
L’un des deux principaux quotidiens de la gauche américaine, le Washington Post (que s’est offert Jeff Bezos, patron très à gauche d’Amazon qui exploite et pressurise ses employés), accuse le film de Disney Le Roi Lion d’être une histoire fasciste et « qu’aucun remake ne pourra rien y faire ».
Dreuz a besoin de vous : Le journalisme indépendant ne reçoit aucune aide d’Etat. Dreuz.info ne peut pas exister sans votre soutien financier. Pour contribuer en utilisant votre carte de crédit (sans vous inscrire à Paypal), cliquez sur ce lien Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution. Nous vous remercions.
Si Le Roi Lion est fasciste, le jour est arrivé de déclarer que nous sommes fiers d’être mis dans le même sac : le gauchiste Wapo reproche au film de « nous introduire dans une société où les faibles ont appris à adorer les forts ».
Dan Hassier-Forest, l’auteur de l’article qui fait la fierté du Wapo, vit aux Pays-Bas. Il est professeur assistant au département d’études des médias de l’Université d’Utrecht.
Voici ce qu’il écrit :
le film incorpore une vision du monde dans laquelle le pouvoir des dirigeants découle de leur supériorité biologique
En novembre dernier, Disney a mis le feu à Internet avec sa bande-annonce pour « The Lion King ». La vidéo de 93 secondes a donné des frissons à des millions de personnes en recréant fidèlement des moments clés du numéro d’ouverture du film original. Mais aussi nostalgique que ce « Cercle de la vie » puisse nous faire ressentir, cette scène est aussi un rappel douloureux de l’agenda idéologique du film : Il nous introduit dans une société où les faibles ont appris à adorer et se prosterner aux pieds des forts.
Alors que les herbivores se rassemblent pour s’incliner devant leur souverain nouveau-né, « Le Roi Lion » présente une vision du monde séduisante où le pouvoir absolu est incontesté, et où les faibles et les vulnérables sont fondamentalement inférieurs.
En d’autres termes : « Le Roi Lion » nous offre l’idéologie fasciste dans son ensemble.
Comme toute fable, « Le Roi Lion » n’est pas vraiment [une histoire] sur les lions – ou toute autre espèce animale. Au lieu de cela, une variété de créatures mignonnes et câlines remplacent une manière profondément humaine d’organiser la société.
Mais la reproduction de nos propres hiérarchies sociales sur le règne animal vierge et « neutre » rend ces dynamiques de pouvoir naturelles, pleines de bon sens et même souhaitables. Et en utilisant les relations prédateur-proie pour allégoriser les structures du pouvoir humain, le film incorpore presque inévitablement une vision du monde dans laquelle le pouvoir des dirigeants découle de leur supériorité biologique.
Évidemment, les fables peuvent servir à des fins politiques diverses.
• La « Ferme des animaux » de George Orwell a utilisé une allégorie similaire pour rendre les distinctions de classe plus visibles et pour critiquer les systèmes autoritaires de pouvoir.
• L’adaptation anthropomorphique de « Robin des Bois » de Disney associait également les systèmes de pouvoir aux chaînes alimentaires animales, utilisant son allégorie pour se moquer de la cupidité et de la corruption évidentes qui définissaient la classe dominante prédatrice.
Disney et son « obsession monarchique et patriarcale »
Doublant l’obsession historique de Disney pour les monarchies patriarcales, il place le point de vue du public en face des lions autocratiques, dont la Pride Rock méprise littéralement tous les groupes les plus faibles de la société — une sorte de Trump Tower de la savane africaine.
Lorsque le grand patriarche Mufasa explique patiemment à son fils comment fonctionne cette division du pouvoir, il souligne que le roi doit maintenir l’équilibre dans son royaume. Cela semble acceptable quand on pense à l’environnement, où l’on associe « équilibre » et durabilité. Mais quand on considère qu’il explique à son héritier pourquoi l’ordre naturel rend normal que les rois dévorent les paysans, la perspective des lions est beaucoup plus troublante.
Aussi mauvais qu’il soit que les puissants soient présentés comme intrinsèquement meilleurs que toutes les autres espèces, les choses empirent considérablement une fois que les hyènes sont introduites.
