Après la victoire des Américaines en finale de la coupe du monde, des critiques ont été adressées à l’équipe pour son manque de diversité. Gilles-William Goldnadel y voit un symptôme des excès de l’antiracisme.
On pourrait croire à un fake ou à une farce. On pourrait plaider la dérive du Monde ou la folie du monde. Y déceler de l’indigénisme ou de l’indigence. Nous y verrons en toute certitude le symptôme le plus caricatural de la maladie névrotique du temps médiatique.
Retour d’abord sur ce cas d’école de l’idéologie antiraciste dévoyée.
Tout d’abord, et dans les colonnes d’un journal d’un pays qui proscrit, paraît-il, les statistiques ethniques, un décompte d’apothicaire: «mais une image restera aussi collée à cette formation qui affronte les Pays-Bas en finale. Celle d’un groupe de jeunes femmes, majoritairement blanches, et donc partiellement représentatif d’un pays qui compte 18 % de Latinos, 12 % d’Afro-Américains et 5,6 % de personnes d’origine asiatique. Sur les 23 sélectionnées dans l’équipe américaine, cinq sont certes afro-américaines ou métisses, un chiffre qui, en proportion semble élevé mais qui n’apparaît guère sur le terrain, où, à l’exception notable de la défenseuse Crystal Dunn, l’écrasante majorité des titulaires régulières sont les joueuses blanches.». Le compte y est donc, mais ça ne vaut pas.
Cette majorité blanche offense d’autant plus la journaliste que l’équipe féminine paraissait auréolée de tous les tropismes idéologiques vertueux. C’est ainsi que la milieu de terrain Megan Rapinoe faisait montre d’un anti-trumpisme ostentatoire d’excellent aloi.
Cette blancheur majoritaire, donc excessive, paraît «d’autant plus étonnante que cette équipe, conquérante, triple championne du monde et quadruple championne olympique, est devenue aux États-Unis le symbole de la défense des minorités sexuelles et de l’égalité des droits entre les hommes et les femmes.»
Et au-delà de ce féminisme, l’homophilie y est également de rigueur: «la star Mégan Rapinoe, homosexuelle affichée depuis 2012, défend les droits de la communauté LGBT et a récemment affirmé: «vous ne pouvez pas gagner sans les gays dans votre équipe.» …
Las, en dépit de ces qualités indispensables, le bonheur de la journaliste était assombri: les blancs étaient majoritaires…
Ce défilé de poncifs qui coche toutes les cases des stéréotypes idéologiques du moment est emblématique à trois niveaux.
Au sommet de la construction, cette obsession pathologique de la couleur de peau et de la différence, qui fait que de manière compulsive, on se met à compter les têtes en fonction de la race. Avec la même logique, on se demande pour quelles raisons la journaliste ne s’est pas livrée à un comptage des homosexuelles assumées au sein de l’équipe qui aurait pu utilement renseigner sur l’état de l’homophobie en milieu sportif…
Au rez-de-chaussée de l’édifice, une xénophilie extrême qui n’est que l’autre versant de ce racisme anti-blanc qui n’existe pas. Dans un pays comme les États-Unis, où les blancs demeurent majoritaires, le fait qu’ils le demeurent dans une équipe adulée est donc considéré comme offensant pour les minorités.
Mais c’est paradoxalement au sous-sol que l’article est le plus visiblement éclairant. Il faut se souvenir en effet que c’est le même journal qui morigéna Alain Finkielkraut pour s’être étonné du nombre de noirs dans une équipe de football d’une France majoritairement blanche. Finkielkraut mit du temps avant de se remettre de la bronca qu’il reçut ce jour-là.
De même, mon imagination est impuissante à décrire la réaction du journal du soir, si un beau matin, me prenait l’idée de considérer qu’il y a trop de noirs dans l’équipe de basket-ball olympique américaine. Ou que je vins à m’étonner de la sous-représentation des blancs parmi les sprinteurs.
Mon compte serait bon. Autrement dit mauvais.
On voit bien où je veux en venir: l’antiracisme devenu fou incarne une schizophrénie chromatique de la pensée: vous trouvez qu’il y a trop de blancs de peau, votre esprit est blanc comme neige. Vous considérez qu’il y a trop de noirs, votre âme l’est tout autant.
Jusqu’à quel sous-sol de l’obsession racialiste et de l’anti-occidentalisme bêtifiant certains vont-ils descendre?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié dans Figaro Vox.
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Je n’ai jamais compris cette obsession de la couleur de peau… ce qui me fait vivre, ce n’est pas ma peau, ni sa texture, ni sa couleur, ce qui me fait vivre c’est le sang qui coule dans mes veines, et ce sang, pour tout un chacun, est ROUGE ! A mon avis, les gens qui s’arrêtent à la couleur de la peau, sont mal dans leur propre peau et devraient réfléchir, se remettre en question. Peut-être le Créateur nous a-t-il différenciés pour nous apprendre à regarder l’autre dans les yeux et à nous aimer avec notre coeur dans lequel coule la même couleur de sang ! Frères humains du monde entier, je vous aime… même si je ne suis pas toujours du même avis que vous ! Fraternellement.
rapinoe pourrait la fermer car sa remplaçante Christen Press est beaucoup plus jolie qu’elle avec ses yeux en amande et en plus elle a marqué le premier but de USA/ Angleterre
c’est vrai aussi que dans les équipes de basket … il y a trop de noir … si il faut faire de la discrimination alors il faut le faire dans les 2 sens
michel Boissonneau : Bien vu !!!!
