Publié par Rosaly le 6 juillet 2019
Sea Watch: récolte de fonds par mon ami Fabio Cavallo 150 000 euros en 24 heures

Impunité « humanitaire » sont les premiers mots qui viennent à l’esprit après la lecture de l’ordonnance de la juge pour les enquêtes préliminaires (GIP), Alessandra Vella, qui a fait libérer Carola Rackete.

Aux yeux de la loi, la capitaine a agi dans l’accomplissement de son devoir. Mais la réalité est différente…

1. S’agissait-il d’un sauvetage ou d’une récupération ?

La juge Vella, se basant sur un rapport de la Guardia di Finanza, mais surtout sur les propos de la capitaine, tient pour acquis que le 12 juin, le canot pneumatique signalé par le petit avion de l’ONG, le Colibri, basé à Lampedusa, chargé de repérer les migrants à secourir dans les zones SAR, allait chavirer d’un moment à l’autre.

Il s’agissait d’une embarcation en mauvais état et personne ne portait un gilet de sauvetage, il n’y avait pas d’essence leur permettant d’accoster quelque part. » avait déclaré la capitaine à la juge.

En réalité, la photo prise par un membre de l’équipe de la Sea Watch montrait que les tubulaires du canot pneumatique étaient gonflés et plusieurs réservoirs de carburant se trouvaient à bord.

Une deuxième enquête pour « aide à l’immigration clandestine » a été ouverte, afin de déterminer s’il s’agit d’une récupération de migrants plus ou moins convenue.

En outre, la juge ne prend nullement en compte l’engagement dans l’opération de sauvetage d’une vedette des Garde-côtes de Tripoli dans la zone de recherche et de sauvetage libyenne, la SAR (Search and Rescue)

2. La Tunisie n’est pas un port sûr

Une fois les migrants embarqués sur la Sea Watch, le navire se trouvait à 69 miles de la Tunisie et à 124 miles de Lampedusa. Après avoir refusé le débarquement à Tripoli, zone de guerre, la capitaine aurait pu se diriger vers Zarzis, mais la juge expliqua que « les ports tunisiens étaient exclus, car selon l’évaluation de la capitaine, basée sur « des informations d’Amnesty Int. » il n’existe aucun port sûr en Tunisie. D’où sa décision de se diriger vers Lampedusa.

La décision de diriger le navire vers Lampedusa n’était pas considérée comme essentielle, mais obligatoire : les ports de la Libye et de la Tunisie ne sont pas considérés comme sûrs. La juge fit noter que : « La Tunisie ne prévoit pas la protection des réfugiés en ce qui concerne le droit à l’asile politique ».

Or, la Tunisie a signé la Convention SAR pour le sauvetage en mer adopté à Hambourg en 1979 et la Convention des Droits de l’Homme à Genève. Chaque année, 5 millions de touristes considèrent ce pays suffisamment sûr pour y passer leurs vacances. Mais, la capitaine craignait sans doute que les migrants récupérés par la Sea Watch ne soient rapatriés dans leur pays d’origine s’ils étaient débarqués en Tunisie, comme ce fut le cas des 75 personnes secourues par un navire marchand en juin. En attente de l’autorisation d’accoster à Zarzis, le navire resta au large du port tunisien pendant 15 jours. Cela ne suscita aucune indignation internationale, comme ce fut le cas pour la Sea watch 3. Le 18 juin, les migrants furent finalement débarqués suite à un accord négocié par l’ONU et rapatriés dans leurs pays respectifs, n’ayant pas droit à l’asile selon les Autorités tunisiennes. Ce fait fut acté dans l’ordonnance par la juge.

3. Carola avait le droit de violer le blocus

Le Procureur d’Agrigento a clairement déclaré qu’il n’y avait pas « d’état d’urgence ». La juge Vella, quant à elle, a soutenu que la décision de violer le blocus imposé par le ministère de l’Intérieur « était étayée par une série de règles d’assistance à l’étranger, arrivé sur le territoire national, suite à une opération de sauvetage en mer. »

En termes plus explicites, le gouvernement italien n’a pas le droit d’arrêter les navires des ONG avec des migrants à bord et les « directives ministérielles sur les ports fermés » ne permettent “pas d’annuler les obligations de la capitaine de la Sea Watch 3 de débarquer les migrants dans le port de Lampedusa.

4. Son devoir

Les accusations de violence et de résistance à l’encontre des membres de l’équipage à bord de la vedette de la Guardia di Finanza, qui tenta jusqu’à la dernière minute d’arrête la Sea Watch, furent également démantelées par la juge. Stupéfiante fut la déclaration de la juge sur la manœuvre de la capitaine, qui faillit écraser la vedette contre le quai : » en visionnant la vidéo, le fait doit être grandement redimensionné dans sa portée offensive ».