Les hyènes : la vision raciste et antisémite des fascistes
Avec les lions qui remplacent la classe dirigeante et les « bons » herbivores qui incarnent les citoyens honnêtes et respectueux des lois de la société, les hyènes représentent de manière transparente les corps noirs, bruns et handicapés qui sont exclus avec force de cette société hiérarchique.
Remarquablement marquées par leurs accents « de rue » ethniquement codés, les hyènes symbolisent de manière flagrante les stéréotypes racistes et antisémites des groupes de « vermines » qui constituent une menace pour la société.
Tout comme les dirigeants fascistes ne cessent d’identifier des groupes spécifiques à dénigrer et à chasser de leur vision d’une société « équilibrée », les héros du film sont préoccupés par la protection de leur royaume contre la contamination par des personnages indésirables, qui sont envoyés dans les ghettos de l’ombre « au-delà de nos frontières » — du mauvais côté de la frontière.
Avec ces éléments en place, l’intrigue du film est centrée sur ce qui se passe lorsque la suprématie « naturelle » de la règle patriarcale est interrompue.
Cette trahison de la tradition est, comme on pouvait s’y attendre, orchestrée par Scar, le lion inadapté dont le désir de promouvoir le statut des minorités est présenté d’une manière qui ressemble aux caricatures conservatrices des politiciens libéraux — où la compassion est censée être une forme masquée d’opportunisme. Simultanément, ses gestes efféminés et son manque apparent d’intérêt pour la reproduction hétérosexuelle font de lui un queer, comme Jafar, Ursula et bien d’autres méchants dans le monde hétérosexuel rigide de Disney.
Il ne manquait plus qu’Hitler, le voilà…
l’iconographie nazie explicite sert à nous distraire du fascisme des héros
Pour couronner le tout, la rébellion des parias sociaux contre le régime autocratique de Mufasa est explicitement associée à l’imagerie des nazis qui marchent sur les traces de l’oie.
Mais comme souvent dans les films hollywoodiens, l’iconographie nazie explicite sert surtout à nous distraire du fascisme des héros.
L’ascension finale de Simba sur le trône, son rugissement machiste qui ramène la dystopie de Scar à son état naturel édénique, ne représente rien de moins que le principe du Führer à l’œuvre : l’idée que ceux à qui nous confions des postes de direction sont dotés d’une supériorité naturelle, voire divine.
Les adeptes de ce principe présentent ceux qui le contestent ou s’y rebellent comme des êtres génétiquement inférieurs, malveillants, qui doivent apprendre à reconnaître leur juste place dans l’ordre social.
Comme l’a écrit le critique Matt Roth, le film idolâtre ainsi les brutes en mythologisant les principes sociaux les plus brutaux : « Seuls les forts et les beaux triomphent, et les impuissants ne survivent qu’en servant les forts. »
La nouvelle version du « Roi Lion » n’est que la plus récente tentative de Disney de mettre à jour ses propriétés bien-aimées, souvent en faisant des ajustements aux messages idéologiques des films : « Maléfiques » et sa suite à venir, ont transformé « La Belle au bois dormant », un conte de fées sexiste, en parabole féministe sur les abus sexuels ; « Aladin » a fait quelques tentatives pour atténuer l’islamophobie du film original ; « Beauty and the Beast » a inclus un (très mineur) personnage ouvertement gay ; la nouvelle Ariel sera une sirène noire ; « Mulan » a été révisée pour être moins offensive pour le public chinois.
De même, la campagne de promotion du « Roi Lion » a mis l’accent sur sa distribution majoritairement noire, qui remplace les acteurs Matthew Broderick et Moira Kelly par Donald Glover et Beyoncé Knowles-Carter – un coup de casting « woke » s’il en existe un.
Il est donc tentant de prendre le train en marche de Disney et de célébrer le travail admirable que l’entreprise a accompli sur ce front. Et oui, même les tentatives les plus effrontées, opportunistes et superficielles, visant à améliorer la manière dont les femmes, les personnes de couleur, les personnes LGBT et les personnes handicapées sont rendues visibles dans notre culture populaire font une différence.
