En 2005, à la suite des attentats à la bombe ayant endeuillé Londres, Boris Johnson écrivit un article dans le magazine politique « The Spectator » intitulé « Just don’t call it war » sur les musulmans et leur foi, dont voici quelques extraits.
L’islamophobie ou la crainte de l’islam semble être une réaction naturelle pour tous les lecteurs non musulmans du coran et c’est exactement ce sentiment d’effroi que le texte coranique est censé susciter.
Jugé uniquement sur ses textes – sans parler de ce qui est prêché dans les mosquées – l’islam est la « religion » la plus vicieusement sectaire de toutes les religions de par son absence de coeur envers les incroyants.
Lors du procès de l’assassin de Theo Van Gogh, l’ignoble individu déclara à la mère de la victime, dans une salle d’audience, qu’il ne pouvait se soucier de son chagrin, ni lui exprimer sa compassion, car elle n’était pas musulmane.
Cette arrogance et cette condescendance dégoûtantes sont largement soutenues par les textes coraniques et là réside le problème. Nous cherchons en vain les enseignants et les prédicateurs islamiques éclairés qui commenceront le processus de réforme. Que se passe-t-il dans ces mosquées et ces madrasas ?
La guerre en Irak n’a pas introduit le poison dans notre circulation sanguine mais, effectivement, la guerre a contribué à potentialiser ce poison. Et quoi que disent les défenseurs de la guerre, cela n’a pas résolu le problème de la terreur islamique, ni n’a fourni les prémices d’une solution. Vous ne pouvez pas prétendre drainer le marais au Moyen-Orient alors que les moustiques se reproduisent très heureux dans le Yorkshire.
Non, nous, les non musulmans, ne pouvons pas résoudre le problème. Nous ne pouvons pas leur laver le cerveau de leurs croyances fondamentalistes. Les islamistes de la semaine dernière ont horriblement et irréfutablement affirmé l’importance primordiale de leur foi, dépassant ainsi toutes les considérations du monde. Il faudra énormément de courage et de talent pour convaincre les milliers de musulmans britanniques qui se trouvent dans le même état d’aliénation que leur foi doit être compatible avec les valeurs britanniques et avec la loyauté envers la Grande-Bretagne. Cela signifie éliminer le premier tabou et accepter le fait que le problème est l’islam. L’islam est le problème. Il est temps de réaffirmer les valeurs britanniques face à l’extrémisme musulman.
Aucun autre homme politique britannique, issu d’un grand parti, n’a jamais été aussi lucide à propos de l’islam que Johnson. Il n’est pas étonnant que les musulmans du Parti conservateur, comme la baronne Warsi, menacent de le quitter si Johnson devenait Premier ministre. Il est « l’Homme qui en sait trop » et constitue dès lors une menace pour les musulmans et les islamolâtres britanniques.
Johnson mit également en doute la loyauté des musulmans britanniques. Ce qui paraît absolument logique. Seuls les aveugles islamophiles persistent dans le déni de la dangerosité de l’idéologie islamique pour nos démocraties et nos peuples et continuent à croire en la fable de la loyauté de la majorité des membres de l’Oumma envers leurs pays hôtes.
Pour Boris Johnson, l’islam est le problème et le pays doit accepter cette idée, que cela plaise ou non. Il est l’un des rares hommes politiques à avoir le courage de dire cette vérité qui fait hérisser d’horreur les poils des islamophiles: ce n’est pas aux Britanniques de s’adapter à l’islam, mais aux musulmans de changer, de rendre leur foi compatible avec les valeurs britanniques et faire preuve de loyauté envers la Grande Bretagne.
