Publié par Isa Normand le 20 juillet 2019

À l’époque, cela désignait les nazis.

Aujourd’hui, ce sont les rats qui ont envahi Paris. Il étaient déjà là, mais cachés. Les rats maintenant se multiplient, dévorent tout sur leur passage. Un cri d’alarme a été lancé. Les rats ne sont pas comme les loups : ils sont souterrains, sournois, vicieux, et leur seul objectif est de s’emparer du territoire. Ils n’ont souci que d’eux mêmes mais peuvent vite répandre la peste.

Hidalgo, à force de vouloir éradiquer de Paris les automobilistes, et d’asphyxier la capitale à coups d’innombrables travaux, au point que les pompiers ont eu un mal fou à rejoindre Notre Dame en feu, semble avoir ouvert en grand tous les égouts de la ville. Les rats pullulent au point de devenir un danger inquiétant.

Elle a des challengers à la Mairie de paris, la place est bonne. Une nuée de rats LREM veulent s’emparer de son trône.

Mais ils se déroule en parallèle quelque chose d’encore plus inquiétant. Une autre forme d’invasion de rats. Vous croyez que je parle de l’Islam ? Bien sûr, à travers la umma, son objectif est de s’emparer de Paris et du pays de France. Mais ce n’est pas de l’Islam que je parle ici. D’ailleurs, pour qu’il devienne envahissant, il lui faut beaucoup de complicités intra muros. Les rats les plus dangereux sont ailleurs, et se cachent derrière le rat vert qu’est l’islam en l’utilisant comme épouvantail, pour détourner le regard d’eux…

Ces rats là sont beaucoup plus intelligents. Ils sortent de grandes écoles. Ils se rient du vulgum pecus qu’ils n’utilisent que pour les plébisciter le temps d’une élection, afin de mieux l’asservir.

Ainsi, quantité des rats à deux pattes s’exfiltrent des souterrains glauques de l’immoralité financière, et se multiplient. Les rats sont les rats. Ce sont des rongeurs. Ils rongent tout ce qu’ils trouvent à mettre sous leur dent : la religion, les valeurs morales, l’argent des contribuables, les retraites, …

Paris, sur son blason, est figuré par un navire et une devise « fluctuat nec mergitur »

Les rats ont une caractéristique connue mondialement : quand le navire coule, ils le quittent pour s’enfuir vers des cieux plus cléments. Ce serait presque une consolation s’ils ne laissaient pas derrière eux ravages et destructions. Mais quand le navire Paris, et par extension le paquebot France, couleront, tous les rats quitteront le navire. Ouf ! Alors on pourra chanter :

Paroles de la chanson Les loups sont entrés dans Paris , revisités et actualisés

Et si c’était une nuit 
Comme on n’en connut pas depuis, 
Depuis cent mille nuits. 
Une nuit de fer, une nuit de sang, 

La nuit, des muzz hurlent. 
Regardez bien, Français de France, regardez-les. 
Sous les djellabah blanches 
Les muzz tremblent. 

Les hommes avaient perdu le goût 
De vivre, et avaient peur de tout 
Leurs mères, leurs frangins, leurs nanas 
Pour eux c’était chacun pour soi
Le ciel redevenait sauvage, 
Les tags bouffaient l´paysage… d’alors
 


Les rats, aaah! aaaouah! 
Les rats se cachaient sous Paris 
À l’Elysée, à la Mairie
Les rats se cachaient sous Paris 
J’y croyais dur, à mon futur
Les rats se cachaient sous Paris 

Mais ils surgissent de trente-six lieux
En quelques mois à queue leu leu 
Dès que ça flaire la boustifaille,
des coups à rendre dans la bataille 
Dès que la peur hante les rues 
Ces rats remontent la nuit venue… alors 

Les rats, aaah! aaaouah! 
Les rats ont envahi Paris 
À l’Elysée, à la Mairie
Les rats ont envahi Paris 

Je ne ris plus, de l’avenir
Les rats ont envahi Paris 


Et v´là qu’il fit un rude hiver 
mille gilets jaunes en fait divers 
Volets clos, on claquait des dents 
Même dans les beaux arrondissements 
Et personne n´osait plus le soir 
Affronter l’ombre des boulevards… alors 

Des rats ont envahi Paris 
 
À l’Elysée, à la Mairie
Des rats ont envahi Paris 
Cessez de rire car vient le pire 
ils prennent les trônes de Paris. 


Le premier de l’Etat s’empara
se déclarant providentiel
Il installa son Benalla 
Dans le palais présidentiel
puis il nomma ses ministrables
Des canailles 
congédiables

Cent rats, aaah! aaaouah! 
Cent rats ont dévoré Paris
À l’Elysée, à la Mairie
Cent rats ont dévoré Paris 
Cessez de rire, plus d’avenir
Cent rats ont dévoré Paris. 


Un autre qui n´avait que deux pattes 
était un rat des catacombes
Qu´on appelait Casta-la bombe
Il fit castagner les Français 
via des blacks-blocks bien contrôlés

Et plein de CRS armés… alors 

Cent rats, aaah! aaaouah! 
Cent rats ont dévoré Paris 
par l’Élysée, par la Mairie
Cent rats ont dévoré Paris 
Tu peux mourir, cesser de rire 
ces rats ont dévoré Paris. 


Attirés par l´odeur du sang 
Il en vint des mille et des cents 
des proches banlieues pour tout casser 
La haine au ventre pour tuer.
Jusqu´à c´que les hommes aient décidé
de se lever pour les coincer…. alors 

Les rats, aaah! aaaouah! 
Sont repartis dans leurs égouts 

Soit par des trous, soit dans la nuit
Les rats sont partis de Paris 
J’aime encore rire de l’avenir
Les rats sont partis de Paris 
Je peux bien rire, de l’avenir
Les loups sont partis de Paris…

Fin du chant … Une espérance pour la France ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Isa Normand pour Dreuz.info.

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