Des notes diplomatiques confidentielles transmises au journal The Mail On Sunday, montrant que l’ambassadeur britannique aux Etats-Unis Kim Darroch a une piètre opinion du Président Trump et de son administration, ont provoqué sa démission le 10 juillet.
Cette fuite de mémos diplomatiques insultants a mis dans l’embarras le ministère britannique des Affaires étrangères qui n’en a pas contesté la véracité.
Dans ces notes, Kim Darroch décrit Donald Trump comme étant « inepte », « instable » et « incompétent » et son administration comme étant dysfonctionnelle. C’est The Mail on Sunday qui les a publié. Ils couvrent une période commençant en 2017.
Kim Darroch a reçu le soutien de Theresa May ce qui a provoqué la colère du Président Trump.
Suite à l’annonce de la démission de Darroch, la Première Ministre a déclaré :
Mardi, l’ensemble du cabinet a, à juste titre, apporté tout son soutien à Sir Kim. Sir Kim a servi le Royaume-Uni toute sa vie et nous lui devons une énorme dette de gratitude.»
Le leader du Brexit Party, Nigel Farage, qui avait demandé la démission de Darroch après que ses opinions anti-Trump aient été connues, a déclaré mercredi que cette démission était la « bonne décision » et qu’il devrait être remplacé par un diplomate qui n’est pas favorable au maintien de la Grande-Bretagne dans l’Union européenne, et qui souhaite négocier un bon accord commercial avec les États-Unis.
Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de James Delingpole paru le 9 juillet (avant la démission de Darroch) sur le site de Breitbart.
****************
Trump a raison. L’ambassadeur Sir Kim « Stupide Guy » Darroch doit partir
Le président Trump a déclaré l’ambassadeur de la Grande-Bretagne à Washington, Sir Kim Darroch, persona non grata. Traduit du latin, cela signifie à peu près : « Fiche le camp, vermine. Tu n’es plus le bienvenu dans cette ville ».
Les médias britanniques ont réagi en déclarant la guerre à Trump. Comment le chef d’une puissance étrangère ose-t-il nous dire qui nous pouvons et ne pouvons pas choisir comme ambassadeur ?
Si vous êtes Américain, vous saurez exactement de quel côté vous êtes dans ce débat : Darroch a été pris en train de se moquer du Président dans une série de correspondances qui ont fuitées et il doit partir. Il est un obstacle à la relation spéciale entre les États-Unis et le Royaume Uni et son jugement est mauvais.
Si vous êtes un Britannique patriote, cependant, vous pouvez être tenté d’être loyal à la patrie avant tout. Les ambassadeurs sont censés être francs, n’est-ce pas, dans leurs communiqués privés ? Le vrai méchant ici, c’est bien celui qui a divulgué ces notes de service, empêchant Darroch de faire son travail et minant l’intégrité et l’efficacité du corps diplomatique britannique ?
C’est sans doute vrai.
Pour ma part, je suis absolument avec Trump. Darroch est un gêneur. Le plus tôt il sera renvoyé chez lui, le mieux ce sera. Et je n’accepte pas une seule seconde l’un ou l’autre de ces arguments farfelus pour sa défense, surtout parce que les gens qui les fabriquent font partie intégrante du problème.
Voici la réflexion sur Twitter du mollasson député conservateur Tom Tugendhat, qui se prend pour un vaillant chevalier se portant au secours de Darroch :
La divulgation de secrets diplomatiques est un crime et le fuiteur devrait être emprisonné ».
Lord Hague, l’ancien chef du parti conservateur, fait la même chose :
Notre homme à Washington faisait son travail, cette fuite est une disgrâce.»
Vous ne remarquez rien de louche ? Vous devriez. C’est l’Establishment britannique pourri qui défend les agents corrompus et inutiles dans ses propres rangs.
Ce que Hague et Tugendhat – deux Remainers, tout comme Darroch – disent, c’est que les gens ordinaires n’ont pas à connaître le fonctionnement interne du Foreign Office. Au lieu de cela, nous, les prolétaires, devons croire que les ambassadeurs représentant la Grande-Bretagne à l’étranger sont de braves gens sur lesquels nous pouvons compter pour agir au mieux de nos intérêts. Regardez le mot utilisé par Tugendhat pour décrire la fuite. Il parle d’un acte de « trahison ».