Mais une question demeure en suspens : que se passerait-il s’il s’avérait que l’islam ne peut tout simplement pas être compatible avec les valeurs britanniques ? L’idéologie islamique, de par sa nature suprémaciste, intolérante, belliqueuse ne sera jamais compatible avec les valeurs occidentales, y croire est du suicide auto-programmé. Dès lors, la seule issue sera d’obliger les musulmans à respecter les lois britanniques de gré ou de force sous peine d’expulsion ver leurs paradis islamiques. Sinon, ce sera soit la guerre civile, soit la soumission des sujets britanniques de sa très Gracieuse Majesté à l’islam et à sa loi, la charia. Processus d’islamisation déjà bien avancé dans l’East London, bientôt sous le contrôle total des musulmans. La célébration des fêtes d’Halloween et de Noël, considérée par les religieux du coin comme un péché très grave, sera bientôt interdite dans les quartiers islamisés de l’East London. Les patrouilles de la charia y veilleront.
Boris Johnson est profondément perturbé par l’islam. Il a apparemment fait ce que très peu de politiciens occidentaux ont eu la curiosité et le cran de faire: il a lu le coran et sa conclusion a été sans ambiguïté, irréprochable et précise :
Jugé uniquement sur ses textes – sans parler de ce qui est prêché dans les mosquées – l’islam est la «religion» la plus vicieusement sectaire de toutes les religions de par son absence de coeur envers les incroyants.
S’il continue dans cette voie en tant que Premier ministre, il pourrait peut-être encore réparer les torts causés au peuple britannique et à la Grande Bretagne par ses prédécesseurs depuis Tony Blair, qui inaugura l’ère de l’angélisation des musulmans britanniques et leur permit d’exprimer publiquement toute leur haine envers la Grande Bretagne, et ce en échange de la protection des intérêts britanniques à l’extérieur du pays. Tony Blair a vendu sa patrie aux islamistes pour de grosses poignées de pétrodollars .
Accusé d’avoir attisé les flammes de l’islamophobie pour avoir déclaré qu’il était absolument ridicule que des femmes choisissent de se déguiser en boîte aux lettres en revêtant la burqa, (qu’il confondit avec le niqab), il devint la cible de musulmans enragés, qui lui reprochèrent son insensibilité à l’égard des femmes musulmanes et celle de ses « amis » du Labor party et de ses collègues du Parti conservateur. Theresa May lui demanda de présenter ses excuses, ce qu’il refusa.
Pour Alexandre Del Valle, l’accusation d’islamophobie n’est que le faux-nez de l’offensive des organisations islamiques internationales pour introduire le délit de blasphème dans les pays occidentaux.
Sous le titre « Islamophobia – a Challenge for us » le Runnymede Trust publia en octobre, un rapport annuel alertant l’opinion publique britannique du « danger » de voir l’Angleterre se transformer progressivement en une « nation de gens qui détestent les Musulmans ». Le principal argument du rapport consistait non pas à prouver que les Anglais de souche détestaient l’islam en tant que tel, mais que « les Musulmans sont systématiquement, brimés, caricaturés », en étant « assimilés aux fondamentalistes et aux terroristes musulmans ». Le document tentait de démontrer que l’islamophobie commence dès qu’on associe les termes d’islamisme et de terrorisme, les islamistes y compris les plus fondamentalistes n’étant pas forcément terroristes et les terroristes n’étant pas forcément musulmans. Aussi, derrière cette lapalissade, et au nom d’une légitime vigilance contre le racisme que tout le monde approuve, ce sont en fait les critiques tout aussi légitimement formulables à l’endroit des islamistes qui en sont venues à être assimilées à une forme de racisme. Présentée comme un « fléau inhérent à l’intolérance occidentale » ancrée depuis des siècles, « l’islamophobie », se décline, selon le Runnymede Trust, en plusieurs points qui méritent d’être mentionnés :
- affirmer que l’islam est une culture fondamentalement différente de la civilisation occidentale et fixiste ;
- dire que « l’Islam est violent », menaçant, enclin au terrorisme ;
- dire que les musulmans sont manipulateurs, qu’ils utilisent leur foi à des fins politiques ou militaires ;
- faire en sorte que les critiques musulmanes à l’encontre de l’Occident soient automatiquement rejetées ;
- lorsque l’hostilité envers l’islam est utilisée pour justifier le racisme et les préjugés anti-immigrés.
