arrêtés), mise en place de la branche spatiale de l’armée américaine (avec mission d’aller sur la planète Mars), nomination d’un, peut-être deux juges conservateurs supplémentaires à la Cour Suprême, réforme de l’immigration légale, paix effective pour Israël et ses voisins au Proche-Orient.
Il a balayé d’un revers de main les sondages parus récemment qui le donnent battu par plusieurs Démocrates, en rappelant que tous les sondages le donnaient nettement battu par Hillary Clinton en 2016, et en classant ceux-ci dans la catégorie des fake news, et je pense qu’il a raison.
Il a énoncé le slogan de sa campagne de 2020, Keep America Great, tout en citant son slogan de 2016, Make America Great Again, et en disant que la mission qu’il s’était fixée est largement accomplie : l’Amérique a retrouvé sa grandeur.

Si l’élection se jouait sur l’enthousiasme et la capacité de mobilisation, Donald Trump serait réélu triomphalement. Si elle se jouait sur les résultats obtenus, il serait réélu par un raz de marée électoral.
En entrant en campagne dès ce mois de juin, Donald Trump a commencé très tôt. Il l’a fait parce qu’il sait que quasiment tous les grands médias américains sont contre lui, et continuent à désinformer à jet de bile continu.
Il l’a fait car il sait sa propre puissance de conviction.
Il sait aussi qu’il y a vingt-trois candidats Démocrates qui ne cessent de parler, même s’ils disent n’importe quoi.
Il sait enfin que les enquêtes en cours sur l’administration Obama finissante, le FBI sous James Comey, la CIA sous John Brennan et Hillary Clinton vont être occultées par les grands médias, et qu’il n’y a que lui et sa parole pour que l’occultation ne règne pas.
Il n’ignore pas en outre qu’il doit être vigilant : les électeurs qui s’informent peu peuvent être sensibles aux rumeurs diffamatoires et aux calomnies, nombre de jeunes gens ont le cerveau lavé par la propagande disséminée dès le lycée, puis à l’université (ma fille étant passée du lycée à l’université, je suis bien placé pour en parler), les membres des minorités continuent à voter systématiquement Démocrate pour bénéficier des chèques de la redistribution, et ils sont devenus plus nombreux.
Il est loin d’ignorer que les candidats Démocrates sont de très piètres candidats.
Trois d’entre eux se détachent : Joe Biden, qui se dit modéré, mais reprend à son compte les propositions de ses adversaires gauchistes et qui, pour l’heure, a autant de charisme qu’un escargot endormi, le léniniste Bernie Sanders, qui plaît particulièrement aux étudiants qui ont eu des professeurs léninistes et qui serait tout à fait à sa place à Cuba si Raul Castro cherchait un successeur, et la marxiste Elizabeth Warren, alias Pocahontas, la fausse indienne Cherokee, qui se dit persuadée que les Américains seraient tous prêts à payer beaucoup plus d’impôts. On peut ajouter Kamala Harris, celle qui fume un joint tous les soirs pour avoir des idées brumeuses et dit qu’elle en est fière, et Pete Buttigieg, maire d’une petite ville d’Indiana (South Bend), homosexuel déclaré, qui fait campagne avec son mari et se dit persuadé qu’un ou plusieurs Présidents américains dans le passé étaient homosexuels, et je ne cite pas, par charité, ses déclarations les plus abracadabrantes.
Quand Joe Biden tient une réunion publique, il attire moins de mille personnes, parfois moins de cent personnes. Bernie Sanders fait un peu mieux et parvient parfois à atteindre mille personnes. Les autres font beaucoup moins bien.

Avec des adversaires comme ceux-là, Trump a fort peu à craindre, mais préfère se méfier. Quand l’un d’eux aura l’investiture Démocrate, les débats avec Trump seront amusants.
Dans la presse française, on ne dit strictement rien des enquêtes en cours qui impliquent l’administration Obama finissante, le FBI sous James Comey, la CIA sous John Brennan, Hillary Clinton (la presse française était bien plus prolixe quand les journalistes français accusaient Trump de “collusion” : étonnant, non ?), et on ne dit strictement rien non plus des inepties proférées par les candidats Démocrates.
