Publié par Rosaly le 16 juillet 2019

Une atmosphère stalinienne plane sur les démocraties occidentales.

Dans une mise à jour de leurs « normes communautaires » Facebook prévoyait quelques exceptions à sa politique interdisant les menaces de mort.

.https://www.facebook.com/communitystandards/credible_violence/

» Ne postez pas des menaces qui pourraient mener à la mort (et autres formes de violence graves) de toute cible, quand la menace est définie comme suit :

« Des déclarations d’intention de commettre des violences graves ou appel à la violence de gravité élevée (à moins que la cible ne soit une organisation dangereuse ou un individu membre d’une organisation dangereuse ou accusé de crimes ou d’infractions sexuelles, lorsque le statut de criminel ou de prédateur a été établi par les médias, etc..)

Cette » « mise à jour » incitait les violents et les haineux parmi les 2 milliards d’utilisateurs de FB à menacer les gens dont les points de vue divergeaient de l’agenda gauchiste.

Cette modification scandaleuse fut repérée par le concepteur de logiciel Mark Kern, qui mit en évidence les changements dans un tweet.

Suite au tollé, FB supprima la partie criminelle autorisant les menaces violentes à l’encontre « d’individus dangereux », à savoir toute personne non appréciée par Face de Bouc.

« Le langage utilisé pour décrire nos politiques contre la violence et l’incitation était imprécis. Nous l’avons depuis remplacé afin d’expliquer plus clairement notre politique et le motif sous-jacent. »

Grande-Bretagne

Paul Joseph Watson

Paul Joseph Watson, journaliste, auteur, youtubeur britannique décrypte l’info face caméra avec férocité, mais toujours teintée d’humour. La critique de l’islam fait partie de ses sujets favoris. Ses vidéos sont très suivies.

En mai dernier, les comptes Facebook et Instagram de Paul Joseph Watson furent fermés sous prétexte qu’il était « un individu dangereux ». Ils ne fournirent aucune preuve pour étayer leur décision.

Facebook m’a désigné comme un dangereux individu et aujourd’hui, il considère comme acceptable que ses utilisateurs publient des menaces de mort à mon encontre. »

C’est un crime en GB : selon le « 1988 Malicious Communications Act » : toute personne qui envoie à une autre personne une lettre, un message électronique ou un article qui transmet… une menace… est coupable d’offense grave.

Le média social le plus important au monde, avec plus de 2 milliards d’utilisateurs, dit littéralement qu’il est bien d’inciter à la violence à mon encontre, même si cela est illégal. FB dessine une cible sur mon dos. De nombreux individus m’ont déjà envoyé des menaces de mort.

Il n’y a clairement aucun avenir pour les dissidents sur les principaux réseaux de médias sociaux. Nous devrons revenir aux listes de diffusion et websites en tant que notre principale et peut-être la seule plate-forme de diffusion de nos messages et articles » a-t-il déclaré.

Il a engagé des poursuites contre FB via ses avocats, parmi les meilleurs de Londres, qui ont gagné un grand nombre de procès contre les géants du Net.

Suède : Ecrire le nom honni par l’Establishment suffit à FB pour fermer votre compte.

Depuis l’arrestation de Tommy Robinson pour « outrage à la justice », en Suède, il est interdit de parler de lui sur FB. Vive la démocratie !

« Tout partage de liens concernant cette “personne dangereuse” résultera en la fermeture de tous les comptes »

En Suède, il suffit d’écrire son nom sur la plateforme des médias sociaux pour être banni de FB jusqu’à trente jours. »

La journaliste Ingrid Carlqvist, rédactrice du Podcast « Ingrid and Maria » avait écrit que malheureusement, elle ne croyait pas que Donald Trump accorderait l’asile à Tommy, vu les liens étroits entre les USA et le Royaume-Uni. A cause de ce post, son compte a été annulé par FB pour trente jours.

Je l’ai déjà dit, mais aujourd’hui mon intention de quitter FB est aussi ferme et dure qu’une pierre. Toutefois, je ne peux supprimer mon compte pour l’instant, il est intouchable, je dois donc attendre 30 jours. J’en ai assez de ce géant du net.