Les concepteurs du rapport assimilent à de « l’islamophobie » le seul fait de dénoncer les formes islamiques d’intolérance – supposées d’emblée inexistantes. Et alors que la civilisation musulmane est « bonne » et « tolérante par nature », les victimes a priori que sont les musulmans sont appelés à fustiger « l’intolérance occidentale ». De même, le fait d’affirmer que les civilisations occidentale et musulmane sont profondément différentes au regard des valeurs fondamentales constituerait une « preuve de racisme ».
Le terrorisme des années 1990 et les fatwas de mort contre Salman Rushdie qui sidérèrent la Grande Bretagne ont débouché sur plus d’islamisation et de concessions envers les pôles islamo-obscurantistes et communautaristes.
D’après l’écrivain musulman laïc Amir Taheri, « l’islamophobie » dont seraient victimes les Musulmans de Grande Bretagne serait en fait une fable : « la Grande-Bretagne et une poignée d’autres démocraties occidentales sont les seuls endroits sur terre où les musulmans de quelque tendance que ce soit peuvent pratiquer leur foi en toute liberté.»
Si l’islam laisse beaucoup à désirer pour Boris Johnson, Israël, par contre, suscite sa plus grande admiration.
Quiconque est lucide sur la nature dangereuse de l’islam, ne peut qu’admirer Israël , faire son éloge et le soutenir. C’est ce que fit Johnson.
Lors d’un voyage de trois jours en Israël, seule lumière dans une région de ténèbres, son enthousiasme envers ce pays, ses déclarations pro-Israël et sa dénonciation du mouvement BDS eurent pour conséquence l’annulation des réunions programmées avec un groupe de jeunes Arabo-palestiniens et une organisation de femmes d’affaires. Une brève rencontre avec le PM Rami Hamdallh fut par contre maintenue.
Que fit donc Boris pour susciter autant de colère de leur part?
Il exprima tout simplement ses points de vue, mais en faveur d’Israël et cela fut insupportable à entendre pour les partisans d’un état palestinien Judenrein.
Au cours de sa visite, Boris Johnson critiqua à plusieurs reprises les appels du BDS à boycotter les produits israéliens, décrivant la campagne comme « complètement folle » promue par quelques universitaires gauchistes en velours côtelé et aux dents longues.
A Jérusalem, Johnson prononça le discours inaugural de Winston Churchill à Jérusalem.
Si nous examinons l’histoire de l’Israël moderne, il ne fait aucun doute que la comparaison [entre Churchill et Israël] peut être élargie et que le pays qu’il a contribué à créer a quelque chose de religieux. Il y a l’audace, le courage, la volonté de de prendre des risques en accomplissant des exploits d’une bravoure hautement remarquable.
Dans sa biographie sur Winston Churchill, rédigée en 2014, Johnson écrivit que son ancien collègue « admirait les caractéristiques juives qu’il partageait pleinement : l’énergie, l’indépendance, l’attachement au travail, la vie de famille ».
« La pensée, l’inspiration et la culture des Juifs ont été des dominantes vitales de l’histoire du monde. Il n’existe ni art ni science qui n’ait pas été enrichi par par des accomplissements juifs » écrivait Churchill en 1950.
Le philosémitisme de Churchill a été ancré dans l’Histoire et dans la philosophie.
Les deux villes qui ont le plus compté dans l’Histoire de l’humanité sont Athènes et Jérusalem. Leurs messages en religion, en philosophie et en art ont été les principales lumières conductrices de la foi et de la culture modernes.
Churhcill, dans ses mémoires
Lors d’une cérémonie de plantation d’arbres sur le site de la future université hébraïque de Jérusalem sur le Mont Scopus, Churchill déclara:
L’établissement d’un foyer national juif en Palestine serait une bénédiction pour le monde entier, une bénédiction pour la race juive dispersée dans le monde entier, et une bénédiction pour le Royaume-Uni.
Quand il occupait la fonction de Secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, Johnson s’en était violemment pris au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU pour sa focalisation absurde sur l’Etat juif, la qualifiant de disproportionnée et de préjudiciable pour la cause de la paix.