On continue à dire dans la presse française que Trump est grossier, imprévisible, s’adresse à une population blanche inculte, s’en prend injustement aux journalistes, et j’en passe.
J’ai vu et écouté quasiment tous les discours prononcés par Trump depuis trois ans, je n’y ai pas perçu un milligramme de grossièreté (des gens habitués à l’hypocrite langue de bois politicienne trouvent peut-être grossier de décrire les choses telles qu’elles sont : c’est précisément ce que je trouve remarquable chez Trump).
Je connais la doctrine Trump : il n’y a pas un milligramme d’imprévisibilité chez Trump (je renvoie ici à mon livre Ce que veut Trump*).
J’ai assisté à plusieurs réunions publiques de Trump, et les foules immenses qu’il attire sont représentatives de l’ensemble du peuple américain, riches et pauvres, entrepreneurs et employés, blancs, noirs, asiatiques, hispaniques (noirs, asiatiques et hispaniques sont moins nombreux que les blancs, ce qui est logique puisqu’ils sont membres de minorités, mais leur nombre va croissant dans l’électorat de Trump). Trump s’en prend effectivement aux menteurs et aux propagandistes qui font honte au métier de journaliste, et il a totalement raison.
Il était une époque où les journalistes informaient scrupuleusement, aux Etats-Unis et en France. Il m’arrive souvent de penser que c’est une époque révolue.
Sauf retournement tout à fait imprévu, Trump sera Président jusqu’en janvier 2025. Les six prochaines années commencent. Et dois-je le dire ? Je suis heureux de vivre aux Etats-Unis sous la présidence de Donald Trump.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
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Cher Monsieur Milliere
je suis heureuse pour vs que vous vivez(famille comprise) aux States
D.Trump reelu??pour moi AUCUN doute.Allelulia!!!
bonne journee sabine
Merci beaucoup.
Merci Guy pour votre commentaire que l’on ne trouvera que sur ce site.
C’est curieux mais une dépêche de l’Agence France Propagande dit exactement le contraire de ce que vous décrivez.
Mieux, j’ai cherché en vain la déclaration de Trump au sujet d’Israel qu’il a affectueusement appelé ´notre cher allié’.
Inutile d’insister sur les poubelles vidées par les torchonistes dans tous les médias affiliés à ces descendants de collabos, un jour viendra peut être, ou ils rendront des comptes sur toutes les saloperies qu’ils génèrent depuis des décennies.
In Trump se trust…..
Les descendants de collabos français sont toujours aussi nombreux et c’est encore pire aujourd’hui, il ne faut jamais oublier que les francais ont une véritable PASSION pour la RUSSIE, ils ont acquis leurs changements par la révolution.
Les USA aussi mais ca c’est une autre histoire.
COLLABOS UN JOUR – COLLABOS TOUJOURS
Effectivement un discours qui a enthousiasmé les dizaines de millers de présents et probablement des millions via Internet et Foxnesw !
Moi aussi j’écoute ses discours depuis le moment où il est apparu sur la scène politique car quand on commence à me parle de quelqu’un en mal (surtout s’il est favorable à Israël) j’ai tout de suite envie d’écouter ses propres paroles et de voir ses propres actions ! Trump ne m’a quasiment jamais déçu, l’unique exception étant de mon minuscule point de vue, un certain lachage des Kurdes dans leur lutte de résistance contre la Turquie … Mais bon, comme disait Ariel Sharon en 2001 “Ce que l’on voit de là-bas, on ne le voit pas d’ici !”, il a probablement ses raisons …
Grand merci à Dreuz de nous aider en permanence dans cette démarche salutaire !
“le grand lachage des kurdes”, mais aussi le maintien (que j’espère temporaire) de la Turquie d’Herrdogan dans l’OTAN, alors que c’est un ennemi mortel de l’occident.
Je souhaiterais connaître l’avis de Guy Millière sur ce point.
jurassik park
On finira par le savoir et j’ose espérer qu’au sein de L’OTAN on s’interroge et on est attentif a tout ce que la Turquie touche et de ses déclarations.