Sauf que ce n’est pas le cas. Celui qui a divulgué ces notes de service de mauvais goût, malencontreuses et partisanes a rendu un grand service à la Grande-Bretagne.
Il (ou elle) a mis en lumière une vérité concernant la fonction publique que l’Establishment aurait préféré maintenir dans l’ombre, à savoir : les fonctionnaires qui dirigent la Grande-Bretagne dans les coulisses ont cessé d’agir comme des fonctionnaires.
Au contraire – cela fait partie de l’héritage néfaste laissé par le dégoûtant Tony Blair – ils sont devenus des valets partisans qui ne croient plus que leur travail consiste à faire respecter la volonté de leur gouvernement élu et à servir les intérêts de la population qui paie les impôts. Ils croient avoir pris tellement d’importance, qu’ils s’imaginent que leur travail consiste à façonner la politique publique.
Sir Kim Darroch est un exemple particulièrement flagrant de cette tendance. En tant qu’ambassadeur aux États-Unis, vous aimeriez penser qu’il n’avait qu’une seule fonction : celle de faire en sorte que les choses aillent bien entre la Grande-Bretagne et son plus grand allié et partenaire commercial, les États-Unis.
Mais Darroch, de toute évidence, n’a pas vu les choses de cette façon.
Il n’a eu aucun problème à se faire tout sucre tout miel auprès du président Obama – le gars qui a retiré le buste de Churchill du Bureau ovale, n’a jamais pardonné à la Grande-Bretagne ce qu’il imaginait qu’elle avait fait à son grand-père au Kenya pendant la révolte des Mau-Mau, et qui a dit à la Grande-Bretagne qu’elle n’avait qu’à se mettre à la fin de la file si elle voulait négocier un accord commercial.
Pour le successeur d’Obama, cependant, Darroch semble n’avoir que du mépris.
Les discours de Trump, dit-il dans une note de service, sont « remplis de fausses affirmations ».
La Maison-Blanche sous Trump, dit-il, « n’aura jamais l’air compétent ».
Quant à la possibilité que Trump soit de connivence avec les Russes : « Le pire n’est pas à exclure ».
Pour être juste envers Darroch, ces opinions étaient et sont encore peu différentes de celles que l’on entend tout le temps à propos de Trump, tant dans la classe politique de Westminster, les médias britanniques que dans l’Establishment gauchiste en général.
Presque tout le monde dans l’élite gauchiste britannique est un Never Trumper convaincu.
Mais c’est exactement ce qui ne va pas avec les mémos de Darroch. Ce ne sont pas – contrairement à ce que nous assurent aujourd’hui les défenseurs de l’Establishment – les réflexions perspicaces, tranchantes et intrépides d’un initié de Washington qui est à l’écoute de ce qui s’y passe. Ce sont les gémissements douloureusement prévisibles d’une autre victime du Trump Derangement Syndrome qui aurait pu être des copiés-collés de n’importe quel sempiternel article anti-Trump paru dans la presse britannique.
Darroch, malgré sa position privilégiée d’ambassadeur du Royaume-Uni, ayant accès à tous les renseignements que le Secret Intelligence Service peut fournir, n’apporte rien de nouveau. Il régurgite les préjugés de l’élite gauchiste qui se révèlent tout à fait erronés – en tout cas en ce qui concerne les Russes.
On peut lire dans The Mail on Sunday du 7 juillet (un très beau scoop d’Isabel Oakeshott) la réflexion suivante de Darroch :
(…) Nous pourrions tout aussi bien être au début d’une spirale descendante, plutôt qu’au début d’une simple montagne russe : quelque chose pourrait émerger qui mènera à la honte et à la chute (NdT : de Trump) ».
Est-ce que cela ressemble à une brillante intuition, tandis que les Démocrates sont en train d’imploser et que Trump se présente de plus en plus capable d’obtenir un second mandat ?
Est-ce le genre d’expertise pour laquelle le contribuable finance le généreux salaire de l’ambassadeur et sa résidence luxueuse ?
