Publié par Rosaly le 12 juillet 2019

Le courageux Tommy Robinson est à nouveau reconnu coupable d’outrage à la justice et risque 2 ans de prison ferme. Deux juges britanniques l’ont ainsi décidé.

Pour ces juges dhimmis, Tommy Robinson représente ce que l’Establishment exècre le plus : il est patriote, aime son pays, dénonce sans arrêt son islamisation galopante et, délit impardonnable, il a eu le cran d’attirer l’attention des Britanniques sur les viols de milliers de fillettes et jeunes filles blanches issues le plus souvent de la classe ouvrière par d’immondes prédateurs sexuels musulmans et ce en toute impunité pendant plusieurs années. Vu l’origine ethnique des violeurs, adeptes de la belle religion si encensée par l’Establishment, les autorités fermaient pudiquement leurs yeux sur cette horreur par crainte d’être taxés de racisme et d’islamophobie. Interdire toute critique de l’islam et des musulmans a conduit de milliers de fonctionnaires britanniques à détourner les yeux des crimes odieux dont étaient victimes les enfants de leurs concitoyens .

En Italie, une juge a pris la décision inique de libérer la capitaine du Sea Watch 3, coupable d’avoir violé les lois d’un état souverain et éperonné une vedette de la Guardia di Finanze, faisant d’elle une héroïne internationale et même, s’inspirant de la mythologie grecque, une Antigone des temps modernes selon certains apologistes de l’immigration musulmane de masse. L’Antigone de Sophocle fait la différence entre la loi écrite (la loi de Créon, le tyran borné) et la loi non-écrite (celle des dieux). Remplie de compassion pour son défunt frère Polynice, déclaré ennemi de la nation, elle décide de lui rendre les honneurs funèbres en violation des lois de son oncle Creon, le roi de Thèbes. Elle paiera sa désobéissance de sa vie. En quoi Carola est-elle une Antigone? Elle n’a mené aucune lutte héroïque, elle ne s’est opposée à aucun tyran, elle a délibérément enfreint les lois d’un pays et mis en danger la vie de 5 personnes et cela sans aucun regret. Elle a “sauvé des vies” et cela justifie ses actes, tous ces actes.

Elle devrait répondre de ces faits devant la justice. Mais la follie des progressistes n’a pas de limite. Le prix Nobel de littérature  Vargas Llosa a récemment déclaré à la Repubblica que Carola devrait recevoir le Prix Nobel de la Paix pour avoir désobéi à des lois stupides et inhumaines et avoir combattu le néofascisme d’un Vice-Ministre de la Lega ! Elle va être en concurrence avec la petite Greta Thunberg, la grande prêtresse de la lutte contre le réchauffement climatique, aussi promue au rang d’héroïne internationale par l’Establisment .

A chacun son héroïne !

D’un côté, la justice condamne un homme dont le seul tort est de défendre son pays et ses concitoyens, de l’autre la justice libère une femme coupable d’avoir violé les lois d’un pays et mis en danger de la vie d’autrui. Tommy est détesté par l’Establishment, Carola est adulée et portée aux nues.

A se demander si le mot « justice » a encore un sens aujourd’hui !

Procès après procès, arrestation après arrestation, emprisonnement après emprisonnement, reportages malhonnêtes après reportages malhonnêtes, les misérables qui composent l’Establishment britannique transforment progressivement Tommy Robinson, un père de famille de Luton, en un symbole éternel de la ténacité tranquille, du courage indomptable et de l’amour de la liberté, toutes ces vertus, autrefois sujets de fierté de la Grande Bretagne. Ces valeurs britanniques si admirées par le passé ont aujourd’hui été honteusement bafouées par l’Establishment dans le but de faire progresser l’islamisation de celle qui fut une grande nation.

Ceux qui suivirent de près les traitements dégradants infligés à Tommy par les tribunaux britanniques ces deux dernières années et prirent connaissance des accusations portées contre lui furent révoltés par ce pouvoir judiciaire, engagé non à rendre la justice mais à réduire au silence, et si possible par la destruction physique, ce Jérémie du XXIe siècle. Le verdict rendu vendredi dernier après un procès de deux jours fut tout simplement scandaleux.

Ce procès fut une nouvelle audition de l’affaire qui conduisit l’année dernière Tommy en prison, en isolement cellulaire, en violation flagrante de la Convention de Genève, une épreuve d’où il ressortit après deux mois physiquement et psychologiquement brisé.

Les charges à son encontre étaient ridicules : arrêté près du palais de justice de Leeds où il réalisait un reportage sur le procès d’un gang des violeurs musulmans qui s’y déroulait, il fut poursuivi pour avoir diffusé en direct sur internet des images de prévenus, lors d’un procès faisant l’objet de restrictions de couverture. Tommy se filmait en direct depuis l’extérieur du bâtiment, comme n’importe quel autre journaliste aurait pu le faire.