ÊTRE VIGILENT ET NE JAMAIS CESSER DE LES OBSERVER. Les POIGNARDS PEUVENT ÊTRES PLANTÉS DANS LE DOS A TOUT MOMENT.
p.s. On a déjà vu cela entre l’Allemagne et les SOVIETS il y a quelques décennies.
Merci beaucoup pour ces nouvelles rafraîchissantes. Je suis de nature plutôt pessimiste, d’un point de vue électoral, dépitée par la bêtise du vote français, alors je sais que je ne serais pleinement rassurée qu’à ce moment magique et irréversible de la nuit de 2020 où nos chaînes TV pleureront de dépit en annonçant la victoire de Trump. Ce sera une formidable veillée nocturne en famille, mon mari étant passé du statut “neutre” à pro Trump depuis qu’entre autres lectures, je lui ai passé votre livre. Il n’a pas le temps de suivre l’actualité avec son travail mais il fait partie de ces gens capables d’un avis juste lorsque l’information est rapportée dans toute sa vérité, sans idéologie, sans mensonge.
“Il était une époque où les journalistes informaient scrupuleusement, aux Etats-Unis et en France. Il m’arrive souvent de penser que c’est une époque révolue.”
Quand cela?
J’ai plutôt l’impression qu’il y a toujours eu de la désinformation, sauf qu’avant, comme il était bien plus difficile de trouver une presse alternative, cela se remarquait moins.
Excellent article magnifique,il n’y a vraiment que Trump qui puisse sauver l’Amérique de la dégénerescence et de la stupidité profonde de a gauche qui ne pense qu’à suicider l’Occident. Je suis sûr qu’il y parviendra et qu’il remettra à leur place le clan hitlery Clinton qui sont les pires criminels que l’Amérique ait jamais connu à côté de qui la mafia est une bande de pieds nickelés. Le seul point sur lequel je ne suis pas d’accord est d’essayer à tout prix de faire la paix au P.O. ce qui est non seulement impossible tant que les arabes ne seront pas expulsés de Judée/Samarie/Gaza mais non souhaitable. Ce serait comme renvoyer de l’hôpital un patient non guérit et ayant grand besoin de soins.
P.S.La raison pour laquelle je dis que renvoyer un patient non guéri de l’hôpital est que connaissant les arabes je suis sûr à 100% que aucun “traité de paix” ne les fera changer d’avis sur Israel et que d’autre part un tel traité serait mortel pour Israel et lui lierait les mains à l’avenir. Rien ne se construit sur du sable, la maison va s’effondrer c’est totalement évident. Il faut d’abord expulser ces ennemis et puis on pourra faire une vraie paix avec les voisins. Quant aux faux palestiniens une fois noyés dans les peuples arabes ils n’auront plus de voix, ils seront morts politiquement ce qu’ils ne seront jamais à l’intérieur d’Israel. TRUMP FOR PRESIDENT.
Cher Monsieur Millière,
Chers Amis lecteurs,
Très récemment, hier 19/6/2019, M. Éric BRUNET (RMC) recevait Jean-Éric BRANAA, chercheur spécialiste des États-Unis.
Sujet du jour : il faudrait pour redresser la France un TRUMP à la française.
L’invité de BRUNET m’a semblé très ambigu dans ses explications.
Quand Éric Brunet met en avant la baisse du chômage, la baisse des impôts sur les sociétés et sur les personnes physiques aux États-Unis, son interlocuteur explique que Donald TRUMP n’y est pour rien car ce sont les gouverneurs des États qui détiennent le pouvoir dans ces domaines, et non l’État Fédéral.
Une auditrice, une française qui vit aux USA, a expliqué qu’une majorité de ses voisins et de ses amis étaient très déçus par Donald Trump et que leur pouvoir d’achat, contrairement aux affirmations de M. Brunet, n’avait pas augmenté.
A mon avis, Brunet aurait dû demander à cette dame si elle et ses amis étaient des adhérents du Parti des Démocrates.