Un petit bémol toutefois : en dépit de son admiration pour Israël, Johnson, certainement mal informé, avait à une ou deux reprises critiqué le recours à la force par Israël contre les manifestants Arabo-palestiniens lors de la Grande Marche du Retour, décidés à franchir par la violence la barrière de sécurité israélienne à Gaza, malgré la mise en garde des soldats israéliens.
Je suis profondément attristé par les pertes de vies humaines à Gaza, où des manifestants pacifiques sont exploités par des extrémistes. J’exhorte Israël à faire preuve de retenue dans l’utilisation de tir à balles réelles.
Leurré par la désinformation médiatique occidentale, Johnson ignorait qu’Israël avait déjà fait preuve d’une retenue extraordinaire dans le recours à la force. Ces émeutiers n’étaient guère des « manifestants pacifiques », certains d’entre eux étaient armés, d’autres lançaient de grosses pierres, des cocktails Molotov, même des grenades, contre les soldats et lâchaient des cerfs-volants incendiaires sur Israël, anéantissant ainsi des milliers d’acres de terres agricoles.
Ils ne furent jamais et ne seront jamais des manifestants pacifiques car la haine d’Israël et de son peuple est inculquée dans leur coeur et leur esprit dès leur naissance.
En 2018, les enfants et habitants du Kibbutz Nir Am, touché par des incendies suite au lancement de cerfs-volants enflammés depuis Gaza, envoyèrent, en riposte, des ballons remplis de bonbons en direction de l’enclave des haineux. « Les enfants de Gaza, qui sont les victimes du cruel régime du Hamas méritent de savoir que les enfants israéliens ne les haïssent pas. »
Du côté obscur, haine et volonté de destruction, du côté de la Lumière, gentillesse et message de paix.
Les arbres des vergers brûlés par les cerfs-volants avaient été immédiatement remplacés par les habitants du kibboutz : « Ils brûlent, nous plantons. »
Qui relata cet événement pourtant si charmant, porteur d’un message de paix des enfants israéliens à l’égard des enfants gazaouis ? Personne, car contraire à la propagande d’un Israël dur et cruel face à de pauvres êtres opprimés pacifiques sans défense.
Là est toute la différence entre les Israéliens et les Gazaouis. Et pourtant, les premiers sont constamment sous le feu des critiques, les seconds victimisés, voire angélisés, en dépit de leurs crimes et de leur haine.
Johnson ne réalisa pas non plus à quel point les Israéliens firent preuve de retenue, en utilisant des balles en caoutchouc et des gaz lacrymogènes pour décourager les émeutiers, en émettant constamment des avertissements demandant à ces derniers de ne pas s’approcher des barrières de sécurité. Les soldats israéliens frappaient les émeutiers sous les genoux, mais ceux qui violaient la barrière,malgré les avertissements diffusés en langue arabe et lançaient des engins explosifs contre les soldats, devaient s’attendre à une riposte par balles.
Néanmoins, quand il s’agit d’islam , Boris Johnson, derrière son écran de fumée de personnage amateur de vannes, s’est révélé être bien plus lucide que Tony Blair. Ce dernier hypocritement ne se déplaçait jamais sans un coran mais c’est Johnson qui eut la curiosité de lire ce livre, source de malheur pour l’Humanité .
Boris Johnson, ce cocktail tutti-frutti, de par ses nombreuses origines, est prêt à devenir Premier ministre de la Grande-Bretagne. Souhaitons-lui bonne chance !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Sources:
- Boris Johnson impressed with Israel, thinks islam leaves much to be desired. ( Hugh Fitzgerald – Jihad Watch)
- Petite histoire du terme islamophobie et de son utilisation à des fins politiques (Atlantico) (extraits)
- https://fr.timesofisrael.com/churchill-les-juifs-et-israel/ (extraits)
Boris Johnson, une goutte de clairvoyance dans un océan d’obscurité.
Inch’alla qu’il soit élu!