Il ne dit rien, ne fit rien de répréhensible, mais fut arrêté au motif que son reportage dans la rue avait en quelque sorte porté préjudice au procès en cours à l’ intérieur du bâtiment et fut accusé d’outrage au tribunal.

La rapidité avec laquelle il fut jugé et incarcéré après son arrestation à Leeds, en moins de deux heures, scandalisa les observateurs qui croyaient encore que la justice britannique était sérieuse et digne de respect. Il bénéficia d’une libération après deux mois d’incarcération, grâce à l’intervention du « Lord Chief Justice of England and Wales » qui à la suite d’une décision exceptionnelle déclara que la procédure judiciaire à son encontre était illégitime à plusieurs égards et ordonna sa remise en liberté immédiate.

Cette étincelle d’équité de la part du « Chief of Justice » laissa espérer à certains de ses soutiens que Tommy pourrait peut-être finalement obtenir quelque chose qui ressemble à une parcelle de justice. Hélas, c’était oublier la haine vouée à Tommy, le lépreux, par le noble Establishment britannique, le camp du Bien. Et contrairement aux attentes, un nouveau procès basé sur les mêmes ridicules allégations eut lieu la semaine dernière au « Old Bailey » à Londres. (Cour centrale de la Couronne britannique, chargée de traiter les principaux cas criminels de la Grande Londres.)

La faiblesse des accusations à l’encontre de Tommy était flagrante.

Ezra Levant – avocat, militant contre l’islamisation du Canada, auteur d’un best seller intitulé «  Shakedown: Comment notre gouvernement mine la démocratie au nom des droits de l’homme. » et de « Ennemy within » l’ennemi de l’intérieur, co-animateur du média télévisé « The Rebel » soutien de Tommy Robinson, fut élu à une écrasante majorité lors d’une enquête menée par le Hill Times auprès du personnel du Parliament Hill, « l’homme que l’on aimerait faire taire » – déclara sur You Tube “que ce à quoi il avait assisté ressemblait à un simulacre de procès, comme il n’avait jamais vu auparavant dans une démocratie occidentale. » La démocratie occidentale se pare de plus en plus du rouge de la dictature communiste et du vert-gris de la tyrannie nazie.

Il ajouta : “j’avais déjà exprimé ce point de vue précédemment dans plusieurs de mes articles. Si cet harcèlement juridique sans fin se passait en Russie, les organisations internationales de Défense des Droits de l’Homme hurleraient sur tous les toits qu’il s’agissait clairement là de poursuites judiciaires politiques dignes de régimes dictatoriaux. » Silence total de ces mêmes organisations à l’égard de l’injustice judiciaire dont est victime Tommy Robinson. Révoltant !

Vendredi à midi, Ezra Levant se montra toutefois légèrement optimiste : “la première journée et demi du procès prouva si clairement toute la faiblesse de l’accusation qu’une condamnation paraissait inconcevable. »

Hélas, à la fin de la journée, ce fut la douche glaciale. Les juges, Lady Victoria Sharp et Sir Mark Warby (qui porte le titre de l’Honorable Mr. Justice Warby – au diable ces titres pompeux) jugèrent Tommy coupable d’outrage envers la justice et passible d’une peine de prison ferme de deux ans.

Les prisons britanniques, comme ailleurs en Occident, sont majoritairement peuplées de pieux fidèles d’Allah, dès lors cette condamnation inique est une mise en danger volontaire de la vie d’autrui. Ces deux juges portent là une bien lourde responsabilité.

En rendant compte du verdict, les journalistes de la cour britannique – qui font tous les jours exactement ce pour quoi Tommy avait été et vient d’être condamné – pouvaient à peine contenir leur joie et leur satisfaction. Les pauvres sombres idiots !

Tommy s’était confronté aux juges, aux députés, aux journalistes, aux professeurs, aux chefs de police, aux hauts fonctionnaires, tous ces gens qui dirigent cette île en déliquescence, qu’ils s’évertuent à faire totalement disparaître au nom des Droits de l’Homme et du chimérique « vivre ensemble ». Hélas, en dépit du soutien d’une partie sans cesse croissante du peuple britannique et de certains juges, Tommy semble avoir perdu sa bataille.