Dans un élan de bonté, la juge a admis que la manœuvre était dangereuse et volontaire, même si calculée. Mais le fait n’est pas punissable, car la personne actuellement sous investigation a agi conformément à son obligation de débarquer les migrants à Lampedusa.

Il est nécessaire d’examiner les faits contestés « à la lumière de ce qui les précède, à savoir le sauvetage en mer et les obligations qui en découlent », a écrit Alessandra Vella, se référant à la « super-ordination » de la réglementation internationale en matière de Directives ministérielles italiennes.

En d’autres termes, la loi internationale prévaut sur la loi nationale !

Selon la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (Unclos), le capitaine d’un navire doit fournir une assistance ‘à toute personne en danger en mer et aller au secours des personnes dans le besoin dès que possible s’il est informé que de telles personnes ont besoin d’assistance « .

À cela s’ajoute la convention Sar (Search & Rescue) selon laquelle les pouvoirs d’intervention d’un seul État dans la zone de compétence ‘n’excluent pas que des unités navales de pavillon différent puissent commencer le sauvetage lorsque l’imminence le demande du danger pour les vies humaines ».

En résumé : selon cette juge, la capitaine avait le droit d’enfreindre les lois d’un Etat souverain pour sauver des vies, même au risque d’ôter d’autres vies, celles des policiers de la Guardia di Finanza accomplissant leur devoir. Mais dans quel monde vit-on ? Pour sauver une vie, il serait donc légitime de sacrifier une autre. Monstrueusement aberrant !

5. L’intervention des Libyens

La juge ne prend absolument pas en compte l’obligation des Garde-côtes de Tripoli d’assumer leur responsabilité dans l’opération de sauvetage dans la zone SAR libyenne.

Elle écrit : « à la fin des opérations, une vedette libyenne est arrivée. Prenant acte de ce qui s’est passé, elle s’est éloignée sans donner des directives au commandant de la Sea Watch. 3’

En réalité, la capitaine avait envoyé un mail le 12 juin à tous les centres de secours de la région les prévenant d’avoir été contactée par les Libyens via le canal 16 VHF, comme par hasard, tout juste après l’embarquement à la hâte des migrants.

Amertume de la Guardia di Finanza suite à la décision de la juge de libérer la pirate Carola Rackete.

Le monde va à l’envers… Nous, nous risquons nos vies pour faire respecter nos lois, la capitaine les bafoue et devient une héroïne.

La décision de remettre en liberté Carola Rackete, devenue la Greta Thunberg des ONG pro-migrations, favorisant ainsi une invasion massive, qui désintègre la culture et les traditions de l’Europe, a vivement choqué les policiers de la vedette éperonnée par la capitaine allemande.

Interviewé par l’agence Adnkronos, l’un d’eux a déclaré amer :

Dans ce pays, quiconque viole la loi devient un héros, celui qui défend sa patrie sera d’ici peu considéré comme un délinquant. »

Cette ordonnance est vraiment injuste, mais surtout, elle contient de nombreuses inexactitudes. »

Le policier ne réussit pas à digérer ce passage de l’ordonnance :

Malgré le fait d’avoir violé l’interdiction d’accoster lui imposée par la Guardia di Finanza, Carola Rackete n’aurait commis aucune violence à l’encontre d’un navire de guerre ni opposé résistance à un officier de la Guardia di Finanze. »

Selon la juge, la vedette de la GDF ne serait pas un navire de guerre. Or « même les enfants savent que les bateaux de la Guardia di Finanza sont des navires de guerre, car il hisse le drapeau et porte les couleurs de la marine de guerre. »

Et de rappeler qu’en cas de guerre, la Guardia di Finanza passe sous le commandement de la Marine militaire. Tous les équipages de la GDF appartiennent au DEM (le Corps militaire maritime) et pourtant la juge a rejeté toutes les accusations portées contre elle, ne validant pas son arrestation et n’ordonnant à son encontre aucune mesure de contrôle judiciaire.

La Guardia di Finanza ne devrait-elle pas intenter un procès à l’encontre de Carola pour mise en danger calculée de la vie d’autrui ?

Nous agirons comme la sea Watch et forcerons les futurs blocus. »

Encouragées par l’ordonnance de la juge Vella en faveur de Carola Rackete, les ONG reprennent du poil de la bête et déclarent avec arrogance : « nous agirons comme la Sea Watch et forcerons les blocus futurs. »

Il fallait s’y attendre. La remise en liberté de Carola Rackete va créer un précédent. La bienveillance de la justice italienne envers la capitaine pirate, devenue l’héroïne du jour, donne des ailes, ou plutôt des voiles aux ONG. Elles trépident d’impatience à l’idée de reprendre la mer et de défier leur bête noire, Matteo Salvini.