Cela ne veut pas dire que le Président Trump est exempt de défauts. Juste que si vous représentez un pays que Trump prétend aimer et avec lequel il a envie de faire des affaires, vous ne servez pas vraiment votre cause si vous ne parvenez pas à voir le Président Trump autrement que comme un idiot tellement attardé que lorsque vous négociez avec lui « vous devez présenter des arguments simples et directs ».
La gauche libérale aime se moquer de l’idée – évoquée il y a quelque temps par Trump – que Nigel Farage ferait un grand ambassadeur à Washington.
En fait, Farage serait un choix sensé. Non seulement les deux hommes s’entendent bien, non seulement ils partagent les mêmes visions pour faire de leurs pays respectifs des pays grands et prospères, mais ils sont tous les deux heureux, libérés des ronds-de-jambe et des subtilités de la diplomatie. S’ils avaient l’opportunité de négocier un accord commercial – et plus encore – il y réussiraient en un tour de main.
Darroch, d’autre part, est clairement plus enclin à accentuer les points de divergence entre les États-Unis et le Royaume-Uni qu’il ne l’est à forger une meilleure relation spéciale.
Il a écrit dans une note du 10 juin :
Au fur et à mesure que nous progressons dans notre programme d’approfondissement et de renforcement des accords commerciaux, des divergences d’approche sur le changement climatique, la liberté des médias et la peine de mort pourraient se manifester.
Nous n’avons pas besoin de chercher loin pour trouver les opinions personnelles de Darroch sur ces questions parce qu’il les partage sur Twitter :
Rien n’est plus important pour l’avenir de notre planète que la lutte contre le changement climatique.
Vraiment ? Même si c’était vrai, depuis quand serait-ce l’affaire de Notre Homme à Washington ?
Comme le dit Richard Littlejohn :
Darroch n’est que trop typique de la clique anti-Brexit, anti-Trump, anti-démocratique qui infeste les échelons supérieurs de notre fonction publique. Ils prétendent représenter les meilleurs intérêts de la Grande-Bretagne, mais en réalité, leur seul but dans la vie est de protéger leurs propres positions privilégiées et d’imposer leur vision du monde partisane aux politiciens élus et aux électeurs.»
C’est exactement cela.
C’est pourquoi l’une des premières tâches du nouveau Premier ministre Boris Johnson – s’il a un peu de bon sens – devrait être de réformer en profondeur la fonction publique britannique, scandaleusement politisée et biaisée. Ces fonctionnaires sont censés être neutres et impartiaux, mais ils sont tout sauf neutres. Darroch – une Remainer passionné, violemment anti-Trump, s’accrochant à toutes les shibboleths de la gauche libérale sur des sujets tels que le changement climatique – n’est que la version britannique du Deep State retranché contre lequel Trump se bat à Washington.
Jetez-le dehors. Jetez-les tous dehors. On n’arrivera à rien tant qu’ils ne seront pas partis.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Traduction de Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
Sources :
- https://www.breitbart.com/politics/2019/07/09/delingpole-trump-is-right-ambassador-sir-kim-stupid-guy-darroch-must-go/
- https://www.breitbart.com/europe/2019/07/10/british-ambassador-to-washington-sir-kim-darroch-quits-after-anti-trump-comments-leaked/
- https://www.breitbart.com/europe/2019/07/10/british-ambassador-to-washington-sir-kim-darroch-quits-after-anti-trump-comments-leaked/
L’ambassadeur va se retrouver muté au cimetière des éléphants.
Il aura le temps plus que nécessaire pour relire ses notes secrètes et pour regarder passer les trains.
Quand on est fonctionnaire d’État, on sert son pays en toute loyauté.
Mr Kim Darroch aurait dû démissionner, expliquer à son ministre de tutelle qu’au nom de ses valeurs d’homme de gauche, il lui était impossible d’assumer ses fonctions à Washington.
“Les médias britanniques ont réagi en déclarant la guerre à Trump. Comment le chef d’une puissance étrangère ose-t-il nous dire qui nous pouvons et ne pouvons pas choisir comme ambassadeur ?”