Une attaque contre l’extrême droite — l’auteur n’a pas pu résister
Au moment où l’extrême droite est à la hausse, où nous débattons de la question de savoir s’il faut appeler les horribles lieux d’accueil des réfugiés « camps de concentration », et où les crimes haineux antisémites et islamophobes continuent d’augmenter, nous devrions nous demander ce que cela signifie de revoir avec obsession les récits qui célèbrent les forts, les beaux et les puissants, en regardant les rebelles, les exclus et les sans pouvoir.
» Le Roi Lion » est exactement ce genre d’histoire, et il faudra plus que les cordes vocales royales de Beyoncé pour la racheter à la prochaine génération.
Conclusion
Vous vous souvenez de cet exemple populaire : il y a ceux qui voient le verre à moitié vide et s’en lamentent, et ceux qui le voient à moitié plein et s’en réjouissent.
Il y a ceux qui voient le mal partout, l’horreur et l’injustice partout, et voudraient transformer (par la force et la violence de la dictature) la race humaine de fond en fond (avant de l’éliminer par eugénisme et refus de faire des enfants) afin de tenter de la sauver de ses tares.
Je le plains, ce pauvre type auteur de cet article. Comme il doit souffrir. Comme il doit être malheureux. Comme sa vie doit être infernale. Pauvre nihiliste.
A tout choisir, je préfère être rangé dans le même sac fasciste avec Le Roi Lion que dans celui des progressistes. Je ne sais que trop bien quels fascistes ils sont lorsqu’ils prennent le pouvoir, imposent leur volonté, et s’excluent de toute contrainte.
Moi qui n’ai jamais vu un verre à moitié vide de ma vie, j’imagine la douleur de vivre que ressent Hassier-Forest qui ne voit pas de verre à moitié plein, et rate les mille beautés du monde. Comme Le Roi Lion.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Parce que Dreuz est censuré pour le crime de désaccord avec la gauche, suivez notre fil Twitter, et retweetez-nous. C’est un important geste de résistance pour faire circuler vos idées.
N’y a-t-il pas une manière plus « naturaliste » de voir les choses ?
Dans le monde animal, n’est-ce pas le plus fort qui prend le pouvoir, souvent au terme d’une bagarre ?
Pourquoi aller chercher midi à 14h ?
La nature est fasciste aussi.
Elle exclut ou fait périr les faibles et ne respecte pas les minorités LGBTXW++ et tout ça au nom de la viabilité génétique et de l’infâme reproduction.
Elle est contre le multiculturalisme et le vivre ensemble : pas de relations entre les ânes et les lions.
Elle est nazie : mon chat, ce facho, s’est donné pour objectif d’opérer une épuration ethnique sur les mulots. Et si, par malheur, un autre chat viole son territoire, une avalanche de griffes et de crocs s’abat sur lui.
La manière naturaliste de voir les choses est totalement d’extrême droite !
Si les carnivores pouvaient voter … les heures sombres, le bruit des bottes, tout ça …
Le Roi Lion serait fasciste et il paraît que la Reine des Neiges est une gouine….haaa ! Dans quel monde de tarés vivons-nous ? Ce sont des polémiques à deux balles contre les droites dont le Net est friand !
A l’heure ou aucune opinion, aucun humour n’est « acceptable » on en arrive là
contrairement à vous je trouve bien comiques les réflexions tordues de ce prétendu journaliste et vrai militant ; j’attend avec impatience son texte expliquant que Blanche Neige est une pure salope qui couche avec les 7 nains .
A la fois
Qu’attendent-ils pour interdire Cendrillon pour cause de misogynie ?
Ou quelle soit trop blanche .Blanche comme la neige,les lèvres rouge comme le sang…
Les psychiatres ont beaucoup de travail
plus le mensonge est gros plus il séduit les idiots!
à force de vouloir tout démontrer, ils se ridiculisent
@ Patphil
Qu’ils se ridiculisent, in s’en fout, c’est leur problème.
Là où ça devient gênant, c’est lorsqu’ils passent par les arcanes du pouvoir pour imposer leurs délires, leurs lubies progressistes mortifères.