Nous agirons comme la sea Watch, en suivant les lois de la mer » avertit Alessandro Mez de l’ONG Mediterranea ».

‘L’ordonnance de la juge Vella restitue sa dignité à l’Italie.. déclarent les autres ONG, qui demandent la libération immédiate des navires « Mare Jonio et Sea Watch »

Si Salvini montait à bord de notre navire et ne tendait pas la main aux naufragés sur le point de se noyer, il serait un monstre. Nous sommes fatigués de nous faire insulter par lui.’

Salvini aussi en a marre de se faire injurier par ces grands humanistes au service du trafic d’êtres humains. Salvini n’a jamais rejeté quiconque à la mer. Il souhaite seulement arrêter l’invasion sauvage de son pays et milite pour une immigration légale et ordonnée.

Les ONG estiment avoir accompli leur mission une fois les migrants débarqués en Italie. Ils se désintéressent des conséquences pour les citoyens italiens et du sort de ces migrants, qui, déboutés du droit d’asile, finissent le plus souvent dans la rue, sous les griffes des mafias ou membres de gangs violents pour survivre. Frustrés, déçus de ne pas trouver l’Eldorado dont ils rêvaient, ils deviennent colériques, violents, sont pris d’accès de folie et se vengent sur les citoyens ordinaires au détour d’une rue, dans un parc, une place publique, dans un train ou un bus ou même dans leurs maisons.

Revigorés par la clémence de la juge Vella, les navires des ONG frétillent et repartent à nouveau à la recherche de migrants à sauver.

Le voilier Alex

Le navire de l’ONG « Mediterranea Saving Humans » « Mare Jonio » étant sous séquestre, cette dernière a envoyé hier le voilier « Alex » un bateau de croisière de 20 m de long à la recherche de migrants à sauver dans la zone SAR libyenne.

Alarm Phone reçoit un appel d’une embarcation en danger. Informé, le voilier « Alex » se dirige immédiatement vers l’embarcation, ayant à son bord 55 personnes. Contacté par l’ONG, le centre de coordination italien lui répond que le sauvetage relève de la compétence de la Libye, qui avait envoyé une vedette. Au lieu d’attendre son arrivée, les » humanistes » d’ALEX ont décidé de transborder les migrants sur le voilier. « Ils doivent être sauvés et non reportés en Libye ».

Le voilier, bloqué au large de Lampedusa, demande l’autorisation de débarquer dans un port sûr : la situation à bord se détériore rapidement et pour cause : 55 personnes à bord d’un voilier de 20 m, serrées comme des sardines. A suivre…

Aux dernières nouvelles, un accord a été conclu entre Malte et l’Italie pour une répartition des migrants. 13 personnes parmi les plus vulnérables seront accueillies en Italie. Des cas de galle et infections diverses ont été détectés. Malte se chargera des autres migrants en échange du renvoi en Italie de 55 migrants actuellement présents à Malte, et ce afin de préserver l’équilibre numérique de l’accueil sur l’île.

Le capitaine du voilier a anticipé la venue de la vedette libyenne. Il s’est écrié : » nous avons arraché 54 vies humaines à l’enfer libyen. Ils ne voulaient pas retourner en Libye. » Cela confirme la volonté des ONG d’amener tous les migrants en Europe. Une question se pose dès lors : ces personnes ont-elles été secourues parce qu’elles étaient en danger en mer ou arrachées à un pays, où elles ne voulaient pas retourner ? Il y a une différence et elle est abyssale. Est — ce une récupération ou un sauvetage ?

L’Open Arms

Après avoir été bloqué pendant trois mois sur ordre du gouvernement Sanchez, l’Open Arms est reparti à la recherche de migrants à sauver.

Le gouvernement espagnol avait enjoint Oscar Kamps, le capitaine du navire « Open Arms » de l’ONG catalane « Proactiva Open Arms » de ne plus embarquer des migrants dans les eaux internationales proches de la Libye, ni de les débarquer dans des ports trop éloignés de leur lieu de sauvetage. (comme l’Espagne par exemple). Le navire fut ensuite bloqué pendant trois mois. Oskar Camps, ennemi juré de Salvini, n’avait guère apprécié l’injonction des Autorités espagnoles.