D’entrée de jeu, deux âneries de la part des médias britanniques dont l’ignorance le dispute à l’arrogance.
(1) Il y a longtemps qu’ils ont “déclaré la guerre à Trump” – en fait, depuis 2016 – obéissant ainsi au mot d’ordre donné à l’ensemble de la presse européenne. La même qui crucifie Tommy Robinson depuis quelque 15 ans.
(2) Un pays hôte n’est pas plus contraint d’accepter la nomination, ou la prolongation du séjour d’un ambassadeur qu’il juge nuisible à ses intérêts – à charge de revanche, bien entendu – que d’accueillir sur son sol tout individu qu’il juge indésirable.
Il peut soit demander qu’un autre candidat remplace l’ambassadeur dont le nom lui a été communiqué par le gouvernement allié avant même son arrivée dans le pays d’accueil ; soit exiger son rappel – voire le reconduire manu military à la frontière – lorsque l’ambassadeur en poste a trahi sa mission et commis une faute grave, par exemple en faisant montre d’hostilité envers le gouvernement hôte.
SE Darroch tombe dans la seconde catégorie et devrait se considérer comme bien heureux qu’on lui ait permis de démissionner au lieu d’être expulsé. Bon débarras, good riddance to bad rubbish!
Ce darroch à la noix est typique des gauchoistes c’est surftout ça qui est grave: stupide, grossier, arrogant, ignorant et se croyant tout permis parce qu’il est de goooooche de m. Le président Trump a bien fait de lui indiquer la sortie. TRUMP FOR PRESIDENT.
Certains points m’échappent. Les fonctionnaires sont sensés être neutres mais est-ce le cas des ambassadeurs ? Ces gens représentent le gouvernement qui les nomme et ce monsieur n’a fait qu’exprimer (d’une facon qu’il aurait du garder pour lui, c’est ce qu’on attend d’une personne sensée être diplomate) le point de vue de son employeur britannique. Le fond du problème n’est-il pas que le gouvernement britannique, progressiste et anti Trump, fait fausse route et qu’il est temps que le RU se décide à honorer le vote Brexit ?
Vous avez raison, d’une certaine façon, mais ici le problème est bien plus prosaïque : un ambassadeur, qui représente son pays mais en même temps est accueilli à temps plein par le pays où il est nommé, se doit d’avoir un minimum de politesse envers ses hôtes, et cela même s’il peut lui arriver, au nom du gouvernement qui l’emploie, d’exprimer des divergences de vue avec le pays où il officie. C’est, dit-on, tout l’art de la diplomatie…
Là, cet ambassadeur a tout simplement dépassé les bornes de l’impolitesse et de l’irrespect, et Trump a tout à fait raison de lui demander de partir.
Je note au passage que May ne s’est une fois de plus pas distinguée par la dignité qui devrait être celle du dirigeant d’un pays allié.
Sur le fond, la Grande-Bbretagne est dans un état qu n’a pas grand-chose à envier à la France… à moins qu’enfin un Boris Johnson soit élu et réalise le Brexit, ce qui serait un pas dans la bonne direction. Le problème, c’est que comme le relève l’article, il aurait manifestement à faire face au même genre d’opposition que Trump dans son pays.
La gauche stupide et malfaisante soutenue par les mus est malheuresement devenue trés puissante. Il faudra un cataclysme probablement économique pour qu’elle chute. Là on pourra dire qu’à quelque chose malheur est bon.
Le problème, c’est qu’il a exprimé des opinions gratuites dans un câble professionnel. Il a tout à fait le droit d’exprimer des opinions personnelles dans le cadre privé, mais dans son travail, il faut qu’il s’en tienne aux faits, et des opinions négatives et des accusations sans preuves contre le président Trump, ce n’est pas du tout professionnel et c’est même une faute lourde de la part d’un ambassadeur.
Par exemple, il dit que le président Trump a été élu grâce à l’ingérence de la Russie dans les élections de 2016 alors que le rapport Müller a établi que ce n’est pas le cas.
Ce monsieur n’a donc pas respecté la déontologie dans ses fonctions, et il fallait qu’il soit limogé d’urgence.