Il faudrait un Boris Johnson et un Nigel Farage en France pour relever et sauver la France du désastre vers lequel elle se dirige en suivants trop la pensée unique des salons parisiens
Sur le papier, BoJo coche pas mal de cases positives. Mais je me demande quelle majorité sera prête à le suivre, beaucoup de Tories sont de faux conservateurs et de vrais progressistes, le Labour a sombrė dans l’islamisme et la chambre des Lords est anti Brexit.
Hors sujet présent : FLEUR DE LYS, merci de prendre connaissance de ma réponse tardive (à vous ainsi qu’à PINHAS) sur le forum d’hier relatif à GOZLAN.
Bonne journée.
ce qui est beau et bien avec M. jonhson …. c’est que malgré les années il a pas changer de discours car trop souvent des politiciens ce disent amis d’Israel mais après 10,15,20 ans ou plus alors ils prennent leurs distance avec l’état Hébreux …. je souhaite bon succès a M. Jonhson et M. Farage qui est aussi un ami d’Israel
Bien sûr, Boris Johnson est préférable. N’ayez pas trop d’illusions, cependant. Les propos que vous relevez n’ont vraisemblablement pas été prononcés à l’époque où il était maire de Londres, ville… largement musulmane.
Quand il a été journaliste (et il l’est encore souvent, d’une certaine manière), il fut très politiquement incorrect. Quand il a été maire, il a beaucoup mis la sourdine là-dessus. Je suis sûr que vous pouvez relever de nombreuses déclarations parfaitement “anti-racistes” de sa part, à cette époque.
Un magazine conservateur britannique a appelé à sa nomination comme chef du parti conservateur, en raison d’une vidéo de lui qui a été déterrée : on le voit, lors d’une conférence quelconque, changer soudain de sujet et partir dans une longue récitation par coeur de… L’Iliade. En grec ancien, bien entendu.
Vu les politiciens que nous avons, ceci est effectivement un critère suffisant pour souhaiter le voir à la tête de la Grande-Bretagne. Tout ce que vous relevez ne peut pas faire de mal non plus.
@ Robert Marchenoir
Je pense comme vous au sujet de BoJo, capable du meilleur comme du pire lorsqu’il se laisse aller à des considérations opportunistes.
Un article dans Breitbart signé Delingpole alerte sur le risque que, si mal entouré (par la garde Tory des Remainers qui s’est ralliée à lui), il manquera d’audace et de volontarisme. Mais s’il reconstruit une vraie droite homogène, libérale, souverainiste et conservatrice autour de lui, il fera des miracles.
Je ne suis pas aussi naïve que vous semblez le croire . Entre ce qu’un homme politique dit, puis fait une fois au pouvoir, il y a souvent de la marge, car il n’est pas seul à gouverner et s’il n’est pas soutenu, soit il abandonne, soit il accepte des compromis ou pire encore, il renie ses promesses. Mais, entre un PM musulman ou un ” islamodolâtre” comme Hunt, si j’étais Britannique, je choisirai Boris Johnson, malgré son caractère parfois imprévisible.
Ceci dit, le but premier de cet article n’était pas de faire de la pub pour Boris, mais tout simplement de faire connaître ses points de vue sur l’islam et Israël.
Les déclarations pro-Israël et en faveur du peuple juif sont de nos jours des perles précieuses de plus en plus rares. Dès lors, quand une personne connue exprime la vérité sur ce pays et son peuple sans cesse injustement vilipendé, attaqué, insulté, je trouve naturel de faire partager les rarissimes déclarations qui rétablissent la vérité. L’eau cristalline étincelant au soleil de la Vérité finira par vaincre les eaux fétides de la mare du Mensonge et de la désinformation .
de la Vérité peur
Et cette poignée de main … ?
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/1e/Javad_Zarif_meeting_with_UK_foreign_minister_Boris_Johnson_in_Tehran_2017-12-09_02.jpg
Que Boris Johnson soit élu ,c’est la meilleur des choses qui puisse arriver pour L’eurabia.
Bonjour Rosaly, superbe article comme d’habitude.
J’espère voir Boris Johnson à la tête du Royaume Uni, d’autant que son adversaire Hunt me fait l’effet d’une véritable girouette.