En conclusion: quand aux USA ça va mieux, Donald TRUMP n’y est pour rien;
Mais quand ça va mal, c’est de sa faute.
lien: https://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/audio/rmc-1906-radio-brunet-les-reformes-de-macron-ne-vont-pas-assez-loin-il-nous-faudrait-un-trump-a-la-francaise-qui-ose-et-qui-agit-12h-13h-472547.html
Jean-Éric BRANAA
https://www.europe1.fr/international/donald-trump-une-bete-de-campagne-pour-le-specialiste-jean-eric-branaa-3905330
Jean-Eric Branaa a souvent des propos très douteux. Ce qu’il dit là est faux. La baisse des impôts fédéraux sous Trump a été massive. Les gouverneurs d’Etats ne peuvent rien y changer. Presque tous les Etats du pays prélèvent un impôt d’Etat qui s’ajoute aux impôts fédéraux, et c’est seulement sur ce point que les gouverneurs ont un pouvoir. La déréglementation décidée par Trump a également été massive, et les gouverneurs d’Etat n’y sont pour rien. La quasi-totalité des “spécialistes” français des Etats-Unis mentent. C’est scandaleux. Le pouvoir d’achat de tous les Américains a augmenté. Dans certains Etats, le gouvernement de l’Etat, démocrate bien sûr, a augmenté l’an dernier l’impôt d’Etat et diverses taxes. Si la dame qui parlait vit dans un Etat gouverne par un démocrate, son augmentation de pouvoir d’achat a pu être abolies par des augmentations de ce type. Mais si elle est démocrate, elle devrait être contente. De nombreux Français installes aux Etats-Unis restent français et regardent les chaines françaises, ont des stéréotypes français dans la tête, et vivent dans des villes démocrates (New York, San Francisco).
Observation d’une Française qui vit aux Etats-Unis : mes impôts fédéraux ont baissé, et mon pouvoir d’achat aurait augmenté sensiblement si notre gouverneur (que j’appelle Nuisance) n’avait pas créé tout un tas de nouvelles taxes pour nous priver des bienfaits de l’économie trumpienne. Il n’empêche : je vois des panneaux HELP WANTED (on embauche) partout, dans toute la ville.
Monsieur Branaa m’a l’air bien mal renseigné sur la réalité américaine en général, et le système fiscal en particulier.
Quant à leur auditrice, j’ai l’impression qu’elle vit en vase clos, comme beaucoup de Français aux Etats-Unis. Elle écoute RMC ???
Merci Californienne de votre point de vue. Absolument terrible cette spirale vers le mal qui gangrène toutes les gauches.
How Californienne. En effet, la baisse d’impôts au niveau fédéral est notable, et encore plus remarquable quand on vit dans un état fédéré qui ne taxe pas les revenus (telle ma Floride). Depuis la tax cut de D. Trump, mon assistante touche $295 de plus par mois. Sur un an, c’est une somme coquete.
Aussi on observe un exode en cours à partir des états surtaxés, direction les états qui ne le sont pas (Floride, Texas, Nevada…) https://www.foxbusiness.com/economy/high-tax-state-exodus-accelerate
Maintenant si vous pouviez user de votre influence pour assurer que les socialo-communistes-neu-neu californiens qui fuient les conséquences néfastes de leur foutue ideologie – ne viennent pas nous pourrir la vie en Floride en votant pour la gauche – je vous en serai très reconnaissante. 🙂
Ne soyez pas trop inquiète, Annika. Les premiers à partir, ce sont justement ceux qui ne supportent pas le socialisme ambiant ; en particulier, les gens qui possèdent une arme sont tous plus ou moins prêts à partir vers des cieux plus cléments. Personnellement, je partirais bien pour le Texas…
Howdy Californienne! En effet. Thanks for your message. Et tel que disent les americains. “Remember the Alamo!”