Un exemple: Les vegans radicaux (vous savez, ces zombies asociaux sérieusement carencés en protéines et basculant sournoisement dans le terrorisme pur et dur) veulent que tout le monde cesse de manger viandes et volailles : À ce train-là, bientôt les claustrophobes progressistes exigeront aussi la suppression des ascenseurs dans tous les immeubles.
@Rico
OUI, et…
. Quand un type n’aime pas les armes, il n’en achète pas. Mais s’il est de gauche, il veut les faire interdire.
. Quand un type n’est pas ‘standard’, il vit sa vie tranquillement. Mais s’il est de gauche, il fait ch… tout le monde pour qu’on « le respecte ».
. Quand un type a loupé un job, il réfléchit au moyen de sortir de cette situation et de rebondir. Mais s’il est de gauche, il porte plainte pour discrimination.
. Quand un type n’aime pas un débat télévisé, il éteint ou zappe. Mais s’il est de gauche, il veut poursuivre en justice les cons qui ne pensent pas comme lui.
. Quand un type est non-croyant, il ne va pas à l’église, ni à la synagogue. Mais s’il est de gauche, il veut qu’aucune allusion à D.ieu ou à une religion -sauf l’islam (parce qu’il croit que c’en est une !)- ne soit faite dans la sphère publique !
. Quand l’économie va mal, tout type se dit qu’il faut se retrousser les manches et bosser plus. Mais s’il est de gauche, il se dit que ces salauds de patrons s’en mettent plein les fouilles, ponctionnent le pays et que les employés sont des victimes.
. Quand un type est végétar(l)ien, il mange comme il veut. Mais s’il est de gauche, il se fait « vegan », oblige l’univers entier à penser comme lui et va défoncer les devantures des boucheries (mais pas les hallal, bien sûr : trop de risques de finir au frigo !).
Maladie mentale !
@Beth-‘Etsmûth,
Voilà superbement résumé, le respect de la « liberté d’expression » et même de la liberté tout court, conçue par les gens de gauche.
À l’aune de cet abrégé qui en dit beaucoup et dont pas un mot n’est à retirer, nous pouvons déterminer que les préceptes de la Gauche sont comme un bâton merdeux. De quelque bout qu’on le prenne, il n’aboutit qu’à un système dominateur et intolérant…
Qui pourtant se perçoit philanthrope, protecteur et libérateur,
quand il ne cesse de créer des clivages jusqu’à même un chaos, pour obtenir une égalité folle qui en nivelant certains sujets produit justement des injustices anormales, immorales et contraire à toutes les logiques.
Maladie mentale ? Oh que oui ! Une pathologie effrayante et aveugle, qui se pense charitable.
Et nous sommes, bien entendu fachos de chercher à nous défendre de tels bienfaiteurs !
Voilà comment j’avais en rimes, exprimée mon dégoût face au monde égalitariste, que ces imposteurs bisounours nous imposent :
—————
COLÈRE
Nous sommes tous en colère et comment ne pas l’être ?
Oh, j’oubliais, c’est possible, pour celui qui n’a pas les mêmes paramètres
Il ne vit que pour lui, et par chance, la vie lui sourit.
Que lui importe, autrui, celui dont la vie est pourrie ?
Son crédo est LIBERTÉ, et qu’on ne vienne pas le gêner !
Si pour suivre cette notion, les autres il doit peiner ?
Il fait tout ce qu’il veut ! Même s’il doit marcher sur des gens autour,
Il n’est pas désolé, mais enfin ! Vous entravez son parcours !
Le droit de se saouler, se droguer et même pire,
Ne regarde que lui, pas du tout ses proches, ces vampires !
Qui ont tort de l’aimer, et d’être vraiment atterrés
De voir ce qu’il devient, une chose totalement altérée.
Et puisqu’il en a le droit, que ces substances l’amènent
À produire sur son prochain, des horreurs peu amènes
Au nom de la LIBERTÉ, il faut nous habituer
Car en ce nom sacré, il dérive jusqu’à TUER !
C’est un petit résumé, car de cette notion
Tant de choses sont permises et données en options !