« L’exploit » de la capitaine allemande a réveillé en lui le désir de repartir en mer. Il a tweeté que le temps était aussi venu pour lui de transgresser les ordres. Open Arms est ainsi reparti patrouiller la Méditerranée à la recherche de migrants à sauver avec évidemment l’approbation de la maire rouge vif de Barcelone, Ada Colau. Toutefois, les Autorités espagnoles lui ont fait parvenir, il y a deux jours, un document l’avertissant de ne pas persister à sillonner la Méditerranée avec l’Open Arms, dans l’attente d’une opération de sauvetage, sous peine d’être condamné à rejoindre un quelconque port espagnol et à ne plus le quitter. Une amende de 300 000 à 900 000 euros est prévue en cas de désobéissance. Mais, Oscar Camps ne semble guère s’en soucier et continue à défier l’Espagne et l’Europe. Berlin et Paris, toujours si prompts à lancer des anathèmes à l’encontre du gouvernement italien à cause de sa politique » inhumaine « de fermeture de ses ports à l’immigration clandestine demeurent étrangement bien silencieux à propos de la décision inhumaine de leur ami socialiste Sanchez à l’égard de l’ONG catalane dévouée au sauvetage des migrants en Méditerranée.

L’Alan Kurdi de Sea Eye

Le navire Alan Kurdi de l’ONG allemande “Sea Eye” sillonne à nouveau la Méditerranée et vient de récupérer 65 migrants à 37 miles de la côte libyenne. Elle demande à la Libye, à Malte et à l’Italie de s’en charger.

“Les personnes à bord ont eu une chance incroyable d’avoir été repérées” a déclaré Gorden Isler, le responsable. “Sans GPS, ni téléphone satellitaire, sans connaissances nautiques, ces personnes auraient disparu en mer.”

Le navire fait route vers Lampedusa. Salvini lui a interdit l’entrée dans les eaux territoriales italiennes et a prévenu son homologue allemand Horst Seehoffer de se charger du problème et d’accueillir les migrants en Allemagne.

“L’Italie n’est pas le hot spot de l’UE” a dit Salvini.

Un autre “héros” allemand se profile-t-il à l’horizon de Lampedusa ? La capitaine pirate fait des émules.

Réponse de Berlin : “Les migrants ? C’est le devoir de l’UE.”

N’est-ce pas à l’invitation de Frau Merkel, que tous ces migrants risquent leur vie pour rejoindre le faux “Eldorado européen ? Les Allemands ne sont-ils pas les premiers à déclarer que sauver des vies n’est pas un délit et à critiquer le gouvernement italien pour sa politique de ports fermés ?

Toujours en première ligne pour faire la morale à l’Italie, ils deviennent étonnamment silencieux quand il s’agit de mettre un frein à leurs ONG ou de les accueillir avec les migrants secourus en mer dans leurs ports.

La libération du capitaine de Sea Watch est une sorte de laissez-passer pour toutes les ONG qui se sentiront désormais en droit de transformer les lois italiennes en paillassons, sur lesquels ils peuvent en toute impunité s’essuyer les pieds.

Et les ennuis ne sont pas terminés pour Matteo Salvini.

  • Carola Rackete va intenter un procès en diffamation contre Salvini.

Salvini est dangereux. Sa façon de s’exprimer n’est pas respectueuse. Elle n’est pas appropriée à un politicien de haut niveau. Il viole les Droits de l’Homme » déclare-t-elle au Spiegel.

Le ton qu’il utilise et la façon dont il s’exprime fait de lui un homme dangereux. » affirme-t-elle au journal italien La Republica, en dénonçant l’équation, qui ravit la Gauche : la droite ramène le nazisme à la lumière.

Et puis, pour terminer en beauté, l’instigation à l’émulation :

Si, à l’avenir, je devais retrouver des naufragés dans la zone libyenne de recherche et de sauvetage, je les emmènerais en Italie, car Lampedusa est le port sûr le plus proche, les lois de la mer le disent. »

Arrogante la Signorina ! C’est la réaction pavlovienne des reines de l’accueil, au mépris des lois d’un pays souverain.

 Riposte de Matteo :

Les mafieux ne me font pas peur, alors figurez-vous une riche communiste pourrie gâtée ! »

  • Menace libyenne de libérer quelque 8 000 migrants des centres d’accueil libyens pour des raisons ‘humanitaires’, suite au bombardement d’un camp de migrants par les forces d’Haftar. Chantage à la Erdogan en vue ?
  • Grogne des magistrats

L’Association nationale des Magistrats s’insurge contre l’intention de Salvini de réformer la justice, suite à l’affaire de la Sea Watch 3.