J’apprécie l’association Johnson / Churchill. Cela donne de l’espoir.
Le Labour Party est à l’image des démocrates yankee : des malades hors sol qui planent tellement haut que leur chute n’en sera que plus douloureuse. Cachez cette réalité qu’ils ne veulent pas voir ! L’islam c’est pas ça et patati et patata…
C’est la faute à ceux qui n’aiment pas l’islam si l’islam est violent, c’est évident.
On connait la rengaine du pauvre mahométan qui n’a pas appris les codes, raison pour laquelle il ne faut pas lui en vouloir de violer et d’égorger les sales kouffars.
L’Angleterre est à la croisée des chemins, le brexit est un préliminaire absolu pour s’éloigner de cette Europe politique tellement nauséabonde. De plus le Royaume uni pourra compter sur l’aide de Trump pour contrer les manigances teutonnes et françaises.
Je verrais bien Boris Johnson premier ministre et Tommy Robinson ministre de l’intégration.. . (il est permis de rêver, non ?).
Bonsoir Christopher
C’est merveilleux de rêver, personnellement, je rêve du matin au soir et du soir au matin et cela me permet de ne pas sombrer dans le pessimisme .
Boris Johnson, PM et Tommy Robinson, ministre de l’intégration : le casting de rêve! :))
@ Rosaly
Je souhaite un grand avenir à Tommy Robinson mais il me semble que Nigel Farage, pour des raisons qui m’echappent, a pris ses distances avec l’ukip quand Robinson s’est rapproché de son nouveau dirigeant. J’ai du mal, depuis, à cerner Farage et me méfie quelque peu de son influence sur le futur gouvernement britannique.
Encore une excellente contribution de Rosaly, dont je salue (encore une fois, désolé de me répéter) le travail de recherche et l’effort d’approfondissement, qui manque trop souvent à d’autres qui en restent aux considérations générales.
C’est une très bonne nouvelle d’apprendre que Boris Johnson, peut-être futur Premier, a une conscience aigüe, claire et lucide de la véritable nature de l’islam.
Il a parfaitement perçu ce que j’expliquais dans un autre post sur Dreuz hier (voir articles de l’Abbé Arbez): l’islam est fondamentalement – à tous les sens du terme, dans ses fondements idéologiques, ses principes fondamentaux et fondateurs, et ses fondements historiques – un système totalitaire de Terreur, aussi bien envers ses adeptes qu’envers ceux qui refusent de se plier à sa loi : “c’est exactement ce sentiment d’effroi que le texte coranique est censé susciter”
BJ l’a compris dans sa lecture du coran. Car contrairement aux idiots gauchistes malfaisants qui pérorent sur les merveilles de l’islam sans rien en connaître, il semble qu’il se soit informé et l’ait étudié. Il faut dire que cela saute aux yeux pour qui sait enlever ses œillères idéologiques de bisounours compulsif et refuse de voir l’évidence du Mal car il veut croire que “l’Autre” est forcément un humain d’essence supérieure, un exemple de droiture, de bonté et de bienveillance, une réincarnation du Christ (ça c’est pour le Pape pro-migrant et pro-islam) dans une resucée stupide du mythe idéaliste du Bon Sauvage.
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En outre, l’islam est aussi une idéologie fondée sur l’asservissement: pas besoin de chercher loin, c’est le sens même du mot “islam”, que l’on édulcore en “soumission”, oubliant qu’il s’agit de celle de l’esclave vis-à-vis de son maître : le musulman est l’esclave d’Allah, et par délégation de son prophète (ou de son successeur – “khalif”). La femme est l’esclave de l’homme, le kouffar du musulman, etc. Et l’esclavage au sens propre une pratique massive au sein de l’islam.
La société islamique se fonde sur un lien social, un lien entre les individus unique et bien particulier: celui de l’esclavage. Relisez les 1001 Nuits. Rien d’étonnant dès lors que l’islam n’ait aucun scrupule ni gêne ou sentiment de culpabilité avec la pratique de l’esclavage. Rien d’étonnant que les ouvriers et les employés soient traités par le “bon musulman” comme des esclaves (cf pays arabes, par exemple la confiscation des passeports).