Nous sommes tous en colère et comment ne pas l’être ?
Oh j’oubliais, c’est possible, pour celui qui n’a pas les mêmes paramètres
Il a un grand crédo qui s’appelle ÉGALITÉ
Comme si ce vœu n’était pas partagé, en toute banalité
Mais avec l’expérience, aujourd’hui, n’est-il pas temps de comprendre
Que pour les gens concernés, le concept accompli, ne se révèle pas tendre ?
L’ÉGALITÉ en toutes les choses devient une grande utopie,
Quand pour réaliser ce rêve, on fabrique des êtres qui sont photocopies !
La formule, semble justice, mais c’est un emblème qui a mille facettes
Désirer la même chose pour tout le monde, ne met pas les gens à la fête
Quel bonheur heureusement, existe la diversité
Qu’il faut bien préserver car elle assure l’authenticité.
Éviter aux gens de souffrir, c’est le mieux qu’on puisse faire.
Pour tant de choses, hélas ou tant mieux, on ne peut satisfaire,
Et poursuivre ce mythe devient une vraie dictature
Que des différences refusent ne voulant pas être caricatures !
C’est un petit résumé, car de cette notion
Tant de choses sont permises et données en options !
Nous sommes tous en colère et comment ne pas l’être ?
Oh j’oubliais, c’est possible, pour celui qui n’a pas les mêmes paramètres
Aimer son prochain, de nos jours, c’est aimer l’inconnu à grande distance.
Magnifique raisonnement, quant à nos portes, on n’est qu’indifférence !
Au nom de la FRATERNITÉ, c’est l’ère de la mondialisation
Alors que pour son propre voisin, ne se voit aucune mobilisation !
Quand sur le même palier, des morts esseulés, gisent depuis des mois,
On voudrait nous faire croire, qu’à mille lieux à la ronde, nos cœurs sont en émoi ?
Moi j’ai un cœur très grand, mais déjà il est malade
Quand je vois la misère – près de moi – qui m’entoure, et que c’est l’escalade
La vraie FRATERNITÉ, c’est gérer et faire du bien autour de soi.
Être incapable déjà de cela ? Halte les fariboles ! On est sur son quant à soi !
Que tous soient des bons frères, pour les grands malheurs qu’ils croisent
Et une chaine d’amour à travers le Monde, fera face à l’adversité de manière narquoise !
C’est un petit résumé, car de cette notion
Tant de choses sont permises et données en options !
Nous sommes tous en colère et comment ne pas l’être ?
Oh, j’oubliais, c’est possible, pour ceux qui n’ont pas les mêmes paramètres.
Écrit par mon pseudo : Evelyne*
Excellente analyse! Voici mes petits commentaires:
1) « nous introduire dans une société où les faibles ont appris à adorer les forts ». Cela veut-il dire que les forts doivent admirer les faibles? Cela ne se voit et ne se fait nulle part tout simplement parce que c’est complètement idiot.
