Publié par Jean-Patrick Grumberg le 9 juillet 2019

De passage en Europe, je me suis rendu à la marche des fiertés qui se tenait à Genève samedi 6 juillet dernier.

Je n’y étais pas en tant que participant, car je ne suis pas homosexuel, mais comme journaliste. Et ce que j’ai vu m’a surpris parce que cela sonnait faux. Le défilé a rassemblé 35 000 personnes rapporte la presse.

1 – Pourquoi “fierté” ?

A cause du terrorisme culturel imposé par une certaine classe journalistique, il est devenu interdit de s’exprimer librement, de dire ce qu’on pense, de tout ce qui touche aux LGBTQRSTUV…

Mais je suis un homme libre et j’ai le cuir épais : rien ne me fait peur, surtout pas d’exprimer mon opinion. La voici.

Les médias tentent de nous faire croire que si l’on critique, conteste, s’oppose, aux idées poussées par les homosexuels, on est homophobe. Foutaises !

  1. Il n’y a aucune honte à être homosexuel.
  2. Donc il n’y a, en corollaire, aucune fierté à l’être.

Marche des “fiertés” est donc une anomalie.

2 – 35 000 personnes, mais qui sont-elles ?

J’ai interrogé des participants, j’ai parlé avec des journalistes, j’ai discuté avec des Genevois, et mon impression a été confirmée par les interviews que j’ai pu lire ici et là dans les médias suisses, comme sur 20 minutes : la majorité des manifestants étaient français.

3 – La maire ne devrait-elle pas afficher sa neutralité ?

La maire de Genève, Sandrine Salerno (extrême gauche) a pavoisé avec les drapeaux LGBT tout au long du pont du Mont Blanc. Est-ce bien sa place, elle qui ne se montre pas lors des manifestations de conservateurs ?

4 – Lutte pour les droits ? Quelle lutte ? Quels droits ?

Il y a bien longtemps que les homosexuels sont parfaitement intégrés dans la société – ce n’est pas le cas dans les pays musulmans. Ils ont le droit de se marier, d’adopter des enfants, de se pacser et j’en passe. Quels droits réclament-ils encore ? Des discriminations ? Où ?

5 – Banalisation, prosélytisme

Tout ce battage est en réalité destiné à normaliser, banaliser, l’homosexualité auprès des jeunes. Retenez bien ce que je vous dis : c’est ainsi que la gauche fait avancer ses idées les plus extrêmes, à coup de boutoir, en repoussant constamment les limites culturelles, pour lentement faire accepter ce qui était encore récemment à la frange.

Redisons-le encore et encore : il n’y a aucune honte à être homosexuel, et l’homosexualité n’est pas la norme, ce n’est pas banal, ce n’est pas rien, c’est une exception de la nature humaine.

La nature humaine, c’est un homme, une femme, qui font des enfants, lesquels auront des enfants, et cela fonctionne ainsi depuis des milliers d’années.

L’homosexualité ne doit pas être banalisée, considérée comme normale. Les marches des Fiertés ne servent qu’à cela. Le militantisme pour les droits ne sert qu’à cela. Et pour preuve, vous n’entendrez jamais les médias dénoncer l’identité d’origine de ceux qui agressent les homosexuels.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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