Si le ministre pense à un système dans lequel le juge décide en fonction des attentes de la majorité, cela sort du système constitutionnel. Ce n’est pas une réforme, mais une distorsion des principes fondamentaux de l’ordre constitutionnel”.

La justice n’est-elle pas censée travailler pour le bien du pays et non pour sa destruction ?

En effet, il y a quelques jours, Matteo Salvini avait critiqué la décision de la juge de libérer la capitaine allemande. Il avait qualifié la sentence “d’injuste et honteuse », ajoutant que l’absolution de Rackete était un choix qui ‘nuisait à l’Italie’.

 Nous avons travaillé pour l’expulsion de la Signorina par le premier avion en direction de l’Allemagne et ici aussi, nous avons besoin de l’autorisation d’un juge qui dispose de 48 heures pour confirmer notre droit, que j’estime sacro-saint, car s’il n’est pas possible d’envoyer cette demoiselle allemande en prison, qu’elle soit au moins renvoyée dans son pays. Ainsi, elle pourra causer d’autres dommages éventuels, mais cette fois-ci dans son pays. Voyons si cela nous sera accordé. A moins que pour celui censé rendre la justice en Italie, tout le monde puisse agir impunément et faire ce qu’il veut. La réforme de la justice devient urgente.”

Je n’ai pas d’ennemis, seulement des alliés pour la défense de la légalité, de la sécurité et du bien-être de mon pays. Et une tentative d’assassinat de soldats italiens ne peut rester impunie ».

  • Hausse de l’arrivée des migrants majoritairement du Moyen-Orient en Italie par la route des Balkans

En visite institutionnelle à Trieste, Salvini a déclaré en se référant à l’arrivée de migrants par la route des Balkans :

Nous vérifierons les frontières avec la Slovénie et si nécessaire, nous les blinderons par le déploiement d’hommes et de véhicules.

Nous contrôlons les frontières maritimes, nous voulons également surveiller les frontières terrestres. »

Après avoir pris contact avec ses collègues croates et slovènes, afin de définir des stratégies communes de contrôle des frontières sur la route des Balkans, Matteo Salvini a rencontré le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, à l’occasion de la signature d’un accord sur une zone du port Juliano.

La collaboration avec les Hongrois pour le port est importante, car Trieste est une ville en croissance, de même que la région de Friuli Venezia Giulia ».

Nous voulons que Bruxelles ne remplisse pas l’Italie d’immigrés clandestins. Les attaques de Bruxelles contre ceux qui défendent les frontières européennes nous choquent. Ce sont des partisans de ceux qui violent la souveraineté des Etats membres » a déclaré le ministre hongrois.

Nous avons été critiqués lors de l’érection des barrières de protection de nos frontières. Salvini agit de même pour ses frontières maritimes et les attaques européennes à l’encontre de quiconque défend ses frontières sont scandaleuses. »

Ma conclusion

L’invasion continue à faibles doses momentanément, mais régulières et comme les petits ruisseaux font de grandes rivières, si cela se poursuit à ce rythme, d’ici trois décennies l’Europe sera africanisée, arabisée et islamisée. Une question me turlupine : pourquoi seule l’Europe, cette Europe, qui s’est forgée au fil des siècles, blanche, de foi chrétienne, aux valeurs judéo-chrétiennes, et de culture gréco-latine doit-elle disparaître d’ici une trentaine d’années en se diluant dans un melting-pot où les Européens de souche seront minoritaires, jusqu’à leur extinction finale ? Les Européens de souche sont-ils sur le point de devenir une espèce humaine en voie de disparition ? Même les écolos, pourtant auto-proclamés protecteurs des espèces en voie de disparition, soutiennent les fossoyeurs de l’Europe dans leur projet d’extermination des peuples européens. A quoi rime une Europe sans les Européens, une Afrique sans les Africains, une Asie sans les Asiatiques ? La diversité est belle, mais non l’uniformité, à laquelle les globalistes veulent aboutir. L’Europe est riche de sa diversité européenne. Nul besoin d’y apporter une diversité extra-européenne massive.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

. Il Giornale.it

. Cinque bugie in una sentenza. L’impunià oggi è umanitaria.

. L’ira della Gdf contro la toga : Noi rischiamo la vita e Carola passa da eroina.

. Le ONG cavalcano la sentenza : Agiremo comme la Seat Watch.

. La Spagna diffida Open Arms nel silenzio dell’Europa.

. E Alan Kurdi ne salva 65 al largo della costa libica.

. Sea watch, Anm: Fuori da.

. lla constituzione riforma che allinea toghe.

. C’é offensiva estiva delle ONG, blindiamo anche confini a l’Est.

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