2) La grande gauche morale est toujours là pour gâcher la fête. On l’a vu avec la fin du communisme. Ils reviennent maintenant nous culpabiliser avec le réchauffement climatique et la « juchtiche chochiale ». Ils parlent de tolérance religieuse mais soutiennent les Palechtiniens. Ils parlent de tolérance sexuelle mais vilipendent l’hétérosexualité et la famille. Ils parlent de valeurs de gauche sans jamais dire lesquelles alors qu’il s’agit juste de principes idéologiques complètement arbitraires. Ils disent défendre les pauvres alors qu’il y a de plus en plus de pauvres depuis qu’ils sont au pouvoir parce qu’ils ne défendent que la pauvreté, pas les pauvres. Ils disent lutter contre la pollution en imposant la voiture électrique alors qu’au final celle-ci est bien plus polluante que l’équivalent thermique. Ils inventent un troisième genre alors qu’il n’y a que des hommes et des femmes. Ils parlent de liberté alors que toutes leurs lois sont liberticides et donc fascistoïdes en provoquant l’effet exactement inverse de leurs soi-disant bonnes intentions de corriger obligatoirement les « malfaçons » de la société. Ils parlent de taxes « justes » et donc élevées alors qu’ils sont les premiers à les éluder. Ils parlent de morale tout en créant une société digne de Sodome et Gomorrhe. Ils font la leçon sur les horreurs réelles du nazisme qui serait une idéologie de droite voire d’extrême-droite, ce qui n’est absolument pas le cas si l’on respecte le sens des mots, tout en occultant les crimes du communisme (100 millions de morts + les 100 millions de victimes collatérales et ce n’est pas fini). Ils se disent anticapitalistes alors qu’ils pratiquent le capitalisme d’état et de connivence à tour de bras. Ils stigmatisent le mur de Donald Trump mais oublient le Mur de Berlin et tous les autres murs passés et présents de par le monde. Ils parlent de tolérance multiculturelle tout en soutenant l’islam ou en fermant les yeux sur ses crimes horribles tout en diabolisant le christianisme. Ils disent aimer la musique qu’ils réduisent au bruit du tam-tam et des tonneaux vides. Ils disent vouloir une société de progrès tout en sabotant, sapant et ruinant les mécanismes de transmission des connaissances. Ils parlent de liberté d’expression tout en verrouillant celle-ci sur Internet par des lois ignobles. Ils disent vouloir notre bien tout en nous infantilisant, en nous empêchant de participer à la mondialisation économique de manière compétitive et en nous protégeant des fake news qu’ils sont les premiers à fabriquer. Après tout cela, ils veulent aussi qu’on les aime et qu’on leur dise merci. Bref, ils nous prennent vraiment pour des cons, profitant de notre relative impuissance. Mais nous ne sommes pas dupes. Nous rejetons tous leurs bobards. Absolument tous. Le jour où ça pètera, je ne vais pas pleurer. J’espère qu’ils ont un bon plan d’évacuation afin de prendre la fuite avant le Grand Soir qui ne sera pas celui qu’ils espéraient.
Bravo !
Un résumé avéré (il suffit de voir ce que devient le monde) et donc incontestable, pour toute personne de bonne foi.
Mais la bonne foi et la morale ne sont plus de ce monde, et cela avec un aplomb qui laisse sans voix.
Ceci pour les plus âgés qui selon l’expérience que la vie donne, ne se privent pas de faire les autruches. Sans aucune honte… Sentiment qui ne les atteint plus d’ailleurs.
Et malheureusement, il y a les jeunes, même parmi les nôtres, qui sont une génération perdue et ce n’est pas la première. Abreuvés de la propagande pratiquée depuis des décennies. Ces jeunes dans leur majorité sont devenus le produit généré par l’information mensongère. Si quelques uns essaient de réfléchir par eux-mêmes, ils sont vite rattrapés par le désir, de ne pas se singulariser et ainsi ne pas être isolés des autres. Alors sans réelle idéologie, ils emboitent celle de la doxa.
Il n’y a pas grand-chose à faire venant du peuple, sauf un réveil civil, qui ne pourrait être que sanglant, et dont il n’est pas sûr que ce soit les plus lucides qui en sortiraient gagnants.
Il reste les Dirigeants, grands responsables de tout ce chaos… Pas à moi de faire quelque suggestion que ce soit, mais on ne peut m’empêcher de penser…
De toute façon ou la déviance continue…
Où c’est un grand chambardement qui me fait peur, tant je pressens combien il pourrait être féroce.
@ Patrick Boulechitey
« …nous introduire dans une société où les faibles ont appris à adorer les forts. – Cela veut-il dire que les forts doivent admirer les faibles ? »
Non, c’est juste un plan politique visant à ce que les migrants illégaux clandestins prennent le pouvoir.
« Ils disent défendre les pauvres alors qu’il y a de plus en plus de pauvres depuis qu’ils sont au pouvoir parce qu’ils ne défendent que la pauvreté, pas les pauvres. »
C’est parce que ça les rend viscéralement malades d’admettre que, sur les 50 dernières années, le méchant capitalisme a sorti 1 milliard d’humains de la faim, de la misère et de l’illettrisme – chose que les gaucho-socialo-communistes n’ont jamais pu et ne pourront jamais faire, bien au contraire.