Absolument. Et dans l’équipe du Cameroun y’a pas de blanche c’est un scandale ! Mais jusqu’où ira la co….ie de ces supposés antiracistes qui ne sont que des suprémacistes gris-noirs
Vous voulez rigoler un bon coup, équipe de foot de Châteauroux :
https://www.francebleu.fr/infos/societe/propos-racistes-sur-facebook-la-berrichonne-football-envisage-de-porter-plainte-1562333136?utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR2VBP-4KicJv5wxkzOoXnN9v5dUf2TIRAtpq_zWhpiG9plBF4_fVFSKv0A#Echobox=1562341349
Donc, résumons nous… Pour être appréciées des journalistes, il faut pour les joueuses:être championnes du monde, majoritairement de couleur ou métissées, avec un nombre significatif de lesbiennes et/ou transgenre, si possible anti-Trump et pro-palestiniennes, raisonnablement antisémites. Cerise sur le gâteau:musulmanes welcome et burkifoot. Ouahhhh,….. les journalistes, comme Villeret dans le dîner de cons ont “une belle tête de champions du monde”.
J’oubliais:personne n’a parlé du principe de parité homme/femme dans cette équipe, complètement piétiné, c’est inadmissible !!! Ah oui, c’est vrai, c’est du foot féminin!!!Je me disais aussi…..
Sûr que si l’équipe des USA était intégralement composée de noires (à la rigueur latinos) musulmanes voilées et homosexuelles (oxymoresque, pensez-vous? pas pour les gauchistes, qu’aucune ineptie n’arrête), le torchon du soir louerait sa formidable et prodigieuse diversité multiculturelle.
C’est à ce genre de raisonnements double standard que l’on voit que les théories des gauchistes sont grotesques, aberrantes et frappées au coin de la stupidité.
Ce qui est incompréhensible, c’est qu’on donne autant de tribune et de poids à ces imbéciles, en les traitant avec sérieux au lieu de leur rire au nez. Il faut dire qu’ils ont de sacrés complices parmi les journalistes.
Je ne les supporte plus. S’ils pouvaient se suicider, ça nous ferait tous du bien.
j’imagine le torchon du soir parlant de l’équipe de France battue par des Suédoises plus blondes les unes que les autres , ou encore des Anglaises aux joues roses , des Américaines bien blanches ou encore les Hollandaises ;
Ces équipes n’ont t’elles aucun respect pour le multiculturalisme et son enrichissement?
L èquipe des lions indomptables il y a
que des noirs camerounais , c est pas
claire tout ça .
Le cyclisme un sport bien raciste , en
plus il font le tour de France. Avec les
gauchocrasses qui accélère le processus
migratoire on aura le Paris Dakar en
restant en france , de plus il faudra des
castings pour les sports collectifs , et
bientôt les gauchocrasses reprocheront
a Didier Deschamps de pas avoir de
footballeuses dans son équipe au nom
de légalité homme/ femme
Vous êtes déjà en retard, l’inénarrable Ségolène Royal a déjà exigé des équipes mixtes.
Je trouve tout cela pathétique ; il faut arrêter “d’emmerder” le monde avec la couleur de peau ça devient lamantable ……..La gauchiasse n’à pas finie de nous pourrir l’existence .
Si nous laissons faire la “gauchiasse” dans moins de 10 ans la France sera devenue invivable ………..Quoi que , elle commence a l’être !!!!
Stupide, lamentable et creux, vous avez totalement raison M. Goldanel, surtout que de tels propos sont vides de sens et n’apportent absolument rien si ce n’est de la haine.
Décadence de la Société accompagnée par des médias de plus en plus profanes.
Je me demande comment ces abrutis peuvent encore supporter de se voir dans un miroir. Tout ce blanc…
Le monde est fou.
Il faudrait pouvoir appuyer sur “delete” et ensuite repartir de zéro, en étant un peu plus sélectifs.
Donc, il ne reste plus qu’à recruter des unijambistes bronzées, et là, ce sera parfait.
il y a une coupe d Afrique oui ou non ????? donc retour au BLED avec leur conne de blonde et bon voyage les NANAS blanche
Quel foutoir ce multicul-lgbt !
et bon il y a une lesbienne (la capitaine) mais pas d’handicapée, pas de transgenre, pas d’amérindienne ni d’asiatique, pas de joueuse agée, pas de grosse, bref cette équipe n’est pas politiquement correcte!
à l’évidence cette équipe n’est pas politiquement correcte, il y a une homosexuelle avouée, mais pas de transsexuelle, ni de transgenre, pas d’amérindienne ni d’asiatique, pas d’handicapée, pas de grosse, pas de dame agée,
Je suis étonné que cet article du Monde choque autant de gens. Ne savent-ils pas que ce journal, qui fut à ses débuts le fleuron de la presse française est devenu au fil des décennies, suite à l’entrisme dans sa rédaction de gauchistes fanatisées, le plus infect torche-cul de notre pays.
La journaliste qui a pondu cet article coche toutes les cases de la bien-pensance actuelle. Si elle continue comme ça , elle aura de l’avancement.
Et dans l’équipe football national de française il y a trop de noir! On dit que c’est l’équipe Africaine.
que dire de l’équipe de franc où là il faut chercher les blancs
C’est intéressant de voir que la photographie de groupe de l’équipe américaine ci-dessus montre 8 femmes noires ou fort “foncées” sur 18. Comptez attentivement et faites-vous votre opinion. Nathan le Toqué