On peut tout à fait voir dans le coran – et encore plus dans les hadiths et la sira – rien d’autre qu’un “code Noir”. Le monde musulman est incapable de concevoir autrement les relations humaines qu’en ces termes de sujétion et de domination.
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Une fois que l’on a intégré ces deux points fondamentaux, que l’islam c’est la Terreur (en jargon musulman: djihad) et l’esclavage (en jargon: islam), on s’aperçoit que tout devient plus clair, et que l’on comprend mieux ce qu’on observe, ce qu’on a sous les yeux, le fonctionnement et le comportement des musulmans.
On peut encore rajouter à ces éléments de compréhension la taqiya, c’est-à-dire l’hypocrisie, la dissimulation, le mensonge, précisément le double langage pour tromper et favoriser la d’awa, le prosélytisme pour étendre l’islam à toute l’Humanité (autrement dit: asservir toute l’Humanité) [d’awa signifie “invitation”, du genre “invitation qu’on ne peut pas refuser”]
L’islam est en réalité une entreprise criminelle, pirate, crapuleuse, mafieuse régnant par l’effroi qu’il suscite par une violence arbitraire extrême, violence légitimée par un pseudo “message divin” sorti en intégralité du cerveau affreusement pervers de son prétendu “prophète”, et vraie crapule. D’ailleurs, la Mafia est née en Sicile, soumise pendant trois siècles à la domination musulmane, qu’elle a d’une certaine façon remplacée en la copiant : il n’y a décidément pas de hasard (terme arabe!).
Merci Auguste pour votre appréciation et votre commentaire que je partage totalement.
L’islam doit se répandre soit par la ruse, soit en distillant la peur dans le coeur des incroyants et la lecture du coran n’apaise ni l’esprit, ni le coeur de celui qui le lit, mais les remplit de frayeur. J’ai lu ce livre maléfique et je me suis posée la question: comment ose-t-on prétendre que l’islam apporte la paix, la tolérance et l’amour? Soit il existe une version édulcorée ” science-fiction ” à l’attention des kafirs Occidentaux, soit une obscurité étrange enveloppe l’esprit de celui qui lit ce livre diabolique et l’empêche de voir sa véritable nature?
Pour l’auteur Amil Imani , un apostat, l’islam est la tromperie la plus réussie de l’histoire de l’humanité.
En 2016, j’avais traduit un article publié par Il Giornale” sur Oriana Fallaci.
http://www.dreuz.info/2016/04/05/sur-lislam-cette-folle-doriana-fallaci-avait-raison/ …
J’avais conclu comme suit :
“… c’est le devoir sacré du musulman de combattre les forces des ténèbres représentées par l’Occident. Il ne peut y avoir un autre Dieu qu’Allah et le terrorisme est un moyen d’y parvenir. Ce qui explique la raison pour laquelle aucun « savant » de l’islam, aucun pays musulman ne condamne ouvertement le terrorisme. Comme le mode de vie occidental est en contradiction directe avec le dogme islamique, il devient la cible préférée de tout bon musulman. Le djihadiste interprète donc correctement le coran.
Combien de pays musulmans pratiquent la démocratie, le libéralisme, le respect de la vie privée, de la liberté individuelle, la liberté d’expression, la liberté de conscience ? Aucun. Car ces valeurs ne sont pas compatibles avec l’islam et elles doivent être combattues, ainsi le veut Allah.
Et contrairement à ce que les apologistes béats de l’islam essayent de nous faire croire de la nature pacifique de l’islam, ce dernier s’est toujours répandu par la guerre sainte. Le djihad n’est nullement allégorique et le coran est loin d’être un recueil de poésie, et la sanglante histoire de l’islam est là pour le confirmer.
Politiciens sans honneur, hypocrites, menteurs, politiciens sans conscience, intellectuels sans dignité ni courage, ils ont rendu l’Europe malade, faible, sans défense et l’encouragent, quand ils ne la forcent pas, à se prostituer à la tromperie la plus réussie de toute l’histoire de l’humanité : l’islam.”