« Ils inventent un troisième genre alors qu’il n’y a que des hommes et des femmes. »
Je crains que ce ne soit légèrement pire :
ils exigent l’abolition des genres H/F, rien que ça.
Merci Patrick je voulais répondre mais vous lisant je n’ai rien a ajouter. Si, peut-être qui j’étais américain, définitivement je ne voterai jamais pour un démocrate, ils se ridiculisent tous les jours un peu plus dans un combat idiot bien le bonjour a vous
A mon humble avis beaucoup de coups de pied quelque part, c’est la simple et juste récompense qui devrait échoir à ce genre de manipulateurs de métaphores
Dans quelle réalité veulent ils se réfugier au lieu de participer à la tâche prosaïque de survie que la nature impose à l’être humain, de toute éternité.. Salut Adam, Eve, et la sublime trouvaille de la Bible et de ses enseignements : on ne leur substitue pas impunément des élucubrations pseudo réalistes et manifestement contraires au sens éthique unique dévolu au Fils de l’Homme.
Les religions de la Force, anciennes ou renouvelées, portent leur disparition dans leur ADN même et condamnent leurs supporters avec elles.
Mais enfin que s’est il passé pour que le 🌍Monde tourne à cette catastrophe du politiquement correct ! Bientôt même respirer nous sera interdit 🚫 ! Horrible cette dégénérescence de l’homme !
,
Qu’est-ce que j’ai pu pleurer à la mort de Mufasa et à l’exil de Simba ! Je devais avoir 13 ou 14 ans… et dire que je pensais que mes penchants conservateurs royalistes venaient de mes lectures de Bainville ou de Barres… merci la gauche de m’avoir éclairée, que ne ferait-on pas sans elle ? Dommage que l’auteur de l’article ne nous explique pas pourquoi l’ordre fondé sur l’héritage, le respect de la nature et la transmission entraîne prospérité et paix alors que celui qu’il défend entraîne famine et désolation.
ce film représente une parti de la réalité qui est la loi de la Jungle …. dans cette Jungle le plus fort l’emporte …. non mais ses idiots de gauchiste veulent imposer le communisme aux animaux
Pauvres lion carnivores, fort et très courageux…ils devraient s`avoire que la viande est « toxic« et« donne« le cancer , donc les biches essaient, sans succèc de lui emposer de la viande végétale ou du touffu, meilleur pour la santé ,d`après ces biches névrosées de gauches!!
Jamais ces imbéciles,ne me fera manger TOUT ces horreurs cullinaire, dire que se sont les mêmes qui nous parle sans arrêt de la diabolique osanto, alors qu`eux sont pire, lavage de cervaux, imposition de leur lubies stupides, castrastions des démons blancs, ect. C`EST GAUCHISTES DE VÉRITABLES MALADES MENTAUX, résulta de la désinstitutionalisation des cinglés, maintenant en liberté!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Dans son livre Capitalist Superheroes, Dan Hassler-Forest explique que les récents films de Batman, Spider-Man and Superman reflètent les politiques de la doctrine Bush après les événements tragiques du 11 septembre (!!!).
Et maintenant, il nMa rien trouvé de mieux que de s’en prendre au Roi Lion. J’ai visionné la bande-annonce, cela semble pourtant un film formidable. Pourquoi accorder autant d’importance aux élucubrations de cet « expert des médias » qui doit effectivement être très malheureux de voir que le monde parvient à tourner sans lui ?
« Vous vous souvenez de cet exemple populaire : il y a ceux qui voient le verre à moitié vide et s’en lamentent, et ceux qui le voient à moitié plein et s’en réjouissent. »
Pendant qu’il y a débat sur le verre à moitie plein ou vide, il y a l’opportuniste qui s’en tape et qui boit ce qu’il y a dans le verre.
Rien à foutre des conneries que raconte ce professeur de mes deux sur le roi Lyon, ma petite fille (11 ans ) comme tous les enfants de son âge a apprécié le film et ne s’est posé aucune question pour savoir si c’était fascistes ou pas, elle ne connait même pas la signification de ce mot.