Je ne l’ai pas quitté jusqu’à présent, car il permet d’atteindre beaucoup de gens. J’ai 5 000 amis et 10 000 followers. Mais je ne veux plus soutenir cette organisation dégoûtante et ce n’est pas seulement à la suite de leur décision de fermer les comptes des gens pour avoir mentionné le nom de Tommy Robinson, mai aussi pour leur décision de ne pas agir contre les menaces proférées à l’encontre de Paul Joseph Watson, qualifiée par eux de personne dangereuse.

Johan Widén, un faiseur d’opinion et utilisateur de Facebook, voulait vérifier si cette interdiction était bien réelle. Il écrivit le nom de Tommy Robinson dans une mise à jour, sans ajouter le lien vers son texte et boum, son compte fut annulé.

Il ne s’agit pas d’une rumeur, c’est bien la vérité. » s’est exclamé en riant Johan Widén.

Si vous écrivez une certaine combinaison de nom et de prénom, vous êtes éliminé. Il leur a pris 47 minutes entre la publication et la clôture de mon compte. La liberté de pensée et le droit à avoir ses propres opinions relèvent désormais du fantasme d’un passé, qui n’existe plus. » Son compte a été suspendu pour 8 jours, entre temps, il utilise son compte de réserve.

Le site alternatif d’information Fria Tider signale la nouvelle politique suédoise de FB

Widar Nord, éditeur en chef du site alternatif d’information Fria Tider, a récemment signalé à la police que FB avait enfreint la loi suédoise BBS, qui stipule que les propriétaires de plateformes numériques doivent veiller à ce que personne ne soit menacé de mort. Ce qui était le cas pour Paul Joseph Waston.

« FB a récemment introduit une politique en Suède stipulant que le géant de l’informatique ignorera toutes les menaces de mort ou messages haineux pouvant entraîner le décès réel si la victime est le leader ou un membre éminent d’une organisation de haine ou si son nom apparaît dans la liste des gens dangereux.

Cette politique suédoise signifie que FB va ignorer intentionnellement ses obligations d’effacer toutes les menaces, conformément à la loi 5§ sur les panneaux d’affichage électroniques. » a écrit Widar Nord.

https://www.friatider.se/blogg/fria-tider-polisanm-ler-facebook-f-r-brott-mot-bbs-lagen

Danemark

Le compte FB du nouveau site danois document.dk a également été fermé pour avoir partagé un article sur Tommy Robinson, dans lequel il exprimait sa crainte d’être tué en prison.

Le géant des médias sociaux part à la chasse des pages FB conservatrices de toutes sortes, y compris l’une des plus importantes en Suède, Politikfakta, coupable de critiquer les politiques migratoires actuelles ou l’islam.

Les ennemis de la terreur du djihad islamique et de l’oppression de la charia vont se retrouver sur la liste des « personnes dangereuses » et devenir les cibles légitimes des haineux, autorisés à proférer des menaces de mort à leur encontre. La politique de lutte contre les messages de haine et de violence de Facebook n’est qu’une imposture dévoilée par hasard. Elle semble vouloir appliquer un double standard et vise avant tout à réduire au silence non seulement verbalement, mais apparemment aussi physiquement quiconque est considéré comme « dangereux » par l’Establishement et FB et imposer ainsi le délit de blasphème, si cher à l’OCI, à l’ONU et à l’UE. Au lieu de lutter contre la violence et la haine, cette stalinisation de la liberté ne fera qu’accroître la détestation de ce « Nouveau Monde » que l’on veut de plus en plus nous imposer par la force. Après l’exception qui confirme la règle, FB va-t-elle suggérer la création de camps de rééducation pour les personnes qualifiées de « dangereuses » par Zuckerberg Co, alliés des Merkel, Juncker et autres fossoyeurs de nos libertés ? Si la majorité des utilisateurs de Facebook prenaient conscience de la dangerosité de leur plateforme préférée et décidaient de la quitter, FB perdrait son pouvoir de nuisance et ne serait plus une arme de destruction massive de nos démocraties et de nos libertés au service des organisations et gouvernements mondialistes, mais FB est trop utile pour certains et devient ainsi une arme à double tranchant. En fait, on adore ce qui fait de nous des esclaves, des cibles à éliminer et assassine nos libertés pour… le Bien de l’Humanité.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : “Facebook adopts new policy allowing death threats against “dangerous individuals and oganizations.” (Jihad Watch)

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