Et depuis, la situation a empiré, la seule différence et elle est de taille, les peuples commencent à ouvrir les yeux, et les articles sur toute l’horreur de l’islam se multiplient. L’islam, ce cauchemar de notre siècle, qui après s’être temporairement assoupi, revient avec plus de force et de vigueur . A nous peuples européens de l’affaiblir à nouveau et de le renvoyer là d’où il n’aurait jamais dû sortir, dans les sables du désert arabique.
Etrange siècle que le nôtre où le mensonge devient vérité et où la vérité est combattue afin de glorifier le mensonge. Allah akbar l’emporte pour l’instant!
Merci Rosaly pour l’article sur Oriana Fallaci dont j’ai entendu parler depuis peu. J’avais envie d’en savoir plus sur elle. J’ignorais que Dreuz avait déjà écrit sur elle. Je garde cette article précieusement, il est particulièrement bien didactique.
Merci Rosaly.
L’islam marche dans la main avec le gauchisme , car qui se ressemble s’assemble.
Dans les deux on a cette inversion tout orwellienne de la vérité, où la réalité concrète et la vérité factuelle sont niées, et le fantasme, l’illusion et la parole désincarnée, vide, idéelle accèdent au statut de vérité suprême et incontestable, bref de dogme intangible, d’idéologie fermée.
C’est d’ailleurs presque la définition de la religion. Aujourd’hui la pensée de type religieux envahit tout, aussi bien sous forme d’islam que de gauchisme, de (mauvais) féminisme et d’écologisme.
Hum.
idéelle, ça veut dire quoi ?
Je cherche …
Si vous cherchiez vraiment, vous trouveriez, car comme disait un homme très célèbre, “qui cherche trouve”
https://fr.wiktionary.org/wiki/id%C3%A9el
Comme on peut le voir dans mon propos, “idéel” s’oppose à “factuel” ou à “réaliste”: on est dans le monde des représentations imaginaires et abstraites.
parole idéelle: qui n’est faite que d’idées, de représentations inconsistantes.
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Le terme renvoie lointainement au “monde des Idées” platonicien et plus prosaïquement aux pensées ou représentations imaginaires, abstraites, aux idées qui n’existent que dans l’esprit et déconnectées de l’univers réel, pour ne pas dire fumeuses.
Le terme correct devrait être “idéal”, mais comme le sens de celui-ci a dérivé vers l’idée de perfection (“monde idéal”), on a dû créer un nouveau vocable pour parler d’idées pures, qui n’existent que dans l’esprit et n’ont pas de réalité concrète ou de substance. Ou comme mon dit chez les gens simples: qui n’existent que dans la tête.
C’est aussi un à rapprocher du terme “idéologique”, sans sa connotation militante et fanatique qui renvoie aux convictions. Mais une idéologie peut être ancré dans des idées solides et réalistes (même si ce n’est pas ce qu’on entend lorsqu’on l’utilise péjorativement)
En ce qui me concerne je l’emploie le plus souvent pour qualifier des représentations imaginaires, fantasmatiques, des fabrications intellectuelles purement verbales (des mots que l’on enfile comme des perles), qui n’ont que l’apparence du sens et ne renvoient à rien d’existant, qui permettent de se payer de mots et d’élucubrer ou bonimenter à l’infini.
Pour les exemples concrets, il suffit de lire les logorrhées gauchistes, notamment antiracistes, indigénistes (cf les théories fumeuses sur le racisme d’État, les réunions intersectionnelles non-genrées contre la domination sexiste blanche et autres conneries avec lesquelles les gauchistes se masturbent le cerveau)
boris a fait l’effort de lire le coran!
96 versets pronant le meurtre de juifs et de chrétiens
une trentaine ravalant la femme à un champ à labourer à loisir
autant de sadiques promettant aux mécréants de l’eau purulente, du goudron et du cuivre fondu
etc.
Il ressort de ce texte que soit nous nous écrasons et nous mourrons comme société occidentale, soit nous combattons. Mon choix est fait depuis longtemps.