Mais ces juges dhimmis et leur réseau d’acolytes et de complices dans les milieux politiques, culturels, universitaires et médiatiques sont en fait des imbéciles s’ils pensent avoir gagné. Grâce à leur sotte suffisance, leur friponnerie, leur couardise, Tommy, pas à pas, injustice après injustice, est en train de devenir une figure historique mondiale, un symbole vivant de la détermination des peuples occidentaux à préserver leur liberté, leur civilisation face à une élite arrogante et veule, qui a clairement décidé de soutenir et de gérer son asservissement progressif à une tyrannie étrangère.

Mais Tommy est notre Nelson Mandela ou notre John Brown, sans le sang sur les mains, il est notre Churchill, qui dans la sauvagerie des années trente tirait la sonnette d’alarme contre la menace imminente, à l’exception du fait que Churchill avait une tribune à Westminster, tandis que Tommy va sans doute une fois de plus être incarcéré.

Rosa Parks devint immortelle pour avoir refusé un jour de s’asseoir à l’arrière d’un bus. Tommy risque chaque jour bien pire et ne dispose pas du soutien et des ressources d’une puissante organisation comme la NAACP (La National Association for the Advancement of Colored People, une organisation américaine de défense des droits civiques). Rosa Parks était le visage d’une cause entièrement approuvée par les médias. Aujourd’hui, les médias voient en Tommy une menace existentielle des structures du pouvoir dont ils font partie et le traitent avec une malhonnêteté constante et un mépris écœurant.

Vendredi soir, après l’énoncé du verdict, Valérie Price, qui dirige « Act for Canada » et qui suivit également le procès, écrivit sur sa page FB : « Je crains que si la Couronne le renvoie en prison, ce sera l’étincelle qui enflammera une guerre des classes ». Le peuple honni, méprisé, ces « déplorables » contre l’Establishment arrogant, plein de suffisance, mais si stupide, si aveugle, si veule qu’il refuse de voir ce qui devient pourtant de plus en plus visible à l’oeil nu.

 Le lendemain, Valérie Price précisa sa pensée dans un message personnel : « après ce verdict injuste, la foule à l’extérieur en colère était prête à « prendre d’assaut la Bastille » anglaise. Je ne suis pas tout à fait certaine qu’il soit sage de ma part de le dire, mais j’espère que si Tommy est envoyé en prison, ses partisans jetteront leur retenue proverbiale dans les toilettes et, pour juste une fois, agiront comme le peuple français le fit au XVIII e siècle. Ce sera peut-être la seule chose qui fera réagir les apathiques, turpides voyous de Westminster et peut-être inciter Sa Majesté à lever les yeux au-delà de sa tasse de thé. »

Au cours de ces dernières années, Tommy n’a pas cessé d’avertir ses concitoyens du sort funeste qui attend leur pays. S’il existait la moindre possibilité de sauver la Grande-Bretagne, la première décision serait d’organiser une élection générale, qui reléguerait les grands partis traditionnels dans les oubliettes de l’histoire et installer à leur place un gouvernement qui représenterait réellement le peuple, serait prêt à agir conformément à la volonté du peuple britannique et traiterait Tommy Robinson non avec condescendance et mépris, mais avec tout le respect qui lui est dû.

Et nous saurions que la Grande Bretagne est sur la bonne voie, le jour où un Premier Ministre conseillera à la Reine d’accorder le titre de Chevalier à Tommy Robinson.

Puisse ce projet se réaliser au plus tôt. Cela donnerait du courage aux autres pays européens embourbés dans la même dhimmitude imposée par le même Establishment veule, stupide bouffi de suffisance, persuadé de savoir ce qui est bien pour le peuple.

En 2018, l’injustice flagrante dont fut victime Tommy attira l’attention de la droite alternative américaine (alt-right) et même de Donald Trump Jr. qui lui avait apporté son soutien.

Aujourd’hui désespéré, terriblement angoissé par un retour possible en prison, d’où il craint de ne pas en ressortir vivant, Tommy a demandé l’asile politique en urgence aux USA pour lui et sa famille.

« Je crois que d’ici peu , je serai envoyé en prison pour y être assassiné par un gouvernement qui s’oppose et nous a déjà ôté notre liberté.”

« La liberté d’expression au Royaume-Uni a disparu, notre liberté de presse a disparu et tous les médias traditionnels s’en réjouissent. »

Il s’est exprimé lors d’une entrevue accordée au site d’information conservateur The Gateway Pundit

Le gouvernement britannique a autorisé le retour de centaines de djihadistes, remplis de haine envers leur pays hôte et leur a octroyé des prestations sociales, tandis que Tommy est devenu un prisonnier politique dans son propre pays. Son tort : aimer et défendre son pays.

Oui, assurément, ce monde tourne à l’envers ! Il serait temps de le remettre à l’endroit.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source: «When British justice died.» by Bruce Waver – FrontPage mag

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