@ Claude : moi aussi j’ecoute Éric Brunet éditorialiste qui est encore honnête et qui ne semble pas béni oui oui comme la plupart de ses confrères effectivement la dame en question semblait très remontée contre DT mais c’est normal de le détester quand on est de gauche … que ce soit en France où aux EU les gauchistes suivent tous la même ligne … plus de migrants plus d’islam pour au final venir se plaindre des effets désastreux que ces derniers engendrent ! j’approuve Donald Trump depuis le début l’Amérique d’abord comme j’aimerais la France d’abord mais pour nous ce sera long …. très long à venir !
pour moi il y a rien de nouveau car Trump a simplement dit la vérité …. oui Trump a collecter 26 millions dans son premier 24hrs de campagne mais ce qui me rend triste est que dans la foule il y avait pas assez de Noirs , d’Asiatique et de Latinos car pourtant c’est la politique économique de Trump ( du jamais vu ) pour le quelle le taux de chômage est si bas dans ses communautés
Pardon de casser l’ambiance. Je me délecte de cette période où Trump est président. Mais je regarde en arrière et le temps est passé à une vitesse. Le temps sous Macron lui passe bien plus lentement (soupir). Bref, son prochain mandat de 4 ans va passer à la vitesse de l’éclair. Mais après ? Qui prendra la relève ?… Trump a mis la barre tellement haut, il a le cuir dur. L’électorat restera-t-il clairvoyant malgré le battage médiatique progressiste et gauchiste ? Une Amérique forte et puissante entre les mains d’un gauchiste et c’est l’apocalypse. On ne peut pas l’exclure, l’Amérique a quand même élu Obama et Clinton.
Merci Monsieur Millière.
J’espère seulement trois choses:
1)que la censure des conservateurs par les GAFA et autres puisse être arrêtée car elle rend inaudible ce que Trump dit et fait.
2)que les inculpations arrivent, car j’ai l’impressions que cela concerne une centaine de gens (15 au département d’Etat!).
3)que Michèle O ne soit pas candidate.
Neon Revolt on SGT Report:
The Story of Q and the Second American Revolution.
https://www.youtube.com/watch?v=FgkSyFGSYpw
Mr Milliere, merci pour votre superbe analyse! Je partage vos convictions et ne lis plus les articles des journalistes français. J’espère aussi que les corrompus de l’administration Obama iront en prison, ce qui ferait taire tout le monde une bonne fois pour toutes. Pour succéder a Trump, je verrais très bien Nikki Haley. J’ai cependant quelques interrogations: Trump a t’il mesuré le pouvoir de nuisance de Erdogan? Les entreprises américaines semblent se comporter parfois comme des voyous avec leur legislation extra territoriale: qu’en pensez-vous? Pour finir, une petition circule actuellement sur Internet: qu’en pensez-vous?
https://www.stoptafta.com/?src=B6ASN01&utm_medium=prtn&utm_campaign=stoptafta&utm_source=asn
Je vous remercie ainsi que tous les commentateurs dont les remarques me passionnent.
En politique étrangére la mèthode Trump a montré ses limites : Corée du Nord – échec ( prèvisible ) le despote local ne bougera pas d’un mm. vers le desarmement ni la réunification avec le Sud.
Israel : le projet de ” deal ” of the century est absurde . Il est flagrant que l’ OLP-Hamas ne veut pas d’un deal , et encore moins d’un deal ” economique ” a 70% – ” territorial a 30% ” et qu’elle s’ en tient mordicus a son concept de lutte militaire par étapes ( 1993 Oslo – 1996 Wye River – 2000 intifada des kamikazes – 2006 Gaza- etc…
Iran: Quand l’objectif no.1 est d’ etre réelu on ne se lance pas de plein fouet , et au mauvais moment , face a un joueur aussi fanatique et retors que l’Iran . On attend justement d’ etre réelu et alors là , oui : Trump a la voie libre pour défaire economiquement et – si besoin est – militairement l’ Iran . Très mauvais timing donc , de mettre la charrue avant les boeufs .
Donc l’ Iran s’ amuse par des attaques ciblées- mesurées a démonter que Trump est un tigre de papier . Malgré la destruction d’un avion espion USA au dessus du détroit d’ Hormuz , au milieu de l’ espace international , Trump a fait marche arrière, révélant au monde qu’il est un piètre tacticien .
De plus son Pentagone dévoile ( incroyable naiveté ) que le plan de reprèsailles US était très limité ( des stations radars – des batteries lance-missiles dans la région du détroit ) ce qui permet de comprendre a Teheran que les USA s’ en tiennent a la logique ” riposte graduelle ” ( a la Mc Namara – défaite US au Vietnam ) et donc que Téheran peut continuer a pousser son expansion au M.O
Entre le traitre gauchiste pro-Islam Obama et le velléitaire Trump il n’ y a pas – au niveau du résultat – une grande différence . Le style est radicalement autre mais le résultat lui n’ est pas là .
