Publié par Guy Millière le 18 juillet 2019

Les Démocrates de la Chambre des Représentants aux Etats-Unis viennent de voter une motion condamnant Trump pour “racisme”. Les journalistes français prenant paresseusement leurs sources dans le New York Times ou le Washington Post ont immédiatement parlé des “commentaires racistes” de Trump et laissé entendre ainsi que Trump est raciste.

La vérité est, bien sûr, exactement l’inverse.

Trump n’a jamais prononcé une parole raciste depuis le début de sa campagne électorale, et très vraisemblablement de toute sa vie.

Il est le Président le plus favorable aux minorités raciales et ethniques aux Etats-Unis depuis Abraham Lincoln, et il l’est concrètement. Jamais sous un autre Président autant de membres de minorités raciales et ethniques ne sont sorties de la pauvreté pour accéder à un emploi, et, souvent, à la classe moyenne. Jamais depuis que les statistiques existent le taux de chômage pour les membres des minorités raciales et ethniques n’a été aussi bas.

Depuis le début de sa présidence, on le sait et j’en ai parlé ici, Trump est en proie à des agressions incessantes, à des diffamations à dose massive, et à de fausses accusations, le tout émanant d’une gauche devenue enragée lors de la défaite de Hillary Clinton. La rage de la gauche n’est pas retombée à ce jour, et le parti Démocrate est devenu une horreur politique et un danger pour les Etats-Unis et pour le monde.

Depuis que les Démocrates ont réussi à arracher la majorité à la Chambre des représentants, la rage a été incarnée par quelques crapules adeptes des pires mensonges : Adam Schiff, Jerry Nadler. Elle a été incarnée aussi par Nancy Pelosi, gauchiste de San Francisco. Elle a été incarnée surtout par quatre femmes infectes que je qualifierais de lie de la terre si ce n’était insultant pour la lie de la terre.

“Les 4 détraquées”

Ces quatre femmes ont, outre un gauchisme qui ferait passer Joseph Staline pour un modéré (elles n’ont pas le pouvoir de Joseph Staline, fort heureusement), des points communs sordides. Elles vouent toutes les quatre une détestation viscérale aux Etats-Unis et à les écouter, on pourrait penser que la société américaine est un enfer atroce sur tous les plans. Elles sont toutes les quatre racistes vis-à-vis des blancs mais aussi vis-à-vis des noirs et des “basanés” (ce sont leurs termes) qui ne seraient pas aussi gauchistes qu’elles. Elles sont antisémites et tiennent des propos favorables aux organisations terroristes islamiques et à la destruction d’Israël.

Le parti Démocrate n’a pas une seule fois dénoncé le moindre de leurs propos. Il acceptait donc jusque-là leur détestation des Etats-Unis, leur racisme, leur antisémitisme.

Donald Trump considérant ces femmes dangereuses et ignobles a, dans une série de tweets, dénoncé, lui, leur détestation des Etats-Unis, leur racisme, leur antisémitisme. Il a eu raison. 

Il a voulu mettre le parti Démocrate au pied du mur et lui demander de prendre position. Il a eu raison encore.

Tout en dénonçant ce que ces femmes ont d’ignoble, il a ajouté que si elles détestent tant les Etats-Unis elles n’ont aucune obligation à y rester. Il a raison, toujours.

Il a ajouté que les pays qu’elle disent aimer et admirer et dont elles viennent sont dans un état lamentable, et qu’elles feraient bien d’y aller pour s’en occuper. Il n’a pas tort.

Trois de ces femmes sont nées aux Etats-Unis et les Démocrates ont dit qu’elles ne viennent pas d’ailleurs que les Etats-Unis. Ils ont tort. Totalement tort.

Tout Américain (même les Native Americans, dont les ancêtres sont venus d’Asie, il y a des millénaires) vient de quelque part et y a des racines. C’est plus vrai encore de ces quatre femmes, qui disent effectivement aimer leurs contrées d’origine infiniment plus que les Etats-Unis.

Une de ces femmes est noire, née aux Etats-Unis de parents américains, Ayanna Pressley.  Elle ne cesse de souligner ses racines africaines et tout en affichant sa haine des Etats-Unis tient des propos très positifs sur l’Afrique.

Une autre est née aux Etats-Unis de parents ayant émigré à New York depuis Porto Rico, Alexandria Ocasio-Cortez. Elle ne cesse de souligner ses racines portoricaines et tout en affichant sa haine des Etats-Unis tient des propos louangeurs sur l’Amérique latine, Hugo Chavez, Fidel Castro.  

Une troisième est née aux Etats-Unis de parents Arabes musulmans qui se disent “palestiniens”, Rashida Tlaib.  Elle se dit “palestinienne” et soutient le Hamas, au nom de la “libération de la Palestine”, qu’elle définit comme sa terre.

La quatrième est la pire du lot. Elle s’appelle Ilhan Omar. Elle est née en Somalie, a été accueillie aux Etats-Unis en tant que réfugiée, et les Etats-Unis lui ont sauvé la vie. Elle est musulmane et voilée. Elle soutient toutes les organisations islamistes et terroristes. Elle est la plus ouvertement antisémite des quatre.

Elles vont toutes les quatre jusqu’à dire qu’elles veulent détruire les Etats-Unis tels qu’ils sont. Elles ne devraient pas avoir leur place dans le parlement d’un pays démocratique. Elles devraient être condamnées et exclues par le parti Démocrate s’il n’était devenu ce qu’il est devenu.  

Bien que strictement rien de raciste ne figure dans les tweets de Donald Trump, le parti Démocrate l’a condamné pour raciste et a affiché son soutien officiel aux quatre femmes susdites. Il devient donc officiellement un parti raciste et antisémite. 

Trump a mis le parti Démocrate au pied du mur. Le parti Démocrate s’est montré tel qu’il est. C’est ce que voulait Trump.

Trump ne manquera pas d’en parler dans les mois qui viennent et saura comment présenter le choix qui s’offre aux électeurs américains.

© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.

PS : Dans un éditorial, le journal Le Monde qualifie l’antisémitisme très explicite des élues Démocrates citées ci-dessus de “prétendu antisémitisme” et accuse Trump, en dénonçant l’antisémitisme très explicite de ces élues, de flatter les “pires instincts” de son électorat. Un journal qui édulcore l’antisémitisme pour le rendre acceptable est un journal qui se fait compagnon de route de l’antisémitisme. Un journal qui qualifie l’incitation à rejeter l’antisémitisme de volonté de flatter les pires instincts d’un électorat s’abaisse au niveau cloacal des pires feuilles antisémites des années 1930. Dans Le Figaro, les élues Démocrates racistes et antisémites susdites sont définies comme “quatre jeunes élues Démocrates issues des minorités de couleur” : les caractéristiques principales de ces femmes ne sont pas d’être jeunes, issues de “minorités de couleur”, mais d’être haineuses, racistes et antisémites. Edulcorer la réalité à ce degré relève de la désinformation. Les déconneurs du Monde (dois-je vraiment écrire Décodeurs ?) vont-ils relever ces graves manquements à l’information ? J’en doute.

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