Publié par Jean-Patrick Grumberg le 13 juillet 2019

Une étude américaine montre que l’expulsion de 11 à 22 millions d’étrangers en situation illégale permet aux contribuables américains d’économiser des centaines de milliards de dollars de dépenses publiques, et tout permet de croire qu’il en serait de même en Europe.

Nous devons cesser de trembler de peur d’être traités de raciste ou de fasciste par la gauche lorsque nous parlons d’immigration. Les immigrationnistes n’en pensent pas un mot, ils lancent ces insultes pour empêcher tout débat — car ils savent qu’ils perdraient.

L’immigration légale est acceptable

Je n’ai rien contre l’immigration légale. Depuis que l’homme existe, il migre d’une région du monde à l’autre, pour fuir la guerre, la famine ou les difficultés économiques : c’est au plus profond de notre héritage à tous.

De plus, cette immigration dépend de la volonté du peuple : nous élisons un président, un gouvernement, sur un programme, et ce programme annonce ce que le candidat fera, en cas de victoire, en termes d’immigration. L’immigration légale est donc le résultat de la volonté de la majorité. Je respecte cela. Je respecte la volonté populaire.

Je me souviens que dans les années 70, il était couramment établi qu’un Français sur deux avait au moins un grand-parent étranger. Nous n’avions pas internet pour vérifier, je ne sais pas si c’était vrai, mais je sais, et c’est significatif, que cela ne choquait personne de le dire ou de l’entendre. A l’époque, qui disait immigration disait européens, pas africains musulmans, une civilisation profondément hostile à l’occident, et dont l’idéologie prévoit la domination du monde par la force et la violence.

C’est l’immigration illégale qui ne colle pas

Sauf changement de dernier instant, les Etats-Unis devraient lancer une opération d’expulsion massive, la semaine prochaine, qui concerne les étrangers à la foi en situation irrégulière, qui ont présenté leur demande d’asile ou de résidence devant un tribunal, laquelle demande a été refusée, et qui ont fait l’objet d’une ordonnance définitive d’expulsion des États-Unis.

Les contribuables américains vont forcément en tirer profit.

La dernière analyse du directeur de recherche du Center for Immigration Studies, Steven Camarotta, a comparé le coût pour les contribuables américains des millions d’étrangers en situation irrégulière vivant aux États-Unis au cours de leur vie, et le coût de la déportation.

  • D’après les recherches des National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine, le coût des étrangers illégaux pour les contribuables américains au cours d’une vie est d’environ 746,3 milliards de dollars.
  • Par comparaison, le coût d’une seule expulsion est d’environ 10 854 $ par étranger illégal, selon les chiffres de 2016.
  • L’expulsion de tous les étrangers en situation irrégulière dans le pays représenterait donc une économie d’environ 622 milliards de dollars au cours d’une vie.
  • Cela indique que l’expulsion d’étrangers en situation irrégulière coûte six fois moins cher que ce qu’il en coûte aux contribuables américains pour subventionner les millions d’étrangers en situation irrégulière qui vivent aux États-Unis.

Le coût élevé de la main-d’œuvre illégale

  • L’an dernier, l’administration Trump a expulsé plus de 256 000 étrangers illégaux des États-Unis. Si l’on suppose que le coût des expulsions n’a pratiquement pas changé depuis l’administration Obama, cela signifie que les expulsions de l’an dernier, à elles seules, ont coûté environ 2,8 milliards de dollars.
  • Par rapport aux 116 milliards de dollars annuels que la Federation for American Immigration Reform (FAIR) estime que l’immigration illégale coûte aux contribuables, les expulsions effectuées l’an dernier ont été plus de 40 fois moins coûteuses.
  • Les données fédérales les plus récentes concluent qu’il y a plus de 925 000 étrangers en situation irrégulière, qui travaillent, et donc prennent le travail d’un Américain.
  • Environ 20 % de ces étrangers en situation irrégulière ont au moins une condamnation pénale.
  • Environ 60 pour cent de ces étrangers illégaux viennent du Mexique, du Salvador, du Honduras et du Guatemala.

Conclusion

S’il existait de la diversité parmi les médias, si les journalistes n’étaient pas les petites mains du pouvoir, ils poseraient des questions au lieu de servir de « Yes men ». Si les médias posaient des questions, les gens se poseraient des questions. Ils demanderaient s’ils approuvent l’immigration en cours. Et s’ils demandaient, leurs élus devraient répondre.

Ce serait un processus un peu plus démocratique. Quelle horreur !

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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