The Donald , he barks a lot but he does not bite .
@ Raphael
And you don’t think.
You believe, like most people, that you know best how to run a country and the world for that matter, but at work you can’t even manage your boss or your employees, let alone your family or your neighbors at home.
When one has been lucky or wise enough to elect a good Chief of State, let him do his job and just do yours. It ain’t over ’til the fat lady sings.
Merci Atikva pour l’expression que je viens d’apprendre et que je ne connaissais pas (it ain’t over til the fat lady sings) !
@ Fleur de Lys
You are welcome any time!
Je reviendrai dans un article sur ces divers points. Vous vous trompez sur chacun d’eux. Vous semblez ne pas comprendre la doctrine Trump. Je vous conseille la lecture de mon livre Ce que veut Trump. Cordialement.
Comment osez-vous comparer Obama, le pire président de l’histoire, Obama qui hait les Etats-Unis et a tout fait pour les détruire, au président Trump ? Le président Trump adore les Etats-Unis, c’est le meilleur président de l’histoire, il a redressé l’économie d’une manière spectaculaire, et il a redonné aux Etats-Unis leur juste place dans le monde.
Velléitaire, dites-vous ? Il n’a pas cédé au chantage de Kim Jong Un, ne lui a pas donné un sou (à la différence de ses prédécesseurs), et Kim Jong Un n’a pas mis ses menaces à exécution, a cessé de menacer la Corée du Sud et le Japon, et accepte de parler avec le président Trump. Non, il n’a pas tout accepté tout de suite, ce serait trop beau.
Le président Trump a reconnu Jérusalem, la capitale éternelle du peuple d’Israël et y a déplacé l’ambassade US malgré les menaces, et maintenant il a reconnu officiellement la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan.
Et non, son objectif premier n’est pas d’être réélu, vous continuez à le confondre avec l’abomination qui l’a précédé (“Dites à Poutine que j’aurai plus de marge de manoeuvre après les élections”). Le président Trump n’est pas un politicien, c’est un homme d’Etat, et son objectif premier, ce sont les intérêts des Etats-Unis, America First.
Je vous recommande vivement d’aller chercher des faits, parce que j’ai l’impression que vous nous resservez de la propagande anti-Trump.
Remarquez qu’au moins, l’intervention de Raphaël nous permettra d’avoir à nouveau un point passionnant de la part de M. Milliere.
Bien dit Freddie ! 😉
Cher Monsieur Milliére , je souhaite franchement me tromper au sujet de la consistance de la stratègie de D.Trump face a l’ Iran , mais au plan tactique c’ est mal parti . Je laisse venir le 27 juin, jour ou l’ Iran va franchir le seuil de l’ enrichissement militaire de son uranium. Que fera D.Trump ? Ce seuil d’ enrichissement signifie qu’au bout de 6 mois l’ Iran obtient une arme nucléaire et qu’elle est opérationelle puisque le traité de Vienne de 2015 a omis ( par la faiblesse d’ Obama-Kerry ) de controler les missiles ballistiques . Il aurait étè plus subtil pour Trump de sortir du JCPOA ( Vienne 2015 ) une fois réelu en novembre 2020 , et alors il n’ avait plus le moindre challenge interne ( sa réelection ) pour traiter ( par le fer et le feu ) le régime de Teheran . Une nouvelle reculade a partir du 27 juin serait un preuve de faiblesse tragique . Cordialement
Bravo Trump ! Enfin un géant dans la grisaille. Nous, on continue la bataille, “de l’intérieur” sous pseudo tellement c’est lourd ici en France.
Vivement de pouvoir s’exprimer à visage découvert dans une France libérée. Dreuz est le radio-Londres de 2019,je vais essayer de vous soutenir, je suis un brin empêché pour des motifs privés. Mais il est vital pour nous,” FFI de 2019″ de pouvoir avoir de vraies nouvelles du monde libre.
Des français souhaitent la réelection de TRUMP