@ Jacques Ady et Californienne
Je comprends parfaitement la colère de Trump et le limogeage. Ce qui me choque et m’effraie, c’est la fange dans laquelle le gouvernement britannique est tombé car il a, en plus de l’irresponsabilité coupable d’être un mauvais allié (comme la France et une bonne partie de l”Europe de l’ouest), eu l’impudeur de soutenir son ambassadeur. Autrement dit, un autre plus diplomate le remplacera, mais le fond du problème demeurera tant qu’on aura des progressistes criminels pouvoir.
Theresa May n’a plus rien à perdre donc elle s’est permis de soutenir l’ambassadeur qui est anti-Trump, anti-populiste et pro-UE comme elle.
Heureusement qu’il y a encore des gens comme Nigel Farage au RU, et il semblerait que le vent tourne puisque son parti a mis la pâtée au parti de May aux Européennes (c’est d’ailleurs pour ça qu’elle a démissionné).
Sinon, vous avez raison, tous ces fonctionnaires et politiciens de carrière ont créé une fange dans laquelle tous les pays occidentaux sont enlisés.
Ah bon, le gouvernement de GB à savoir T.May pense que le président Trump est une m.? c’est nouveau… darroch est une m. pesrsonne d’autre.
Un diplomate est tenu à un devoir de réserve. Qu’il se soit fait virer en si peu de temps sans aucune contestation d cela part du gouvernement britannique signifie qu’il a commis une faute grave et qu’il avait failli à sa fonction: défendre les intérêts britanniques tout en respectant le pays d’accueil. Il va très probablement être mis à la retraite ou alors, vu son statut, être payé à ne rien faire.
Delingpole a réagi à la démission de Sir Kim Darroch. Il estime que pour l’empêcher de nuire, les Brits devraient l’envoyer représenter la GB au consulat de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso!
Pour qui se prend-il ce petit ambassadeur à la noix pour se moquer du Président Trump qui réussit tout alors que les gauchistes de m. tels que lui sont des ratés? même les britanniques cnservatezurs ou simplement intelligents ne peuvent pas soutenir ce stupide merdeux grossier de surcroit? cerlui qui l’a dénoncé a bien fait il fallait quj’il foute le camp. Le prochain fermera sa stupide g.
Ce Kim est un con et un nul et si la presse britannique le soutient, c’est qu’elle est encore plus conne que lui. Pas très Gentlemen ce Kim-con.
J’aimerais connaître les destinataires de ces câbles et savoir leur réaction à leur lecture.
Ce serait intéressant de découvrir à quel point la diplomatie britannique est aux mains de globalistes qui ont tourné le dos à leur propre pays.
J’espère qu’avec un changement de gouvernement, nous assisterons à un nettoyage diplomatique. Mais pour cela il faut un Boris Johnson et surtout pas Hunt la girouette.
Bonjour Christopher.dee:
D’après ce que je peux voir dans l’article du Mail on Sunday (https://www.dailymail.co.uk/news/article-7220335/Britains-man-says-Trump-inept-Cables-ambassador-say-dysfunctional.html , il s’agit d’une série de mémos (courriels) et de télégrammes secrets envoyés à Downing Street à Londres.
D’ailleurs le Foreign Office enquête sur le/la fuiteur probablement un fonctionnaire pro-Brexit qui ne porte pas Sir Kim dans son cœur!
Ce ne serait pas la première fois qu’en Angleterre on fustige ceux qui lancent les alertes et qu’on laisse tranquille les vrais criminels. L’affaire des e-mails du “climategate” en est un exemple flagrant, les e-mails étaient explosifs, mais on à préféré s’attaquer à ceux qui les ont mis au jour et pour finir ce n’est plus que ce problème qui était invoqué, les faussaires et tricheurs reconnaissant leur manipulations dans ces e-mail ont tous continué leur carrière comme si de rien n’était, normal ils bossent pour l’ONU et les écotaxes servant à renflouer des finances laissées en friche par la très gourmande classe politique. On les protège comme la prunelle de nos yeux, ils “rapportent” plus que ce l’on investit en fausse science. BINGO!!!!